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lundi, octobre 7, 2024

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Me Doudou Ndoye :  » Cas Sonko, ce que Macky Sall peut faire pour une sortie de crise »

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Maître Doudou Ndoye a élargi la palette de solutions qui s’offre au président Macky Sall pour régler le cas Ousmane Sonko.

Selon le juriste, le Chef de l’Etat peut saisir l’Assemblée nationale en vue “de supprimer tout simplement le délit de corruption de la jeunesse”. Un délit que l’avocat considère d’ailleurs « obsolète » car datant de la période coloniale.

Face à Maïmouna Ndour Faye, l’avocat, ancien ministre de la Justice (1983-1986) affirme que le président a aussi la possibilité de gracier Ousmane Sonko même si la procédure n’est pas encore terminée. L’avocat a rappelé l’exemple de Amadou Woury Diallo, un trafiquant de médicaments, jugé et condamné à 5 ans, gracié par Macky Sall alors qu’il avait interjeté appel.

Rappelons que Ousmane Sonko, dans l’affaire Sweet Beauté, a été condamné à deux ans de prison ferme. Le leader de Pastef n’a toujours pas interjeté appel alors que la période de 15 jours impartie va bientôt prendre fin.

Communiquée: Monsieur Abdoulaye Daouda DIALLO, Président du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE)

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Monsieur Abdoulaye Daouda DIALLO, Président du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE)
Mesdames et Messieurs les membres du bureau,
Mesdames et Messieurs les Conseillers,
Madame la Secrétaire Générale,
L’ensemble du personnel, ont le profond regret de vous faire part du rappel à Dieu de l’Honorable Sidya NDIAYE , Conseiller du CESE, Membre de la Commission de la Santé et des Affaires Sociales.

Le décès est survenu le mercredi 14 Juin 2023 à Dakar. La levée du corps est prévue à 10h00 à l’Hopital principal suivie de l’enterrement au Cimetière de Yoff.

Le Président du Conseil Economique, Social et Environnemental et l’ensemble de ses collaborateurs présentent leurs sincères condoléances à sa famille et à ses proches, à Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, à tous les Conseillers, à la Secrétaire Générale et tout le personnel du CESE, ainsi qu’au peuple sénégalais.

Qu’Allah (SWT) l’Accueille en Son Paradis, amen.

Ndigël du Khalif à Touba : Mini Car Mou Serigne Saliou a pris une importante décision

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La décision de Serigne Mountaha Mbacké, d’interdire les activités politiques à Touba, commence à produire ses effets chez les acteurs. En effet, le président du Mouvement Citoyen « Setal xol yi, Setal jikko yi, Setal rew mi », en l’occurrence Mini Car Mou Serigne Saliou, a pris acte de la décision du khalif et décide, désormais , de cesser toute activité dans la ville sainte. Très connu pour ses tournées dans les quartiers périphériques de Touba, pour élargir les bases de Benno Bokk Yakaar, le souteneur du président Macky Sall a fait savoir à tous ses militants et sympathisants qu’il ne compte plus poser un acte politique dans la cité.

J’ai décidé, avec l’ensemble du mouvement que je dirige, de se conformer strictement à la décision du Khalif Général des mourides. Que tout le monde le sache, je ne permettrai à aucune personne de mener , ne serait-ce qu’une réunion politique, au nom de MC3S, dans la ville de Touba. Si nous voulons aider le président Macky Sall, la première chose à faire, désormais, c’est de cesser toute activité politique à Touba. J’en appelle à la responsabilité de tous les politiques, pouvoir comme opposition, de respecter la décision du Khalif.

Mini Car Mou Serigne Saliou

Pour rappel , après les manifestations survenues à Touba liées au procès Adji Sarr- Ousmane Sonko, Le Khalif Général des mourides, Serigne Mountaha a pris une décision ferme, confiée aux baye-fall, d’interdire définitivement les activités politiques dans la cité de Bamba. Mieux, le patriarche de Darou Miname a demandé la délocalisation des bureaux de votes hors du titre foncier de Touba.

