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lundi, octobre 14, 2024

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Cheikh Tidiane Dieye assume son alliance avec Pastef

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Nullement ébranlé par le recours intenté contre lui par le candidat de BBY, le président du mouvement « Avenir Sénégal Bi ñu Bëgg » a porté la réplique ce jeudi à Amadou Ba. Au cours d’une conférence de presse, Cheikh Tidiane Dièye a tiré à boulets rouges sur l’actuel Premier ministre et candidat de la majorité. Investi par la coalition « Président Binu Bëgg » regroupant des personnalités indépendantes, Cheikh Tidiane Dièye a cherché à démonter les arguments de Benno Bokk Yaakar qui a fait une réclamation concernant sa candidature. Les avocats de Amadou Bâ ont soulevé « l’appartenance à une entité politique dissoute, la production de fausses pièces devant le Conseil constitutionnel, une coalition irrégulièrement constituée et la non appartenance au parti ou à la coalition qui a investi Cheikh Tidiane Dièye. »

Selon ce dernier, son alliance avec le parti Pastef est bien assumée. D’ailleurs, le candidat semble toujours croire à la participation de Ousmane Sonko à cette élection présidentielle. « Avenir Sénégal Binu Bëgg » n’est pas un parti, d’après le candidat Cheikh Tidiane Dièye, qui fait savoir également qu’il n’est point partisan du parti dissous. « Je suis un indépendant. Le 16 décembre passé, des membres totalement indépendants appartenant au mouvement Avenir Sénégal Binu Bëgg ont tenu une assemblée générale. Ils ont décidé, à travers cette entité dénommée « Président Binu Bëgg » de m’investir comme candidat. Le Conseil Constitutionnel a accepté ma candidature mais, paradoxalement, Amadou Bâ et sa coalition ont décidé de faire des contestations qui n’ont aucun sens… » souligne Cheikh Tidiane Dièye. Il a martelé que seul le peuple souverain a le droit de choisir son dirigeant, rapporte LeTémoin.

Coalition présidentielle : IDY à la rencontre de candidats pour fortifier et consolider sa coalition

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Le président du parti Reew Mi, par ailleurs candidat de la coalition Idy 2024, qui travaille dans un silence éloquent, loin des projecteurs, est en train de dérouler une stratégie conquérante. En effet, Idy travaille à renforcer sa coalition

Depuis hier, le président Idrissa Seck multiplie les audiences, rencontres et visites chez certains candidats recalés lors du parrainage.

A cet effet, Idy qui a recueilli les avis des uns et des autres, écouté tout le monde, a élaboré un ambitieux programme qu’il compte soumettre aux Sénégalais d’ici et de la Diaspora. Il s’agit d’un projet de société, d’une vision d’un Sénégal prospère où chacun pourra y vivre heureux et épanoui, sur la décennie 2024-2034.

Présidentielle 2024: Khalifa Sall choisit Barthelemy Dias comme directeur de campagne

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Le candidat de la coalition Taxawu Senegaal, Khalifa Ababacar Sall est en train de mettre en place son équipe de campagne. Khalifa Sall a choisi le maire de Dakar, Barthelemy Dias, comme directeur de campagne.

Khalifa Ababacar Sall, candidat de la coalition, a nommé Barthélemy Dias, le Maire de Dakar, en tant que directeur de campagne, rapporte un communiqué.

Selon la même source, cette décision souligne l’importance stratégique accordée à l’expérience et au leadership de Barthélemy Dias dans la conduite de cette campagne présidentielle.

La «Maladie X» : Toutes les informations sur cette éventuelle pandémie qui préoccupe les chefs d’État à travers le monde

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Lors d’une table ronde organisée mercredi 17 janvier au Forum économique de Davos, divers acteurs internationaux de la Santé – dont le patron de l’OMS – ont évoqué une nouvelle maladie baptisée « Maladie X ». Une annonce qui a fait l’effet d’une bombe sur les réseaux sociaux, certains complotistes y voyant l’annonce d’une nouvelle pandémie orchestrée par les organisations internationales. Qu’est-ce que cette « maladie X » ? Existe-t-elle vraiment ? On démêle le vrai du faux.

