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mardi, octobre 8, 2024

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Guinée : Le général Mamadi Doumouya dissout le Gouvernement

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C’est une décision inattendue que l’homme fort de Guinée a prise. En effet, dans un décret qui vient d’être lu à la télévision par Amara Camara, ministre Secrétaire général de la Présidence et Porte-Parole du président de la Transition, le général Mamadi Doumbouya a dissous le gouvernement dirigé par le Premier ministre Bernard Goumou. Selon Afrique Sur 7 qui cite la note lue par le ministre secrétaire général de la présidence, « la gestion des affaires courantes sera assurée par les directeurs de cabinet, les secrétaires généraux et les secrétaires généraux adjoints jusqu’à la mise en place d’un nouveau gouvernement.

Dans le même acte du chef de l’Etat, la gestion courante des affaires du gouvernement sera assurée par les directeurs de cabinet, les Secrétaires généraux et Secrétaires généraux adjoints jusqu’à la mise en place du nouveau gouvernement

Modification de la liste des candidats à la présidentielle : Découvrez la réponse de Amadou Ba (ex-Pastef)

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Les candidats recalés à l’élection présidentielle du 25 février 2024 demandent la reprise du processus électoral pour redistribuer encore les cartes. Mais, le mandataire de la « coalition Diomaye Président » s’oppose à cette idée. Selon Amadou Ba, rien au monde ne peut modifier la liste des candidats retenus par le conseil constitutionnel.

« Aucun dialogue, la démission de Macky ou la suppléance du Président de l’assemblée nationale ne peuvent JURIDIQUEMENT modifier la liste des candidats déjà retenus par le Conseil constitutionnel« , lit-on sur sa page facebook.

Amadou Ba s’amuse en donnant un exemple facile à comprendre. « Si on « REPORTE » la coupe d’Afrique ou la ligue des champions même de plusieurs mois, à l’arrivée, seules les équipes DÉJÀ QUALIFIÉES y participeront« , a-t-il écrit.

Il ajoute : « il faut une ANNULATION complète de l’élection présidentielle pour reprendre le processus électoral ENTIÈREMENT; et cela, aucun décret ou loi constitutionnelle ne peut la faire.«

Retrait du Dr Rose Wardini : « Pourquoi doit-on reporter la Présidentielle », selon Oumar Faye (Vidéo)

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Suite au retrait de la candidature de Rose Wardini à l’élection présidentielle, Oumar Faye, leader de Leral Askan, a pris la parole pour revenir sur les considérations du Conseil Constitutionnel. Ce dernier avait annulé le décret présidentiel et l’annulation de la loi votée à l’Assemblée nationale, suscitant ainsi des débats sur les motifs possibles de report de l’élection.

Oumar Faye a mis en lumière le considérant 18 du Conseil constitutionnel, qui énumère les motifs susceptibles d’entraîner un report de l’élection présidentielle. Il a souligné que ce considérant mentionne explicitement la démission d’un candidat comme un motif légal de report. Ainsi, il appelle les candidats lésés à réclamer leur droit et le Président de la République à prendre ses responsabilités.

Évoquant la révocabilité d’une décision du Conseil constitutionnel, Oumar Faye a appelé les Sénégalais à revoir le considérant 18, qui reste un motif légal de report. Il met en avant l’importance de respecter les décisions constitutionnelles et de garantir un processus électoral juste et transparent.

Oumar Faye de Leral Askan souligne l’importance de clarifier les motifs de report de l’élection présidentielle et de garantir la justice électorale.