Touba : Le Khalife des Mourides n’interdit à aucun citoyen d’exercer son droit de vote

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Des insinuations ont été faites suite à la déclaration du Khalife général des Mourides concernant l’interdiction de la politique à Touba. Il n’a jamais été question d’interdire le droit de vote dans la ville Sainte, a précisé son secrétaire général et neveu. 

Atépa: « J’ai pu voir Sonko, il se porte bien… »

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Dans un entretien accordé à RFI, l’architecte Pierre Goudiaby Atépa affirme avoir rencontré Ousmane Sonko, confirmant ainsi une information de Jeune Afrique.

Le Président du Club des Investisseurs Sénégalais, donne par ailleurs des nouvelles du leader des Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF) et évoque son état d’esprit.

« Je vous le confirme, j’ai pu le voir chez lui, j’ai pu avoir une autorisation exceptionnelle pour aller le voir et nous nous sommes entretenus. Il se porte bien physiquement.Moralement, il est affecté par tout ce qui se passe dans le pays, par le fait qu’il ait beaucoup de ses partisans qui ont été arrêtés, beaucoup de jeunes qui ont été arrêtés. C’est une grosse préoccupation. Mais il est en bonne santé. »

M. Atépa a également fait des précisions sur l’épisode de sa tentative de médiation : « C’est une initiative personnelle. Monsieur Sonko ne m’a pas demandé d’aller voir le président pour lui dire.C’est un message que j’ai compris de l’entretien que nous avons eu, de paix, de concorde entre les Sénégalais. »

Pierre Goudiaby Atépa informe que jusqu’ici, Macky Sall a refusé de s’entretenir avec lui, et espère que le jour viendra.

Référé liberté : Ce que les avocats de Sonko demandent à la Cour Suprême

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Les avocats de Ousmane Sonko ont saisi la Cour suprême afin qu’elle ordonne la levée des barricades devant le domicile du leader de Pastef. Ils veulent aussi que l’ordinateur, les téléphones et autres effets de leur client lui soient restitués.

Les avocats de Ousmane Sonko ont saisi le premier président de la Cour suprême. Dans un «référé liberté » déposé le 9 juin dernier, ils demandent à l’institution d’ordonner «en urgence», l’enlèvement des barricades érigées autour du domicile de leur client, mais aussi le retrait des forces de l’ordre.

Les avocats de Ousmane Sonko ont saisi la Cour suprême afin qu’elle ordonne la levée des barricades devant le domicile du leader de Pastef. Ils veulent aussi que l’ordinateur, les téléphones et autres effets de leur client lui soient restitués.

Les avocats de Ousmane Sonko ont saisi le premier président de la Cour suprême. Dans un «référé liberté » déposé le 9 juin dernier, ils demandent à l’institution d’ordonner «en urgence», l’enlèvement des barricades érigées autour du domicile de leur client, mais aussi le retrait des forces de l’ordre.

Dans la même requête, rapporte Libération, les avocats du leader de Pastef souhaitent de la Cour suprême qu’elle ordonne la restitution des effets saisis sur Ousmane Sonko au moment de son interception par une équipe mixte du Gign et de la Bip. Il s’agit notamment, d’aprés eux, du véhicule de marque Toyota, de ses téléphones, d’un révolver, d’un permis de port d’arme, d’un Mac Book pro et de la somme de 2 millions de Fcfa.

Arrestations suite aux manifestations : L’annonce du procureur de la République

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Le procureur de la République vient de faire un communiqué de presse pour s’exprimer sur les arrestations dans les rangs des manifestants. Il a fait fait le point et annoncé l’ouverture d’une information judiciaire.

« A la suite du verdict rendu le 1º juin par la chambre criminelle du tribunal de grande instance hors classe de Dakar dans la procédure opposant le sieur Ousmane Sonko à la demoiselle Adji Sarr, de violentes manifestations ont été constatées dans le ressort du parquet du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar.

