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samedi, octobre 12, 2024

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Présidentielle : La déclaration du mandataire de Thione Niang sur le dépôt de sa candidature

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Youssouf Diallo, le mandataire national de la « Coalition Jëf 2024 », a franchi une étape décisive en déposant officiellement la candidature de Thione Niang au Conseil constitutionnel ce lundi. Ce geste marque le début d’une période cruciale pour la coalition en lice pour l’élection présidentielle.

En s’adressant aux médias, Youssouf Diallo a partagé des détails sur le processus : « Nous venons effectivement de déposer notre dossier de candidature au Conseil constitutionnel. » Il a exprimé sa satisfaction quant à l’accueil et a souligné la rigueur du processus : « notre dossier a été vérifié pièce par pièce avant notre départ. » Il a également relevé la remise d’une attestation de dépôt qui fait office de convocation pour le tirage au sort imminent prévu le 28 décembre.

L’attention se tourne également vers ceux qui envisagent de se présenter. Le délai pour déposer une candidature est sur le point d’expirer, laissant un peu plus de 24 heures avant la fermeture des soumissions le 26 décembre à minuit. Cela met en lumière l’urgence pour les potentiels candidats de finaliser leurs démarches.

Présidentielle 2024 : Mimi Touré acte sa candidature

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Aminata Touré a déposé son dossier de candidature auprès du Conseil Constitutionnel ce 25 décembre, veille de la clôture des dépôts. L’ancienne première ministre en a fait l’annonce sur ses réseaux.

 « Notre candidature a été déposée ce matin au Conseil Constitutionnel. Je félicite notre mandataire national, nos délégués régionaux, tous les responsables et militants de #Mimi2024 » a-t-elle écrit.

Au delà de ce cap franchi, Mimi Touré promet de continuer de lutter pour « une élection inclusive et transparente continue ».

Arrêté pour les viols de neuf jeunes filles, Oustaz Bayo menace de jeter un sort aux enquêteurs

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Oustaz Bayo, un éducateur religieux à Jaxaay, est accusé d’avoir violé neuf filles parmi les 96 pensionnaires de son établissement. Les détails, rapportés par le quotidien « l’Observateur », révèlent que les examens médicaux effectués sur les victimes présumées montrent de « multiples déchirures anciennes », un témoignage silencieux mais puissant des sévices subis.

Face à ces allégations graves, Oustaz Bayo réfute catégoriquement les faits. Cependant, sa défense semble vaciller non pas sur des preuves concrètes, mais plutôt sur des menaces de malédictions envers les enquêteurs, une tactique rapportée par « Les Echo ». Cette approche peu orthodoxe et désespérée ne fait qu’ajouter une couche de complexité et d’urgence à l’affaire.

Cette menace de semble pas détourner les enquêteurs de leur objectif qui ont réagi rapidement. Après une enquête approfondie bouclée vendredi, Oustaz Bayo a été déféré au parquet. Il est poursuivi pour des crimes extrêmement graves: corruption de mineures, pédophilie et viol sur neuf filles âgées de 12 à 14 ans.

‘Israël’ menacé par des pénuries suite aux attaques yéménites en Mer Rouge : . La coalition souhaitée par Washington en échec

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Les attaques de soutien à Gaza menées par les forces yéménites contre les navires à destination d’Israël commencent à produire leurs effets.

Selon les données de l’Association des chambres de commerce israélienne, une pénurie de produits alimentaires commence à apparaître, et les craintes de carences en approvisionnement de produits casher pour la fête de Pâque sont de plus en plus grandes.

Selon les données du syndicat, seules trois compagnies maritimes assurent encore les livraisons vers ‘Israël’ en suivant les itinéraires traditionnels.

Les plus importants transporteurs mondiaux ont annoncé la suspension de leurs activités dans la région, tandis que d’autres ont modifié leurs trajets en contournant l’Afrique, ce qui les contraint à effectuer les livraisons sur deux navires distincts. Autant de changements qui entraînent déjà d’importants retards dans les livraisons, allant de 30 à 40 jours.

