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lundi, octobre 14, 2024

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Présidentielle 2024 : le plan pour faire libérer Bassirou Diomaye Faye

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Le Conseil constitutionnel a publié la liste des candidats retenus pour la présidentielle du 25 février prochain. Ils sont vingt prétendants à la succession de Macky Sall. Bassirou Diomaye Faye fait partie du lot. Mais le secrétaire général de Pastef a la particularité d’être en prison.

Depuis la publication de la liste des candidats «des informations concordantes font état d’une saisine des juridictions par une demande de liberté provisoire de l’enfant de Ndiaganiao», rapporte Bés Bi dans son édition de ce lundi. Le journal ajoute qu’«à travers cette requête, Mes Ciré Clédor Ly et Cie, qui conseillent aussi le maire de Ziguinchor (Ousmane Sonko), veulent viser la ‘rupture d’égalité’».    

Diomaye Faye risque d’être débouté, si l’on en croit Bés Bi, qui indique qu’il «pourrait se heurter à la jurisprudence Khalifa Sall». Le journal rembobine : «En effet en juillet 2017, la Cour suprême avait rejeté la demande de liberté provisoire de la tête de liste de Taxawu Sénégal aux Législatives. Mes Seydou Diagne et Cie (ses avocats) avaient estimé que leur client était ‘privé de son droit politique de solliciter les suffrages de ses concitoyens’ et de ‘son droit de vote’.»

La source de trancher : «C’est dire qu’une éventuelle demande de libération de Bassirou Diomaye Faye aura peu de chance d’aboutir.»

Conseil constitutionnel : Les «grosses» accusations de corruption et de collusion du Pds

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Depuis l’invalidation de la candidature de Karim Wade, la colère des libéraux ne s’estompe pas. Après la sortie de leur candidat hier tard dans la nuit, les députés du Parti démocratique sénégalais (Pds) aussi ont réagi vigoureusement ce dimanche.

Karim Wade ne participera pas à la future présidentielle. Son nom a été enlevé de la liste définitive de candidats par le conseil constitutionnel. Une décision «scandaleuse et inacceptable», selon les députés du Parti démocratique sénégalais (Pds).

Ces élus libéraux «exigent la mise en place immédiate d’une commission d’enquête parlementaire pour enquêter sur les conditions d’élimination des candidats à l’élection présidentielle du 25 février prochain et en particulier celle de Karim Wade».

Ils soulignent dans leur communiqué de presse, que cette commission d’enquête devra particulièrement enquêter «sur les conflits d’intérêts, les avantages et les soupçons de corruption et collusion de certains membres de notre conseil constitutionnel avec certains candidats».

Les députés du Pds estiment même, que «les juges Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye auraient dû se récuser en raison de leurs connexions douteuses et de leur conflit d’intérêts.»

Ils comptent déposer une plainte dans les prochains jours pour, disent-ils, «révéler toutes les infractions et atteintes à la démocratie, aux droits du candidat et à la constitution dans le cadre d’une enquête exhaustive».

— Karim Wade (@KarimWade_PR)

 

Croissance africaine: ces pays qui vont appuyer sur l’accélérateur 

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La croissance africaine devrait passer de 3,3% à 3,5% en 2024, selon un récent rapport de l’Onu. Mais certains pays feront un bond encore plus important qu’en 2023.

Parmi les meilleures dynamiques, on devrait retrouver:

🇲🇷 La Mauritanie, avec 6,7% de croissance, soit 2,5 points de plus que l’an passé;

🇸🇳 Le Sénégal, avec une croissance folle de 9,2%, soit 2,4 points de plus qu’en 2023;

🇸🇸 Le Soudan du Sud reprendra du poil de la bête avec 2,5% de croissance, soit 2,4 % de plus qu’en 2023;

🇰🇲 Les Comores, quant à elles, passeront de 2,2% à 3,6 % de croissance du PIB.

