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mardi, octobre 15, 2024

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Thiès : Des géomètres donnent carte blanche à Habib Niang pour qu’il régle le litige foncier à Chérif Lô

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Une délégation du mouvement de géomètres « And liguey pour euleugou Sénégal » composée de géomètres, a fait le déplacement pour rencontrer Habib Niang, conseiller spécial du PM et rallier sa cause.

En effet, cette délégation d´hôtes était composée d´honorables membres dont le président du mouvement, le géomètre de Thiaoune Bambara entre autres. Pour ces derniers, le choix du leader Habib Niang n´est pas fortuit, car la commune de Chérif Lo est confrontée à un grave problème de lotissement depuis deux ans, notamment Thiaoune Bambara. Pour ces géomètres, le conseiller spécial du Pm  est la personne la mieux indiquée pour résoudre ce litige foncier.

D´autre part, dans le landerneau politique thiessois, estiment-ils, seul le président Habib Niang incarne les idéaux pour un développement socio-économique. Ces géomètres comptent d’ailleurs tenir une conférence de presse pour officialiser ce ralliement. Cette audience accordée par le président Habib Niang, a permis d’acter leur ralliement. « L’hégémonie du conseiller spécial du Premier ministre, Amadou Bâ n’est plus à démontrer. Sa maîtrise du terrain, son charisme et sa stratégie font du président Habib Niang une pièce maîtresse dans le landerneau politique. Travailler et encore davantage est le leitmotiv du leader Habib Niang. Il cherche toujours à faire plus aujourd’hui et mieux qu’il n’a fait hier », lit-on dans le communiqué parvenu à Dakaractu.

Selon toujours le communiqué, « le week-end dernier, différents démembrement et de nouveaux militants séduits par la façon d’Habib Niang de faire la politique, ont été reçus par ce dernier à son siège. « Le représentant de Nguinth Sérère, la jeunesse féminine et ses nouveaux membres sont venus rejoindre la coordination nationale féminine dirigée par Fatima Siby nouvellement installée… »

Recettes douanières: 1426,6 milliards liquidés en 2023

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Le Ministre des Finances et du Budget, Mouhamadou Moustapha BA a présidé la Journée internationale de la Douane (JID), ce samedi 27 janvier 2024 dans la Capitale du Rail. Pour rappel, sous l’égide de l’Organisation mondiale des Douanes, cette journée est célébrée pour mettre en relief les efforts des administrations douanières du monde entier qui s’investissent au quotidien en vue de renforcer la sécurité et la prospérité des collectivités. Agents des douanes, autorités administratives, locales, religieuses et coutumières ont pris part à cet important événement. 

Pour l’édition 2024 de la JID, le thème s’énonce comme suit: « Pour une Douane mobilisant ses partenaires historiques et nouveaux autour d’objectifs clairs ».

En effet, pour le Ministre des Finances et du Budget, cette thématique proposée par l’OMD rappelle qu’une vigilance accrue s’impose aux services douaniers qui ne devraient, en aucun cas, perdre de vue la simplification et la facilitation attendus de leurs partenaires, devenus de plus en exigeants en termes de célérité et de transparence dans leurs transactions. A en croire l’argentier de l’Etat, l’administration douanière, dans sa posture avant-gardiste, l’a compris, pour avoir mis en place, dans son architecture organisationnelle, une Direction dédiée à la Facilitation et au Partenariat avec l’Entreprise, mais également des mécanismes de collaboration clairement définis dans des protocoles d’accord visant à fixer des règles sur la base desquelles des avantages sont concédés aux entreprises qui se sont inscrites dans une dynamique de conformité.

Toujours selon lui, le Programme de Partenaires Privilégiés (PPP) qui, sous peu, va évoluer vers le Programme de l’Opérateur économique agréé (OEA), atteste, s’il en était encore besoin, de la vision des pouvoirs publics pour une administration des Douanes moderne, résolument engagée dans la voix d’un partenariat fécond et durable, en faveur du développement économique et social de notre pays.