Ces échauffourées sont à l’origine de pertes en vies humaines, de dégâts matériels portant notamment sur des édifices publics, des biens mobiliers et immobiliers.

L’intervention des forces de défense et de sécurité a toutefois permis l’interpellation de quatre-cent-dix410) personnes qui ont participé aux manifestations et sont également impliquées dans ces faits à caractère criminel.

Le ministère public a opté pour un règlement graduel en considération de la nature des faits reprochés à chaque individu déféré. En ce sens, les mineurs sont généralement mis en liberté provisoire avec une remise à leurs civilement responsables, ceux d’entre eux qui sont âgés de moins de treize (13) ans n’ont pas fait l’objet de poursuites; mais si le maintien en détention s’impose, ils sont poursuivis devant le tribunal pour enfants.

Ces échauffourées sont à l’origine de pertes en vies humaines, de dégâts matériels portant notamment sur des édifices publics, des biens mobiliers et immobiliers.

L’intervention des forces de défense et de sécurité a toutefois permis l’interpellation de quatre-cent-dix410) personnes qui ont participé aux manifestations et sont également impliquées dans ces faits à caractère criminel.

Le ministère public a opté pour un règlement graduel en considération de la nature des faits reprochés à chaque individu déféré. En ce sens, les mineurs sont généralement mis en liberté provisoire avec une remise à leurs civilement responsables, ceux d’entre eux qui sont âgés de moins de treize (13) ans n’ont pas fait l’objet de poursuites; mais si le maintien en détention s’impose, ils sont poursuivis devant le tribunal pour enfants.

Les manifestants dont l’implication est moindre, ont été poursuivis devant la juridiction des flagrants délits pour des faits de manifestations non autorisées sur la base de l’article 98 du code pénal.

Par contre, pour les autres manifestants, le ministère public a estimé utile, eu égard à la gravité des faits qui leur sont reprochés et à l’étendue des dégâts matériels causés, pour la plupart, par des incendies que ces derniers ont délibérément provoqués, d’opter pour la pleine rigueur de la loi dans les poursuites.

C’est dans cette optique qu’une information judiciaire a été requise contre ces individus pour des faits d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, participation à un mouvement insurrectionnel, actions diverses causant des dommages aux personnes ou à leurs biens, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique conformément aux dispositions des articles 80, 97, 98, 255, 431-1 et suivants du code pénal.

Ces procédures visent également à situer la responsabilité de toutes les personnes instigatrices de ces violents attroupements. Par conséquent une information judiciaire a été ouverte contre X. »

Participation au dialogue: Yewwi Askan Wi menace d’exclure Khalifa Sall

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Après avoir pris l’initiative personnelle de répondre à l’appel au dialogue lancé par le Président Macky Sall, Khalifa Sall devra compter ses jours au sein de Yewwi askan wi. La Conférence des leaders de cette coalition de l’opposition rappelle que sa charte interdit « tous compromis ou compromissions politiques avec le régime de Macky Sall» et souligne qu’elle « n’est représentée par aucune organisation ou personne physique à cette farce politique ».

Les leaders de Yewwi askan wi ont haussé le ton hier. Sonko et Cie, qui ne digèrent toujours pas la présence du leader de Taxawu Sénégal aux côtés du Président Macky Sall, le 31 mai dernier, brandissent le bâton. Dans un communiqué publié, Yewwi a rappelé « les dispositions pertinentes de sa charte fondamentale, selon lesquelles, tout membre doit s’abstenir, individuellement, de tous compromis ou compromissions politiques avec le régime de Macky Sall ». Et « pour que nul n’en ignore », ont-ils mis en garde, « la coalition Yewwi askan wi se réserve le droit de tirer toutes les conséquences à l’encontre de tout transgresseur de celles-ci ».

