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mardi, octobre 8, 2024

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Dakar Dem Dikk annonce une bonne nouvelle pour les Ziguinchorois (communiqué)

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Dans le contexte actuel du Sénégal, marqué par des tensions politiques, notamment avec la libération des individus qualifiés de détenus politiques par une partie de l’opposition, la compagnie nationale de transport public Dakar Dem Dikk annonce une nouvelle importante pour la mobilité dans le pays. À travers un communiqué publié le dimanche 18 février 2024, l’entreprise informe le public de la reprise de ses services de transport pour l’ensemble de son réseau, tant national qu’international.

Cette reprise concerne spécifiquement les liaisons vers le Sud du pays, incluant les destinations de Ziguinchor, Kédougou, et Kolda. Dakar Dem Dikk précise sa volonté d’adapter l’offre aux besoins des usagers, avec une augmentation des fréquences à deux bus par jour, selon la demande.

L’initiative de la société de transport intervient dans un moment où le besoin de liaisons fiables et régulières est particulièrement ressenti par la population,

Exclusion officielle : Israël écarté de l’UA après des années de tensions

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Après des années de tensions, l’Union africaine (UA) a officiellement retiré son statut d’observateur à Israël lors de son sommet qui s’est tenu du 17 au 18 février 2024 à Addis-Abeba, en Éthiopie. Cette décision marque la fin d’un long débat sur la présence de l’État hébreu au sein de l’organisation panafricaine.

L’incident qui avait précipité ce retrait de statut s’était produit en février 2023. Une délégation israélienne avait alors été expulsée sans ménagement de l’Assemblée générale de l’UA alors que se tenaient les discussions entre chefs d’États africains. L’Afrique du Sud et l’Algérie s’opposaient fermement au statut d’observateur d’Israël. Cependant, la question n’avait pas été officiellement tranchée à l’époque.

Un an plus tard, le débat a été définitivement clos suite à l’opération militaire d’Israël dans la bande de Gaza en octobre 2023. « Le dossier concernant l’accréditation d’Israël est clos », a déclaré un haut cadre de l’UA cité par Le Monde. La porte-parole de la commission de l’UA, Ebba Kalondo, a précisé que « Israël n’est pas invité au sommet » . Après deux ans en tant qu’observateur, Israël se retrouve donc exclu de l’institution.

À l’inverse, l’Autorité palestinienne était au centre des discussions. Le Premier ministre palestinien Mohammad Shtayyeh, invité à la tribune, a reçu de longs applaudissements pour son discours sur la défense de la Palestine face au colonialisme. Les dirigeants africains présents ont vivement condamné les actions d’Israël à Gaza, qualifiées de « plus flagrante violation du droit humanitaire international » par le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat.

L’Afrique du Sud, à l’origine du dépôt d’une plainte contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour « génocide » contre les Palestiniens, a été félicitée. En janvier 2024, la CIJ a effectivement donné raison à Pretoria sur ce point, une victoire « célébrée » à l’UA selon la chercheuse Liesl Louw-Vaudran.

Toutefois, l’influence d’Israël sur le continent africain reste importante, fruit d’années de diplomatie intensive depuis les années 2010 selon Le Monde. Bien que banni formellement, des représentants israéliens ont encore été aperçus à Addis-Abeba pendant le sommet. Israël continue à entretenir des relations étroites avec de nombreux pays africains dans les domaines de la sécurité, du renseignement et de la défense.

Ce n’est pas pour 44 jours ou 10 mois, «qu’un dictateur» s’accrochera au pouvoir, Hérésie !!!, Par Samuel A.SARR

