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Fiches de parrainage : Les avocats de Sonko haussent le ton et appellent l’Etat à respecter les décisions…

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Malgré la décision de justice réintégrant Ousmane Sonko sur les listes électorales, la Direction Générale des Élections (DGE) a refusé l’accés à son mandataire Ayib Daffé pour pouvoir recupérer ses fiches de parrainages. Sur ce, les avocats du leader du Parti ex-Pastef dénoncent ce comportement de la DGE et appellent le président Macky Sall à respecter les décisions de justice.

« Une fois à la Direction Générale des Élections, l’huissier de justice et le mandataire du sieur Ousmane SONKO chargé de récupérer en même temps les fiches de parrainage, ont été tous deux éconduits et empêchés d’accéder aux locaux. Le Directeur Général des Élections a pris prétexte qu’il ne pouvait les recevoir aujourd’hui, sans aucun motif et les a fait éconduire tous les deux, aux heures de service, se rendant ainsi auteur d’une entrave à l’exécution d’une décision de justice, à l’exercice de la fonction d’huissier de justice et d’une voie de fait« , lit-on dans un communiqué parvenu à la rédaction de Senego, signé par le collectif des avocats de Ousmane Sonko.

Selon eux, cette affaire montre la volonté de l’État du Sénégal de ne pas se conformer aux décisions de justice rendues par les magistrats…Cette situation est d’une extrême gravité en ce qu’elle sape les fondements de la République et de l’État de droit.

La Défense de Monsieur Ousmane SONKO alerte en conséquence l’opinion nationale et internationale sur ce qui est en train de se produire au Sénégal où les magistrats rendent des décisions que l’État refuse d’exécuter, en violation de la loi et pour des ambitions purement électoralistes.

La défense de Monsieur Ousmane SONKO appelle le Président de la République Monsieur Macky SALL, garant du fonctionnement normal des Institutions et du respect de l’État de droit, à faire assurer l’exécution des décisions rendues par les Cours et Tribunaux, tel qu’il l’avait lui-même proclamé à l’occasion de son discours du 04 juillet 2023.

Le collectif de défense appelle l’État du Sénégal à protéger les institutions, au respect de la magistrature et des décisions de justice rendues par les cours et tribunaux.

La Défense de Monsieur Ousmane SONKO ne ménagera aucun effort pour faire primer la loi qui est au-dessus de tous y compris de l’État.

Document

France : Macky Sall s’oppose à la vente aux enchères des objets de Senghor

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Le ministre de la Culture et du Patrimoine historique a pris connaissance de la vente aux enchères des « Bijoux et décorations militaires de Léopold Sédar SENGHOR et divers » projetée, le samedi 21 octobre 2023, à 14h, en France par Caen Enchères, a-t-on appris dans le communiqué du ministère.

« Devant pareille situation, le Chef de l’Etat, réaffirmant son attachement profond au patrimoine national et à toutes les figures marquantes de notre République a, immédiatement, donné les instructions nécessaires au ministre de la Culture et du Patrimoine historique et à notre Ambassadeur à Paris pour que les diligences nécessaires soient prises, en relation avec le Commissaire-priseur, pour la préservation de ces objets du Président SENGHOR », lit-on dans le communiqué.

Le président de la République, Macky SALL, a demandé au ministre de la Culture et du Patrimoine historique, en relation avec l’Ambassadeur du Sénégal à Paris, « d’engager des discussions, par les voies appropriées, avec le Commissaire-priseur, en vue de permettre l’acquisition, par l’Etat du Sénégal, des objets mis en vente. La même mesure avait été prise par le Chef de l’Etat quand le véhicule du Président SENGHOR était sur le point d’être mis aux enchères en France ».

« Depuis, les mesures idoines ont été prises par le Gouvernement pour acquérir et intégrer ledit véhicule au patrimoine de l’Etat du Sénégal, bloquant ainsi la procédure de vente aux enchères », ajoute le document.

