14.4 C
New York
mardi, octobre 8, 2024

Buy now

spot_img
Accueil Blog Page 23

Haïti: la veuve du président Moïse inculpée de complicité dans son assassinat

0

La justice haïtienne a inculpé une cinquantaine de personnes, dont l’ex-Première dame Martine Moïse, un ancien Premier ministre et un ex-chef de la police pour leur implication présumée dans l’assassinat du président Jovenel Moïse en 2021, a rapporté un média local.

Le média haïtien AyiboPost a publié en ligne lundi ce qu’il présente comme l’ordonnance du juge chargé de l’instruction du dossier, un document de 122 pages « résultant d’une dizaine d’auditions » qui ne permet toutefois pas « d’identifier clairement les auteurs intellectuels de l’assassinat, ni les bras financiers », note le média.

D’après ce document, le magistrat a demandé le renvoi de Mme Moïse et 50 autres personnes devant le tribunal criminel « pour y être jugés sur les faits d’association de malfaiteurs, de vol à mains armées, de terrorisme, d’assassinat et de complicité d’assassinat, crimes commis au préjudice » du président Moïse.

« Les charges concordantes et les indices d’implication de l’ex-Première dame (Martine Moïse) dans l’assassinat du président Jovenel Moïse sont suffisants », note ce document, qui précise que « les déclarations de l’ex-Première dame (…) sont si entachées de contradictions qu’elles laissent à désirer et la discréditent ».

L’ancien Premier ministre par intérim Claude Joseph ou encore l’ancien directeur général de la police nationale Léon Charles figurent parmi les individus inculpés, l’ordonnance faisant état d' »indices suffisants » de complicité dans l’assassinat du chef de l’Etat haïtien pour tous deux.

Le 7 juillet 2021, Jovenel Moïse avait été tué par balle dans sa résidence privée à l’âge de 53 ans par un commando de plus de 20 personnes, principalement des mercenaires colombiens, sans que ses gardes du corps n’interviennent. Martine Moïse avait elle-même été blessée lors de l’attaque.

Le 9 février, Joseph Vincent, un Américano-Haïtien accusé d’avoir participé à son assassinat a été condamné en Floride, aux Etats-Unis, à la réclusion criminelle à perpétuité.

La justice américaine avait lancé des poursuites visant 11 personnes accusées d’être mêlées à l’assassinat, au motif que le complot avait été ourdi en Floride. Quatre d’entre elles ont été condamnées à la prison à vie, dont Joseph Vincent qui avait plaidé coupable en décembre.

Haïti fait face à une grave crise politique, sécuritaire et humanitaire, des gangs armés ayant pris le contrôle de pans entiers du pays, et le nombre d’homicides ayant plus que doublé en 2023, et l’assassinat de M. Moise a plongé le pays le plus pauvre du continent américain encore davantage dans le chaos.

« Le Conseil Constitutionnel raté son rendez-vous avec le peuple », Ciré Clédor Ly

0

L’avocat Me Ciré Clédor Ly semble critiquer la décision du Conseil Constitutionnel au Sénégal, affirmant que celui-ci a raté son rendez-vous avec le peuple.

« Le Conseil Constitutionnel a, une fois de plus, raté son rendez-vous avec le peuple, lequel lui assigne le devoir de veiller sur le respect de la constitution et des valeurs qu’il a lui même bien énoncées… ».

Selon Me Ciré Clédor Ly, dans une tribune intitulée « Inquiétudes Et Libre Opinion D’Un Militant Des Droits de L’Homme », la réponse à la question du respect du calendrier électoral était pourtant claire lorsque le Conseil a annulé la loi votée par l’Assemblée Nationale et le décret abrogeant celui fixant la date des élections au 25 février 2024.

Il souligne également que le Conseil a tardé à rendre sa décision, ce qui a contribué à créer de l’incertitude.

Ainsi, la robe noire exprime des craintes quant à l’absence de fixation d’une nouvelle date pour les élections et à la possibilité d’un second tour, tout en soulignant que si le scrutin est transparent et loyal, le Conseil Constitutionnel n’aura probablement pas à proclamer les résultats au-delà du 2 avril 2024.