Présidentielle 2024 : Le plan de sortie de crise de Macky Sall

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Pour Marwane Ben Yahmed, l’heure est à sauver l’essentiel. « Organiser au plus vite la Présidentielle, dans les moins mauvaises conditions et sortir par le haut ». De son avis, dans la tête du président Macky Sall, son plan de sortie de crise est clair. « Mener des concertations politiques afin de dégager un consensus autour des règles du jeu du scrutin, organiser l’élection la plus inclusive possible en conservant les vingt candidats validés par le Conseil, mais en y ajoutant d’autres, revoir le système des parrainages en le limitant à l’onction non plus des citoyens, mais des élus, promulguer une loi d’amnistie afin d’apaiser les esprits, ce qui revient à libérer Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, jugés moins dangereux libres qu’en prison où ils ont revêtu les habits de martyrs ».
Le Franco-Tunisien souligne qu’il reste la dernière épine dans le pied : la date butoir du 2 avril qui marque la fin de son mandat.
Mais, dit-il, « contrairement à ce que prétendent nombre de ses détracteurs qui exigent son départ à cette échéance, le président doit rester en place jusqu’à l’intronisation de son successeur, l’intérim assuré par le président de l’Assemblée nationale n’intervenant qu’en cas d’empêchement ».
Car, ajoute M. Yahmed, « si le successeur n’est pas élu à la date du 2 avril, le chef de l’État conserve son fauteuil sans contrevenir à la Constitution ».
Mais le patron de « Jeune Afrique » pense que si le chef de l’Etat sortant parvient à obtenir un consensus sur ce point avec les principaux ténors de l’échiquier politique, dépasser de quelques semaines cette limite afin d’organiser autrement qu’à la hussarde l’élection, cette dernière pourrait se dérouler courant mai ou juin.
« Amadou Ba resterait le candidat de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakaar (BBY), une alliance pour le second tour serait scellée avec le PDS de Wade, mais aussi avec Rewmi d’Idrissa Seck, voire Taxawu Senegaal de Khalifa Sall, dans une sorte de front républicain face au Pastef. Et ensuite, que le meilleur gagne », a-t-il indiqué.

Libération des détenus politiques: des magistrats s’opposent au procédé

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Dans une lancée de décrisper le climat social, la vague de libération des détenus politiques se poursuit. Une décision saluée et magnifié par la population et en particulier les familles des détenus même s’ils ne sont pas demandeurs. Toutefois, certains magistrats ne sont pas contents du procédé, rapporte Les Echos. Mais c’est peut-être à juste raison. Poursuivre des personnes pour des faits graves ou en tout cas qui méritent le mandat de dépôt pour ensuite les mettre en liberté sans quelles en fassent la demande on est plus sur le terrain de la justice. « c’est de leur faute », réplique un magistrat. Ils auraient dû transmettre ces dossiers aux juges des flagrants délits et ils n’en seraient pas là aujourd’hui », a -t-il lancé. 
 
Alors que des détenus dits « politiques »  sont libérés par vague depuis jeudi 15 février, après des mois en prison sans être jugés, des interrogations sur le procédé surgissent de partout. « S’agit-il d’une liberté d’office ou provisoire ? » A cette question, répond un avocat « c’est le parquet qui libère ». « Sur quel fondement juridique », il s’agit d’une liberté provisoire, renchéri un avocat de la défense. Selon lui l’avocat, « tout a été joué entre le procureur et les juges d’instructions ».  « Ce procédé ne décrédibilise -t-il pas la justice ou les juges »?

Toutefois, tous les dossiers ne sont pas acceptés, il y a des dossiers rejetés par le procureur.

« Le magistrat instructeur, transmet au parquet un dossier avec une liste de détenus interpellés lors des manifestations, si le procureur donne un avis favorable, le tour est joué. C’est lui-même qui réclame à ce que des dossiers lui soient transférés. Seul le parquet peut dire exactement le nombre parce qu’il reçoit des dossiers de différents cabinets d’instruction », a expliqué le magistrat.
 
Pour l’heure le temps de la décrispation fait des heureux. Les détenus bénéficiaires ont retrouvé la liberté et leurs familles et c’est l’essentielle.

