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Radiation des listes électorales: Ousmane Sonko fixé sur son sort le 14 décembre

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Le juge du tribunal d’instance de Dakar va rendre sa décision sur le cas Ousmane Sonko,  le 14 décembre.

Pour rappel, le tribunal de Dakar a débattu, ce mardi, de la réintégration ou non sur les listes électorales de Ousmane Sonko dont dépend sa candidature à la présidentielle de février 2024.

La Cour suprême avait cassé le 17 novembre un jugement rendu en octobre, qui avait remis M. Sonko dans la course en annulant sa radiation des listes électorales prononcée à la suite d’une condamnation à deux ans de prison en juin dans une affaire de mœurs.

Mbacké: 18 blessés dans un accident à Sadio

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La route continue de faire des victimes dans le département de Mbacké. Un véhicule transportant des vendeurs (« bana-bana ») en provenance du marché hebdomadaire de Gassane, pour rallier Touba, s’est renversé hier soir à l’entrée de la localité de Sadio.
 
L’accident a fait 18 blessés, dont quatre avec des fractures, selon des sources de Seneweb. Les victimes ont été évacuées au centre de santé de la commune de Sadio, avant d’être transférées à l’hôpital Ndamatou de Touba par les sapeurs-pompiers.

Radiation de Sonko des listes électorales : Les premiers éléments de l’audience au Tribunal de Grande Instance de Dakar

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Prévue à la Salle 4, l’audience se déroule finalement à la salle 7 du tribunal de grande Instance de Dakar. Une Salle trop petite pour Contenir le monde venu suivre l’audience. Après l’ouverture, ce sont les avocats de Ousmane Sonko qui sont appelés à la barre pour les plaidoiries. À tour de rôle, Mes Ousseynou Fall, Ndoumbé Wane, Khady Camara, Etienne Ndione ont pris la parole pour défendre leur client Ousmane Sonko pour qu’il soit réintégré dans les listes électorales.

Les avocats sont revenus sur la radiation, la notification de la radiation. Selon les avocats, la loi est violée par l’État du Sénégal pour éliminer un candidat à la présidentielle. Ils appellent le juge à mettre un terme à l’injustice, à l’illégalité et le non-respect des droits civiles et politiques de leur client par l’’État du Sénégal.

À en croire toujours les robes noires, l’État du Sénégal n’a pas respecté les procédures de la radiation de Ousmane Sonko et les procédures de sa notification.

Me Étienne Ndione a même dit que Sonko n’a pas reçu la lettre de radiation.

En face des conseils de l’opposant, l’Agent judiciaire de l’État et les avocats de l’État sont attendus pour porter la réplique.

Juste souligner qu’en plus des robes noires et du public, les leaders de Yewwi et du F2 sont présents dans la salle d’audience pour apporter leur soutien à leur allié.

Genève : Macky Sall appelle à combattre « le radicalisme, le racisme la xénophobie et l’extrémisme violent »

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Le chef de l’Etat, Macky Sall a participé ce mardi 12 décembre 2023 à Genève à la cérémonie commémorative du 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui coïncide avec le 30e anniversaire du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. Le Président du Sénégal à appelé à combattre “sans répit le populisme, le radicalisme et l’extrémisme violent”.

Sous le thème « L’avenir des droits humains, de la paix et de la sécurité« , cette table ronde a permis au Président Sall de réaffirmer l’engagement commun du Sénégal à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans la paix, la sécurité et la primauté du droit.

« Nous y réussirons si nous convergeons vers des valeurs partagées, pas imposées« , a souligné le Chef de l’État avant de rappeler une des déclarations du Président Léopold Sédar Senghor, un de ses illustres prédécesseurs qui disait: « enracinement et ouverture, au rendez-vous du donner et du recevoir, prélude à la civilisation de l’Universel, symbiose de toutes les cultures et de toutes les civilisations« .

Le Président Sall estime aussi qu’entre peuples libres, dont l’histoire et les réalités socioculturelles sont diverses, une seule aire civilisationnelle ne peut définir la manière dont tout le monde doit se comporter en droits et en devoirs.

