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dimanche, octobre 13, 2024

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«Lynché» après sa déclaration sur l’éligibilité de Sonko, Me Khoureychi Bâ réplique !

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Quel est ce pays où dire le droit est synonyme de traîtrise? Quel est ce pays où dire le droit pose problème dès l’instant qu’il se trouve des oreilles non enclines à entendre dire le droit? Quel est finalement ce pays où la devise « force reste à la loi quand elle m’arrange » s’est substituée à celle stipulant que « la loi est la même pour tous, qu’elle protège ou qu’elle punisse » ?

Oui, c’est évident : L29 ne pose aucun problème. C’est L30 qui « élimine » Ousmane SONKO. En se référant justement à un non-dit enfoui dans la mauvaise écriture vicieuse, lâche et mortifère de ..L30. Glissé subtilement derrière le groupe de mots les « délits autres que »… 

À partir de là il faut aussi être fin et subtil, vicieux comme les petits juristes importés de là-bas au pays des blancs pour comprendre que le 3/ (tiret 3) auquel il est fait renvoi vous redirige au 2/ (tiret 2) et que cet embrouillamini mène à la disqualification de l’adversaire politique visé dès lors que la peine concernée est celle dont la particularité est d’osciller entre plus de 3 mois et d’être inférieure ou égale au maximum à 6 mois… Ce plafond étant le minimum standard requis aux fins d’éliminer l’adversaire.

Nul besoin de se détruire sans intérêt aucun les méninges en convoquant inutilement la peine de « plus de six mois », ou les délits listés ou alors la  caractérisation de crime également visée ou de peine d’amende non existante.

En lecture facile on va donc résumer:

L30: Ne doivent pas être inscrits sur la liste électorale pendant un délai de 5 ans à compter de la date à laquelle la condamnation est devenue définitive les condamnés soit pour un délit visé à l’article L.29, troisième tiret (…) À UNE PEINE D’EMPRISONNEMENT INFÉRIEURE OU ÉGALE À SIX MOIS, soit pour un délit quelconque à une amende sans sursis supérieure à 200.000 FCFA (..)