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Vous faites malhonnêtement un mauvais procès au Président Macky SALL. Tous les hommes animés de bonne foi reconnaissent que le report s’est imposé au président de la République pour des motifs bien évidents.
Le bon sens n’autorise pas qu’on impute à Macky Sall ce report de la présidentielle. Sans trahir un secret de Polichinelle le président Macky SALL n’attendait que le 02 Avril 2024 pour partir, après avoir installé son successeur. Il avait organisé sa vie à partir du 02 avril, des vacances ensuite des voyages. Il n’est pas encore parti, qu’on l’appelle déjà es qualité un Grand Homme d’Etat qui a marqué l’Histoire du Sénégal. Dans le même esprit, pour ne pas gêner son successeur, il envisageait de s’installer provisoirement au Maroc.
Aucun doute ne résiste face aux responsabilités évidentes des membres du Conseil constitutionnel qui ont failli dans leur mission. Après deux alternances démocratiques, le Sénégal ne pouvait pas se payer le luxe d’élections décriées impliquant la responsabilité des juges constitutionnels.
Au-delà de l’aspect électoral, le Sénégal allait connaître une crise dans son système judiciaire à cause de la validation de la candidature d’un détenu poursuivi pour des faits graves contre la sûreté de l’Etat. C’est une offense aux Institutions que de valider la candidature d’un prisonnier. Ensuite, la mise à l’écart de Karim Wade relève d’un acte d’ostracisme que rien ne peut justifier. Je n’ose pas accuser les auteurs de racisme, comme l’ont déclaré certains observateurs téméraires.
Dans son discours, le président de la République a fourni des arguments solides et suffisants pour justifier sa décision de reporter la présidentielle dans le but de sauvegarder la stabilité et la paix. Cet homme mérite des ovations nourries, pour avoir mis son image et sa crédibilité en jeu, en annonçant le report. Un tel sacrifice ne peut trouver sa justification que dans l’Amour qu’il porte pour le Sénégal.
Ne peuvent pas être entachées par la presse occidentale, ces belles œuvres du Chef de l’Etat, à la tête du Sénégal. Cette presse occidentale, cachant son agenda, financée par des lobbies pour désinformer et amplifier.
Cette lucidité et cette sagesse légendaires dont il s’est armées, lui ont inspiré cette décision d’arrêter ce processus électoral entaché d’irrégularités qui n’honorent guère la démocratie Sénégalaise.
Que les partenaires du Sénégal sachent que le président Macky Sall qui s’est investi pendant plusieurs années au service de l’Afrique, de la démocratie et des Libertés, ne va pas s’inventer une carrière de dictateur pour 44 jours ou 10 mois. Il a une pleine conscience de la situation et œuvre pour l’unité des sénégalais dans un dialogue sincère.
Le Sénégal est un Etat de droit qui a connu de grandes avancées démocratiques sous le magistère de Macky Sall. Il revient alors aux acteurs politiques de tout bord, de saisir la main tendue par le chef de l’Etat, pour épargner notre pays d’une crise qui, à la longue, risque de compromettre tous nos efforts de développement économique et social.
C’est le lieu de saluer l’initiative heureuse prise par les anciens présidents Me Abdoulaye Wade et Abdou Diouf, qui, malgré leur opposition politique jadis, ont su se retrouver pour lancer un message de paix à leurs compatriotes.
Une belle leçon est ainsi administrée à ce collectif de politiques perdants qui viennent de signer une contribution revancharde. L’un des signataires Abdoulaye BATHILY vient d’échouer lamentablement en Libye en tant qu’envoyé spécial des Nations Unies. La crise dont il est chargé de résoudre en Libye, s’est empirée depuis sa nomination tant décriée par les parties prenantes au pays de Khadafi. Kader BOYE, Dior Fall SOW et leurs comparses complètent la liste des pastefiens encagoulés qui voient leur espoir s’effilocher et s’éloigner depuis l’emprisonnement de leur messie.
C’est lieu de saluer la grandeur du Chef de l’Etat, Président de la République et Gardien de la Constitution Macky SALL qui est attaché aux valeurs républicaines et à l’Etat droit. Des valeurs qu’il a réaffirmées en s’engageant sans réserve à poursuivre le processus électoral, dans le sens indiqué par le Conseil Constitutionnel.
Alors, allons dialoguer pour nous concerter au nom de l’intérêt supérieur de la nation, au nom.de la sécurité et de la stabilité de NOTRE Sénégal
Vive l’unité nationale
Samuel SARR
Président du PLSS
Ancien ministre d’Etat
Wadiste Eternel et Mackyiste Éclairé

LE VOEU LE PLUS CHER D’ALIOUNE TINE ,C’EST DE VOIR SONKO ET MACKY SE SERRER LA MAIN

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Invité devant le Grand jury de ce dimanche, Alioune Tine ,président d’Afrika Jom Center est d’avis que son voeu le plus cher est la libération d’Ousmane Sonko, Diomaye et Cie et que Macky et Sonko se serrent la main.

Ce,pour apaiser le climat politique national et installer la sérénité dans ce pays. Pour ce qui est de la corruption présumée attribuée à des magistrats également, Alioune Tine est d’avis qu’avec laCommission d’enquête parlementaire, il n’y a rien de consistant dans ce qui a été avancé, renseigne la RFM.