Le Président de la République appelle également à rejeter avec la même résolution le suprémacisme, le racisme et la discrimination raciale, la xénophobie, l’extrémisme violent, l’intolérance religieuse et la violation du droit international humanitaire.

France / Présidentielle 2024 : Des membres de la diaspora casamançaise et du Sénégal oriental se mobilisent pour Amadou Ba

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La diaspora casamançaise et du Sénégal oriental se mobilise pour l’élection de Amadou Ba. En marge de la visite du Premier ministre et candidat de la coalition BBY, la Convergence des jeunes et cadres de la diaspora casamançaise et du Sénégal oriental s’est illustrée lors du meeting tenu samedi en banlieue parisienne. 
 
Avec une forte mobilisation et des membres établis dans plusieurs pays en Europe, ce mouvement politique entend jouer pleinement sa partition pour l’élection de l’actuel premier ministre à la présidence de la République. 

Le président du mouvement Ibrahim Fara Ndiaye, un militant de l’Alliance pour la République (APR), compte avec ces jeunes cadres, faire le tour de l’Europe pour battre le rappel des troupes.
 
Engagés et convaincus que l’actuel premier ministre “est la personne idéale pour conduire les destinées de notre pays”, les ressortissants de ces régions du sud Est du Sénégal appellent les Sénégalais de tous bords à soutenir le candidat Amadou Ba. Ainsi dans les prochains jours, le mouvement “compte entamer des visites de proximité et des activités d’animation politique”.

Incident au procès de Sonko : Un individu arrêté en pleine séance par des gendarmes dans la salle

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L’audience du tribunal de grande instance de Dakar qui examinait ce mardi la réintégration de l’opposant Ousmane Sonko sur les listes électorales a été suspendue pour 30 minutes, après l’arrestation d’un individu qui filmait les débats avec son téléphone portable.

Le tribunal de grande instance de Dakar, en pleine session ce mardi, a suspendu l’audience pour 30 minutes suite à un incident inattendu.

Un individu, surpris en train de filmer les débats avec son téléphone portable, a été arrêté puis emmené par les gendarmes.

Cet événement survient alors que les avocats de l’opposant Ousmane Sonko viennent de conclure leurs plaidoiries, selon les informations rapportées par Pressafrik.

Tribunal de Dakar : La tension monte entre les avocats de Sonko et le juge dès l’ouverture du procès

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L’audience très attendue opposant Ousmane Sonko à l’État du Sénégal a débuté ce mardi au Tribunal de première instance de Dakar, avec pour enjeu la radiation ou la réintégration de l’opposant sénégalais sur les listes électorales.

Dès le début, des malentendus ont marqué le début de l’audience, principalement dus à une confusion sur le lieu de l’audience. Les avocats de Sonko, conduits par Me Bamba Cissé, se sont initialement rendus à la Salle 4, entraînant un retard dans le démarrage des débats.

Le juge, en charge de l’audience, a accordé quatre heures de temps de parole à chaque partie. Les avocats de l’opposant, au nombre de plus de trente, ont réclamé cinq heures, sans succès, donnant lieu à des échanges tendus. Me Ousseynou Fall, avocat de Sonko, a accusé le juge de partialité, provoquant une réplique ferme de ce dernier, qui a exigé le retrait des propos.

On note la présence de figures politiques, notamment des alliés de Sonko comme Déthié Fall. Alors que les débats se poursuivent, notre équipe suit l’évolution de l’audience minute par minute, s’engageant à fournir des mises à jour en temps réel sur les développements de cette affaire cruciale pour Ousmane Sonko.

Ousmane Cissé, DG de la Somisen: « La roche qui permet de croire à l’existence de diamant au Sénégal, n’existe… »

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Dans ses déclarations, ce lundi 11 décembre 2023, l’ancien Directeur général de Dakar Dem Dikk, Me Moussa Diop, pointe du doigt le ministre Aly Ngouille Ndiaye et le Président Macky Sall, les accusant d’être impliqués dans l’attribution d’un contrat d’exploitation d’une pierre précieuse au Sénégal. Cette fois-ci, c’est Ousmane Cissé, ancien Directeur général des Mines et actuel Directeur général de la Société des Mines du Sénégal (Somisen), qui s’ajoute aux accusations et aux contre-accusations, concernant un possible scandale, lié à un contrat minier pour l’exploitation de diamants avec le groupe Mimran, appartenant à l’homme d’affaires Jean Claude Mimran.

