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CE QUE LE FACE À FACE MACKY-BOUN ABDALLAH DIONE A DONNÈ

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Votre quotidien Bès Bi Le Jour avait bien dit, dans son édition du mardi 12 septembre qu’à la suite du Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, l’ancien Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne devrait être reçu le même jour. Pour des raisons de calendrier présidentiel, cette audience tat attendue n’a pas eu lieu. Finalement, c’est ce mercredi dans la soirée que les deux responsables et non moins très proches se sont rencontrés.

C’est l’ancien chef du Gouvernement himself qui, au téléphone, a fait savoir à Emedia qu’il a été reçu par le chef de file de la coalition Benno bokk yaakaar, le Président Macky Sall. Pour Boun Abdallah Dionne, l’audience a eu lieu dans une ambiance très chaleureuse et cordiale. Et c’est ce moment qu’a choisi le Président Sall pour demander à son ancien Premier ministre de soutenir le choix qui a été porté sur l’actuel Premier ministre Amadou Ba pour être le candidat de Benno à la présidentielle de février 2024.  Après avoir bien écouté le Président de la majorité BBY, M. Dionne affirme lui avoir bien signifié que le processus qui a abouti au choix de Amadou Ba comme candidat n’a pas été des meilleurs. Résultat des courses, il reste figé dans ses positions et promet très prochainement de s’adresser à ses compatriotes sénégalais.

M. THIOBANE

Ecole de formation par excellence de la haute administration: L’ENA est-elle devenue une fabrique de techno-politiciens ?

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L’École nationale d’Administration (EnA) est un fleuron pour avoir formé plusieurs générations de hauts commis de l’État. Mais depuis des années, force est de constater que les hauts fonctionnaires sortis de cette école ne se contentent plus d’être des soldats du service public.

Entre le Premier ministre Amadou Ba, l’opposant historique Ousmane Sonko, le directeur de la CDC Mame Boye Diao, le président du CESE Abdoulaye Daouda Diallo ou encore des personnalités politiques comme le président du groupe parlementaire de YAW Birame Soulèye Diop, ou Bassiou Diomaye Faye, les énarques semblent se muer en tecno-politiciens qui lorgnent la magistrature suprême.

Héritière d’une tradition d’excellence dans la formation professionnelle des hauts cadres nationaux et africains de l’Administration qui remonte à l’École fédérale d’Administration du Mali, l’ENA est devenue un établissement public à caractère administratif en octobre 2011. Ayant subi des mutations au fil des années, l’école Nationale d’Administration du Sénégal est évidemment le fruit d’une très longue histoire. Ses origines sont à chercher en effet dans l’histoire coloniale du Sénégal, de la France et de l’Afrique-Occidentale française (AOF).

Elle est nommée École nationale d’Administration et de magistrature (ENAM) de 1975 à 1995. Comptant deux cycles de formation, l’ENA forme entre autres les administrateurs civils, les inspecteurs du Trésor, les inspecteurs des impôts et domaines, les conseillers des affaires étrangères, les inspecteurs des douanes et les inspecteurs du travail et de la sécurité sociale. En somme, la crème de l’administration. Mais depuis quelques années, on note l’avènement d’une génération qui ne se contente plus de mener à bien les hautes missions de service public mais dispute aussi le champ politique avec les autres acteurs de la vie publique. Et l’avènement du régime de Macky Sall a accentué cette ruée des hauts fonctionnaires vers la politique.