Au titre de l’exercice 2023, les recettes douanières liquidées se chiffrent à 1426,6 milliards de francs CFA. En ce qui concerne le volet lutte contre la fraude, il a été enregistré des saisies importantes de drogues, de médicaments et de diverses marchandises d’une valeur totale de 485,5 milliards de francs CFA. Pour 2024, les objectifs de liquidation des recettes douanières sont de l’ordre de 1700 milliards de francs CFA pour un niveau de recouvrement de recettes budgétaires de 1379,4 milliards de francs CFA. Par ailleurs, cette journée a été l’occasion de décorer les soldats de l’économie qui ont fortement contribué à l’essor et au développement des Douanes.

Ils ont été décorés à la médaille d’honneur de la Douane et au certificat de mérite de l’Organisation mondiale des Douanes. Également, l’administration douanière a décoré les sociétés partenaires pour leur collaboration franche et leur engagement au service de l’économie nationale. Par la même occasion, le Directeur général des Douanes, le Dr Mbaye Ndiaye a adressé ses vives félicitations aux Agents des Douanes et les a encouragé à persévérer dans l’excellence et la culture de la performance, tout en les incitant à développer un comportement responsable, de manière à célébrer au quotidien l’État de droit dans toute sa sacralité.

Gamou de Taïba Niassène: Serigne Mbaye Thiam salue la ‘’vision éclairée’’ de Cheikh Al Islam

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Le ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Serigne Mbaye Thiam, a salué, samedi, à Taïba Niassène, dans le département de Nioro du Rip (Kaolack, centre), la ‘’vision éclairée’’ de Cheikh Al Islam El Hadji  Ibrahima Niass dit Baye dont la vie et l’œuvre ont ‘’positivement’’ impacté la société sénégalaise.

« Baye (1900-1975) était un éducateur sur les plans spirituel et temporel, exhortant même la population à s’acquitter du paiement de l’impôt. Ce qui est en phase avec le civisme fiscal’’, a déclaré M. Thiam qui s’exprimait lors de la cérémonie officielle du Gamou annuel de cette cité religieuse du département de Nioro du Rip.

Cet évènement religieux qui célèbre l’anniversaire de la naissance du fondateur de Médina Baye, dans la capitale du Saloum, s’est tenu ce week-end sous la présidence du khalife général, Cheikh Mouhamadoul Mahi Ibrahima Niass.

Baye Niass qui a propagé l’Islam jusqu’en Chine est, selon le ministre, ‘’une fierté pour le Saloum de sa naissance, le Sénégal et l’Afrique ».

Serigne Mbaye Thiam, originaire du département du Nioro, a sollicité des prières pour une élection présidentielle pacifique le 25 février.

« On s’achemine vers cette élection qui s’accompagne souvent de heurts. Mais le Sénégal a une tradition démocratique qui fait qu’après chaque scrutin, le lendemain les gens vaquent à leur occupation’’, a-t-il souligné.

Le khalife Cheikh Mouhamadoul Mahi Ibrahima Niass, par ailleurs président de l’Union islamique africain (UIA), a magnifié l’enseignement des ancêtres,  »la tolérance, la paix et l’hospitalité’’ qui  »caractérisent le peuple sénégalais ».

Avec APS

Présidentielle 2024 : La famille omarienne se prononce…

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Le serviteur de la mosquée Omarienne à Dakar, Thierno Madani Tall invite les acteurs politiques à davantage cultiver la paix afin que l’élection présidentielle du 25 février puisse se dérouler dans  »la tranquillité et la sérénité ». L’imam s’exprimait lors de la cérémonie officielle de la 44ème édition de la Ziarra annuelle dédiée à Thierno Seydou Nourou Tall.

« Nous invitons tous les acteurs politiques de toutes obédiences à cultiver la paix pour que l’élection présidentielle du 25 février se déroule dans la tranquillité et la sérénité« , a déclaré Thierno Madani Tall.

Le marabout a aussi exhorté les pouvoirs publics à œuvrer à une  « répartition équitable » des richesses qui découleront de l’exploitation du pétrole et du gaz.