Le Sénégal dans le peloton de tête des pays consommateurs d’alcool: 33 millions de litres par an…(Reseca)

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Le Sénégal est un pays de paradoxes. Figurez-vous que les Sénégalais affichent un islamisme qui frise la démesure dans leurs pratiques. Mais ce qui est surprenant, c’est que l’on apprend que nous sommes un pays de grands buveurs.

Selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la Santé, rapporte le Témoin dans sa parution de ce vendredi, le Sénégal se situe à la 44e place mondiale des leveurs de coudes. En Afrique, nous sommes dans le peloton de tête en se situant à la 17e place. La consommation d’alcool est estimée à plus de 33 millions de litres par an. Ces révélations ont été faites par le Réseau national de lutte contre l’alcool (Reseca).

« Le Sénégal, malgré la religion musulmane, est néanmoins un grand consommateur d’alcool. Connaissant les effets néfastes de l’alcool, nous nous sommes dit qu’il est temps d’agir. La nouvelle cible, ce sont les jeunes notamment en milieu scolaire », dira Malick Sall, membre du Reseca, qui organisait récemment un atelier de renforcement de capacités des journalistes pour la lutte contre l’alcool. Dans la cartographie des zones de buveurs, Grand Yoff détient un record triste puisqu’on parle de plus de 400 bars qui s’y trouvent.

Désengorgement des prisons : Aissata Tall Sall promet un audit sur les longues détentions…

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Ismaila Madior Falla a passé le témoin à Aissata Tall Sall à la tête du ministère de la Justice. Une rencontre lors de laquelle la nouvelle Garde des Sceaux a promis certaines réformes, dont le désengorgement des prisons, particulièrement causées par les longues détentions…

Désengorgement des prisons…

« Par la diligence, nous apporterons à nos dossiers le traitement approprié et dans les délais requis. Dans les délais requis, nous fera éviter les longues et parfois très inutiles procédures. Quand il est question de la liberté, aucune panne d’horloge ne nous sera pardonnée ! C’est pourquoi, je lutterai contre les longues détentions dont très souvent d’ailleurs ne sont victimes que les anonymes aux revenus modestes. Le désengorgement des prisons doit en partie répondre ce cela« , selon Aissata Tall Sall.

Audit sur les longues détentions…

Ainsi, elle soutient que dès les premiers jours de leur installation, elle fera commanditer, par ses services, un audit sur les longues détentions « afin que les dossiers et les procédures soient rapidement purgés. Mais cette rigueur n’aura de sens et de portée que si nous avons la Loi comme seul Maître et unique référence. En effet, dans l’œuvre de justice, seule la Loi, et l’application rigoureuse de la Loi devra nous guider. Dans cet exercice difficile de la responsabilité de juger, la Loi devra être notre viatique« .

« Nous devons donc éviter à tout prix que…

« Ce que je veux (et je suis sûre que vous en serez d’accord), c’est que la Loi s’applique sans cruauté inutile mais aussi et surtout sans faiblesse coupable ! Si la cruauté inutile s’abat sur un individu, la faiblesse coupable elle, désorganise la société, donne le sentiment et même la conviction que la Justice ne sert pas tous les hommes de façon égale. Si la cruauté inutile fait mal, la faiblesse coupable elle, crée le malaise le diffuse et le répand. Nous devons donc éviter à tout prix que ce malaise gagne et envahisse notre maison. Pour ma part, je m’y engage et y travaillerai fermement et sans relâche« , promet-elle.

 

Haïti-Assassinat du président Jovenel Moïse : un suspect clé arrêté

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En Haïti, la police nationale a procédé, en fin de soirée, ce jeudi 19 octobre, à l’arrestation de Joseph Félix Badio. Il est soupçonné d’être l’un des auteurs intellectuels de l’assassinat du président Jovenel Moïse dans sa résidence, dans la nuit du 6 au 7 juillet 2021.