Me Ly mentionne également le 20e attendu de la décision du Conseil Constitutionnel comme étant une source d’incertitude, suggérant que l’absence de fixation d’une nouvelle date pourrait entraîner une situation confuse et chaotique.

Le camp de Karim Wade annonce une conférence de presse très attendue pour ce lundi

0

La coalition K24, soutenant Karim Wade, organise une conférence de presse cruciale ce lundi 19 février 2024, en réponse à la situation politique tendue qui sévit actuellement au Sénégal. Cette annonce survient après une série d’événements marqués par des accusations portées par le Parti démocratique Sénégalais (PDS) contre deux juges du Conseil Constitutionnel, ce qui a conduit le Président de la République, Macky Sall, à reporter la présidentielle en abrogeant le décret de convocation du corps électoral.

La candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle, portée par le PDS, a été rejetée par le Conseil Constitutionnel, sous prétexte d’une double nationalité, en contradiction avec la Constitution sénégalaise qui exige une nationalité exclusivement sénégalaise pour tout candidat. En réaction à cette exclusion et au report de l’élection initialement prévue le 25 février, les députés du camp Wade ont tenté de légiférer pour fixer la nouvelle date au 15 décembre 2024. Toutefois, leurs efforts ont été vains, le Conseil constitutionnel ayant annulé le décret présidentiel et jugé le projet de loi inconstitutionnel.

Dans ce contexte de crise, la coalition K24 n’avait pas encore exprimé officiellement sa position. La conférence de presse prévue pour se tenir à la permanence OLB sur la VDN à 16 heures est donc très attendue, tant par la presse nationale qu’internationale. Cette rencontre est l’occasion pour le camp de Karim Wade de clarifier sa stance et de présenter sa réponse aux développements récents qui ont agité la scène politique sénégalaise.

Présidentielle: 15 candidats réclament l’élection avant la fin du mandat de Macky Sall

0

Quinze des 20 candidats retenus en janvier pour la présidentielle sénégalaise réclament que l’élection ait lieu au plus tard le 2 avril, en plein flou sur la date du scrutin.

Les Sénégalais, qui devaient voter dimanche prochain, ignorent quand ils se rendront aux urnes après une séquence inédite depuis l’indépendance, au cours de laquelle le président sortant Macky Sall a décrété le report de l’élection et le Conseil constitutionnel a invalidé sa décision.

Cet enchaînement a déclenché une nouvelle et vive querelle sur la tenue de la présidentielle avant ou après le 2 avril, expiration officielle du mandat du président Sall. La dispute porte aussi sur une reprise à zéro, ou non, du processus qui avait vu le Conseil constitutionnel homologuer 20 candidatures en janvier.

Les noms de 15 des 20 concurrents alors retenus figurent au bas d’un communiqué consulté lundi par Seneweb et disant que « la nouvelle date du scrutin de même que celle de la passation de service entre le président et son successeur doivent se tenir au plus tard le 2 avril ».

Les candidats assurent que la liste des 20 candidatures entérinées en janvier est intangible.

Le président Sall a dit vendredi son intention de respecter la décision du Conseil constitutionnel et de mener « sans tarder les consultations nécessaires pour l’organisation de l’élection présidentielle dans les meilleurs délais ».

Les candidats constatent « avec amertume que depuis la décision du Conseil constitutionnel aucun acte n’a été posé par les autorités dans le sens d’exécuter celle-ci ».

Le texte porte les noms de certains des principaux concurrents, dont l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall et Bassirou Diomaye Faye. Il ne comporte pas celui du Premier ministre Amadou Ba, candidat du camp présidentiel, ni des ex-chefs de gouvernement Idrissa Seck et Mahammed Boun Abdallah Dionne.

Les Signataires:

Aliou Mamadou DIA

Mamadou Lamine DIALLO

Elhadji Mamadou DIAO

Cheikh Tidiane DIEYE

Déthié FALL

Diomaye Diakhère FAYE (représenté par son mandataire Amadou BA)

Pape Dilbril FALL

Malick GAKOU

Serigne MBOUP

Aly Ngouille NDIAYE

Daouda NDIAYE

Anta Babacar NGOM

Khalifa Ababacar SALL

Thierno Alassane SALL

Habib Sy

Présidentielle 2024 : Macky Sall fera-t-il comme Senghor en 1967 ?

