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mardi, octobre 15, 2024

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« Quand Karim WADE déclare n’avoir jamais voté en France, il a parfaitement raison » (Par Helene Della Chaupin)*

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Le Conseil Constitutionnel, très « peu courageux » doit faire PREUVE de Responsabilité et Enquêter sur la Nationalité de toutes les Personnes Citées qui ont été chercher une nationalité Etrangère, autre que Sénégalaise.

On ne peut, sur une Liste de 21 personnes, trier au volet Karim Wade et l’éliminer, lui faire voir des Vertes et pas Mûres, parce que sa mère est une dame Blanche de Peau, Viviane VERT. Je Répète, si sa mère était noire de peau, Française, Guinéenne ou Gabonaise, on aurait pas éliminé Karim.

Ce choix rappelle Tristement la Liste des 25 personnes de la CREI où il a été le seul à croupir en Prison puis Exilé…

Soyons clairs, madame Viviane WADE n’a pas pris l’avion pour aller accoucher d’un enfant « Français sur papier » en France comme la plupart des « nouveaux nantis » et « arrivistes ». Elle était bien chez elle au moment de la naissance de Karim WADE.

Alors, fallait-il que ses enfants grandissent avec un titre de séjour dans le pays de leur mère…?

Par ailleurs, quand Karim WADE déclare n’avoir Jamais voté en France, il a parfaitement Raison. L’inscription pour tout jeune majeur dans le fichier électoral français découle dans un premier temps d’un recensement pour tout enfant repéré et enregistré dès sa naissance à la maternité.

L’appel à Journée d’Appel et de Défense à la Citoyenneté qui en découle plus tard est aussi l’occasion pour inscrire tous les jeunes majeurs sur le Fichier Électoral. Sans ces 2 documents, il est quasiment Impossible de passer le Permis et d’entreprendre certaines démarches administratives. Tout est fait pour que Tous soient Recensés et Inscrits sur le Fichier Électoral, même si on ne vote Pas !

En Conséquence, une Juridiction Sénégalaise, en l’ occurrence le Conseil Constitutionnel, ne peut se baser sur un Décret Etranger pour rejeter un des Fils des Élections Présidentielles surtout que ce décret est antérieur à la Décision du Conseil Constitutionnel.

En somme, il faut Dissoudre le Conseil Constitutionnel et Casser toutes ses décisions…, surtout qu’il y a des Accusations Ciblées de Corruption (présumé), Conspiration et autres accointances …

Non ! Nos Juges ne Sont pas TOUS Parfaits…

* Par Helene Della  Chaupin

Urgent : Le Mali, le Burkina Faso et le Niger quittent la CEDEAO (Vidéo)

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Dans un communiqué conjoint diffusé le 28 janvier 2024, les gouvernements du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont annoncé leur décision de quitter la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Cette annonce, faite simultanément à Bamako, Niamey et Ouagadougou, marque une rupture significative dans les relations régionales.

Le 28 janvier 2024, les Chefs d’État du Burkina Faso, de la République du Mali et de la République du Niger ont annoncé leur décision de se retirer de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Cette décision historique, prise conjointement par le Capitaine Ibrahim Traoré, le Colonel Assimi Goïta et le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, marque une rupture significative avec cette organisation panafricaine, fondée en 1975.

Le communiqué conjoint, émis depuis Ouagadougou, Bamako et Niamey, souligne un sentiment de déception et de trahison vis-à-vis de la CEDEAO, accusée de s’être écartée des idéaux de ses pères fondateurs et du panafricanisme. Les dirigeants actuels du Burkina Faso, du Mali et du Niger expriment leur regret face à ce qu’ils considèrent comme une influence néfaste de puissances étrangères sur l’organisation, alléguant que la CEDEAO est devenue une menace pour ses États membres.

Le communiqué critique également la réponse de la CEDEAO aux défis sécuritaires auxquels ces pays sont confrontés, notamment en matière de lutte contre le terrorisme. Les chefs d’État dénoncent les sanctions imposées par la CEDEAO, les qualifiant d’illégales, illégitimes, inhumaines et irresponsables, et accusent ces mesures de fragiliser davantage les populations déjà affectées par des années de violence.

La décision de se retirer de la CEDEAO est présentée comme une mesure souveraine, répondant aux attentes et aspirations des populations de ces trois pays. Ce retrait marque un tournant dans les relations régionales en Afrique de l’Ouest et pose des questions sur l’avenir de la coopération économique et politique dans la région.