— QUELS SONT CES DÉLITS ? —

L29 troisième tiret : tout « délit autre que ceux énumérés au deuxièmement ci dessus « .
— QUELS SONT CEUX ENUMERES AU DEUXIÈMEMENT CI DESSUS ? —
L29-2: deuxième tiret : vol, escroquerie, abus de confiance, trafic de stupéfiants… et en général pour l’un des délits passibles d’une peine supérieure à 5 ans d’emprisonnement.
Il est aisé de constater que l’injure et la diffamation n’entrent dans aucune des exceptions prévues par 29-2 et 29-3.
À noter que cette modification des articles relatifs à la Section première : Conditions d’inscription sur les listes électorales a visé à dessein l’article L 29 qui a été réécrit spécialement dans le cadre du « Dialogue National » dans le cadre du vote de la loi n* 2023-16 du 18 Août 2023, JORS n* 7652 du…18 Août 2023, p10-13.
VOILÀ LE SAC FOURRE-TOUT OÙ L’EXPERT EN  LÉGISTIQUE VA METTRE À LOISIR TOUT AUTRE DÉLIT QUI SERA RETENU À L’ENCONTRE DE L’HOMME POLITIQUE DONT L’ELIMINATION EST LE BUT VISÉ.
Donc L30 s’applique. Où est le problème? 
MAINTENANT, LE LYNCHAGE EN DE TELLES OCCURRENCES EST UNE TENTATION FACILE QUAND LE VOLEUR EST DEJÀ ENTRÉ ET QUE LE VOL A ETE CONSOMMÉ…
Pour moins que ça, Socrate avait été condamné à boire la ciguë.  Il avait pu résister et affronter son sort en répétant, le pauvre : « et pourtant elle est ronde! », ce qui allait se confirmer bien plus tard. 
(Par prémonition le matin, quelle ironie du sort!, en plaidant en 4ème position à la suite de mes excellents confrères Ousseynou FALL, Bamba CISSE et Ciré Clédor LY pour clôturer la première liste des orateurs chargés, sur le fondement de l’exception d’inconstitutionnalité de l’article 260 du Code Pénal, d’expliquer à la Cour en quoi elle devait se garder d’entrer dans le fond et arrêter sa saisine, surseoir à statuer, j’avais prononcé à un certain moment ces mots :
  » je vois Socrate se redresser et glisser à l’oreille de son ami Phèdre : de véritable art de la parole en dehors de la vérité il n’y en a pas et il n’y en aura jamais, à quoi Démosthène répliquera : tout dépend du peuple, et le peuple de la parole » …).
Le DONT ACTE publié dans la nuit était pour réparer, non pas une bourde communicationnelle qui n’a jamais été commise, en réalité, mais pour repréciser un oubli de taille qu’explique l’émotion du technicien baignant dans la militance de tout avocat engagé et qui se refuse à figurer en être désincarné et incapable de défendre une cause tout en n’y croyant pas… Cet « oubli » qu’explique aisément un épuisement physique et mental suite à un marathon de quinze très douloureuses et éprouvantes heures d’audience sans se reposer, se sustenter ou même étancher sa soif, entrait donc dans l’ordre naturel des choses. La nécessité de l’exercice communicationnel a été corrélée fortement avec la détermination d’affronter au demeurant la presse également présente depuis les premières heures de la journée pour assurer l’information du peuple sénégalais, ce au moment où mes remarquables confrères, ravagés par la douleur, anéantis par la déception et pétrifiés par la colère, avaient choisi de quitter avec dignité les lieux du crime. 
Le dont acte en appelait in fine à garder à l’esprit que rien n’était encore joué, Ousmane SONKO ayant été réintégré dans le fichier dont il avait été illégalement radié, et qu’il était nécessaire de réintroduire un processus de plus pour tenter d’ acter une nouvelle radiation sur la base cette fois-ci de la toute fraîche condamnation de la nuit du 4 Janvier 2024 pour diffamation et injures.
Cela a été considéré comme une présentation tardive  d’excuses et traité comme tel, dès l’instant que les premières réactions à fleur de peau et basées sur rien d’autre que l’ignorance et la prétention avaient commencé à produire leurs effets, au regard du suivisme moutonnier et de l’incrédulité galopante qui ont acquis définitivement droit de cité sur les réseaux sociaux. 
Le plus important pour nous qui avons l’insigne honneur et le fier privilège de dépenser nos énergies pour la défense de l’homme remarquable, brillant leader et charismatique conducteur de nation qu’est notre client Ousmane SONKO -ce dont moi personnellement je ne remercierais jamais assez Allah- est de garder l’œil rivé sur le manomètre.
CE QU’IL FAUT SAVOIR DÉSORMAIS c’est que le vrai combat ne fait que commencer.
L29 dans le contexte ne remet donc pas en cause les droits de Ousmane SONKO. 
C’est l’article L30 qui fait état d’une inéligibilité temporaire de 5 ans à compter de la date de la décision définitive. 
Il reste de ce fait à initier une procédure de rabat d’arrêt. Cette procédure qui n’est plus suspensive est cependant de nature à empêcher le déclenchement du point de départ du délai de 5 ans.
Par ailleurs, le Conseil Constitutionnel a le dernier mot au moment où cette décision de la Cour Suprême, la plus démoralisante de l’histoire de cette juridiction et de ses devancières, plonge dans la consternation et la douleur les puristes, les juristes, les profanes, l’arrière-ban et jusqu’au bout du bi du ban des mythomanes. 
Les adversaires de Ousmane SONKO, qu’on le veuille ou pas, qu’on le leur concède ou non, ont réussi dans les faits à le rendre inéligible. C’est en droit, de jure, qu’ils ont failli… en se réveillant tardivement pour se mettre à la belle ouvrage exécutée de main de maître, au demeurant. Malheureusement pour eux, il y a la Main invisible qui est venue tout gâter, Celui-là même qui a le loisir de déconstruire tout ce qu’Il n’agrée pas et de pulvériser tout édifice élevé en cachette et au mépris de Ses normes. 
Tirons d’abord dans la sérénité et la reconnaissance envers le Créateur les leçons au lieu de nous vouer aux gémonies à l’instigation des envoyés de la Bête qui essaiment tous les cercles. Surtout que le voile d’obscurité surabondant ajouté par une robe hors prétoire a alimenté passions et mauvaise foi dans un contexte très prévisible dans lequel il fallait somme toute être particulièrement naïf pour escompter que les Sénégalais se présenteraient sur un air de carnaval au rendez-vous de la chose jugée… 
Qu’on se le dise : à la différence de l’oiseau « qui vole et qui fait son nid », l’atterrissage en douceur du cadre de l’aéronautique « qui vole et qui nie son fait » ne sera pas évident. La vérité judiciaire est à la vérité tout court ce qu’est le margouillat au crocodile… »