C’est une table ronde qui a fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux. D’aucuns diraient même beaucoup trop. Mercredi 17 janvier 2024, au cours du Forum économique mondial de Davos, de nombreux acteurs éminents du monde de la Santé – dont le patron de l’OMS – se sont réunis lors d’une table ronde intitulée « Preparing for a ‘Disease X’». Comprendre « se préparer à la ‘Maladie X’».

Il n’en fallait pas plus pour agiter les réseaux sociaux, certains internautes – de France et d’ailleurs – voyant dans ce programme l’annonce d’une pandémie à venir orchestrée par l’OMS et les organisations internationales. Qu’est-ce que cette « Maladie X » ? Et pourquoi a-t-elle fait l’objet d’une attention toute particulière au forum de Davos ? On vous explique tout.

Une hypothèse de travail
Disons-le d’emblée : la « maladie X » n’existe pas. Et c’est précisément pour cela qu’elle s’appelle « X ». En réalité, la « maladie X » est une hypothèse de travail, une épidémie fictive, sur laquelle planche l’OMS depuis 2018.

« Le X dans ‘maladie X’ représente tout ce que nous ignorons. Il s’agit d’une nouvelle maladie dont nous saurons peu de choses lorsqu’elle apparaîtra : elle pourra ou non être mortelle, très contagieuse et constituer une menace à notre mode de vie », peut-on ainsi lire sur le site des Nations Unies.

Concrètement, l’idée derrière ce concept de « maladie X » est, pour les organisations internationales, de débattre et parler des « efforts qui seraient nécessaires pour préparer les systèmes de santé aux multiples challenges qui les attendent » en cas d’apparition soudaine d’une nouvelle maladie.

Quelle réponse immédiate apporter si un nouveau virus venait à se répandre ? Comment protéger les populations fragiles ? Quel délai pour la fabrication d’un vaccin ? Forte de son expérience face au Covid-19, au cours de laquelle l’OMS a été vivement critiquée pour son manque d’anticipation, « l’institution propose ainsi un scénario à suivre afin que l’ensemble des institutions soient prêtes face à toutes les formes de menaces », détaille TF1 .

Un nouveau vaccin « en moins de 100 jours »
D’un point de vue scientifique, l’exercice a notamment pour but de repenser l’appréhension d’une nouvelle pandémie, « depuis l’identification d’un nouvel agent pathogène jusqu’au prototypage rapide d’un vaccin candidat, en passant par les tests et l’autorisation de ce vaccin pour les personnes à risque », explique l’Onu.

L’objectif à terme serait ainsi de préparer le monde à répondre à la prochaine « maladie X » par la mise au point d’un nouveau vaccin « en moins de 100 jours ». Cela représente un peu moins de trois mois « pour désamorcer la menace d’un agent pathogène susceptible de provoquer une pandémie ».

D’un point de vue économique, l’exercice a également pour but d’anticiper les « investissements importants et audacieux » qui seront nécessaires pour renforcer la défense des pays, « même lorsque ces investissements ne sont pas forcément rentables ».

« Le monde doit être mieux préparé »

Un tel exercice débattu au forum de Davos peut a priori surprendre. Mais, en réalité, l’OMS redoute depuis quelques années l’émergence future d’une nouvelle maladie. Dans une présentation réalisée en 2022 et repérée par La Dépêche , l’Organisation Mondiale de la Santé estimait ainsi que « 631 000 à 827 000 virus étaient aujourd’hui susceptibles de pouvoir contaminer l’homme ». Parmi ces virus, pourrait se trouvait la dite « maladie X ».

« Le risque d’émergence future est alimenté par de multiples forces, notamment le changement climatique, la modification des écosystèmes et l’urbanisation croissante. La prochaine maladie X pourrait apparaître à tout moment, et le monde doit être mieux préparé », détaillait un an plus tôt, en 2021, l’OMS dans le magazine Science .

« 20 fois plus de décès que le Covid-19 »
Alors pour mieux se préparer et éviter un nouvel effondrement des infrastructures nationales de santé, les acteurs internationaux réunis à Davos ont planché sur l’hypothèse suivante : celle d’une maladie zoonotique (qui peut se transmettre de l’animal à l’homme) très contagieuse qui pourrait provoquer « 20 fois plus de décès que le Covid-19 ».