Mamadou Lamine Diallo : « Seul le Conseil constitutionnel peut proposer une date et celle d’un second tour … »

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Mamadou Lamine Diallo donne sa position par rapport à la date de l’élection présidentielle. Le Candidat à la Présidentielle 2024, Président du Mouvement TEKKI se veut clair. Pour lui, seul le Conseil constitutionnel peut proposer une date et celle d’un second tour. Dans un post sur son compte X visité par Senego, il dit avoir été sollicité par plusieurs citoyens et journalistes sur ladite question.

« Je voudrais rappeler que seul le Conseil constitutionnel, suite à sa décision historique du 15 février 2024, peut proposer une date et celle d’un second tour, qui auront force de loi et s’imposeraient à tous« , a-t-il écrit.

Toutefois, le député estime évidemment que « la fin du dernier mandat du PR est le 2 avril. Le PR nouvellement élu devra être connu avant cette date« , a-t-il précisé.

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a annulé, le 15 février dernier, le décret présidentiel de Macky Sall qui abrogeait le décret convoquant le corps électoral. Dans un même élan, il a aussi déclaré inconstitutionnelle la loi adoptée par l’Assemblée nationale visant à reporter la date de l’élection présidentielle au 15 septembre 2024.

Affaire Adji Sarr, dossier Mame Mbaye Niang, inéligibilité, Jean-Luc Mélenchon prend la défense de Sonko

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L’opposant français Jean-Luc Mélenchon a participé au rassemblement organisé, ce samedi 17 février 2504, par des sénégalais de la diaspora contre le report de la Présidentielle. Dans son discours, le leader du parti « La France insoumise » s’est fait l’avocat de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, actuellement en prison. Il est revenu sur l’affaire Adji Sarr, le dossier Mame Mbaye Niang mais aussi son inéligibilité.

« Il y a déjà quelques temps que je me fais un honneur de me tenir aux côtés d’Ousmane Sonko lorsqu’il a commencé la bataille qu’il a engagé mais ce que nous représentons ici, ce sont toutes les oppositions sénégalaises dans leurs diversités », a-t-il expliqué dans cette vidéo exploitée par Senego.

Regardez!

Les précisions de la Coalition ‘Diomaye Président’ sur la date de la présidentielle (Communiqué)

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La Coalition Diomaye Président, dans un communiqué daté du 17 février 2024, a exprimé sa solidarité envers les victimes des récentes manifestations au Sénégal, qui ont éclaté suite à des contestations liées au calendrier électoral. Présentant ses condoléances au peuple sénégalais, la coalition a mis en avant la décision du Conseil constitutionnel du 15 février 2024 comme un renforcement des acquis démocratiques du pays.

La décision en question a annulé le décret qui repoussait les élections et une loi constitutionnelle prolongeant le mandat du président Macky Sall, jugée contraire à une disposition intangible de la Constitution. Elle stipule également que l’élection présidentielle doit se dérouler avant l’expiration du mandat actuel du Président, fixée au 2 avril.

La coalition exige le respect de cette échéance et appelle à une plus grande transparence dans le processus électoral, incluant une vérification approfondie du fichier électoral et des mécanismes de surveillance et de supervision des votes. Elle souligne également l’importance de l’égalité de traitement entre tous les candidats et demande la libération immédiate de Bassirou Diomaye Diakhar FAYE ainsi que d’autres prisonniers politiques, y compris le leader de l’opposition, Ousmane Sonko.

La Coalition Diomaye Président invite la communauté internationale à veiller au respect des engagements internationaux du Sénégal en matière de droits fondamentaux et remercie le peuple sénégalais pour sa mobilisation contre l’arbitraire. Elle affirme son engagement envers la préservation des droits du peuple souverain et se positionne en tant que défenseur de la démocratie et de la justice au Sénégal.

« Politique d’apaisement »: Thione Niang soutient l’ « effort du président Macky Sall… »

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Thione Niang a été reçu par le Président Macky Sall. Le président de « Jeuf Jotna » a exposé au chef de l’Etat ses attentes dans un contexte politiquement particulier.

« Nous avons eu un échange riche et constructif avec le président Macky Sall, qui a positivement accueilli la décision du Conseil Constitutionnel. C’était un privilège de partager ce moment d’écoute réciproque sur des enjeux vitaux pour la stabilité et l’avenir de notre pays« , a soutenu Thione Niang, repris par Dakaractu.

D’après lui, « le but est d’instaurer un climat de confiance propice à des élections sereines. Il est l’heure que tous puissent agir avec pragmatisme et assumer leurs responsabilités pour clore ce processus de manière positive. En plus, œuvrer pour la décrispation de l’espace politique reviendrait à poursuivre la libération des prisonniers politiques« .