Pratiquement, ce sont eux, surtout les inspecteurs des Impôts, qui alimentent la vie publique depuis lors. D’abord au sein de la mouvance présidentielle, le Président Sall a mis sur orbite plusieurs d’entre eux au rang desquels l’ex-ministre Mouhamadou Makhtar Cissé. Formé à l’ENAM et sorti avec le brevet de l’Inspecteur des Douanes, l’ancien directeur des Douanes et ex ministre du Budget, ce dernier est manifestement une tête bien faite eu égard à son parcours académique et professionnel. Mais l’Inspecteur général d’Etat a été aussi directeur de cabinet du Président Macky Sall qu’il a soutenu, surtout à Dagana lors des dernières joutes électorales. Écarté du gouvernement depuis 2019, beaucoup analystes ont fait savoir que c’est parce qu’il nourrissait une ambition présidentielle. Discret depuis lors, l’ancien enfant de troupe n’a pas dit son dernier mot. D’autant que sur les réseaux sociaux, certains de ses souteneurs mettent des affiches qui laissent entrevoir que ce brillant cadre sera de la partie en 2024.

Dans cette galaxie des énarques du pouvoir figure aussi l’actuel président du Conseil Économique Social et Environnemental Abdoulaye Daouda Diallo. Si le choix porté sur le Premier ministre Amadou Ba est une pilule difficile à avaler pour ADD, c’est parce que l’Inspecteur des Impôts a soutenu politiquement le chef de l’État durant sa longue traversée du désert après son divorce avec le Président Abdoulaye Wade. L’ancien ministre des Finances ne peut en effet comprendre que son ancien patron qui a rejoint la «Cause» de l’APR tardivement et presque avec sinécure puisse être la personne qui va stopper son ambition de devenir président de la République. Muet depuis l’annonce du choix du candidat de BBY, Abdoulaye Daouda Diallo se fera certainement entendre dans les jours à venir. Il y a aussi le directeur de la CDC Mame Boye Diao.

Un Président Enarque en 2024 ?

Mais la tâche ne sera pas de tout repos pour le futé chef du gouvernement qui a toujours caché avec résilience son jeu. En effet, l’idéologie du Pastef a fortement pénétré la haute administration. Et si les chances de Sonko s’amenuisent de jouer en jour malgré l’enthousiasme encore grandissant de ses militants, il aura un rôle prépondérant à jouer en 2024. Et parmi ses potentiels remplaçants se trouvent des inspecteurs des Impôts très connus comme Bassirou Diomaye Faye et Birame Soulèye Diop, tous membres fondateurs du PASTEF.

Sans oublier les potentiels souteneurs de Mame Boye Diao et d’ADD si ces derniers devaient se présenter. Mais dans tous les cas les hauts fonctionnaires seront bien  »trempés » dans l’élection de 2024. L’ENAM jusque-là a produit des ministres, quatre Premiers ministres (Moustapha Niasse, Mame Madior Boye, Mamadou Lamine Loum, Amadou Ba), des députés, directeurs généraux et présidents d’institutions (Moustapha Niasse, Abdoulaye Daouda Diallo). Peut-être qu’en 2024, on va se retrouver avec un premier énarque
L’As

Visite au complexe mécanique de Pukjung et à une usine d’armes importante

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Kim Jong Un, Secrétaire général du Parti du travail de Corée et Président des affaires d’Etat de la République populaire démocratique de Corée, a visité le complexe mécanique de Pukjung et une usine d’armes importante.

Il a été accompagné par Jo Yong Won et Kim Jae Ryong, po secrétaires corrsthtros du du Comité Comité central central du PTC, Jo Chun Ryong, chef de département du CC du PTC, Kim Yo Jong et Choe Myong Chol, chefs adjoints de
département du CC du PTC.
Les responsables des entreprises susmentionnées l’ont accueilli sur le terrain.
Kim Jong Un a apprécié les ouvriers de Pukjung qui, soutenant la politique du Parti en matière de défense nationale et d’édification économique, s’adonnent à la production
Faisant le tour de plusieurs unités de production, il s’est renseigné sur l’équipement technique actuel et
l’orientation de restructuration technique.
Après s’être informé de l’objectif de production fixé par les membres du Parti et travailleurs du complexe, plan à réaliser avant la fin de cette année, il s’est montré très satisfait, en y apportant son soutien

Guinée: quatre morts dans des heurts avec les forces de sécurité, selon l’opposition

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Un collectif d’opposition en Guinée a rapporté la mort de quatre jeunes lors de heurts avec les forces de sécurité lundi et mardi, jour anniversaire de la prise du pouvoir par des militaires en 2021.