Présidentielle : Les inquiétudes croissantes quant à la tactique de « dilatoire » du président Macky Sall

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Le Sénégal se trouve actuellement dans une impasse politique notable, exacerbée par le retard pris par le président Macky Sall dans l’annonce d’une date pour la prochaine élection présidentielle. Ce retard survient dans un contexte où le mandat actuel du président est sur le point de s’achever le 2 avril, et suite à une décision du Conseil Constitutionnel affirmant que l’élection ne peut être reportée, et appelant à une fixation de la date « dans les meilleurs délais ». Cette situation a engendré une vague de réactions parmi l’opposition et la société civile, qui perçoivent ce retard comme une tentative du président de prolonger son pouvoir de manière non conventionnelle. Senego vous fait un tour des réactions et inquiétudes.

Ndiaga Sylla, un expert électoral, a exprimé son mécontentement face à cette situation dans un message publié sur sa page Facebook visité par Senego, le mardi : “C’est le 8 février que j’ai proposé la date du 10 mars. Si le PR avait pris, à temps, les décisions utiles après la décision du CC, cela aurait été la date la mieux indiquée.” Cette déclaration montre l’urgence ressentie par les experts et la nécessité d’agir rapidement pour respecter les exigences constitutionnelles et démocratiques.

Le groupe « SURSAUT CITOYEN », se positionnant comme un groupe de réflexion et d’action pour la sauvegarde de la démocratie et de l’État de droit, a émis un communiqué fort parvenu à la rédaction de Senego, en déclarant que : “La constitution de notre pays impose le respect de cette décision, signifiant la nécessité de poursuivre le processus électoral interrompu et de garantir la tenue de l’élection présidentielle avant l’expiration du mandat actuel, sans possibilité de prolongation au-delà du 2 avril 2024.” Ils ont également souligné : “Le temps est compté pour une mise en œuvre fidèle de ces directives, soulignant l’urgence d’actions concrètes pour respecter les délais constitutionnels.” Et d’ajouter, concernant l’absence de communication du président sur cette question : “Sursaut Citoyen est particulièrement préoccupé par l’absence de communication du président sur la fixation de la nouvelle date électorale. Afin d’assurer une transmission pacifique du pouvoir, conformément aux exigences constitutionnelles le président de la République doit sans délai annoncer la tenue de l’élection présidentielle le 3 mars 2024.”

Dans le paysage politique, Khalifa Sall, candidat à l’élection présidentielle, a marqué sa position par la publication d’une image, signalant que l’élection doit se tenir avant le 2 avril, rappelant ainsi la date d’expiration du mandat de Macky Sall. D’un autre côté, Amadou Ba, représentant du candidat Bassirou Diomaye Faye, a adopté une approche juridique affirmant que : “Aucun dialogue, la démission de Macky ou la suppléance du Président de l’assemblée nationale ne peuvent JURIDIQUEMENT modifier la liste des candidats déjà retenus par le Conseil constitutionnel. Si on « REPORTE » la coupe d’Afrique ou la ligue des champions même de plusieurs mois, à l’arrivée, seuls les équipes DÉJÀ QUALIFIÉES y participeront. Il faut une ANNULATION complète de l’élection présidentielle pour reprendre le processus électoral ENTIÈREMENT; et cela, aucun décret ou loi constitutionnelle ne peut la faire.”

Thierno Alassane Sall, représentant du parti ‘REPUBLIQUE DES VALEURS RÉEWUM NGOR’, a été particulièrement critique envers le président Macky Sall, déclarant : “Visiblement, Macky Sall n’a toujours pas renoncé. Son objectif reste d’annuler le processus en cours, en faisant du troc : amnistie contre inclusion. C’est cela qui explique le dilatoire qu’il observe actuellement qui est source de toute sorte de spéculations. En conséquence, le seul sujet pertinent de discussion avec l’administration est la date du premier tour de l’élection présidentielle. Nous exhortons les Sénégalais à rester vigilants. Nous exhortons les dialogueurs de l’ombre à se départir de la tentation de marcher sur la Constitution en acceptant le report de l’élection. Nous exhortons le Conseil constitutionnel à constater la carence de Macky Sall à exécuter sa décision 1/C/2024, et à en tirer le seul verdict qui vaille: Macky Sall est décidément un putschiste qui n’en démord pas.” Peut-on lire dans un message sur le réseau social X.