Il a, ainsi fait part de son soutien à l’ « effort du président Macky Sall pour maintenir une politique d’apaisement qui peut notamment aider à trouver des solutions légales et politiques pour la libération d’Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye. Il est crucial de continuer à œuvrer pour la réconciliation et l’unité nationale. Nous devons tous travailler à détendre l’atmosphère politique et électorale… Dans cette période critique, c’est la solidarité et l’action collective qui doivent concourir pour garantir la sécurité et le bien-être des générations futures, en dépassant les défis à travers l’unité« .

Litige foncier à la cité Almadies 2 : En colère, les populations annoncent une plainte, Mbackiyou Faye cité…

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Une dizaine de bâtiments ont été détruits sur la soixantaine de maisons ciblées, ce samedi, à la Cité Almadies 2 de Keur Massar. La société SCI, la Promobilière de Mbackiyou Faye, a été citée dans cette affaire. Le collectif qui s’est aussitôt formé pour dénoncer les manœuvres d’un promoteur immobilier menace de porter plainte dès lundi pour élucider cette affaire.

Une dizaine de bâtiments en construction sur un site de 2 hectares ont été tous rasés à la cité Almadie 2 de Keur Massar. Ce qui provoque un sentiment de tristesse et de colère. « Aucune information ne nous a été signifiée. Bizarrement, nous n’avons pas vu la Descos sur le terrain, mais plutôt des personnes en civil qui sont venues faire des ciblages de plusieurs villas. Je rappelle que nous sommes installés sur plus de 2ha dans cette cité. Donc nous ne comptons pas laisser des gens venant on ne sait d’où s’accaparer de nos terrains« , a déclaré Ousmane Gueye, le porte-parole du collectif.

Deux (2) promoteurs privés et l’agence immobilière de Mbackiyou Faye seraient responsables de ce conflit qui dure depuis jeudi dernier. Une accusation des propriétaires qui comptent porter plainte dès lundi prochain. « Ces deux individus ont été identifiés. Ils sont venus ici pour détruire tous nos biens. Ils disent que ces terrains appartiennent à Mbackiyou Faye. On a déjà commencé nos procédures. Dès lundi, nous allons interpeller le procureur de la république« , a ajouté Ousmane Guèye.

Présidentielle de 2024, Macky Sall est finalement candidat à la place d’Amadou Ba.

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Le Président Macky Sall a déclaré prendre acte de la décision du Conseil Constitutionnel et promet d’organiser les élections dans les meilleurs délais. Mais le chef de l’Etat ne risque-t-il pas d’abattre une dernière carte en se présentant lui-même à la place de Amadou Ba pour maximiser les chances de son parti ?

Le média Jeune Afrique, à demi-mot, a posé la question à l’écrivain et philosophe sénégalais, Felwine Sarr. Pour lui, Macky Sall peut bien brandir la question de la stabilité du pays pour se représenter. Mais il précise que les Sénégalais ont en quelque sorte anticipé cette décision et lui ont barré la route.

« Le président Sall a certes assuré qu’il ne briguerait pas un troisième mandat, mais en précisant que la Constitution lui en donne le droit. Ce qui n’est pas le cas. La Constitution sénégalaise est claire sur ce point. Il a justifié son renoncement par la volonté de respecter non pas la Constitution, mais la parole donnée. En entendant cela, on ne pouvait s’empêcher de penser qu’il se réservait le droit, un jour, dans des circonstances qualifiées d’exceptionnelles, de représenter sa candidature et de se poser en garant de la stabilité dans un Sénégal en plein chaos. C’est pour cette raison que, malgré les répressions et les violences policières, les Sénégalais ont décidé de ne pas braver les interdictions de manifester, d’attendre patiemment le jour du vote, pour ne pas lui permettre de justifier un état d’exception », a-t-il déclaré.

Cependant, même si Macky ne se présente pas, Felwine Sarr pense que le chef de l’Etat pourrait tenter de remplacer Amadou Ba. « Il apparaît que la candidature d’Amadou Ba n’a pas réussi à faire l’unanimité dans son camp, c’est évident ; l’union sacrée autour de lui semble difficile à réaliser. Les siens l’ont fragilisé, le comble étant cette accusation de corruption du PDS, non étayée, mais que les députés de Benno Bokk Yakaar ont votée alors que le Premier ministre est nommément cité. De toute évidence, ils souhaitent le remplacer par un candidat qui, selon eux, leur offrirait davantage de chances de l’emporter », affirmé Felwine Sarr sur Jeune Afrique.