 

Présidentielle 2024:Les dates à retenir

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🚨Les dates à retenir :

 

*22 JANVIER 2024* : Désignation des plénipotentiaires auprès des autorités

25 JANVIER 2024 AU PLUS TARD **: publication et notification (aux candidats) de la carte électorale nationale et celle des représentations diplomatiques ou consulaires (cf. Lll, L66, L333, R44 et R109).

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**25 JANVIER 2024 **: Dépôt liste des représentants dans les BV (cf. L68).

25 JANVIER 2024* : la liste des représentants dans les BV est notifiée au CRDC

 

**30 JANVIER 2024*: le Plénipotentiaire notifie à l’autorité administrative et à la CEDA la liste de ses représentants dans les BV

 

**03 FÉVRIER 2024 **: début de la campagne officielle électorale

 

04 FÉVRIER 2024 : Publication des listes des membres des BV

 

*09 FÉVRIER 2024 : les bulletins de vote sont acheminés impérativement à l’Extérieur par valise diplomatique

 

09 FÉVRIER 2024: la décision portant heure d’ouverture et de fermeture du scrutin est affichée à la Représentation diplomatique ou consulaire

 

*09 FÉVRIER 2024 : pour les missions d’observation électorale, dernier délai des dépôts de dossier d’accréditation

 

09 FÉVRIER 2024 : les autorités administratives (préfets, sous-préfets et CROC) notifient aux plénipotentiaires la liste des représentants dans les BV

 

*09 FÉVRIER 2024: les autorités administratives notifient aux la liste des représentants dans les BV

 

09 FÉVRIER 2024 : remise aux candidats du fichier électoral

 

**09 FÉVRIER 2024 **: les noms des représentants dans les commissions des votes sont notifiés au Ministre chargé des élections, au

président de la Commission nationale et au Président du CC (cf. LO142).

 

14 FÉVRIER 2024 : le Plénipotentiaire notifie à l’autorité administrative la liste de ses mandataires par centre

 

*24 FÉVRIER 2024*: fin des opérations de distribution de cartes d’électeur par les CA

 

*24 FÉVRIER 2024* : mise en place du matériel et des documents électoraux

 

Pour une élection présidentielle libre et transparente 🇸🇳

Mairie de Dakar : Après le centre de dialyse, Barthélémy Dias engage un nouveau projet

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Après le centre de dialyse qui va recevoir près de 240 patients, un autre joyau pourrait aussi voir le jour sous le magistère du maire Barthélémy Dias. La ville de Dakar s’investit dans la santé et le bien-être des populations. Il s’agit d’un hôpital dans la localité des Parcelles Assainies, dont la pose de la première pierre est déjà effective.

Une manière pour le maire de Dakar, de rendre plus efficientes les aides réservés à une prise en charge sanitaire dans son budget mais aussi, de soulager les populations de la banlieue dakaroise dans l’offre de soins. Le maire Barthélémy Toye Dias l’a fait savoir mardi dernier, lors de la signature de partenariat entre la Ville de Dakar et le ministère de la Santé et de l’Action sociale, dans la gestion du centre de dialyse de la ville de Dakar. « L’ambition est d’offrir un plateau technique adéquat aux populations dakaroises. Nous avons procédé à la pause de la première pierre pour la construction de l’hôpital des Parcelles Assainies.

Il s’agissait d’une promesse de campagne. On souhaiterait que le ministère puisse nous accompagner, pour la réalisation de ce projet qui pourrait décongestionner la ville de Dakar et soulager les populations de la banlieue, particulièrement les Parcelles Assainies, Grand-Yoff », a confié le Maire.

Le maire a renseigné que lui et ses collaborateurs seraient beaucoup plus heureux de réfléchir avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale, sur ce qu’ils peuvent faire, pour permettre aux populations dakaroises par rapport à ces infrastructures, dont le centre de dialyse déjà prêt et le futur hôpital des Parcelles Assainies, de pouvoir bénéficier de manière inclusive et surtout, objective de soins.