Alors que la majorité de la population sénégalaise réclame la tenue de l’élection présidentielle avant le 2 avril, la situation s’avère complexe pour le président Macky Sall dans le choix de cette date. En effet, la fixation de la date de l’élection doit respecter un ensemble de règles précises, comprenant la durée du nombre de jours de campagne électorale, le temps alloué aux réclamations suite à des irrégularités supposées du premier tour, ainsi que la durée de la campagne pour un éventuel second tour et le délai pour d’éventuelles réclamations après celui-ci.

Ces contraintes soulignent la difficulté dans laquelle se trouve le président actuel. Pour respecter tous ces délais, qui sont incompressibles selon la loi électorale, la décision concernant la date de l’élection doit être prise avec une célérité exceptionnelle. La nécessité d’organiser une élection qui non seulement respecte le calendrier constitutionnel mais aussi garantit l’intégrité du processus électoral pose un défi de taille pour le gouvernement sénégalais.

Police sénégalaise et Soul-Manamba : Ce qu’en dit le ministre Guinéen des affaires étrangères

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L’affaire fait grand bruit. L’artiste Guinéen, Soul-Manamba, a eu une altercation à l’Aéroport de Dakar avec la police sénégalaise. Le ministre des affaires étrangères de la Guinée qui était en Éthiopie, a réagi.

Le Dr Morissanda Kouyaté, Ministre des affaires étrangères de la Guinée Conakry explique que tout est parti du fait que Mme Soul Manamba ne pouvait pas répondre à la question rituelle des policiers qui demandaient l’adresse à laquelle elle serait à Dakar. Mais, il informe que tout est rentré dans l’ordre. L’affaire ayant été réglé à l’amiable.

«Après les explications des deux parties j’ai proposé au couple Soul-Manamba de choisir entre porter plainte avec l’assistance de notre ambassade ou régler à l’amiable étant donné qu’il a aussi commis des erreurs notamment les fameux refus d’obtempérer et outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions. Le couple a choisi le règlement à l’amiable. C’est ce qui vient de se faire», a expliqué le ministre.

Il a aussi lancé un appel à ses concitoyens, leur demandant, au cours de leurs voyages, de rester calmes et «évitez d’avoir des altercations avec la police et la douane». «Ils seront toujours prêts à sortir leur “arme fatale” qui est l’outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions», dit-il, promettant de mettre fin à ces tracasseries policières au Sénégal vis-à-vis des guinéens.

Pour l’instant, les autorités sénégalaises n’ont pas publiquement réagi sur la question.

Revirement : Pour Ahmed Khalifa Niasse, « une élection sans Sonko, n’est pas une élection »

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Hier, lors d’une interview accordée à la chaîne Youtube Askan Wi et menée par Aïssatou Diop Fall, Ahmed Khalifa Niasse, une figure religieuse, a exprimé ses vues sur la situation politique actuelle du pays, en mettant un accent particulier sur le report de l’élection présidentielle et l’exclusion d’Ousmane Sonko du processus électoral, en raison de ses démêlés avec la justice. Ahmed Khalifa Niasse a plaidé pour un dialogue national inclusif, soulignant l’importance de la participation de tous les acteurs politiques, et en particulier celle d’Ousmane Sonko, pour la légitimité de l’élection présidentielle.

Ahmed Khalifa Niasse a insisté sur la nécessité d’un dialogue entre le président Macky Sall et l’ensemble des partis politiques, en insistant particulièrement sur la situation d’Ousmane Sonko, actuellement incarcéré. Il a fait valoir que “Il est impératif que l’ensemble des leaders spirituels, depuis ceux de Kaolack, Touba, Tivaouane, Ndiassane jusqu’à Médina Gounass, se rassemblent pour convoquer les politiciens de toutes tendances à une vaste consultation. Il est crucial de comprendre que si nous nous hâtons d’organiser une élection sans garantir une participation universelle, cela s’avérerait vain. Je le souligne avec insistance : cela reviendrait à organiser une compétition d’athlétisme tout en privant le meilleur coureur de sa capacité à concourir pleinement, ce qui manquerait foncièrement d’équité.”