Pour se faire plus précis sur la cible, la Conférence des leaders dit porter à « la connaissance de l’opinion, qu’elle n’est représentée par aucune organisation ou personne physique à cette farce politique ». Il faut par-là rappeler que lors du lancement de ses pourparlers au Palais de la République, Khalifa Sall, présent à la rencontre, avait clamé tout haut que le sens de son allocution visait à défendre la cause de ses camarades de Yewwi ayant rejeté l’appel.

Les derniers soubresauts consécutifs à la condamnation d’Ousmane Sonko pour corruption de la jeunesse, avec des morts et des pillages, mais aussi la bunkerisation du domicile du leader de Pastef, sont venus radicaliser Yewwi.

Les quotidiens commentent l’interdiction des activités politiques à Touba

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La décision du khalife général des mourides interdisant le déroulement d’activités politiques à Touba (centre) domine la livraison des quotidiens de ce lundi.

‘’Outré par les activités politiques qui sont en train de désacraliser la ville de Touba’’, le guide religieux ‘’a pris ce week-end une forte mesure’’, rapporte L’As.

‘’Serigne Mountakha Mbacké s’est indigné des conséquences qu’entraînent souvent les activités politiques pourtant interdites à Touba depuis très longtemps’’, écrit L’As.

Le Quotidien affirme que ‘’l’orthodoxie va être respectée à Touba’’, car ‘’le khalife général des mourides n’est pas dans une logique de négociation’’.

‘’Aux gros problèmes, les grandes solutions’’, ajoute Le Quotidien, estimant que ‘’cette délocalisation des bureaux de vote de Touba peut être interprétée comme un souhait de garder son équidistance des acteurs politiques’’.

Avec cette décision, ‘’le khalife raye la cité [religieuse] de la carte politique du Sénégal’’, commente L’Observateur.

‘’Serigne Mountakha Mbacké a décidé que les manifestations politiques, qui lui causent le plus de chagrin, ne se tiendront plus à Touba’’, qui, pourtant, concentre un grand nombre d’électeurs, cette ville étant la plus peuplée du pays après Dakar.

Rien que la commune de Touba Mosquée comptait 275.880 électeurs répartis dans 45 lieux de vote et 602 bureaux de vote aux dernières élections municipales et départementales, souligne L’Observateur.

Un analyste interrogé par le même journal dit s’attendre à ‘’d’énormes difficultés’’, concernant la délocalisation des nombreux bureaux de vote de la ville. De toute façon, poursuit L’Observateur, ‘’Serigne Mountakha Mbacké a toujours le dernier mot’’.

‘’Une décision lourde mais compréhensible’’

Le Soleil redoute les conséquences de cette ‘’décision radicale’’. ‘’C’est une décision lourde mais compréhensible’’, commente un analyste politique interrogé par le même journal.

Même s’il est ‘’influent’’, le guide religieux a mené récemment des ‘’médiations’’ entre les leaders politiques, ‘’mais il n’en voit pas les résultats’’, affirme l’interlocuteur du journal Le Soleil.

Il ajoute que le khalife général des mourides ‘’est donc inquiet pour ce qui pourrait se passer’’ en termes de conséquences des activités politiques dans le périmètre de la ville sainte.

WalfQuotidien parle de Serigne Mountakha Mbacké, mais pour un autre sujet. A la suite de la suspension du signal de la chaîne Walf TV par l’Etat, pour une durée de trente jours, le guide religieux a offert 5 millions de francs CFA au groupe de presse privé Wal Fadjri, selon le journal.

Des émissaires de Serigne Mountakha Mbacké ont assuré Wal Fadjri du soutien du chef spirituel de Touba, qui a promis d’user de ‘’toutes ses prérogatives pour que Walf TV retrouve son signal’’.

Le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Moussa Bocar Thiam, reproche à Walf TV d’avoir diffusé ‘’des images de violence exposant les adolescents’’, des images ‘’accompagnées de propos […] incitant à la violence et portant manifestement atteinte à la sécurité de l’Etat’’.