Depuis 2018, la « maladie X » figure d’ailleurs parmi la liste des maladies et agents pathogènes prioritaires pour la recherche et le développement de l’OMS. Pour rappel, cette liste contient des pathologies telles que la fièvre de la Vallée du Rift, le virus Ebola, Zika, MERS-CoV, la fièvre de Crimée-Congo ou encore le Covid-19.

Dans les colonnes de Cnews , le Docteur Gérald Kierzek a tenu à souligner qu’anticiper les choses « ne veut pas dire que cela va arriver ». L’idée de cette réunion à Davos n’est donc pas d’affoler, « mais d’être mieux préparé à affronter toute menace sanitaire ».

Coopération bilatérale : Le président de la transition du Gabon reçu par Macky Sall

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Le président de la transition du Gabon a été reçu au palais présidentiel par le chef de l’Etat Macky Sall. Le renforcement des liens de coopération entre Dakar et Libreville était au menu de cette visite d’amitié et de travail entre l’ancien attaché de défense à l’ambassade du Gabon à Dakar, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, et le président Macky Sall.
Plusieurs sujets d’intérêt commun, en particulier la question des visas et des cartes de séjour ainsi que l’enseignement supérieur, qui occupe une place importante dans cette coopération bilatérale, ont été discutés.

Coline Fay libérée et expulsée vers la France (Avocat)

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Selon Me Khoureïchy Ba, Coline Fay a été libérée et expulsée du Sénégal. Le tout a été fait sans que ses avocats ne soient informés, dénonce Me Ba. 
« Coline Fay libérée à la cloche de bois et expulsée du territoire national par arrêté du Ministre de l’Intérieur, ce à l’insu de ses avocats », a écrit Me Khoureïchy Ba.

Pour rappel, Coline Fay avait été arrêtée le vendredi 17 novembre, avec d’autres militants de Pastef, devant la Cour suprême lors du recours sur la radiation des listes électorales d’Ousmane Sonko.

Présidentielle et processus électoral / Abdou Karim Fofana: « Il faut renforcer le dispositif du système de parrainage, pour préserver la qualité de notre démocratie »

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Invité sur le plateau de « Soir d’infos » sur la Tfm, le Ministre Porte-parole du Gouvernement, a d’emblée précisé que le Sénégal est une grande démocratie et l’étape des parrainages dans le processus électoral, en est une parfaite illustration, avec la publication de la liste provisoire des candidats retenus par le Conseil constitutionnel.

« Beaucoup parmi les plus sceptiques de la pléthore de candidats, ont franchi le cap des parrainages », a-t-il affirmé. « Le nombre de candidats ayant passé l’étape des parrainages montrent que les critiques relatives au processus constituent un faux débat.»

Abdou Karim Fofana estime qu’il faut un renforcement du système pour les parrainages. « Le parrainage, c’est pour filtrer et les candidats qui ne peuvent pas obtenir 1% du suffrage, ne devraient pas participer au scrutin », souligne t-il.« Le parrainage a été certes assoupli, signe d’une vitalité démocratique au Sénégal, mais nous devons renforcer et verrouiller davantage le système en vue de préserver la qualité de notre démocratie », a t-il ajouté.

« Bby assume entièrement les recours qu’elle a introduits au Conseil constitutionnel »

La Coalition Benno Bokk Yakaar a saisi le Conseil constitutionnel pour faire invalider les candidatures de Diomaye Faye et de Cheikh Tidiane Dièye. Le Porte-parole du Gouvernement explique cette décisionn par le fait que ces deux candidats soient issus d’un parti politique dissous par la loi.

« Nous voulons des élections inclusives, transparentes et ouvertes, mais pour des républicains, a-t-il martelé. Nous n’accepterons pas des candidats qui ne remplissent pas tous les critères requis par le code électoral et de surcroît, des fossoyeurs de la République, connus pour leur défiance à l’égard de nos institutions. Nous n’hésiterons jamais à saisir toutes les voies de recours que nous offre la justice, pour les attaquer », a-t-il ajouté.

S’agissant des autres recours, Abdou Karim Fofana estime qu’il revient également au Conseil Constitutionnel, d’apprécier et de dire si la loi est respectée ou pas.