Concernant les rumeurs d’un dialogue en cours entre Macky Sall et Ousmane Sonko, Ahmed Khalifa Niasse a exprimé son scepticisme. Il a révélé que Sonko lui avait personnellement consulté, « Ousmane Sonko m’a personnellement consulté, affirmant clairement que si des rumeurs de discussions avec Macky Sall sans mon implication [celle de Ahmed Khalifa Niasse] circulaient, elles devraient être considérées comme non fondées. Car pour toute négociation avec lui, ma présence est non seulement essentielle mais aussi gage de sa pleine confiance.»

Un épisode poussiéreux au cours des prochaines 72 heures (ANACIM)

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Une suspension de particules de poussière sera notée sur une bonne partie du territoire au cours des prochaines 72 heures, occasionnant une forte réduction de la visibilité, indique l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).

Dans un bulletin transmis à l’APS, l’agence précise que ‘’ce phénomène de poussière va aborder le pays par les localités nord au courant de cette nuit avant de se généraliser progressivement sur l’ensemble du pays durant les journées du mardi et du mercredi’’.

L’ANACIM signale par conséquent qu’une forte réduction de la visibilité sera observée sur le territoire, bien que la partie sud soit relativement moins touchée.

APS

Ziguinchor : un jeune battu à mort, sa famille dans l’incompréhension

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Un jeune homme résidant au quartier Castor de Ziguinchor (sud) a succombé à ses blessures, lundi soir, après avoir été battu par un groupe de jeunes, a appris l’APS de sa famille.

Le drame s’est produit samedi dernier vers 18 heures à hauteur d’un arrêt Jakarta, à Castor.

La victime, Zakaria Sagna, est un ressortissant du village de Toubacouta, un village situé non loin de la commune de Ziguinchor. Il était âgé de 43 ans.

“Mon neveu Zakaria Sagna a été sauvagement battu le samedi soir par un groupe de jeunes”, a déclaré Ibrahima Sané, l’oncle de la victime, les yeux embués de larmes.

Selon M. Sané, son neveu essayait de vendre des troncs de bois au moment des faits. “C’est à ce moment qu’il a été interpellé par un agent des eaux et forêts (une dame)”, et il s’en est suivi une course-poursuite qui a conduit la victime à la hauteur de ces jeunes conducteurs de motos taxis.

“Ils l’ont tué en croyant avoir affaire à un voleur”, a déploré Ibrahima Sané, précisant que son neveu était en tricycle. “C’est moi qui ai élevé Zakaria. C’était un garçon calme, qui n’a jamais manqué de respect à personne. Il était maçon. Il n’a jamais eu de problème avec qui que ce soit. Zakaria se battait jour et nuit pour subvenir aux besoins de sa famille”, a ajouté Ibrahima Sané, avant de réclamer justice.

“Personne n’a le droit de faire justice soi-même. Mon neveu avait l’habitude de chercher du bois mort qu’il vendait à Ziguinchor. Cet agent des eaux et forêts a fait tuer notre fils. Elle est allée trop loin. Nous demandons justice”, a-t-il assené.

La résidence de la victime à Ziguinchor avait été assaillie lundi soir par des parents, amis, voisins et des personnes anonymes venus compatir à la douleur de la famille Sagna.

L’émotion et la tristesse se lisaient sur les visages de toutes ces personnes qui ont pris d’assaut la résidence de la famille Sagna.

Peu avant 22 heures, des jeunes du quartier Nema 2 et Castor, sous le choc, sont sortis pour manifester leur colère.

Une enquête a été ouverte par la police de Ziguinchor.

Avec APS