Violations du CPP : Pourquoi Abdou Karim Guèye et Cheikh Oumar Diagne sont en détention arbitraire

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Substrat de la paix sociale, les règles du droit sont de plus en plus foulées au pied sous nos cieux. C’est du moins la conviction des proches des deux activistes, Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye, qui estiment que le maintien en détention de ces derniers est « arbitraire ». En effet, dans ce dossier, les dispositions du code de procédure pénale, cette formule incantatoire désormais vidée de son sens au Sénégal, sont ‘’allégrement’’ violées.

Un bref flash-back sur les péripéties de cette procédure permet de s’en convaincre. Après leur libération provisoire courant janvier 2023, Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye avaient été arrêtés de nouveau, inculpés puis placés sous mandat de dépôt le 23 mars 2023 par le doyen des juges du tribunal hors classe de Dakar. Ils sont poursuivis pour actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves.

En date du 18 octobre 2023, les inculpés -via leurs avocats- avaient déposé des requêtes aux fins de mise en liberté provisoire. Par ordonnance du 25 octobre 2023, le juge d’instruction a rejeté leur demande de liberté provisoire.

Mais, les deux détenus n’entendaient point rester sur ce revers. Le 26 octobre, les inculpés ont interjeté appel de cette décision de rejet. D’après une source proche du dossier, au regard de l’article 187 alinéa 2 du Code de procédure pénale (CPP), la Chambre d’accusation de la Cour d’appel « doit, en matière de détention provisoire, se prononcer au plus tard dans le mois de l’appel prévu, faute de quoi l’inculpé doit être libéré d’office (…) ».

D’après les dispositions de cet article, la Chambre d’accusation devait juger en appel le Pr Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye au plus tard le 26 novembre dernier, soit le délai d’appel d’un mois (26 octobre-26 novembre 2023). Ce qui n’a pas été fait jusqu’à ce jour.

Ce qui fait que, poursuit notre source, « ils sont en détention arbitraire depuis le 27 Novembre 2023 et par conséquent ils doivent être libérés immédiatement en application de la loi ».

 

Condoléances : Les larmes émouvantes du père de Papito Kara entre les mains de Guy Marius Sagna

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Guy Marius Sagna, accompagné d’une délégation, était à Touba ce vendredi. L’activiste s’est rendu chez Papito Kara pour présenter ses condoléances à la famille en deuil.

Le député a été accueilli par le père de Pape Ibrahima Gueye, qui ne pouvait plus retenir ses larmes…

Regardez :

Nécrologie : Pape Alé Niang annonce la terrible nouvelle

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C’est avec une profonde tristesse que le journaliste Pape Alé Niang a annoncé le décès de son père ce dimanche.

