21.1 C
New York
dimanche, octobre 6, 2024

Buy now

spot_img
Accueil Blog Page 149

Abass Fall utilise son statut de député, pour diffamer sans preuves l’aide de camp du Président

0

L’affaire Ousmane Sonko continue de susciter des réactions et des débats houleux au sein de la scène politique sénégalaise. Récemment, Abass Fall, député de l’opposition, a utilisé son manteau parlementaire pour diffamer l’aide de camp du Président, le Général Ndiaye. Cependant, il convient de souligner qu’il n’y a aucun lien de parenté entre le Général Ndiaye et le juge en charge de l’affaire Ousmane Sonko.

Dans ses déclarations, Abass Fall accuse le Général Ndiaye d’interférence dans l’affaire judiciaire impliquant Ousmane Sonko, sans apporter de preuves concrètes à l’appui de ses allégations. Il est important de souligner que l’immunité parlementaire n’est pas conçue pour permettre aux députés de diffamer gratuitement des individus sans preuves tangibles.

L’utilisation du statut de député pour diffamer des fonctionnaires de l’État est non seulement inappropriée, mais cela remet également en question l’honorabilité d’Abass Fall. Les représentants du peuple ont la responsabilité de mener des débats constructifs et de respecter les principes démocratiques fondamentaux, plutôt que de se livrer à des attaques personnelles infondées.

Il est important de souligner que les serviteurs de l’État, tels que le Général Ndiaye, sont liés par leur devoir de réserve et ne peuvent pas répondre publiquement à de telles accusations diffamatoires. Cette situation crée un déséquilibre dans le débat public et nuit à la crédibilité de ceux qui utilisent leur position pour attaquer des individus qui ne peuvent pas se défendre publiquement.

Il est également nécessaire de mettre en lumière la stratégie récurrente du parti politique Pastef, consistant à remettre en question constamment l’intégrité des juges en charge de l’affaire Sonko. Cette tactique vise à discréditer le verdict qui sera prononcé et à alimenter des doutes quant à l’impartialité du système judiciaire. Cependant, il est important de rappeler que la récusation permanente des juges sans preuves solides et crédibles ne peut en aucun cas affaiblir l’intégrité de la justice.

Il est primordial de promouvoir un débat politique sain, basé sur des arguments factuels et respectueux des principes démocratiques. Les représentants du peuple ont la responsabilité d’utiliser leur position de manière responsable et de contribuer à la construction d’une société basée sur la confiance et le respect mutuel.

En conclusion, l’utilisation du statut de député par Abass Fall pour diffamer l’aide de camp du Président sans preuves tangibles est inacceptable. L’immunité parlementaire ne doit pas être utilisée pour diffuser des allégations infondées. Il est essentiel de promouvoir des débats politiques constructifs, basés sur des faits et respectueux des institutions de l’État.

Macky Sall sur le 3e mandat : « Vous devez me le demander avec courtoisie » (Vidéo)

0

Le 31 mai 2023, le Président Macky Sall a initié un dialogue national au Sénégal. Il a invité à cette occasion tous les partis politiques, leaders religieux, membres de la société civile et même les artistes à participer à ce dialogue au palais présidentiel. Tout ceci se déroule dans un contexte de tension pré-électorale, alors que l’élection présidentielle est prévue pour le 25 février 2024. L’opposition accuse le président de vouloir briguer un troisième mandat, jugé illégal.

  • Le Président Macky Sall initie un dialogue national au Sénégal.
  • Le contexte est tendu avant l’élection présidentielle prévue pour février 2024.
  • L’opposition critique le président sur sa volonté de briguer un troisième mandat jugé illégal.

L’opposition accuse Macky Sall de vouloir s’accrocher à un « 3e mandat ». Une grande partie d’entre eux a même refusé de participer à ce dialogue. Lors de son discours de clôture, le président a précisé les bases sur lesquelles il souhaite débattre, mais avec certaines conditions.

Le Président Sall a déclaré : “Si vous voulez un mandat, il suffit de me le demander. Si ça me plaît, je peux céder sans problème, mais vous devez le demander avec la courtoisie qui convient. Par contre, si vous décidez de dire que je n’ai pas le droit d’être candidat, sur quoi vous basez-vous pour affirmer cela? C’est uniquement selon leur volonté, ce n’est pas sur une base légale.”