Aucun commentaire n’a été obtenu de la part des autorités.

Dans un communiqué publié tôt mercredi sur la page Facebook d’un de leurs principaux membres, les Forces vives, collectif de partis et d’organisations d’opposition, font état de la mort de quatre jeunes hommes âgés de 15 à 18 ans.

Leur décès porte à 30 le nombre de personnes tuées par les forces de sécurité depuis juin 2022, disent-elles. Cette date correspond à un durcissement de l’opposition vis-à-vis de la junte après la retenue initialement observée à la suite de la prise du pouvoir par les militaires le 5 septembre 2021.

Depuis cette date, 108 personnes ont été blessées par balles et des centaines d’autres ont été arrêtées et détenues arbitrairement, disent les Forces vives.

La junte conduite par le colonel Mamady Doumbouya, investi président, a interdit les manifestations en mai 2022. Les Forces vives ont néanmoins appelé à une marche mardi, jour anniversaire du putsch, pour réclamer un retour rapide des civils à la tête du pays. Elles accusent les autorités de « confiscation » du pouvoir, de répression des libertés et, depuis peu, d’enrichissement.

Un important déploiement de forces de sécurité a empêché la tenue de la marche mardi à Conakry. Comme à chaque appel à manifester, des affrontements ont mis aux prises des groupes de jeunes et les forces de sécurité dans la banlieue de la capitale.

Les militaires qui ont renversé le président Alpha Condé en 2021 ont consenti sous pression internationale à rendre la place à des civils élus d’ici à fin 2024, le temps de mener de profondes réformes, disent-ils.

Les Forces vives accusent les autorités de n’avoir rien entrepris en vue d’un transfert du pouvoir. Le ministre de l’Administration du territoire Mory Condé a au contraire assuré mardi que le gouvernement était « en avance » sur le calendrier convenu avec l’organisation régionale Cedeao pour un retour des civils à la direction de ce pays pauvre à l’histoire politique tourmentée.

La junte se défend de réprimer les libertés.

Zimbabwe : Retour massif des agriculteurs blancs sur les terres réquisitionnées

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Environ 900 fermiers blancs ont repris les activités agricoles au Zimbabwe. Suite à une réforme agraire radicale lancée en 2000, une multitude d’agriculteurs blancs avaient été contraints de quitter leurs terres, sans aucune compensation. Cette initiative, mise en place par l’ex-président zimbabwéen Robert Mugabe, avait pour but de corriger les injustices liées à l’accaparement des terres durant la période coloniale.

Sur les 4.500 exploitations agricoles appartenant à des Blancs en 2000, seuls 300 agriculteurs ont réussi à conserver une partie de leurs terres d’origine au pic de la réforme agraire en 2010. Cependant, des informations récentes indiquent que les fermiers blancs sont revenus au Zimbabwe, suite à une invitation du gouvernement du président actuel, Emmerson Mnangagwa.

Aujourd’hui, on dénombre près de 900 fermes commerciales gérées par des Blancs. La majorité d’entre eux ne cultivent pas leurs propres terres, mais louent des terres confisquées aux Blancs à des agriculteurs noirs, dans le cadre de coentreprises. « L’agriculture redémarre au Zimbabwe et c’est parce que le gouvernement a compris qu’il faut les meilleures personnes sur la terre, quelle que soit leur couleur », aurait déclaré l’un des fermiers blancs.

La plupart des bénéficiaires du programme de réforme agraire n’ont pas réussi à gérer leurs exploitations et ont loué une partie de leurs terres à d’anciens fermiers blancs ces dernières années. D’autres ont formé des partenariats avec d’anciens agriculteurs commerciaux blancs, qui sont désormais responsables de la gestion des exploitations.