0

Si le Conseil constitutionnel a rendu sa décision au sujet de l’abrogation du décret du chef de l’Etat et de la loi actant le report du scrutin du 25 février 2024, le débat ne s’est pas pour autant estompé. Loin s’en faut ! « Une rude bataille juridique semble s’installer, au regard des observations faites par le Front démocratique pour une élection inclusive (FDPEI).

A en croire ce nouveau front composé du Parti démocratique sénégalais (PDS) et de certains spoliés, « le Conseil constitutionnel en actant très clairement le report de l’élection du 25 Février, acte en même temps la reprise intégrale du processus électoral ».

D’après le journal « Point Actu », une façon de dire que le scrutin ne pourra se tenir avant le 2 avril, date de la fin du mandat du chef de l’Etat, Macky Sall. Les candidats à la présidentielle de 2024, regroupés dans le Front démocratique pour une élection inclusive, comme tous les Républicains et Démocrates de notre pays, prennent acte de la Décision du Conseil constitutionnel du 15 février 2024.

Dans un communiqué rendu public hier, le FDPEI considère que dans la décision du Conseil constitutionnel, il y a l’annulation du décret convoquant le corps électoral, le caractère contraire à la constitution de la loi portant dérogation aux dispositions de l’article 31 de la Constitution adoptée par l’Assemblée nationale et autorisant le report de la présidentielle au 15 décembre 2024 et le constat de l’impossibilité d’organiser l’élection présidentielle à la date initialement prévue, c’est-à-dire le 25 février 2024.

Et pour cette nouvelle structure portée par les libéraux du PDS, « cette reprise intégrale du processus, en termes clairs, postule que toutes les décisions prises concernant l’élection présidentielle du 25 février 2024, sont caduques.

Ainsi, les candidats spoliés, les candidats validés, tout comme le candidat injustement écarté pour prétendue binationalité, sont aujourd’hui tous logés à la même enseigne ». Le (FDPEI), « le Conseil constitutionnel qui ne communique pas ses avis et décisions par des formules ambigües, n’a nulle part ordonné à l’Exécutif d’organiser l’élection présidentielle avant le 2 avril ». C’est pourquoi, Me Abdoulaye Tine, a déclaré que « si le 2 avril, le président élu n’est pas installé, il y a vide du pouvoir, une situation non prévue par la constitution ».

Pour Me Tine, il est impératif que le président de la République convoque le corps électoral, « dans les plus brefs délais ». Autrement, nous seront dans un chaos politico-institutionnel, dont la constitution n’a pas prévu le règlement. La constitution n’a pas, en effet, prévu le cas du vide du pouvoir. En tout cas, le report de la Présidentielle n’est pas une première. En 1967, le président Senghor avait fait reporter le scrutin, pour le tenir en 1968.

En dépit de la fin de son mandat, il est resté au pouvoir. Macky Sall fera-t-il, comme Senghor ? La question reste entière, sauf si d’ici là, la décision de tenir le scrutin est actée, au grand dam du FDPEI, qui appelle « les autorités compétentes explicitement mentionnées dans la Décision du Conseil constitutionnel, le président de la République en tête, à aller sans délai à la « Concertation nationale » suivie d’une élection présidentielle apaisée, démocratique, transparente et inclusive… « dans les meilleurs délais » !

Processus électoral: Le Front démocratique pour une élection inclusive acte une reprise intégrale

0

Les candidats à la présidentielle de 2024, regroupés dans le Front démocratique pour une élection inclusive prennent acte de la Décision du Conseil constitutionnel du 15 février 2024. Ils estiment que cette importante décision clarifie trois points majeurs. Pour les candidats spoliés de leurs droits constitutionnels lors du contrôle des parrainages et celui exclu injustement de la liste définitive, ces trois points sont sans aucune ambiguïté. Le Conseil constitutionnel en actant très clairement le report de l’élection du 25 Février, acte en même temps la reprise intégrale du processus électoral.