On s’attend également à de très fortes augmentations de prix à l’achat, dues à l’explosion des coûts des transports qui ont augmenté jusqu’à 350 %.

Un importateur de pneus a ainsi signalé une hausse des prix des conteneurs de 1 800 dollars à 6 400 dollars. Les importateurs de voitures, de pièces détachées et de produits alimentaires ont, eux, signalé un doublement des prix des conteneurs.

La coalition souhaitée par Washington en échec

Malgré la création de la coalition «Prosperity Guardian» dirigée par Washington et son élargissement à 10 nouveaux membres, atteignant maintenant les 20 participants, certains pays refusent toujours d’être sous commandement américain.

Dès le départ, ni l’Egypte ni l’Arabie saoudite n’ont accepté de participer à cette opération.

Un communiqué du ministère français des Armées publié le 19 décembre précisait que la France, et sa frégate Languedoc, resterait sous «commandement national» pour garantir sa liberté d’action.

L’Italie en a fait de même, elle qui dispose également dans la zone d’une frégate.

L’Espagne, après avoir accepté, a finalement répondu qu’elle ne participerait qu’à une opération sous mandat de l’OTAN ou de l’UE.

Les Pays-Bas et la Norvège ne feront quant à eux que de la figuration, n’envoyant respectivement que deux et onze officiers d’état-major… sans navires.

Et l’Australie, pourtant fidèle alliée de Washington, a quant à elle refusé la demande américaine de déployer un navire de guerre.

Les Américains ne pourront en pratique compter principalement que sur un destroyer britannique et une frégate grecque.

Selon le Pentagone, les forces yéménites qui contrôlent des pans entiers du territoire yéménite, dont la capitale Sanaa, ont lancé plus de 100 attaques de drones et de missiles, ciblant 10 navires.

Le commandant des forces de défense côtière de la marine yéménite, le général Mohammed Ali Al-Qadri a auparavant affirmé que « tant que l’agression israélienne contre nos frères de la bande de Gaza ne cessera pas, nous ne permettrons à aucun navire israélien de circuler dans la mer Rouge ».

Présidentielle 2024 : 80 candidats déclarés ont déposé 2 400 000 000 FCfa

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Le ballet des candidats à la candidature se poursuit au niveau de la Caisse des dépôts et de consignations (Cdc).

À ce jour, quatre-vingt candidats déclarés ont déposé leur caution au niveau de la CDC. Dans un processus électoral, il y a des étapes à franchir, relate « Rewmi ».

Parmi ces étapes, il y a une étape cruciale qui consiste à déposer sa caution. Pour l’élection présidentielle de février 2024, la caution est fixée à 30 millions FCfa. Et, à la date du 25 décembre 2023, 80 candidats ont déjà franchi l’étape de la caution, auprès de la structure dirigée par Cheikh Issa Sall. C’est dire que 80 candidats ont déposé plus de 2 milliards 400 millions FCfa à la CDC.

Imam Dicko s’explique sur son voyage en Algérie, et évoque une tentative d’assassinat au Mali

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Ce n’est visiblement plus le grand amour entre l’imam Mahmoud Dicko et « ceux qui dirigent actuellement le Mali ». Dans un texte qui sonne comme une explication, cette figure à la fois religieuse et politique a tenu à donner des éclairages sur son voyage en Algérie. Un voyage qui a fait polémique dans son pays. Dans une vidéo enregistrée le 25 décembre depuis un hôpital à Alger, l’imam révèle le contenu de ses échanges avec le président algérien.

« Le président m’a partagé deux points lors de notre entretien. Tout d’abord, il a dit : « J’ai construit la 3e plus grande mosquée au monde après celles de La Mecque et de Médine, mais nous ne voulons pas en faire uniquement un lieu de prière. Nous souhaitons également en faire un centre de réflexion pour les chercheurs et les savants du monde afin de trouver des solutions aux crises multidimensionnelles qui traversent le monde, en particulier les États du Sahel. J’ai remarqué que vous êtes un érudit et méritez une place dans ce centre. » Il m’a assuré qu’il me mettrait en contact avec le recteur, qui est également ministre d’État, pour plus de détails sur le centre. Deuxièmement, il a expliqué : « J’aurais souhaité que les autorités ainsi que les rebelles viennent afin que nous trouvions un terrain d’entente pacifique à la crise malienne, étant donné qu’ils sont maintenant à Kidal, pour éviter d’autres conflits, car nos deux pays sont frontaliers. De plus, ce sont les mêmes peuples qui se trouvent au nord du Mali et au sud de l’Algérie, et rien ne peut toucher le Mali sans que les retombées ne se fassent sentir sur l’Algérie. Nous ne voulons pas qu’ils pensent que nous sommes ennemis. »