Présidentielle 2024 : PDS/France exige l’arrêt immédiat du processus électoral et le report de l’élection…

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A travers un communiqué, la Fédération du Parti démocratique sénégalais (PDS) en France prend une position ferme et catégorique en demandant l’arrêt immédiat du processus électoral et le report de l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024.

« Depuis le coup d’Etat électoral du Samedi 20 Janvier perpétré par le Conseil constitutionnel, la tenue d’élections inclusives, libres, démocratiques et transparentes s’est fondamentalement éloignée de notre cher Pays qui jadis était la vitrine en matière de compétition électorale en Afrique. L’élimination honteuse d’une quarantaine de candidats à la candidature durant le contrôle des parrainages a été le premier jalon d’une violation systématique du processus électoral », rapporte un communiqué.

Concernant la candidature du président Karim Meissa Wade, la fédération du parti démocratique sénégalais en France constate et dénonce le « caractère xénophobe, chauvin et dangereux de la décision rendue par le Conseil constitutionnel dont certains membres sont à la solde et sous la coupole du candidat Amadou Ba ».

Selon la même source, la fédération du parti démocratique sénégalais en France est « certaine que la participation du président Karim Meissa Wade à l’élection du 25 Février signifierait le retour à la magistrature suprême du parti démocratique sénégalais et de ses alliés. Ce retour aux affaires déclencherait le processus de construction d’un Sénégal prospère, uni, avec une justice indépendante en dehors des combines politiciennes et des coups bas tordus, orchestrés par des candidats sans envergure politique à l’image du très impopulaire Amadou Ba et du mercenaire Thierno Alassane Sall ».

D’après ledit communiqué, la fédération du parti démocratique sénégalais en France, à l’image de la communauté nationale et internationale, soutient l’initiative des députés du PDS pour l’instauration d’une commission d’enquête parlementaire afin d’apporter toute la lumière sur le coup de force du Conseil constitutionnel.

« La fédération du parti démocratique sénégalais en France demande également au groupe parlementaire Liberté-Démocratie-Changement de déposer dans les plus brefs délais une motion de censure contre le spécialiste des coups tordus et principal parrain du conseil constitutionnel Amadou Ba. A la lumière de tous ces manquements qui ternissent l’image de notre Pays, la fédération du PDS/France exige et sans ambiguïté l’arrêt immédiat du processus électoral et le REPORT DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE du 25 février 2024 », lit-on dans le communiqué.

Pour PDS/France, ce report permettra d’avoir des élections inclusives et transparentes avec une « évaluation du système de contrôle des parrainages et la restauration du président Karim Meissa Wade dans ses droits bafoués par des juges aux ordres ».

Aliou Mamadou Dia, candidat du PUR : “Le sénégalité de Karim Wade ne fait pas l’objet de doute”

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Le candidat du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) a une tout autre lecture du problème de la double nationalité de Karim Wade. Aliou Mamadou Dia, invité du Grand Jury de ce dimanche dit poser une question de principe s’agissant de la double nationalité.

« La “sénégalité” de Karim ne fait pas l’objet de doute. Il s’agit du fils d’un ancien président de ce pays, en l’occurrence le président Abdoulaye Wade. S’il décide de renoncer à sa nationalité française, c’est comme s’il renonçait à une partie de lui-même. Sa maman est française donc il peut aussi être français. Il a quand même pris le courage de renoncer à une partie de lui-même pour pouvoir servir le Sénégal. Je pense que c’est extrêmement important. », estime-t-il

Aliou Mamadou Dia considère que le débat public ne devrait pas porter sur « des questions qui peuvent être considérées comme personnelles ». D’autant que cela est susceptible « d’avoir des ramifications qu’on ne souhaite pas pour notre pays ».

 

Sa conviction est que « tous les Sénégalais puissent contribuer à l’effort de développement, à la construction de notre pays » sans qu’aucun ne soit lésé. Il reste persuadé que cette législation doit être revue « afin qu’on ne prive pas les Sénégalais qui souhaitent accéder à la magistrature suprême de pouvoir briguer le suffrage des Sénégalais ». La présidentielle doit être, pour lui, « une élection inclusive ».