La nouvelle est confirmée par le porte-parole de la police nationale, Garry Desrosiers. Activement recherché par la police, Joseph Félix Badio a été appréhendé à Pétion-Ville, banlieue de Port-au-Prince, rapporte notre correspondante à Port-au-Prince, Marie André Bélange. Le suspect, qui aurait donné l’ordre d’exécuter Jovenel Moïse, était chargé de coordonner l’assassinat du président haïtien, selon des rapports.

Ancien cadre de l’Unité de lutte contre la corruption, Joseph Félix Badio avait prêté ses services également à d’autres institutions étatiques. Il est considéré comme un ami du Premier ministre haïtien actuel, Ariel Henry, avec qui il a eu des échanges téléphoniques la nuit du meurtre, toujours selon des rapports.

Plusieurs suspects ont été arrêtés dans le cadre de ce dossier. Certains sont détenus aux États-Unis. Il s’agit de l’ancien sénateur John Joël Joseph, qui a plaidé coupable devant un tribunal à Miami, et l’homme d’affaires haïtien Rodolph Jaar, condamné à perpétuité. Joseph Félix Badio est arrêté deux ans après l’assassinat du président Jovenel Moïse. Autre détenu clé, German Rivera, un ex-militaire colombien qui a plaidé coupable, début septembre, devant un tribunal fédéral de Floride, de « complot » et de « soutien au complot ». La justice américaine l’accuse d’avoir aidé un groupe de mercenaires à assassiner Jovenel Moïse le 7 juillet 2021 à son domicile. Sa peine sera annoncée le 27 octobre et il risque la prison à vie.

Sénégal : La BCEAO sanctionne un établissement de transfert d’argent

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Un établissement de monnaie électronique établi au Sénégal, a été sanctionné par la banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao). La sanction disciplinaire s’accompagne d’une sanction pécuniaire lourde.

La Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest vient de prononcer une sanction disciplinaire et pécuniaire à l’encontre d’un établissement de monnaie électronique établi au Sénégal. En effet,  lors de sa session tenue le 19 septembre 2023, la Commission Bancaire de l’Umoa, après avoir entendu les dirigeants concernés, a prononcé un blâme à l’encontre d’un établissement de monnaie électronique installé au Sénégal, a appris iGFM.

«Cette sanction disciplinaire est motivée par des manquements et infractions aux textes légaux et réglementaires applicables aux établissements de monnaie électronique», renseigne la banque centrale. Il s’agit, en particulier, des faiblesses relevées au niveau du dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme de cet établissement.

En sus de la sanction disciplinaire, l’établissement de monnaie électronique a écopé d’une sanction pécuniaire d’un montant de quarante millions (40 000 000) de FCFA, au regard des infractions susmentionnées relevant de la troisième catégorie.

De quel établissement s’agit-il précisément ? La banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest n’a pas précisé le nom. Mais au Sénégal, la liste des établissements de monnaie électronique (Eme) n’est pas extensible. Ils ne sont qu’au nombre de 3 : Orange money, Free money et Wave.

Il y a aussi des partenariats entre banques et opérateurs de télécommunication comme Kash – Kash, e-money, Wizall-Wave.

Niger : La junte révèle les dessous du « plan d’évasion » de Bazoum, une puissance étrangère « impliquée »

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Au Niger, le président déchu Mohamed Bazoum, sa famille, ses deux cuisiniers et deux autres éléments de sécurité, auraient tenté de s’évader aux premières heures du jeudi 19 octobre 2023. C’est du moins ce qu’indique un communiqué de la junte.

Le plan d’évasion devait permettre leur exfiltration vers le Nigéria voisin, avec la complicité d’une « puissance étrangère ».