Le mal de Touba…se trouve à Touba

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Le premier mal de Touba c’est son maire. Abdou Lahat Ka est le principal frein pour le développement de Touba. Il vit toujours dans la préhistoire. Il n’accepte aucun projet de développement venant d’autres entités. On se rappelle de l’histoire entre lui et Touba Ça Kanam. Le maire avait arrêté le projet des lampadaires à Touba. Un projet qui était porté par cette organisation Mouride qui évolue dans le social. D’ailleurs, ce différend avait fait couler beaucoup d’encre et de salive dans la ville sainte.

Le plus grand échec de Abdou Lahat Ka c’est l’eau. Deuxième plus grande ville du pays, Touba fait toujours face à un manque criard en eau potable. En période de Magal, la situation empire malgré les moyens colossaux dégagés par l’autorité centrale. Et pourtant, la municipalité fait de son mieux pour percevoir ses recettes journalières. La mairie table sur un budget de plus de quatre (4) milliards mais peine à régler l’éternelle question de l’eau.

Touba
La ville sainte inondée

Les inondations enregistrées cette année prouvent que la ville sainte n’est pas bien assainie. La municipalité brille de par son incompétence depuis des années. N’eût été les moyens colossaux dégagés par l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), la situation serait pire pour cette 129ème édition du Magal. Fort heureusement, le pire a été évité de justesse dans certains quartiers. Mais à voir comment les eaux se sont stagnées dans beaucoup de zones, on se rend compte que l’équipe municipale à complètement échouer.

Est-ce un aveu d’échec ou est-ce fait à dessein ? C’est une question que beaucoup se posent. Mais à Touba on semble avoir la réponse. Le maire Abdou Lahat Ka est accusé, en complicité de certains Mbacké Mbacké, de ne pas vouloir régler cette question. Car l’édile de la ville sainte serait propriétaire d’une grande partie des camions vidanges dans la cité de Bamba. Ces camions jouent un rôle essentiel. Car en période de Magal, ils permettent au population d’avoir de l’eau moyennant parfois une certaine somme.

L’autre véritable problème de Touba, c’est la politique. Elle est de plus en plus présente dans une ville où elle est bannie. Des Mbacké Mbacké s’adonnent à cette pratique qui est en porte-à-faux avec les enseignements du vénéré Cheikh. D’ailleurs, c’est à cause de cette politique que la mosquée a subi ce qui pourrait être assimilée à une profanation lors de la visite de Ousmane Sonko.

Cette politique s’est même invitée dans la cour du Khalife. Certaines grandes gueules tirent à longueur de journée sur Serigne Mountakha Mbacké. Uniquement parce-qu’il prend la peine de recevoir tous les leaders qui viennent le voir. Mais aussi parce qu’il y’a dans son entourage des personnes qui ont une certaine appartenance politique. Ce qui commence à exaspérer des talibés qui ne veulent qu’une chose : être de véritables talibés de Cheikh Ahmadou Bamba.

Et pourtant le fondateur du Mouridisme avait prédit ce qui allait se passer. Car selon récits rapportés, Serigne Touba disait que ce qui détruira la confrérie viendra de l’intérieur.

Aliou Niakaar Ngom pour Xibaaru

Grand Magal de Touba : Le ministre de l’Intérieur reconnaît les failles du gouvernement

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Le gouvernement n’a pas attendu le bilan du comité d’organisation du Grand Magal de Touba pour reconnaitre ses failles dans les engagements pris lors des rencontres préparatoires de cet évènement à dimension internationale. C’est le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, à la tête de la délégation gouvernementale, qui l’a avoué de manière indirecte.

Dans sa déclaration, Diome a rappelé le contexte dans lequel la commémoration du départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké s’est tenue. «L’édition 2023 du Grand Magal de Touba est célébrée en période d’hivernage. D’abondantes pluies se sont abattues ces derniers jours», a-t-il soutenu d’emblée en wolof selon les informations recueillies par Walf-groupe.com.