Annonce du retrait du Mali, du Niger et du Burkina : La réplique de la Cedeao

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Après l’annonce du Mali, du Burkina et du Mali, qui ont décidé de se retirer de la Cedeao, la réponse de l’instance communautaire vient de tomber.

La Commission de la Cedeao n’a pas encore reçu de notification formelle et directe des trois États membres concernant leur intention de se retirer de la Communauté. C’est ce qu’a précisé, ce dimanche, la Commission de la Cedeao.

Dans son communiqué de presse parcouru par iGFM, ladite commission dit avoir travaillé, sous la direction de l’Autorité des chefs d’État et de gouvernement, a travaillé assidûment avec ces pays pour la restauration de l’ordre constitutionnel.

Elle déclare que le Burkina Faso, le Niger et le Mali restent des membres importants de la Communauté et l’Autorité reste déterminée à trouver une solution négociée à l’impasse politique.

La Commission de la Cedeao n’a pas répondu aux accusations portées à son encontre par les trois pays, notamment sur la question d ela lutte contre le terrorisme.

Le jeu dangereux des lobbyistes libanais dans l’élection présidentielle sénégalaise

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L’influence des lobbyistes dans les élections, est un phénomène mondial et le Sénégal n’échappe pas à cette réalité. Récemment, des informations ont émergé sur l’implication de lobbyistes libanais qui jouent un jeu double tranchant, en remettant de l’argent à différents candidats à l’élection présidentielle sénégalaise. Cette pratique soulève des questions sur la démocratie et la transparence du processus électoral, suggérant une stratégie visant à maintenir un contrôle subtil sur les affaires politiques du pays.

Le contexte des lobbyistes libanais au Sénégal :
Les lobbyistes libanais ont une présence significative au Sénégal, en raison des liens économiques et commerciaux entre les deux nations. Le Liban, en tant que centre financier du Moyen-Orient, a souvent des intérêts dans plusieurs pays africains, y compris le Sénégal. Ces lobbyistes opèrent dans divers secteurs, tels que l’immobilier, le commerce et d’autres industries clés.

Le double jeu des lobbyistes :
La pratique du double jeu des lobbyistes libanais, implique qu’ils soutiennent financièrement plusieurs candidats à l’élection présidentielle. En investissant dans différentes campagnes, ces lobbyistes cherchent à garantir une influence significative, peu importe le résultat final. Cette stratégie vise à maintenir des relations étroites avec les dirigeants élus, assurant ainsi la protection de leurs intérêts économiques dans le pays.

L’argent comme instrument de contrôle :
En remettant de l’argent aux candidats, les lobbyistes libanais cherchent à créer un lien de dépendance financière. Cela peut influencer les décisions futures des politiciens en faveur des intérêts des lobbyistes. Le financement de campagnes électorales peut devenir un moyen subtil d’exercer une pression sur les candidats, les incitant à favoriser les lobbyistes au détriment du bien-être général.

Conséquences sur la démocratie sénégalaise :
Cette ingérence étrangère dans le processus électoral, soulève des inquiétudes quant à la santé de la démocratie au Sénégal. Les citoyens doivent pouvoir faire des choix éclairés, sans l’influence indue de lobbyistes étrangers. La transparence et la régulation du financement politique, deviennent donc des enjeux cruciaux pour préserver l’intégrité du système électoral.

Appel à l’action :
Pour garantir l’indépendance du processus électoral, il est impératif que les autorités sénégalaises enquêtent sur ces allégations d’ingérence étrangère et prennent des mesures pour renforcer la transparence des financements politiques. Des réformes législatives pour encadrer plus strictement le financement des campagnes, pourraient être envisagées afin de protéger la démocratie et la souveraineté nationale.

Conclusion :
L’implication de lobbyistes libanais dans l’élection présidentielle sénégalaise, révèle les défis auxquels sont confrontés les processus démocratiques, dans un monde de plus en plus interconnecté. En prenant des mesures pour contrer ces pratiques, le Sénégal peut renforcer sa démocratie et garantir que les intérêts nationaux prévalent sur les influences étrangères.