Il a également répondu aux critiques concernant l’usage du référendum pour garantir deux mandats supplémentaires : “Ceux qui prétendent cela sont ceux qui ont fait campagne en affirmant qu’après le référendum, le président ferait deux mandats. Vous pensez que vous maîtrisez le droit mieux que quiconque? Vous le savez très bien. Tout le monde le sait, car tout le monde sait lire le droit.”

Enfin, il a affirmé son engagement à aborder ce sujet polémique lors du dialogue national : “C’est un débat que je ne m’attarderai pas à discuter maintenant, car c’est un débat qui va être abordé pendant le dialogue national. Oui, j’accepte de discuter de ce sujet, tout comme j’accepte de discuter de l’inclusion, car il s’agit du Sénégal. Donc, si vous croyez en tout cela, participons tous au débat et faisons progresser la démocratie.”

Grand-Yoff/ Manifestant atteint par balle : Ce qui s’est réellement passé

0

Seneweb en sait un peu plus sur l’affaire de l’individu qui a été atteint par balle puis blessé, aux HLM Grand-Yoff. Selon nos sources, un locataire a ouvert le feu sur un manifestant.
D’après les premiers témoignages recueillis par les enquêteurs, des individus ont attaqué un immeuble où serait logé un magistrat.
Un locataire de ce domicile a dégainé son arme à feu avant de tirer sur l’un des manifestants.
Pour rappel, le tireur a été arrêté et son arme a été saisie par les policiers du commissariat de Grand-Yoff.La victime a été évacuée à l’hôpital. La Sûreté urbaine hérite du dossier Le locataire incriminé a été mis à la disposition de la Sûreté Urbaine qui a hérité du dossier  selon des sources de Seneweb. Cette unité du commissariat central de Dakar vont élucider cette affaire.

Les téléphones de Sonko parlent : « Ministres, rebelles casamançais et journalistes épinglés » (Le Quotidien)

0

S’adressant à ses militants, lundi dernier, Ousmane Sonko a informé que ses quatre téléphones, dont deux pas encore utilisés, son arme avec autorisation et d’autres affaires personnelles ont été confisqués par les forces de l’ordre, depuis son interpellation la veille -dimanche 28 mai- dans le centre-sud du Sénégal avant d’être acheminé chez lui.

  • Les téléphones et l’arme de Ousmane Sonko ont été confisqués depuis son interpellation
  • Le déchiffrement de ses comptes WhatsApp, Telegram et Signal a révélé ses connexions dans le gouvernement et les médias locaux
  • Des ministres et des journalistes seraient concernés et certains se seraient rapprochés des enquêteurs pour voir leur implication

D’après Le Quotidien, le déchiffrement des comptes WhatsApp, Telegram et Signal de Ousmane Sonko auraient trahi ses connexions dans le gouvernement, au niveau d’autres cercles du pouvoir et dans l’univers des médias locaux.

« Le traçage des messages chiffrés (WhatsApp) dans les quatre appareils indiquent que les soutiens au ‘Projet’ du chef du parti Pastef dans le maquis de la Casamance étaient loin d’être juste une vue de l’esprit de certains éditorialistes ou de politiques en manque de sensation », révèle le Journal « Le Quotidien » dans sa parution de ce mercredi 31 mai 2023.

Nos confrères rapportent que des ministres sont concernés. Ils signalent que certaines personnalités «épinglées» «cherchaient depuis hier mardi à se rapprocher des enquêteurs pour essayer de voir dans quelle mesure les téléphones saisis les auraient impliqués».

Des journalistes seraient également dans le coup. Le journal révèle que les comptes Wave et Orange Money de Ousmane Sonko envoient fréquemment des sommes d’argent à certains acteurs de la presse.

« Certains journalistes se faisaient à la limite entretenir par Ousmane Sonko. Des versements réguliers de sommes plus ou moins importantes à ces agents des médias », affirme Le Quotidien.

Macky Sall : « Ne me demandez pas de croiser les bras face aux velléités de déstabilisation de notre pays »

0

Lors de son discours de clôture de ce premier jour d’ouverture du dialogue national, le Président Macky Sall s’est fait clair sur certaines questions surtout celle portant sur les actes de vandalisme que l’on commet ces derniers jours sur les biens d’autres.

  • Le Président Macky Sall a clôturé le premier jour d’ouverture du dialogue national.
  • Il a fait savoir qu’il ne croisera pas les bras face aux velléités de déstabilisation du Sénégal.
  • Le Chef de l’Etat a dénoncé les actes de vandalisme et les menaces contre des juges, martelant que cela ne peut être acceptable.