Lors de la révélation de son entretien avec le président Algérien, Imam Dicko a abordé la question de ses rapports avec les autorités maliennes, s’interrogeant sur un « tort » qu’il aurait pu causer à ceux qui dirigent actuellement le Mali. Il poursuit ainsi dans ses révélations : « Après avoir quitté le Mali pour La Mecque, où j’ai été décoré d’un trophée, j’ai souhaité le présenter au chef actuel à mon retour. Cependant, il a refusé et par respect, je ne peux pas révéler sa réponse dans cette vidéo. Entre-temps, les jeunes ont pris le pouvoir et, bien que nous ayons travaillé ensemble, depuis ce jour-là, je n’ai eu aucun contact avec les autorités actuelles. Ils ont coupé tous les liens avec moi. »

L’imam Mahmoud Dicko se dit victime d’une persécution qui ne dit pas son nom : « Certains individus ont tout fait pour semer la discorde entre moi et les dirigeants successifs du pays, y compris des politiciens maliens qui m’ont utilisé pour renverser l’ancien régime d’IBK. Ils ont tenté de m’impliquer dans leurs manœuvres pour accéder au pouvoir, une proposition que j’ai refusée ». « Ils ont également tout fait pour me mettre en désaccord avec ces jeunes » ajoute-t-il.

Pire, Imam Dicko affirme avoir été victime d’une tentative d’assassinat. « Ils ont incité l’un de mes proches collaborateurs contre moi, le faisant passer pour le chef des sunnites. Ce dernier est venu dans ma mosquée pour demander aux autres adeptes sunnites de ne pas soutenir celui qui sera arrêté pour avoir parlé de politique. On a même tenté de m’empoisonner dans ma mosquée ».

Ces péripéties n’empêchent toutefois pas le leader politique et religieux de se prononcer sur la gestion du pouvoir au Mali. « Allons-nous rester dans une transition qui ne finira jamais ? Qui souhaite que nous demeurions dans cette transition sans trajectoire ? ».

Amadou Ba à la jeunesse : «Mon ambition, c’est d’être le président de l’emploi des jeunes»

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Au mythique stadium Marius Ndiaye, Amadou Bâ, premier ministre et candidat à l’élection présidentielle de 2024 a adressé un message fort à la jeunesse sénégalaise, soulignant son engagement à transformer radicalement le pays en cas d’accès au pouvoir suprême. Lors de cet événement marqué par l’enthousiasme des jeunes présents, Bâ a détaillé sa vision d’un Sénégal renouvelé.

«Mon ambition, c’est d’être le président de l’emploi des jeunes», a affirmé Bâ, reconnaissant l’importance cruciale de l’emploi dans le pays. Il a promis une ère nouvelle où l’industrialisation et les avancées dans le domaine agricole seront les moteurs d’un progrès tangible. Sa stratégie repose sur une collaboration étroite avec la jeunesse, insistant sur un avenir où les jeunes Sénégalais seront au cœur des réformes et des décisions. «Faites-moi confiance, le pays sera industrialisé», a-t-il assuré, évoquant des «grands bonds» et des «grands progrès» à venir.

Dans son discours, Amadou Bâ a mis l’accent sur l’importance de valoriser les ressources et les talents nationaux avant de s’ouvrir aux entreprises étrangères. Cette approche se veut être un équilibre entre la promotion de l’expertise locale et une ouverture réfléchie sur le monde, favorisant ainsi une croissance inclusive et durable.