Le journal Record évoque la possibilité, pour le sélectionneur national du Sénégal, de ‘’laisser souffler ses cadres’’ lors du match prévu samedi 17 juin contre le Bénin, pour les éliminatoires de la prochaine Coupe d’Afrique des nations.

‘’Pour les deux rencontres prévues contre le Bénin et le Brésil, Aliou Cissé veut composer avec trois latéraux gauches et deux droitiers’’, lit-on dans Stades, qui passe à la loupe la liste des joueurs convoqués pour la rencontre avec l’équipe nationale béninoise et le match amical à jouer contre les Brésiliens.

Travaux du dialogue national : Ces défis qui risquent de plomber la commission politique

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Les huit commissions du dialogue national ont procédé le vendredi 9 juin 2023, au lancement officiel des travaux marquant le début de leurs activités. Au centre de toutes les attentions, au regard de sa lourde mission consistant à proposer des pistes de solutions à la crise politique actuelle, la commission politique devra surmonter plusieurs défis liés au temps relativement court, au boycott de plusieurs partis membres de la plateforme F24 et de la coalition Yewwi Askan wi, mais aussi au choix des membres de son comité d’experts indépendants.

Le compte à rebours du dialogue national a été lancé hier, vendredi 9 juin, avec le démarrage officiel des travaux de toutes les commissions. La commission politique qui centralise toutes les attentions n’a pas été en reste.

Convoqués à la Direction générale des Élections, les représentants des différentes entités politiques ont pu assister à cette première journée consacrée au partage des documents compilant les propositions des termes de référence, déposées par chaque entité. Après cette rencontre, tous les acteurs se sont donné rendez-vous le lundi 12 juin prochain, pour le début des discussions qui devraient être précédés par l’amendement du document de compilation des propositions de termes de référence distribués, vendredi.

Toutefois, il faut signaler que plusieurs défis attendent cette commission politique qui n’a que deux semaines de travaux pour livrer des propositions fortes, tendant à faire renaitre le consensus autour des règles du processus électoral que le régime en place a enterrées, avec ses nombreuses modifications tendancieuses du Code électoral consensuel de 1991.

Le premier défi, au-delà du boycott de ses travaux décidés par la majorité des partis de l’opposition regroupés au sein de la coalition Yewwi Askan wi, qui incarne aujourd’hui la principale force de l’opposition (en termes de poids électoral), est sans doute celui de la mise en place du comité d’experts indépendants qui sera chargé de conduire ces travaux.

En effet, le professeur Babacar Kanté pressenti pour diriger cette commission politique, est présentement hors du territoire. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle la rencontre de lancement d’hier a été présidée par Tanor Thiendella Sidy Fall, le Directeur général des Élections.

Outre cette absence du professeur Kanté qui avait pris les choses en main après le rappel à Dieu de l’ancien ministre de l’Intérieur, le doyen Mazide Ndiaye et le Pr. Aliou Sall qui faisaient également partie de cette équipe choc de feu du général Mamadou Niang, sont indisponibles.

Le premier nommé est actuellement alité (puisse Dieu lui redonner la santé) et le second qui était également juge au niveau de la Cour de justice de la Cedeao, est actuellement en mission aux Nations-Unies.

Toujours sur cette liste des défis qui attendent cette commission politique, il y a également ces différents points déjà abordés lors des précédentes concertations, mais bloqués par le refus de la majorité en place.

Il s’agit, entre autres, de la question du parrainage, du financement des partis politiques, de la nomination d’une personnalité neutre à la tête du ministère des élections, du bulletin unique, de la suppression de la notion de candidat électeur que le régime en place a fait insérer dans le Code électoral et qui est à l’origine de l’invalidation des candidatures de Karim Wade, Khalifa Ababacar Sall, en 2019, pour ne citer que ceux-là.

Sud Quotidien