Voici le communiqué conjoint des trois pays :

Présidentielle 2024 : Dr Babacar Diop annonce son choix ce dimanche

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C’est ce dimanche 28 janvier 2024 que sera dévoilé le nom du candidat que vont soutenir le maire de Thiès, Dr Babacar Diop, et ses «frères» et «sœurs» de parti.

La Conférence nationale des Forces Démocratiques du Sénégal (FDS)/Les Gelwaars est convoquée, ce dimanche 28 janvier 2024, au «Casino» de Thiès.

A cette occasion, les délégués départementaux qui composent cette structure du parti vont statuer sur les propositions d’alliance formulées par des candidats à la présidentielle de 2024.

Le président du parti, Dr Babacar Diop, a déjà reçu, à Thiès, des candidats et mandataires de candidats qui lui ont soumis une proposition d’alliance en vue de l’élection présidentielle de 2024.

Les FDS/Gelwaars, une jeune formation politique sont, à présent, sollicitées par plusieurs candidats.

Sommet Italie-Afrique: Macky Sall quitte Dakar pour Rome

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Le Président Macky Sall a quitté Dakar ce dimanche 28 janvier pour participer au Sommet Italie-Afrique prévu à Rome le 29 janvier. Ce Sommet portera sur des thématiques comme l’énergie, la sécurité alimentaire, l’éducation, la culture, la lutte contre le terrorisme et la migration entre autres.

Avant la fin de ce déplacement, il effectuera une visite officielle à la Barbade les 30, 31 janvier et 1er février.Son retour est prévu le 1er février.

Le retour du chef de l’Etat est prévu le 1er février.

Gabon : Le président Oligui Nguéma autorise les officiers supérieurs à épouser plusieurs femmes

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L’article 40 de ce texte autorise ces hauts gradés de l’armée à souscrire à l’option polygamique du mariage. C’est certainement une bonne nouvelle pour ceux d’entre eux qui entretiennent des liaisons hors mariage.

Avant l’adoption de cette ordonnance, les officiers supérieurs et généraux de l’armée, n’avaient pas droit à la polygamie. Ils étaient obligés d’épouser une seule femme.

Discrimination ?

Interrogée par RFI, l’ex-procureure de la République, et présidente de l’ONG « Salon de la femme », Sidonie Flore Ouwé, apprécie cette loi. Mais trouve qu’elle est quand même discriminatoire parce que tous les militaires ne sont pas pris en compte.

« Que cela soit démocratisé ! Que tous les militaire aient la possibilité d’épouser plusieurs femmes pour ne pas verser dans une forme de discrimination », a-t-elle exhorté. Signalons que le code de la famille gabonaise permet à un homme d’épouser jusqu’à 5 femmes.

Présidentielle : Talla Sylla rejoint Aly Ngouille Ndiaye

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Talla Sylla et son parti vont battre campagne pour Aly Ngouille Ndiaye. L’ex-maire de Thiès a décidé de rejoindre la coalition «Alyngouille2024» pour la future présidentielle.

Sa candidature a été validée par le Conseil constitutionnel. Aly Ngouille Ndiaye qui prépare à présent sa campagne électorale, vient d’accueillir du renfort dans sa coalition. En effet, Talla Sylla, le Président de l’Alliance Jef-Jel a décidé de rejoindre la coalition «Alyngouille2024». Ce que confirme le parti de l’ex-maire de Thiès.

Quel désastre ! (Par Abdoul Mbaye)

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La décision n°2/E/2024 du 20 janvier 2024, rendue par le Conseil constitutionnel du Sénégal, établit la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Elle entachera longtemps l’histoire judiciaire de notre pays.

Elle est en effet le résultat manifeste d’incompétences et d’erreurs aisément perceptibles par tout citoyen, tout observateur étranger, au fait ou non de la science juridique.

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Commençons par rappeler que le système de parrainage citoyen sénégalais (SPCS dans la suite du texte) est une incongruité imposée par le Président de la République préparant sa réélection en 2019. Elle fut mise en pratique tout en étant impossible à appliquer.

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De l’incompétence du Conseil Constitutionnel à pouvoir contrôler le parrainage SPCS.

En l’introduisant comme condition à respecter par tout candidat à l’élection présidentielle, l’article 29 de notre Constitution définit le parrainage comme « la signature » d’un électeur. Ce faisant le parrainage est impossible à reconnaître et à contrôler par le Conseil Constitutionnel qui en a la responsabilité. Il lui est en effet impossible de vérifier des millions de signatures en quelques jours.