Le fondateur de Dakar Matin a partagé la nouvelle sur sa page Facebook, sollicitant les prières de la communauté sénégalaise pour le repos de l’âme de son défunt père. « Inna lillah wa inna ilayhi raaji’uun. J’ai la profonde douleur et l’immense tristesse de vous annoncer le décès de mon père et sollicite vos prières pour le repos de son âme. Que Dieu lui ouvre grandement les portes du paradis », écrit-il sur son message.

La rédaction Assirou Global Media exprime ses condoléances à Pape Alé Niang et à toute la famille endeuillée en cette période difficile. La perte d’un être cher est toujours douloureuse, et nos pensées sont avec eux pendant cette épreuve.

L’Ucad risque-t-elle une année blanche ou invalide : La Réponse du Recteur

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Le Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Pr Ahmadou Aly Mbaye, a écarté toute possibilité d’année blanche ou année invalide.

L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), depuis les évènements de juin dernier, a fermé ses portes. Malgré moult récriminations, les autorités n’ont pas voulu entamer les cours en présentiel. Certains évoquent un risque d’année blanche ou d’année invalide.

Mais, pour le Recteur de l’Université, cela n’est pas possible à l’heure actuelle. «Sur les 38 établissements les 34 ont fini l’année et il y en a même qui ont commencé l’année en cours (2023-2024). Est-ce qu’on peut parler d’invalidation ?», a-t-il répondu sur le Grand Jury de la Rfm ce dimanche.

L’Ucad avait aussi annoncé la tenue de cours au niveau du Centre international de commerce extérieur du Sénégal (Cices). Mais, le Directeur du Cices avait réclamé un chèque pour ouvrir ses locaux aux étudiants. Le Pr Ahmadou Aly Mbaye a déclaré que cette option a été annulée. «On a sorti le Cices de la liste d’institutions d’accueil de nos activités», a-t-il annoncé.

Gambie / Bicentenaire de Janjangburey : Amadou Bâ, Premier Ministre, magnifie la mémoire du peuple gambien

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Le Premier Ministre, S.E.M Amadou Bâ a eu le privilège de représenter le président de la République S.E.M Macky Sall, lors du festival marquant le bicentenaire de Janjangbureh, commémorant le retour sur l’île de Mac Carthy, le 23 mars 1823, du premier esclave libre, ayant quitté les Amériques pour revenir sur sa terre natale. Aux côtés du président gambien S.E.M Adama Barro, cet événement marquant, symbole de notre histoire commune, a été l’occasion de renforcer les liens qui unissent nos deux nations.

« Par ma voix, le Sénégal s’honore de l’amitié fraternelle et du partenariat stratégique qui le lie à la République sœur de Gambie. Le Sénégal et la Gambie étant un seul peuple, une même culture, partageant la même histoire, je viens ici, par devoir de mémoire, célébrer, avec vous, ce festival qui commémore l’une des pires tragédies de l’histoire de l’humanité ».

Le Premier Ministre Amadou Bâ s’est félicité de l’organisation de cette importante séquence mémorielle, qui témoigne «de la densité de la contribution de la Gambie à notre héritage commun, de la place centrale et du rôle de premier plan joué par Janjangbureh dans la libération des peuples africains ». Selon lui, ce pan de l’histoire mérite d’être porté à la connaissance du monde.

Mega Show: Guédiawaye se prépare à accueillir le BRT…

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Le BRT a offert un beau cadeau de nouvel an à la population de Guédiawaye. BRT en scène, c’est un mega show, organisé au terrain Hamo 6. Le spectacle a été gigantesque avec les artistes de la banlieue, qui ont livré un show mémorable.

Les rappeurs Ngaka Blindé, Jop Sa Brain, Sidy Diop, Mirma et de nombreux artistes locaux, ont tenu en haleine le public jusqu’au milieu de la nuit.