Les candidats spoliés de leurs droits constitutionnels rappellent que le décret présidentiel du 3 février 2024, portant abrogation du décret convoquant le corps électoral pour l’élection du 25 février « est annulé ». La loi portant dérogation aux dispositions de l’article 31 de la Constitution adoptée par l’Assemblée nationale et autorisant le report de la présidentielle au 15 décembre 2024 est jugée « contraire à la constitution ». Et, le Conseil constitutionnel, constatant l’impossibilité d’organiser l’élection présidentielle à la date initialement prévue, « invite les autorités compétentes à la tenir dans les meilleurs délais ».

Les candidats spoliés indiquent que cette reprise intégrale du processus, en termes clairs, postule que toutes les décisions prises concernant l’élection présidentielle du 25 février 2024 sont caduques. Ainsi, les candidats spoliés, les candidats validés, tout comme le candidat injustement écarté pour prétendue binationalité, sont aujourd’hui, tous logés à la même enseigne.

Le Conseil constitutionnel, dans la formulation de sa décision, a prouvé avoir une claire conscience que la crise électorale ne porte pas exclusivement sur le « calendrier républicain », mais aussi sur la question de la « cinquantaine de candidats spoliés et du candidat injustement écarté de la liste définitive des candidats validés », sans oublier la question des soupçons de corruption évoqués à propos de certains de leurs membres. Ce dernier point, relève-t-on, est important car après tout, c’est le Conseil constitutionnel qui valide l’élection du Président de la République. Ce sont là trois grands défis à relever, avant la tenue de toute élection présidentielle crédible et porteuse de stabilité pour le pays.

Formules ambigües relevées

D’après eux, le Conseil constitutionnel qui ne communique pas ses avis et décisions par des formules ambigües n’a nulle part ordonné à l’Exécutif d’organiser l’élection présidentielle avant le 2 avril. De fait, le pas en avant ainsi, posé par le Conseil constitutionnel ouvre la voie à la réparation de toutes les injustices liées au processus électoral antérieur via la concertation nationale. L’expression « dans les meilleurs délais» utilisée par le Conseil constitutionnel, regrette-t-on, montre que celui-ci n’a pas le fétichisme des dates, mais exprime plutôt une volonté de solution consensuelle.

Selon ce cadre, l’autre avantage de cette décision est qu’elle coupera l’herbe sous les pieds aux velléités des lobbys du narco trafic et du pétro-gaz de faire basculer le pays dans la tourmente pour ensuite tenter d’accentuer leur mainmise sur ses richesses dont, aujourd’hui, le pétrole et le gaz.

N’en déplaise aux radios et télévisions dites internationales (françaises en particulier), en collusion avec de puissants lobbys et qui jouent sans fard le rôle de relais d’infox et de manipulations en prétendant que le Conseil constitutionnel « a ordonné la tenue de l’élection présidentielle avant le 2 avril. » C’est absolument inexact.

L’ancienne métropole attaquée

Devenus coutumiers de tels faits depuis le début de la crise et avant, des journalistes et analystes étrangers, notamment de l’ancienne métropole, après avoir annoncé « des affrontements dans tout le pays» et des risques de « guerre civile, voire de coups d’Etat au Sénégal », participent aujourd’hui encore, avec délectation, à cette campagne de propagation de contre-vérités en expliquant sur leurs ondes des schémas fantaisistes voire irrationnelle d’une campagne électorale raccourcie à 2 semaines au lieu des 3 prévues par le code électoral et d’un 2ème tour organisé une semaine après au lieu de 2 semaines comme prévu par le code. En somme une invite ouverte à la violation de nos lois comme s’ils n’avaient pas affaire à un pays de longues traditions démocratiques et électorales.

Ces derniers soulignent le fait que le Conseil constitutionnel ajoute dans son Considérant 19 un paragraphe de haute portée au regard du contexte national actuel : « le Conseil constitutionnel doit toujours être en mesure d’exercer son pouvoir régulateur et de remplir ses missions au nom de l’intérêt général, de l’ordre public, de la paix, de la stabilité des institutions et du principe de la nécessaire continuité de leur fonctionnement ».