Dans un pays subissant la toute-puissance du Chef de l’état, le juge constitutionnel de 2018 (date de la réforme constitutionnelle contestée par l‘opposition dont les manifestations ont été réprimées avec la plus grande violence) n’a pas eu le courage de souligner cette impossibilité.

Face à cette incompétence de fait à pouvoir contrôler et valider lui-même les parrainages, le Conseil constitutionnel s’est déchargé de cette tâche au profit de fonctionnaires de l’État. L’impossibilité du contrôle demeurant, il leur a été nécessaire d’abandonner le parrainage défini comme « signature », de violer la Constitution, et de l’apprécier sous la forme d’une saisie, à la fois sur un formulaire papier et sur une feuille Excel, de plusieurs données figurant sur les cartes d’identité et d’électeurs. Seule la feuille Excel peut être contrôlée.

De l’incompétence des fonctionnaires en charge du contrôle des parrainages

L’indépendance supposée du juge constitutionnel est une donnée fondamentale de son choix comme juge des élections. Le contrôle du respect des conditions pour pouvoir être candidat à l’élection présidentielle lui est confié à ce titre ; parmi elles la contrainte du nombre de parrains valides. Lorsqu’il s’en décharge au profit de fonctionnaires de l’administration, l’indépendance disparaît. Le fonctionnaire est en effet aux ordres de sa hiérarchie directe. En particulier lorsque le Président de la République sortant est candidat ou lorsqu’il propose et soutient un candidat de surcroît Premier ministre et donc Chef de l’Administration à laquelle les fonctionnaires sollicités appartiennent.
Comment le Conseil Constitutionnel peut-il accepter de confier à un des candidats en compétition le contrôle du respect de la condition essentielle pour pouvoir être candidat, fut-ce par le biais d’agents obéissant à ses ordres ?

Par délégation de ses pouvoirs, le Conseil constitutionnel transforme ainsi l’une des parties, l’un des candidats, en juge constitutionnel chargé du tri des candidats.

On ne peut donc s’étonner de toutes ces anomalies constatées dans le cadre du processus de contrôle mis en place. On peut relever parmi elles :
• Le chargement, dans l’ordinateur du préposé, du contenu de la clé USB exigée au candidat avant sa mise sous l’enveloppe scellée qui sera ouverte au moment du contrôle prétendu contradictoire en présence de la Commission présidée par le Président du Conseil constitutionnel. C’est pourtant le contenu de la clé qui doit être préservé et non la clé elle-même ;
• Le rejet de parrainages sur la base de fautes d’orthographe sur les noms et prénoms alors que l’erreur matérielle se trouve dans ceux utilisés en référence. Le plus cocasse étant que les erreurs du fichier utilisé comme référence sont souvent absentes du fichier électoral rendu disponible et accessible en 2022 ;
• L’ajout manifeste et systématique de caractères sur les saisies opérées par des candidats ;
• L’impossibilité soudaine de lire une clé USB dont le contenu a pourtant été « visité » au moment du dépôt de la même clé entre les mains du préposé ;
• L’impossibilité de contrôler les rejets dont le candidat est informé par rapport aux fiches papier remises puisqu’elles ne sont pas rendues de nouveau disponibles.
• Etc…

De l’illégalité du double parrainage à sa légalité décidée par le Conseil constitutionnel

L’article 19 de notre Constitution dispose : « Un électeur ne peut parrainer qu’un candidat ». Les articles L57 et L91 du Code électoral précisent le double ou triple parrainage comme un délit en matière électorale, et rendent son auteur passible de peines d’emprisonnement et d’amende. Dès lors comment peut-on retenir comme valide le parrainage délivré hors la loi ? c’est pourtant le cas au Sénégal. Le Conseil constitutionnel fait bénéficier le parrainage en doublon, et donc illégal selon la loi, au premier candidat qui le présente. Il ne cesse d’être valable que pour les autres. Le respect de la loi devrait pourtant conduire à son rejet quel qu’en soit le bénéficiaire, parce que délivré de manière délictuelle. Une analogie pourrait être tentée entre un recel accepté légal selon son premier rang dans une suite de recels.

De l’injustice du tirage au sort devenu critère de sélection des candidats

La validité reconnue au premier parrainage présenté, même s’il est découvert plus tard en doublon illégal, crée le problème de l’organisation du constat de l’antériorité du parrainage concerné. Seule la bousculade et le crêpage de chignons avaient départagé les mandataires des candidats lors de l’élection présidentielle de 2019. Le premier venu dû être conduit au poste de police pour que sa place revint au mandataire du Président sortant.