Lors d’une conférence de presse cet après-midi du lundi, le Directeur général de la Somisen a cherché à éclaircir les accusations de Me Moussa Diop. M. Cissé a formellement nié l’existence d’un contrat minier concernant l’exploitation de diamants au Sénégal.

« Dans le portefeuille de la Somisen, il n’existe aucune société qui exploite le diamant au Sénégal », a-t-il déclaré, avant d’esquisser brièvement l’histoire de la quête du diamant, pierre précieuse, au Sénégal, affirmant que, « depuis 1911, beaucoup de missions ont été effectuées et les quelques petites pierres découvertes, ont été effectuées dans la Falémé sur le fleuve Sénégal ».

D’après M. Cissé, depuis cette époque, aucune ressource minière semblable n’a été observée dans le pays. « La roche qui permet de croire à l’existence de diamant au Sénégal, n’existe pas (…) C’est à Kédougou qu’on alimentait de l’espoir dans les localités telles que Wassangara, Bandafassi, mais il n’y en a pas », a lancé le responsable de la Somisen.

Selon lui, « au Sénégal, 15 sociétés sont dans l’exploitation, avec une part accordée à l’Etat entre l’or, le phosphate et le zircon ».

D’autres détails ont été communiqués par l’ancien Directeur général des Mines, notamment concernant les permis d’exploitation. Dans ses récentes déclarations, Me Moussa Diop a mentionné l’émission d’un tel document à Mimran, réalisée par le ministre Aly Ngouille Ndiaye, sur instruction du président de la République, Macky Sall. Ousmane Cissé a saisi cette opportunité pour éclaircir la situation.

« S’il n’y a pas de roche, s’il n’y a pas de diamant à exploiter, donc nécessairement, il n’y a pas un permis d’exploitation ni une concession minière, mais tout de même, l’Etat du Sénégal, dans le cadre de la promotion pour la meilleure connaissance du sous-sol, a eu à délivrer des permis de recherche », ajoute-t-il.

Pour lui, en se référant aux rapports de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE), « le permis est différent de l’autorisation de prospection, laquelle est délivrée par le ministère des Mines, avec la signature du directeur. L’autorité a notamment rappelé les conditions dans lesquelles le permis de recherche est octroyé et exempte le Chef de l’Etat dans le processus de délivrance. S’il s’agit d’un permis de recherche, c’est le ministre qui s’en occupe et non le président de la République », a-t-il conclu.

Birame Khary Ndaw

Graves accusations de Me Moussa Diop : Guy Marius Sagna pour la mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire

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Les graves accusations de Me Moussa Diop ont aussi connu une suite l’Assemblée Nationale. En effet, le député Guy Marius Sagna informe avoir posé un acte pour la mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire afin d’édifier les Sénégalais sur ces allégations. Voici son post informant l’opinion aussi sur d’autres questions d’actualité

Nuyu naa la,

J’ai déposé aujourd’hui lundi 11 décembre 2023 une proposition pour la mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire pour édifier l’Assemblée nationale et l’opinion publique sur les allégations de Me Moussa Diop relatives à des permis d’exploration et d’exploitation d’une mine de diamants impliquant l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye, le Président de la République Monsieur Macky Sall et l’homme d’affaires Jean-Claude Mimran en violation de l’article 25 de la constitution du Sénégal.

Suivant avec intérêt le débat entre le groupe Walfadjiri et le ministre de la communication, j’ai déposé aussi une question écrite relative à la gestion du fonds d’appui et de développement de la presse. Le ministre de la communication ne doit pas gérer ce fonds de manière antidémocratique et combattre de manière décomplexée des groupes – comme Walfadjiri – dont la ligne éditoriale n’est pas conforme aux objectifs politiciens du parti du président de la république.