L’Exécutif, à son tour, en conformité avec cet esprit, devrait remplir lui aussi « ses missions au nom de l’intérêt général, de l’ordre public, de la paix, de la stabilité des institutions ». La concertation nationale pour « une nouvelle Loi électorale et un nouveau processus électoral démocratique, transparent et INCLUSIF » est la seule et unique voie qui doit engager l’ensemble du peuple. « Nous rejetons fermement toute marche forcée qui ne déboucherait sans aucun doute que sur la véritable déstabilisation du Sénégal au profit des lobbys évoqués plus haut. Nous engageons les autorités compétentes explicitement mentionnées dans la Décision du Conseil constitutionnel, le Président de la République en tête, à aller sans délai à la «Concertation nationale », suivie d’une élection présidentielle apaisée, démocratique, transparente et inclusive… « dans les meilleurs délais »!

Mohamed Al Ghazouani, nouveau président de l’Union africaine

0

Le président de la République islamique de Mauritanie, Mohamed Ould Cheikh Al Ghazouani a été porté samedi à la tête de l’Union africaine, a annoncé l’institution panafricaine.

Le président mauritanien a été désigné au premier jour de la 37e session de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA.

Mohamed Ould Cheikh Al Ghazouani succède au Comorien, Azali Assoumani.

APS

Décision du Conseil : L’Assemblée évoque un «revirement jurisprudentiel»

0

Après le pouvoir exécutif, c’est  au tour de l’Assemblée nationale de réagir sur la décision du Conseil Constitutionnel sur le report de la présidentielle.

L’Assemblée nationale dit prendre acte de la Décision du 15 février 2024 du Conseil constitutionnel qui a déclaré contraire à la Constitution la loi votée à l’Assemblée nationale sur le report de la présidentielle. Les Sage ont aussi annulé le décret par lequel le Président de la République abrogeait le décret convoquant le collège électoral.

«L’Assemblée nationale du Sénégal prend acte de cette décision du Conseil constitutionnel, quand bien même elle porte le signe d’un revirement jurisprudentiel quant au contrôle de constitutionnalité d’une loi constitutionnelle. Aussi, remet-elle en cause la souveraineté du pouvoir constituant de l’Institution parlementaire », indique le pouvoir législatif.

Cependant, l’Assemblée nationale réaffirme son attachement aux valeurs de démocratie et plus particulièrement à la séparation des pouvoirs. Elle ajoute que le dialogue politique initié par le Président de la République se situe dans ce prolongement. « Il sera amplifié, afin de garantir une élection apaisée, libre, inclusive, transparente et démocratique. », dit-elle.

UCAD : La Faculté de Médecine annonce le démarrage des enseignements

0

À l’Université cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), les enseignements démarreront dès jeudi prochain à la Faculté de médecine.

«Il est porté à la connaissance des enseignants, des étudiants et des PATS que les enseignements du premier semestre de l’année universitaire 2023-2024 débuteront le jeudi 22 février 2024 à 8heures», a annoncé le Doyen de la Faculté Faculté de Médecine, de pharmacie et d’odonto-stomatologie dans une note d’information ci-dessous.

Présidentielle 2024 : Des candidats recalés réclament la « reprise intégrale » du processus électoral

0

Des candidats recalés à l’élection présidentielle, réunis au sein du Front démocratique pour une élection inclusive (FDPEI), ont demandé dimanche une reprise complète du processus électoral, selon l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).

Par l’intermédiaire de Mayoro Faye, représentant de Karim Wade, dirigeant du Parti démocratique sénégalais (PDS), ils ont notamment appelé le président de la République à travailler en faveur d’une reprise totale du processus électoral et à entamer immédiatement des consultations en vue d’un scrutin inclusif et pacifique.

Le Conseil constitutionnel a officiellement reporté l’élection présidentielle prévue pour le 25 février. Les candidats recalés affirment dans une déclaration que « toutes les décisions prises jusqu’à présent sont désormais nulles et non avenues ».

Ils ajoutent que « le pouvoir exécutif doit remplir ses obligations au nom de l’intérêt général, de l’ordre public, de la paix et de la stabilité des institutions ».

Le FDPEI estime que « seule une concertation nationale en vue d’une nouvelle loi électorale et d’un processus électoral démocratique, transparent et inclusif peut garantir des élections pacifiques ».