Le dispositif a été amélioré ; la force a cédé la place au tirage au sort, sans mettre fin à la terrible injustice suivante : le premier sorti de l’urne ne perd aucun parrainage illégal en doublon, les pertes par les suivants sont de plus en plus nombreuses. Dans mon cas précis, sorti premier au tirage au sort, j’aurais été retenu candidat; en 61ème position, je n’ai pu l’être.

Cette grave injustice fait du Sénégal la seule démocratie au monde où les candidats à l’élection présidentielle sont choisis après un mécanisme de tirage au sort.

De l’erreur sur la binationalité du candidat Karim Wade

Les sept juges du Conseil constitutionnel ont signé leur décision le 20 janvier 2024. Ils ont rejeté la candidature du candidat Karim WADE en raison d’une déclaration sur l’honneur déposée en décembre 2023 par laquelle il attestait être exclusivement de nationalité sénégalaise.

Un décret français prouve que le 16 janvier 2024, Karim Wade a perdu sa nationalité française par renonciation (sollicitée donc avant cette date). La date de ce décret est antérieure à la décision rendue par le Conseil constitutionnel.
Le bon sens ne peut que retenir ceci : au moment de la signature de la décision, Karim WADE est de nationalité exclusivement sénégalaise.

Peut-on oser imaginer que notre Conseil constitutionnel doive privilégier la référence à une déclaration retenue inexacte à la lecture de notre Constitution (Art.28) dont ils sont les véritables gardiens ? qu’est donc devenue notre Constitution si nos juges constitutionnels en retiennent une telle appréciation ?
Et la déclaration dont il est question ne serait fausse que parce que la renonciation déjà effective à sa nationalité française n’avait pas encore donné lieu à la signature d’un décret tardant dans les circuits administratifs !

Retenons que si le Sénégal a pu en arriver à ce niveau de déni de droit et de justice, c’est parce que le SPCS n’a été inventé que dans le but d’organiser des élections non inclusives dont sont écartés des concurrents susceptibles d’être gênants. La condamnation du SPCS par la Cour de Justice de la CEDEAO (Arrêt N°ECW/CCJ/JUD/10/21 du 28 avril 2021) n’a pas conduit l’État du Sénégal à respecter son statut d’État de droit. Il a maintenu le SPCS malgré la sévérité de cette condamnation dont il n’est pas inutile de rappeler les termes : « Dit que .. le Code électoral sénégalais, tel que modifié par la loi n°2018-22 du 04 février 2018 viole le droit de libre participation aux élections ; Ordonne en conséquence à l’État du Sénégal de lever tous les obstacles à une libre participation aux élections consécutifs à cette modification par la suppression du système de parrainage électoral ; lui impartit un délai de six (6) mois à compter de la notification qui lui en sera faite pour soumettre à la Cour un rapport concernant l’exécution de la présente décision »

L’espoir de la restauration d’un processus électoral libre et démocratique doit être porté par la prochaine alternance politique sénégalaise. Elle est devenue indispensable pour la sauvegarde de la paix et de la stabilité de notre cher Sénégal.

Dakar le 26 janvier 2024
Abdoul MBAYE
Ancien Premier ministre
Président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT)
Membre de l’Alliance SENEGAL2024

Cheikh Tidiane Gadio sur l’affaire Karim Wade : « Si les allégations sont prouvées, ça va être un désastre… »

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Après l’invalidation de la candidature de Karim Wade par le Conseil constitutionnel, le Parti démocratique sénégalais (PDS) a mis en place une commission d’enquête parlementaire. Parce qu’il estime que les juges Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye auraient dû se récuser en raison de leurs connexions douteuses et de leur conflit d’intérêts. Sur ce, le leader du mouvement panafricain et citoyen Luy Jot Jotna, Cheikh Tidiane Gadio, milite pour l’éclatement de la vérité sur cette affaire.

« C’est une bonne chose. Parce que quand quelque chose n’est pas clair ou quand il y a des soupçons, il faut vider le contentieux. Maintenant, c’est le prestige de notre pays qui est en jeu. J’espère de tout cœur que ceux qui ont proposé cette démarche détiennent des preuves et des informations qui sont avérées. On a déjà eu le scandale du siècle, je crois que c’était le parrainage et la manière dont des milliers, des centaines de milliers de Sénégalais qui ont parrainé ces 73 candidats rejetés, c’est plus de 3,5 millions d’électeurs, des centaines de milliers de Sénégalais qui ont été rejetés. Pour moi, c’est le scandale du siècle« , a fait savoir Cheikh Tidiane Gadio, ce dimanche, sur Iradio.