Pourquoi Macky Sall n’a-t-il pas tenu son conseil des ministres hier, mercredi?

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Le Conseil des ministres, qui se tient habituellement chaque semaine, ne s’est pas réuni ce mercredi. Les raisons de cette annulation n’ont pas été officiellement communiquées. Cependant, des informations rapportées par le journal Le Témoin indiquent des activités prévues pour le président de la République, Macky Sall. Selon ces informations, le président sera à Saint-Louis vendredi matin pour l’inauguration du nouveau siège de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).

Après cette cérémonie, le président Sall a prévu de se rendre en République démocratique du Congo. Son déplacement est lié à la prestation de serment du président Félix Tshisekedi, qui a été réélu pour un second mandat. La cérémonie d’investiture est prévue le 20 janvier au stade des Martyrs, à Kinshasa.

Outre le président Macky Sall, d’autres chefs d’État sont attendus à cette cérémonie d’investiture. Parmi eux, Cyril Ramaphosa, Mohamed Idriss Déby Itno, et Teodoro Obiang Nguema Mbasogo ont été mentionnés. Le retour de Macky Sall à Dakar est programmé pour le samedi suivant.

PASTEF apporte son soutien inconditionnel à la candidature de Bassirou Diomaye FAYE pour les prochaines élections présidentielles de 2024.

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La scène politique sénégalaise continue d’être animée par les déclarations tranchantes des membres du parti PASTEF. Dans une récente prise de parole, le chargé de communication a exprimé avec conviction la détermination du parti à maintenir la candidature de Bassirou Diomaye FAYE à l’élection présidentielle de 2024, en dépit des stratégies qu’il juge malhonnêtes de la part de certains adversaires politiques.

El Malick NDIAYE, fidèle au discours du parti, accuse les opposants de recourir à la fourberie plutôt qu’à la compétition loyale, soulignant qu’aucune des manœuvres ne saura entamer la résolution du PASTEF à voir la candidature de leur représentant validée et sa présence garantie dans la course à la présidence.

Dans un élan de soutien sans faille, un autre responsable du PASTEF a exprimé une confiance absolue en la légitimité de la candidature d’Ousmane SONKO, affirmant que tant que la justice sera rendue équitablement, son droit à concourir restera incontestable.

Candidature de Sonko: « Je demeure convaincu que le Conseil constitutionnel se conformera à la loi », (Me Touré)

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À deux jours de la publication de la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février prochain, Me Ngagne Demba Touré demeure convaincu que « le Conseil constitutionnel se conformera à la loi, à sa propre jurisprudence et aux principes directeurs d’un jeu électoral loyal et règlementé ».

En décidant de ne fonder l’irrecevabilité de la candidature de Ousmane SONKO que sur l’absence de l’attestation du dépôt de la caution à la CDC, le Conseil constitutionnel s’est auto-cantonné sur ce point. Ainsi, en vertu du principe de l’immutabilité du litige, la décision sur la réclamation introduite par Maître Ciré Cledor LY ne statuera que sur l’imputabilité de la pièce manquante à l’administration ou au candidat. Et sur ce, il est constant que la preuve du versement du montant de 30 millions fixé par l’arrêté du Ministre de l’intérieur a été apportée par la quittance, les documents bancaires et les procès-verbaux de constant d’huissier », explique Me Ngagne Demba Touré.

Par conséquent, selon Me Touré, il devient « incontestable que le refus de délivrance de l’attestation par le Directeur général de la CDC est illégal, arbitraire et infondé ».

« En statuant, Conseil ne pourra pas revenir sur les points tels que la radiation de Ousmane SONKO des listes électorales, sa réinscription ou non par la DAF, l’état de contumace ou encore la conséquence de la décision de la Cour suprême sur le dossier du PRODAC », déclare Me Ngagne Demba Touré.

« Le fond du contentieux est simple : un agent de l’administration fut-il chef de service, directeur ou directeur général peut-il être au-dessus de la loi et de la justice ? », s’interroge-t-il.

D’après lui, si le droit et le bon sens sont dits, Ousmane SONKO sera candidat à l’élection présidentielle prochaine et sera élu 5ème Président de la République du Sénégal.