Destination Bimi Kebbi au Nigéria

Ils devaient tout d’abord rejoindre un premier point de « récupération aux abords du palais présidentiel où les attendaient un véhicule banalisé ». Ce véhicule devait ensuite les conduire à une planque au quartier Tchangarey, à la périphérie Nord de la ville de Niamey . A partir de cette planque, un déplacement serait prévu vers deux hélicoptères appartenant à une puissance étrangère, censés les exfiltrer à Bimi Kebbi au Nigéria », révèlent les autorités militaires.

« Attitude irresponsable du président déchu et de ses complices »

Leur plan aurait échoué grâce à la « prompte réaction des forces de défense et de sécurité ». La junte salue d’ailleurs le « professionnalisme des vaillantes FDS qui ont permis de préserver des vies humaines en dépit de l’attitude irresponsable du président déchu et de ses complices ».

Pour l’heure, les « principaux auteurs et certains de leurs complices ont été arrêtés ». Une enquête a été ouverte par le procureur de la République, saisi de l’affaire.

DGE: Ayib Daffé encore refoulé

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>Deuxième tentative, deuxième échec. Le mandataire du candidat Ousmane Sonko qui est retourné à la Direction Générale des Elections, ce vendredi matin, a été interdit d’accès tout comme l’huissier qui l’accompagnait.

« Le commissaire Sarr m’a dit qu’il ne peut pas me laisser entrer. Quand je lui ai demandé les raisons, il m’a rétorqué que c’est la seule chose qu’il pouvait me dire alors qu’on a même vu d’autres mandataires avoir accès aux lieux », a déclaré le parlementaire devant les journalistes.

Selon lui, la DGE fait dans le « dilatoire afin de faire gagner du temps à l’Etat du Sénégal ».

En tout état de cause, le mandataire du leader de l’ex parti Pastef promet de ne jamais renoncer à leur droit. « Nous allons nous battre judiciairement et politiquement pour que le droit de Ousmane Sonko à être candidat soit respecté ».

Ce proche de Khalifa Sall, bientôt libre ?

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Les auditions se poursuivent dans le cadre de l’instruction de l’affaire des faux baux pour des parcelles à 3 milliards de francs Cfa. Me El Hadj Mamadou Ndiaye, inculpé depuis le 17 août dernier, a été entendu au fond mercredi dernier par la Chambre d’accusation, renseigne « Les Echos », dans son édition de ce vendredi 20 octobre 2023.

Le journal souligne que le maire de Thiaroye-sur-Mer continue de clamer son innocence. Face aux juges, le mis en cause a contesté les accusations du Parquet général, soutenant «qu’il n’a joué aucun rôle déterminant sinon celui d’avocat». De ce fait, il a nié avoir encaissé 300 millions FCfa, comme le prétend ses accusateurs.

A la fin de son audition, mentionne « Rewmi », les avocats de l’édile Taxawu Sénégal de Khalifa Sall ont déposé une demande de liberté provisoire. Dans leur requête, les conseils ont mentionné que leur client n’avait aucune raison de se soustraire à la justice. La balle est dans le camp de la juridiction d’instruction.

Dans ce dossier, des investisseurs qui avaient déboursé 3 milliards de francs Cfa, pour acquérir des terrains au centre-ville de Dakar. Ils se rendront compte qu’on leur avait remis des faux baux, au moment de procéder à la mutation des parcelles.

Ascosen annonce une marche contre la cherté de la vie

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Momath Cissé, vice-président de l’Association des Consommateurs du Sénégal (Ascosen), a annoncé que leur organisation prévoit une manifestation ce samedi 21 octobre à la Place de la Nation. Cette initiative vise à exprimer leur mécontentement face à la hausse des prix qui impacte la vie quotidienne des citoyens.

Cependant, il a souligné que l’obtention de l’autorisation pour la marche reste en suspens. M. Cissé a également souligné que toutes les initiatives de mobilisation pour sensibiliser sur la cherté du logement et des denrées alimentaires, sont initiées par l’Ascosen, qui a eu à discuter avec le président de la République Macky Sall, rapporte « Rewmi ».