Du côté du ministère de la Santé et de l’Action sociale, Dr. Marie Khemesse Ngom Ndiaye a manifesté sa volonté et sa disponibilité à travailler avec la Mairie, dans le domaine de la santé, afin de renforcer l’offre de soins.

Rewmi

 

Le Burkina Faso dit avoir déjoué une « énième tentative de déstabilisation »

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Le gouvernement du Burkina Faso, issu d’un coup d’Etat militaire en septembre 2022, a affirmé jeudi 18 janvier avoir déjoué une « énième tentative de déstabilisation » et lancé une traque contre un réseau impliquant des militaires et des civils.

« Le gouvernement informe le peuple burkinabé que, depuis le 13 janvier, les services de sécurité sont à pied d’œuvre pour démanteler un réseau de déstabilisation du Burkina Faso », indique un communiqué du ministre de la communication, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo. « Ce réseau, qui implique aussi bien des militaires en fonction que des militaires radiés, des civils et des activistes, entre autres, planifiait de déstabiliser les institutions du Burkina Faso et de mettre un coup d’arrêt brutal au processus de refondation pour la dignité, l’intégrité, la liberté et la souveraineté de notre pays », ajoute-t-il.

Le ministre affirme que « des interpellations ont donc été faites, des entretiens menés et des analyses techniques sont en cours ». « Les informations recueillies montrent à suffisance la volonté de subversion et de déstabilisation », selon lui. « La date du 14 janvier était projetée par les porteurs de ce projet funeste pour le passage à l’action, en vue d’exécuter leur plan diabolique, qui immanquablement aurait fait entrer le Burkina Faso à reculons dans l’histoire », a poursuivi M. Ouédraogo.
Des militaires et des civils interpellés
Selon lui, « la vigilance des services de renseignement et la promptitude des forces patriotiques de défense et de sécurité ont permis d’interrompre la mise en œuvre de cette énième tentative de déstabilisation ». « Pour réaliser leurs basses besognes, des individus ont été contactés dans différentes casernes militaires sur l’ensemble du pays, afin d’organiser une sorte de mutinerie », a-t-il expliqué, précisant que « des organisations de la société civile acquises à leur cause étaient appelées à prendre le relais ».
Le communiqué affirme que « des financements » étaient également « en cours de déblocage et de transfert depuis l’extérieur ». « En définitive, il s’agissait de créer des troubles favorables à l’intervention d’un commando venu de l’extérieur, en mesure d’attenter à la vie de plusieurs autorités de la transition et de semer le chaos », selon M. Ouédraogo.

Plusieurs enlèvements ont eu lieu ces derniers jours au Burkina Faso, dont celui de l’ancien chef d’état-major de la gendarmerie, le lieutenant-colonel Evrard Somda, enlevé à son domicile de Ouagadougou par des « individus armés », selon ses proches. Plusieurs autres militaires ainsi que des civils ont également été interpellés, a-t-on appris de source officielle. Fin septembre, le gouvernement avait déjà affirmé avoir déjoué « une tentative de coup d’Etat ».

Le Burkina Faso, dirigé par des militaires issus de deux coups d’Etat en 2022, est confronté depuis 2015 à des violences djihadistes attribuées à des mouvements armés affiliés à Al-Qaida et au groupe Etat islamique. Ces violences ont fait près de 20 000 morts et plus de deux millions de déplacés internes.

Saer Fall a été auditionné par la justice américaine suite à l’attaque du bus de Yarakh.

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Du nouveau dans l’affaire Saer Fall, suspecté d’avoir participé à l’incendie du bus de Yarakh, qui avait fait deux morts, en août dernier. Le jeune Pastefien, qui a été présenté à un juge de l’immigration aux États Unis, sera édifié sur son sort le 12 avril prochain.