Le leader du mouvement panafricain et citoyen Luy Jot Jotna semble interessé que la vérité. « Si des magistrats accusés sont prouvés coupables de quelque chose, ça va même effacer l’autre scandale pour en faire un scandale, parce que nos institutions sont remises en cause. Et tout le travail du Conseil constitutionnel jusque-là sera remis en cause valablement par des citoyens comme moi et comme d’autres« , a-t-il dit.

À la question de savoir est-ce que le PDS a raison ? Il a rétorqué : « franchement, moi je suis un républicain, j’ai quand même été un homme d’État, je l’ai prouvé dans mon action. Je respecte le Conseil constitutionnel comme je respecte la Cour suprême, comme je respecte les grandes institutions de l’État qui font la beauté de notre système politique. Je les défends à priori. Maintenant, je ne vais pas suivre mes états d’âmes au point de dire que c’est peut-être vrai ou ce n’est pas vrai. Je n’en sais absolument rien du tout.

Je ne suis pas mis au parfum de ce dossier, je n’ai pas les éléments, donc je me réserve tout en disant que je suis pour que la vérité éclate. Je suis pour la manifestation de la vérité. Et si, comme je dis, les allégations sont prouvées, ça va être un désastre national pour le Sénégal. Il faudra tout arrêter pour qu’on se parle. »

Six mois après le scandale du bébé retrouvé dans la machine à laver, le directeur de l’hôpital parle (video)

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Six mois après le scandale des restes du bébé retrouvés dans la machine à laver, le directeur de l’hôpital Abass Ndao rompt le silence. Docteur Amadou Ndiaye révèle que des sanctions ont été infligées aux différents fautifs. Il s’agit de la responsable de la crèche qui est déjà en détention préventive. Les deux autres concernés sont membres du personnel de nettoyage et de la buanderie. Ils sont sous contrôle judiciaire. Ils sont tous en arrêt de travail.

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Choix du parrainage des élus locaux : l’avis des présidents de Conseils départementaux

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Dans une déclaration collégiale, les présidents de conseil départemental, membres de la coalition Benno Bokk Yakaar, ont magnifié la démarche de leur candidat en l’occurrence le premier ministre Amadou Ba. Pour eux, le choix du parrainage des élus par ce dernier est un signe d’ouverture et de représentativité nationale.

Sous la présidence de M. Ahmed Youssouph BENGELLOUNE, « nous, Présidents de conseil départemental, membres de la coalition Benno Bokku Yakar, avons organisé une réunion virtuelle le lundi 22 janvier 2024 pour aborder l’actualité politique nationale et la candidature de notre coalition », lit-on dans le communiqué.

« Nous, Présidents de conseil départemental membres de la coalition Benno Bok Yaakar, nous réjouissons unanimement et chaleureusement de la sage décision du Premier Ministre Amadou BA, candidat de la coalition Benno Bok Yakar, d’opter pour le parrainage des élus territoriaux pour le dépôt de son dossier de candidature en vue de l’élection présidentielle », ont-ils ajouté.

Pour les présidents de conseil départemental, cette décision démontre un souci de représentativité accrue et renforce la connexion essentielle entre les citoyens au niveau local et la sphère présidentielle, témoignant d’un engagement pour une représentation unifiée. Nous sommes convaincus que cette option contribuera à une campagne électorale cohérente.

Poursuivant leur argumentaire, ils disent être convaincus du succès de cette première étape de la marche vers la victoire finale qui est la preuve du mérite et de la compétence de leur candidat, renforçant ainsi lieur confiance en sa capacité à servir notre nation au plus haut niveau.

Pour conclure, ils ont réaffirmé leur ferme engagement à soutenir et à travailler activement pour l’élection du Premier Ministre Amadou BA à la présidence de la République. Nous croyons en sa vision et son leadership pour un avenir prospère.

Appelant à l’unité et à la solidarité, nous encourageons tous les exécutifs territoriaux de la coalition BBY à plus que jamais se mobiliser en perspective de la campagne électorale. Ensemble, nous renforçons notre engagement envers les principes et les objectifs communs qui sous-tendent notre coalition.