Le candidat n’a pas oublié de rendre hommage à Fada, soulignant l’importance de l’unité et de la collaboration pour l’émergence du pays. «Si on parvient à être autour de la table pour discuter et avoir une seule voix pour l’émergence du pays, on arrivera à nos fins», a-t-il déclaré,

Dossiers de candidature : Les choses s’accélèrent au Conseil constitutionnel

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La fin de la période de dépôt des dossiers de candidature pour la présidentielle de février 2024 est prévue pour le 26 décembre à minuit. En ce moment, les mandataires des candidats déclarés se succèdent au conseil Constitutionnel. 

À quelques heures de la fin de la période de dépôt des dossiers de candidature, les dépôts s’accélèrent au Conseil constitutionnel. Ce lundi, Bougane Gueye Dany a fait parvenir son dossier aux sages. «En ce jour béni de noël, le mandataire de Bougane2024 a déposé le dossier de candidature de la coalition au conseil constitutionnel pour l’élection présidentielle du 25 février prochain», a annoncé la coalition «Gueum sa bop» dans un communiqué de presse parvenu à iGFM.

C’est le même jour choisi par les hommes de Mary Teuw Niane pour formaliser leur déclaration de candidature. «Notre candidature a été déposée ce matin au Conseil Constitutionnel», a aussi annoncé Aminata Touré ce lundi de noël.

Le mandataire de Khalifa Sall avait effectué le dépôt depuis vendredi. Celui de Karim Wade est passé au Conseil constitutionnel depuis samedi dernier, tandis que les hommes de Déthié Fall sont passés au Conseil constitutionnel depuis le 15 décembre.

Plus tôt dans la journée, nos confrères de Dakaractu renseignaient que 33 candidats ont déjà déposé leurs dossiers. Il s’agirait de : Cheikh Abdou Mbacké Barra Doly, Ousmane Sonko, Déthié Fall, Pape Djibril Fall, Karim Wade, Cheikh Bamba Dieye, Anta Babacar Ngom, Jean Batiste Diouf, Therno Alassane Sall, Abdoulaye Sylla, Alpha Thiam, Idrissa Seck, Alioune Sarr, Serigne Mboup, Pr Daouda Ndiaye, Ibrahima Hamidou Deme, Abdoul Mbaye, Mouhamadou Madana Kane, Mamadou Lamine Diallo, Aida Mbodj, Mahammed Boun Abdallah Dionne, Ada Coundoul, Momar Ndao, Birima Mangara, Amadou Seck, Aliou Mamadou Dia, Bassirou Diomaye Faye , El Hadji Malick Gakou, Amadou Ba, Dr Abdourahmane Diouf, Mame Boye Diao, Khalifa Ababacar Sall, Babacar Ndiaye.

Conseil constitutionnel : Ce que l’on sait du dépôt discret du dossier de candidature de Sonko

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Le dossier de candidature de Ousmane Sonko a été déposé au Conseil constitutionnel. Une information confirmée par son mandataire Ayib Daffé à nos confrères de Radio France Internationale.

Malgré le refus de la Direction générale des élections (Dge) de lui délivrer les  fiches de parrainages, Ousmane Sonko a bel et bien déposé son dossier de candidature au conseil constitutionnel.

«Nous avons bien déposé notre dossier au Conseil constitutionnel ! » : ce sont les mots de Ayib Daffé, mandataire de l’opposant Ousmane Sonko, qui refuse cependant de dire si c’est lui-même qui a posé cet acte tenu secret depuis dimanche dernier.

Pourtant, toujours d’après nos confrère de RFI,  même les journalistes qui font le pied de grue devant le siège du Conseil constitutionnel affirment n’avoir pas vu le mandataire officiel d’Ousmane Sonko ni avoir recueilli une quelconque réaction de sa part, comme c’est toujours le cas pour les autres mandataires au sortir du bureau du greffe du Conseil.

Selon une source du parti dissout Pastef, c’est une consigne qui a été donnée dans ce sens. Une manière de « détourner les attentions de l’administration centrale qui a même refusé d’accepter la caution de notre candidat et les fiches de parrainage», indiquent ces sources, selon Rfi.