Belle initiative du projet BRT pour une appropriation de cette réalisation à ses bénéficiaires. Ils ont compris que les enjeux d’appropriation du projet par les populations sont importants, avec de nombreux message au public sur le BRT et le slogan, « sunu brt nioko mom ». En tout cas, c’est une belle initiative saluée et chapeau bas pour les organisateurs.

« La fête fut belle avec les feux d’artifice et une trés belle scène.» Maintenant, il reste après lancement prévu le 14 janvier 2024, de ce nouveau moyen transport, devant relever les défis d’entretien, de fiabilité et de prix du billet et autres.

Intégrité et sincérité de la présidentielle 2024 : Mahammed Boun Abdallah Dionne exige un nouvel examen du système de parrainages

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Dans une lettre contributive ou un communiqué, c’est selon, l’ancien PM Mahammed Boun Abdallah Dionne, souligne l’exigence d’un nouvel examen du système de parrainages par le conseil constitutionnel en vue de renforcer l’intégrité et la sincérité de l’élection présidentielle à venir Le candidat aux joutes électorales prochaines étale ses raisons ci-dessous…

Bon an mal an, le Sénégal avance vers la tenue de l’élection présidentielle du 25 février 2024, nonobstant la mise hors course de certaines identités remarquables se situant dans le haut du palmarès de l’opposition politique. C’est donc constater que les pratiques actuelles du système de parrainage balafrent hideusement notre démocratie.

Souvenons-nous qu’en 2019, pour satisfaire l’objectif partagé d’organisation d’élections transparentes, le fichier électoral fut mis à la disposition de tous les candidats d’alors. Mis à niveau aujourd’hui, c’est ce même fichier qui s’est retrouvé entre les mains des plusieurs candidats. Si beaucoup ont pu accéder aux données personnelles des électeurs par manipulation, d’autres, parce qu’ils sont demeurés fidèles aux sacro-saints principes de la grande administration publique, se sont systématiquement détournés de telles pratiques délictueuses.

Sinon comment expliquer que mêmes des anciens membres du gouvernement arrivés il y a moins de 5 ans, dans le quintette majeur de l’élection présidentielle, se retrouvent aujourd’hui avec les contraintes aberrantes de parrainages que nous connaissons en termes de doublons externes.

Aussi, un ancien Chef de gouvernement dénonce-t-il depuis la semaine dernière, des actes de tricherie auprès du Conseil constitutionnel, en menaçant de porter plainte contre X.

Nous remarquons également que le chef de gouvernement actuel, candidat comme il en est de son bon droit, se retrouve finalement grâce à son mauvais droit, le seul à se rabattre vers le parrainage des élus, alors qu’il était attendu de mobiliser plus de 3 millions de parrainages citoyens. Tout ceci fait bien désordre.

Au surplus, une inégalité ab initio est constatée dès le départ avec le choix proposé sur les trois types de parrainage. Le tirage au sort remet en cause l’objectif même du parrainage qu’est la représentativité. Cette équation politico-juridique nécessite des réponses techniques et informatiques qui sont à portée de main pour ceux qui veulent réellement inscrire la trajectoire du pays sur la voie d’un Sénégal réellement démocratique.

C’est pourquoi je demande au Chef de l’Etat, gardien de la Constitution et au Conseil constitutionnel, interprète autorisé de la Constitution, de permettre à la classe politique nationale de tenir une discussion encadrée, immédiate et imminente pour pister les incohérences et trouver des solutions idoines et durables d’une élection libre, apaisée, transparente et régulière.

L’exigence d’un nouvel examen du système de parrainages par le Conseil constitutionnel nous parait ainsi incontournable si nous voulons réellement renforcer l’intégrité et la sincérité de l’élection présidentielle à venir.