Les populations de Pékesse (département de Tivaouane)ont manifesté il y a quelques heures pour dire qu’elles ne veulent pas que leur forage soit arraché de leur main et confié à Aquatech. J’ai saisi l’occasion pour interpeller le gouvernement du Sénégal sur les résistances des populations face à la réforme de la gestion de l’eau en milieu rural et les résultats des délégataires du service public de l’eau.

Sur plus de 50 villages et 07 hameaux, 22 villages sont sans électricité dans la commune de Toubacouta. J’ai demandé au gouvernement si le budget 2024 a prévu l’électrification de ces 22 villages de Toubacouta.

Au lycée de Niodior, chaque année les levés font la grève pour les mêmes raisons. Huit (08) salles de classe sur dix-huit (18) sont délabrées. Depuis le 20 novembre 2023, les élèves sont en grève. C’est pourquoi j’ai aussi interpellé le gouvernement du président Macky Sall sur la situation du lycée de Niodior.

Au CEM El Hadji Ibrahima Thiaw de l’Unité 8 des Parcelles Assainies de Dakar, il y a un (01) robinet pour 1400 élèves et un (01) seul gardien pour assurer la sécurité. Six (06) classes physiques sur les dix-neuf (19) sont délabrées alors que l’école compte vingt-six (26) classes pédagogiques. Le gouvernement du Sénégal a été interpellé par une question écrite.

Guy Marius Sagna,

Le Groupe Mimran réfute catégoriquement les « allégations mensongères » de Me Moussa Diop

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Le paysage politique sénégalais est secoué par des allégations explosives, émanant du candidat déclaré à l’élection présidentielle de février 2024, Me Moussa Diop. Dans une récente intervention filmée diffusée sur les réseaux sociaux, il a formellement accusé le Groupe Mimran, ainsi que ses dirigeants, notamment M. Jean Claude Mimran et Mamadou Diagna Ndiaye, d’être impliqués dans l’exploitation d’une prétendue mine de diamants située dans le Nord du Sénégal.

Cependant, le Groupe Mimran réfute énergiquement ces allégations qu’il qualifie de mensongères et dépourvues de tout fondement concret. Dans une déclaration officielle, le groupe souligne plusieurs points cruciaux pour rétablir la vérité.

 

Tout d’abord, il est catégoriquement affirmé qu’il n’existe aucune mine de diamants au Sénégal, en particulier dans la région septentrionale, où les caractéristiques géomorphologiques du sol ne sont pas propices à la formation de gisements diamantifères.

 

De plus, le Groupe Mimran nie toute affiliation avec une prétendue société détenant une autorisation de prospection, alléguée par Maitre Moussa Diop et supposément détenue par Jean Claude Mimran. Cette société, prétendument en relation avec l’exploitation minière, n’est même pas répertoriée dans le Registre minier du Sénégal.

 

Le groupe clarifie également que seules deux sociétés, 2SH et ICT, détiennent actuellement des permis de recherche de diamants au Sénégal, et Jean Claude Mimran n’a aucune participation dans ces entités, comme le confirment les informations officielles du Ministère des Mines.

 

Me Moussa Diop a également prétendu détenir des preuves sous la forme de correspondances entre les parties impliquées. Cependant, le Groupe Mimran dément formellement toute correspondance entre Jean Claude Mimran et Monsieur Aly Ngouille Ndiaye sur ce sujet, qualifiant ces allégations, de pures fabrications.

 

Le Groupe Mimran exprime sa préoccupation face à ces accusations, soulignant qu’elles semblent être motivées par des intérêts politiques. Il met en garde contre la propagation de fausses informations dans le contexte des compétitions politiques et annonce son intention de recourir à des procédures légales pour défendre son honneur et sa crédibilité, fondements de ses missions depuis plus de 50 ans.

 

En conclusion, cette saga de prétendue exploitation de diamants par le Groupe Mimran, est dépeinte comme une histoire farfelue, alimentée par des mensonges délibérés et orchestrée dans un dessein politique. Le Groupe Mimran affirme sa détermination à faire face à toute atteinte à sa réputation, par des moyens légaux appropriés.

Le Groupe Mimran réaffirme son engagement envers l’intégrité et la transparence, appelant à un débat politique fondé sur des faits vérifiables, plutôt que sur des allégations infondées