Ainsi, devant un parterre de personnalités venues répondre à son invitation, à l’image de Khalifa Ababacar Sall, Idrissa Seck, Cheikh Bamba Dièye, Cheikh Tidiane Gadio, les grands Serignes Dakar, des acteurs de société civile comme Moundiaye Cissé et des hommes de droits comme Babacar BA du Forum du Justiciable entre autres, le Président de faire de voix ferme que personne ne vienne le demander de croiser les bras face aux velléités de déstabilisation du Sénégal.

Pour la durée du dialogue, le Président Macky Sall a d’emblée fait savoir qu’il faut une durée bien raisonnable, soit prise pour la tenue de ce dialogue. « Je souhaite également que les délais du dialogue soient des délais raisonnables. Nous devons tout faire pour que ce dialogue soit tenu au courant de ce mois de juin, car l’essentiel, ce sont les résultats et les recommandations qui sortiront de ce dialogue », a indiqué le Chef de l’Etat qui a désigné Moustapha Niasse pour le représenter pour le reste des rencontres allant dans le sens de ce dialogue.

Ainsi, abordant la question portant sur ce qui pour ressortir de ce dialogue, le Président Macky Sall de renseigner qu’« Il y a des actes qui nécessiteront des lois et des règlements, ainsi, il faudra bien avoir le temps de pouvoir matérialiser tout cela. Il n’est pas dit aussi que nous serons d’accord sur tout ce qui sera dit ici, mais au moins sur l’essentiel qui sortira d’un consensus ou d’un compromis ».

Abordant l’actualité de ces derniers jours, le Président Macky Sall de dénoncer des actes allant dans le sens la « déstabilisation » de ce pays. Et pour ce, il est catégorique. « Il y a une situation nouvelle dans notre pays où certains acteurs ont choisi de détruire la République. C’est leur choix ! Face à un tel choix, mon devoir est de protéger la République, quoi que cela puisse coûter », a indiqué le Président Macky Sall.

Revenant sur les casses et incendies volontaires portés sur des maisons d’autres ces derniers jours, ce qui semble être une tendance, le Chef de l’Etat de faire savoir que cela ne peut être acceptable. « Nous ne pouvons pas accepter dans ce pays les menaces faites contre des juges au quotidien. Des juges qui sont appelés et qui sont menacés de mort. Leurs domiciles sont recherchés pour y mettre le feu. Des maisons sont sélectionnées pour y mettre le feu », a martelé le Président Macky Sall.

En outre, le Président dit être « sûr qu’après ce dialogue certains seront tentés d’aller chercher des maisons d’un ou tel autre pour y mettre le feu. Cela ne peut pas être acceptable dans une République et ça ne le sera pas, ça ne le sera pas », s’appesantit le Chef de l’Etat.

Parlant de l’image du Sénégal que des gens s’activent à ternir, le Président a dit toute son amertume contre « cette cabale menée contre son pays qui fait injustement l’objet de critiques à l’international. Nous suivons tous ce qui se passe. Des campagnes orchestrées contre la République, contre le président de la République. Contre le Président, ce n’est pas grave, je sais me défendre. Je sais me battre », a clarifié le Président Macky Sall.

Il ajoute : « Si nous voulons avancer, avançons aussi dans la vérité. Au moment où nous parlons, cet après-midi, un individu a été appréhendé. Il a tiré sur un jeune manifestant. C’est un civil. Ce n’était pas un policier, ni un gendarme. Ceux qui tirent et qui tuent, vous le savez bien que ce ne sont pas nos forces de défense et de sécurité. Ce sont les forces les plus républicaines connues et reconnues par l’Organisation des Nations Unies ».

Ainsi, Macky Sall s’est bien demandé, à cet effet, face aux critiques acerbes à l’endroit des FDS « quel est l’intérêt pour la gendarmerie et la police de tirer sur des manifestants ? » « Les enquêtes vont révéler des choses avec ceux qui ont été arrêtés avec des armes, reprenant les mêmes calibres et qui tirent pour qu’après qu’on dise il y a tant de morts, au Sénégal, c’est le chaos, etc. pour penser qu’on peut sur cette base amener l’État à démissionner devant sa responsabilité régalienne d’assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens », a prévenu Macky Sall avec fermeté.