Diome a souligné que l’Etat est conscient des difficultés rencontrées par les populations, notamment les inondations et la pénurie d’eau. Il a insisté sur les efforts déployés par l’Onas et la Brigade nationale des sapeurs-pompiers pour atténuer ces difficultés.

Le ministre a également révélé qu’une deuxième tranche d’investissement sur des infrastructures de lutte contre les inondations, estimée à plus de 23 milliards de francs Cfa, est en cours. Néanmoins, lors de la dernière rencontre d’évaluation des engagements pris par l’Etat, Diome avait chiffré à 92 % les réalisations effectuées.

New York : Les mourides se réjouissent d’avoir célébré le Magal en communion

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A New York, les mourides se sont rassemblés pour célébrer le grand Magal de Touba qui commémore le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba. Le correspondant de Senego au pays de l’oncle Sam a recueilli leurs réactions.

Touba: Les cadres de Pastef s’interrogent sur les 45 milliards du projet anti-inondation

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Où sont passés les 45 milliards d’investissement annoncés dans la gestion des inondations à Touba ? C’est la question que se posent les membres du Mouvement national des cadres patriotes du parti Pastef (Moncap), précisément la sous-commission hydraulique de la diaspora. Cela fait suite aux fortes pluies de la semaine dernière dans la capitale du Mouridisme, rapporte L’As.

Les eaux ont envahi les rues et habitations de plusieurs quartiers de la ville.

Poursuivant, ces partisans d’Ousmane Sonko soulignent que la récurrence et la prévisibilité des inondations dans les cités sénégalaises excluent le lien de cause à effet systématique avec le changement climatique.

Ils sont d’avis que la principale raison est liée à l’absence de réseaux de drainage efficaces malgré l’annonce d’investissements faramineux qui mériteraient d’être audités à l’image du programme décennal de gestion des inondations (2012-2022) doté d’un budget de 750 milliards de Fcfa.

«Pour Touba, les autorités étatiques se félicitent d’un investissement sur le réseau de drainage à hauteur de 45 milliards sur dix années. Ce chiffre relativement important est bien inférieur à la part qui devrait être allouée à la 2e ville du Sénégal sur un tel programme décennal sans compter le symbole que représente la ville sainte pour la majorité des Sénégalais. En tout état de cause, ces investissements ont été inefficaces au vu de la situation constatée dans nos grandes villes notamment à Touba », regrettent les partisans du maire Ziguinchor.

Pire, selon la même source, ajoutent-ils, en 12 années de mise en œuvre de cette politique, l’acuité du phénomène des inondations a considérablement augmenté.

Grand magal de Touba : appel à la paix et bilan des accidents marquent la fin de la cérémonie

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Le sujet phare qui a attiré l’attention des journaux parus ce mercredi 06 septembre 2023 est la clôture de la cérémonie officielle du grand magal de Touba. Plusieurs quotidiens, dont SudQuotidien, Bess-bi et Le Soleil, mettent en lumière l’appel à la culture de la paix, du pardon et de la non-violence lancé par le Khalife général des mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, en direction des autorités et de la classe politique.

En ce qui concerne la sécurité routière, Source A fait état d’un bilan tragique de 16 morts sur les routes du magal. D’après le journal, la majorité de ces incidents se sont produits sur la route nationale, avec 13 cas, contre 4 sur l’autoroute Ila Touba.

La Tribune, de son côté, donne la parole à Bougane GUEYE qui plaide pour la revue à la hausse du budget d’investissement dans la cité de Bamba. Le deuxième sujet d’intérêt de la presse du jour concerne le prochain candidat de Benno Bokk Yaakaar à la présidentielle de 2024.

Enfin, l’actualité internationale n’est pas en reste avec la situation en République de Guinée fortement soulignée par La Dépêche et Dakar-Times. Le journal WalfQuotidien, quant à lui, donne un aperçu des coulisses du sommet sur le climat qui se tient au Kenya.