Par Mahammed Boun Abdallah Dionne,
Ancien Premier Ministre du Sénégal (2014-2019),
Candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024
Dakar, le 7 janvier 2024

Photos/ Nioro: Le Premier Ministre Amadou Bâ inaugure la route de Wack Ngouna et le Cem Ndiayenne Poste

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Le Premier Ministre Amadou Bâ a inauguré des infrastructures structurantes, ce vendredi 5 janvier 2024. Après une escale sur l’autoroute à péage, pour s’enquérir de la situation des travaux sur le trajet de Thiadiaye, Amadou Bâ a pris la direction de Nioro.

Le Chef du Gouvernement a procédé au lancement d’infrastructures modernes, réalisées dans le cadre du Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires Frontaliers (PUMA). Il s’agit notamment, du lancement de la piste Wack Ngouna-Velingara (968 364 938 FCfa) et de l’inauguration du CEM de Ndiayenne Poste (Keur Maba Diakhou).

Ces programmes novateurs du PUMA, participent à lutter contre le désenclavement de la zone, mais aussi contribuent à l’équité territoriale prônée par le Président Macky Sall.

Lors cette visite, le Premier Ministre est accompagné par une forte délégation, composée de ministres et des autorités compétentes concernées. Pendant ces inaugurations, le Premier Ministre Amadou Bâ a magnifié la vision du Président Macky Sall, « pour un Sénégal de tous, un Sénégal pour tous ».

Ainsi, Amadou Bâ compte pérenniser l’œuvre du Chef de l’État, une fois qu’il sera élu président, au soir du 25 février 2024.

 

Photos/ Nioro: Le Premier Ministre Amadou Bâ inaugure la route de Wack Ngouna et le Cem Ndiayenne Poste

 

Photos/ Nioro: Le Premier Ministre Amadou Bâ inaugure la route de Wack Ngouna et le Cem Ndiayenne Poste

Les mandataires des candidats qui sont passés au second tour convoqués à 18h

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Après la première phase des contrôles de parrainages, les candidats qui sont admis au second tour doivent régulariser.

Leurs mandataires sont convoqués ce vendredi à 18h 00  pour information concernant la notification. Ils auront ensuite 48h pour collecter et déposer leurs dossiers à nouveau au Conseil constitutionnel.

Environ 23 candidats ont encore des chances, même si la mission est presque impossible pour certains.

Liste des candidats admis au Second tour :
1 Me Elh Diouf
2 Rose Wardini 
3 Idrissa Seck
4 Aliou Mamadou Dia du PUR
5 Papa Djibril Fall
6 Serigne Mboup
7 Mahammed Boun Abdallah Dionne
8 Malick Gakou
9 Mamadou Lamine Diallo
10 Souleymane Ndéné Ndiaye
11 Aly Ngouille Ndiaye
12 Serigne Gueye Diop
13 Aminata Touré
14 Bassirou Diomaye Faye
 15Abdoul Mbaye 
16 Mame Boye Diao
17 Dr Abdourahmane Diouf
18 Bougane Gueye Dani
19 Amadou Ly Akilee.
20 Thierno Alassane Sall

Liste des candidats qui doivent régulariser par ordre Croissant

Aliou Mamadou Dia PUR (202 à Diourbel)
Aly Ngouille Ndiaye (1009)
Malick GAKOU (3.449)
Me El Hadji Diouf ( Près de 4000 ) 
Bassirou Diomaye Faye (4.219)
Mamadou Lamine Diallo (5.199)
Idrissa Seck (5.800)
Mouhamed Boun Dione (7.817)
Elhadj Mamadou Diao (11.953)
Serigne Mboup (13.000)
Pape djibril Fall (13.000 et 03 régions)
Serigne G. Diop (13.228 et 02 régions).
Abdoul Mbaye (13.771)
Elhadj Abdourahmane Diouf (13.792)
Thierno Alassane Sall ( près de 14000 )
Souleymane Ndené Ndiaye (18.669)
Aminata Touré (18.980 et 04 régions)
Bougane Gueye ( 18996 )
Amadou Ly ( Près de 24.000 ) 
Rose Wardini (31.000)