Burkina Faso : inquiétudes sur l’arrivée des militaires russes pour sécuriser le président Traoré

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Un contingent de l’armée russe, connu sous le nom d’Africa Corps, prend pied au Burkina Faso, avec pour mission affichée la sécurisation du président Ibrahim Traoré. Cette opération, qui n’est pas une première, interroge néanmoins sur l’état des relations entre le président et son armée. Près de 300 militaires, dont des instructeurs, débarquent dans ce qui est présenté comme un renforcement des coopérations stratégiques bilatérales. Une initiative cependant non confirmée officiellement par le gouvernement Burkinabè.

La présence de troupes russes, reconnue par des partenaires internationaux et soulignant le rôle sécuritaire pour le Président Traoré, soulève des interrogations critiques. S’annonce-t-elle comme un signe de méfiance du capitaine envers son armée ? Cette action, marquée du sceau de la ‘souveraineté nationale’, pourrait refléter une crainte d’instabilité induite par des menaces internes, exacerbées par des arrestations récentes liées à des tentatives de déstabilisation. Elle suggère un potentiel malaise clandestin au sein de l’armée du Faso.

Confiée à des mains étrangères, la protection du leader burkinabè est perçue par certains comme un indicateur de conflits d’intérêts occultes et de risques d’ingérences extérieures. Cette décision risquée pour Traoré jette une lumière crue sur le climat d’insécurité politique, amplifiant les spéculations autour de la solidité du régime actuel. La confiance semble ébranlée, posant la question délicate de la stabilité à long terme du Burkina Faso.

Incendie criminel à l’UCAD : Un 3e suspect interpellé par la Sureté urbaine (SU)…

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Les arrestations se poursuivent dans l’affaire de l’incendie criminel à l’UCAD, en marge de la condamnation de Ousmane Sonko à deux ans ferme dans le procès Sweet Beauté. La Sûreté urbaine a interpellé un troisième présumé meneur. Il s’agit d’un étudiant en 3e année à la Faculté des Sciences et Technologies (Fst). 

En effet, selon les informations exclusives de Seneweb, les investigations menées par cette unité d’élite de la police nationale et l’exploitation des vidéos se sont soldées par l’arrestation d’un troisième présumé meneur de cette attaque. Son nom, Abdoulaye Mbodj. Il est en troisième année à la Faculté des Sciences et Technologies (Fst).

Le suspect reconverti en conducteur de moto « thiak thiak »

Abdoulaye Mbodj, suspecté de faire partie des meneurs de la mise à sac et l’incendie de l’université, avait pris la fuite. Originaire de Kaolack, l’étudiant était introuvable depuis le mois d’août dernier. Et suite à la fermeture de l’UCAD, il est devenu un conducteur de moto « thiak thiak ». Mais les enquêteurs de la SU ont localisé récemment le fugitif.

Les images des vidéos exploitées par les enquêteurs…

« Ils ont mis à contribution leurs collègues du commissariat d’arrondissement de la Médina qui ont interpellé Abdoulaye Mbodj le jeudi 18 janvier à l’entrée de l’université vers 21h« , ont soutenu des sources de Seneweb. Ce dernier sera mis à la disposition des enquêteurs de la sûreté urbaine.

Interrogé sur procès-verbal, Abdoulaye Mbodj a clamé son innocence, « mais des indices graves le compromettent. L’étudiant a été enfoncé par les images des vidéos exploitées par les enquêteurs« .

Poursuivi pour association de malfaiteurs en relation avec…

Ainsi, Abdoulaye Mbodj a été présenté, lundi dernier, directement au juge d’instruction du deuxième cabinet, Mamadou Seck. Il est poursuivi pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, destructions et dégradations de biens appartenant à l’Etat ou à autrui intéressant la chose publique, incendie volontaire actes et manœuvres susceptibles à compromettre la sécurité publique et complot contre l’autorité de l’État ».