Source A, qui donne l’information, précise que la justice américaine va statuer sur l’opportunité d’accorder ou non le droit d’asile politique au fugitif de nationalité mauritano-sénégalaise.

Selon le journal, l’avocat de Saer Fall fera tout pour éviter l’expulsion à son client contre qui le Doyen des juges, Maham Diallo, a émis un mandat d’arrêt international. L’issue de l’audience du 12 avril sera ainsi déterminante.

Pour rappel, après l’incendie du bus à Yarakh, qualifié d’attaque terroriste, le magistrat instructeur, qui affirme que les faits ont eu lieu suite à l’appel à manifester lancé par l’opposant Ousmane Sonko, a invoqué les traités bilatéraux et conventions multilatérales pour obtenir l’extradition du fugitif.

Dans cette affaire, sur les huit personnes identifiées, quatre ont été arrêtées. Les autres sont en fuite, rappelle la source.

Saer Fall et Cie sont poursuivis pour plusieurs infractions telles qu’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, dégradation et dommages en relation avec une entreprise terroriste, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique, et à occasionner des troubles politiques graves, provocation à un attroupement armé, détention d’armes sans autorisation administrative.

Ils risquent la réclusion à perpétuité selon les articles 406 à 409, 80 et 95, et 271-1 visés.

Dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Fallou Sène, plusieurs étudiants sont convoqués pour une audition. Le dossier est en train d’être clôturé.

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Le dossier concernant la mort de l’étudiant Fallou Sène, tué par balle il y a six ans, est toujours en suspens. D’après les informations de Les Echos, l’affaire est en train de se conclure. Certains étudiants seront entendus par le Doyen des juges d’instruction avant que l’enquête ne soit clôturée. Les individus susmentionnés ont déjà été convoqués.
La loi ne fixe pas un délai au juge d’instruction pour clôturer un dossier de meurtre, mais il faut dire que six ans c’est suffisant pour terminer un dossier d’information judiciaire. C’est le temps qu’a pourtant fait le dossier de l’étudiant Fallou Sène et ce n’est toujours pas bouclé. A la décharge d’Oumar Maham Diallo, il y a eu le décès de son prédécesseur, Samba Sall, et il lui a fallu donc un peu de temps pour s’imprégner des 500 affaires qui sont sur sa table.

Le journal souligne que le Doyen des juges d’instruction a rouvert le dossier. Il va procéder à l’audition de certains étudiants. En fait, les étudiants de l’Université Gaston Berger ont tenu à ce que certains de leurs camarades soient auditionnés, puisqu’ils sont également témoins des faits.

Dans la procédure, un seul étudiant a été retenu, comme témoin. Seulement, la coordination des étudiants de l’Ugb avait fait une sortie pour dire qu’elle ne connaissait pas cet étudiant.

Toujours est-il que le magistrat instructeur a accédé à leur demande et va auditionner les autres. Déjà certains étudiants ont été convoqués. L’audition de ces étudiants sera probablement le dernier acte d’instruction, puisque dans cette affaire, tout le monde a été entendu. C’est dire que le dossier est, enfin, en phase terminale et que bientôt, l’affaire sera élucidée. 

Pour rappel, en 2018, lors d’affrontements entre étudiants et forces de l’ordre, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, Fallou Sène, un étudiant en 2ème année de droit, a été tué par balle. Ces camarades ont indexé les éléments de la gendarmerie. L’affaire avait soulevé le tollé. Au final, une procédure d’instruction a été ouverte par le Parquet et le dossier confié au Doyen des juges. Ce dernier a alors procédé à l’inculpation d’un gendarme qui sera placé sous contrôle judiciaire. Six après, l’affaire est enfin en phase de clôture.

La réaction du frère de Coline Fay : « Nous avons une pensée pour les mille familles sénégalaises qui vivent la même chose »

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Coline Fay, Française incarcérée au Sénégal depuis sa participation mi-novembre à une manifestation de soutien à Ousmane Sonko a été libérée et expulsée vers la France, et est arrivée vendredi à Paris selon ses avocats et sa famille.

« Coline Fay est expulsée, c’est le juge lui-même » qui m’en a informé, a déclaré à ll’un de ses avocats, Me Cheikh Koureyssi Ba dans la nuit de jeudi à vendredi.

L’information a été confirmée par un autre de ses conseils en France, Juan Branco et par son frère Antonin Fay, qui a indiqué que la jeune femme était arrivée à Paris vendredi matin.

« Elle est bien arrivée, c’est avec grand soulagement qu’on l’a retrouvée ! », a déclaré M. Fay à l’AFP.

« Nous avons une grosse pensée pour les mille familles sénégalaises qui vivent la même chose. Et on espère que les détenus politiques seront libérés rapidement », a-t-il ajouté.

La jeune femme de 26 ans était accusée entre autres de « complot contre l’autorité de l’Etat » et « actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique », et avait été de nouveau inculpée la semaine dernière pour « tentative de sortie irrégulière d’une correspondance ».

« C’étaient des poursuites circonstancielles à la limite du ridicule », a estimé Me Ba. « C’est un ouf de soulagement », a-t-il réagi à l’annonce de sa libération, précisant qu’elle est « sous la responsabilité des forces de l’ordre » jusqu’à son arrivée en France, mais sans la présence de ses avocats.

Mme Fay, qui s’était engagée avec le mouvement écologiste Extinction Rebellion lors de ses études en Espagne, était venue travailler au Sénégal en tant que kinésithérapeute dans un centre pour femmes enceintes.

« Elle a le moral. C’est une fille résiliente », a ajouté Me Ba.

Depuis son incarcération, plusieurs rassemblements de dizaines de personnes à l’initiative des proches de Mme Fay se sont tenus à Grenoble (France), d’où elle est originaire.

L’ancienne ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna avait été interpellée mi-décembre à ce sujet dans un courrier adressé par l’avocat de la jeune femme, Juan Branco, et deux députés de gauche, l’écologiste Aurélien Taché et l’Insoumise Sophia Chikirou.

Le gouvernement français avait pressé les autorités sénégalaises de diligenter le cas de la jeune fille, selon Me Ba.

Khalifa Sall : « reporter les élections serait une menace contre la démocratie »

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Le débat sur un report de la Présidentielle du 25 février 2024 s’est installé. Certains candidats recalés attaquent le processus électoral et souhaitent que l’élection soit reportée afin de permettre aux acteurs de dialoguer pour trouver un consensus. Khalifa Sall est foncièrement contre.

Khalifa Ababacar Sall ne veut pas en entendre parler. Le président de la coalition «Khalifa Président» croit qu’il n’y a pas du nouveau dans le processus électoral et qu’on ne doit pas attendre à un mois de l’élection présidentielle pour parler de révision ou de report.

«On est à J-45 de l’élection présidentielle et on ne doit même pas penser à un report de cette élection. C’est nous qui avions donné notre accord sur le Code électoral et c’est anormal qu’on parle maintenant de report. C’est trop tard. On ne doit pas accepter qu’on repousse l’élection», a martelé Khalifa Sall lors de sa visite chez Hélène Tine, à Thies, pour une formalisation de leur alliance.

D’après lui, reporter l’élection serait une menace contre la démocratie, rapporte L’Observateur.. «Si cela passe, tous les futurs présidents de la République pourront faire pareil. Ils attendront à quelques jours de l’élection présidentielle pour créer des problèmes et exiger un report. C’est pour éviter ce genre de situations que j’avais décidé de participer au Dialogue politique.

Quand je suis parti prendre part à cette rencontre pour discuter du Code électoral, tout le monde disait que j’avais trahi l’opposition. Mais l’histoire m’a donné raison. Ces questions devaient être réglées au sein du Dialogue politique. Il faut comprendre qu’on ne peut rien régler sans le dialogue.