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Campagne à l’Américaine en vue : Abdoulaye Sylla déploie l’artillerie lourde

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« Qui veut aller loin, ménage sa monture ». Cet adage, Abdoulaye Sylla en fait sien. Aller à la conquête du suffrage des Sénégalais pour la présidentielle du 25 février 2024 n’est pas un jeu d’enfant de chœur et exige une logistique adéquate de la part des candidats. Cela, Abdoulaye Sylla et Abs24 l’ont bien compris. Sur ce registre précis, il n’hésite pas à déployer des moyens colossaux pour son arsenal de terrain destiné à la campagne électorale de 2024. Cette posture du Président de Cpn 50 renvoie à celle de Wade en 1988 ( campagne à l’américaine avec Idy comme Directeur de campagne ».

Le Président du Club de préférence nationale (Cpn50%) n’entend pas aller à la prochaine élection sans une panoplie de moyens énormes. Abdoulaye Sylla a dû dégainer pour acquérir de la logistique de dernière génération dans la perspective de la campagne électorale. Nous découvrons son arsenal logistique. A la suite du dépôt de candidature au conseil constitutionnel, Abs24 est fin prêt à se lancer dans la campagne électorale qui s’annonce pour bientôt non sans miser sur un dispositif et une logistique impressionnante. Comme pour dire qu’il est venu pour gagner la présidentielle.

Influence du candidat Abdoulaye Sylla

De la ressource humaine au cortège, tout reflète l’influence du candidat Abdoulaye Sylla aussi bien dans le monde des affaires que dans la politique. D’abord un jet privé Global Long Range 7500 de luxe, réputé pour son confort et ses fonctionnalités haut de gamme pour arriver à temps partout à travers le territoire national.

Les rares personnes à posséder ce jet privé sont : Bernard Arnault ( 1ère fortune de France et 2ème fortune mondiale) et une actrice Américaine Kim Kardashian. Il a en outre une Cadillac V8 de série limitée 2023; une Range Rover Holland and Holland édition limitée dont seulement 50 unités sont produites chaque année dans le monde dont celle du président Biden, président de la première puissance mondiale. Toujours dans cette chaîne de logistique, il s’est doté de cette Bentley 4×4 édition limitée 2023, une voiture rare construite en un seul exemplaire dans le monde dont les boutons en or 24 carats donnent une touche de luxe supplémentaire.

A travers ce comportement qui reflète une posture de leader incontesté, Abdoulaye Sylla et Abs24 affichent ainsi une seule ambition, celle d’aller à la rencontre des Sénégalais, convaincre et remporter tout haut la présidentielle.

Un Cortège de Luxe a accueilli Abdoulaye Sylla

«Son arrivée à Dakar va bien au-delà d’une simple exhibition de richesse. Cet événement met en lumière son influence considérable et son succès exceptionnel dans les affaires, mais il est crucial de souligner également son engagement envers des causes humanitaires. Au-delà de la parade de voitures de luxe, Sylla incarne un individu qui utilise sa notoriété pour sensibiliser et contribuer au bien-être de la société. Dans l’ensemble, l’entrée de M. Sylla à Dakar restera gravée dans les mémoires comme un moment où le luxe et l’engagement se sont harmonieusement rencontrés, créant une image impressionnante qui reflète la vie et les valeurs d’un entrepreneur hors du commun », renseigne sa cellule de communication.

CONSEIL CONSTITUTIONNEL : PARMI LES 93 CANDIDATS,16 N’ONT PAS VERSÉ LEURS CAUTIONS À LA CDP

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La vérification et le contrôle des parrainages des 93 candidats à la candidature au Conseil constitutionnel est enclenchée depuis hier vendredi.

Mais selon iRadio,16 des candidats postulant pour la présidentielle de 2024 n’ont pas encore versé leurs cautions à la Caisse de Dépôt et Consignation (CDC).

Ce qui signifie en clair qu’ils risquent de ne pas avoir les neuf de pièces requises pour l’obtention des parrainages.

« ÉLECTION TRANSPARENTE ET INCLUSIVE » : LE F24 JUGE SUSPECTE LA DÉCLARATION DU MINISTRE SIDIKI KABA

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La plateforme F24 a émis des doutes, vendredi, sur la sortie du ministre de l’intérieur. Sidiki Kaba qui promet la tenue d’une élection transparente et inclusive.

« En ce qui concerne le ministre de l’intérieur, je considère que sa déclaration est suspecte« , ont-ils lâché face aux journalistes.

Le F24 aurait souhaité le limogeage du Dge

Mamadou Mbodj et Cie ajoutent que si Sidiki Kaba sort cette déclaration pour leur dire qu’il va prendre toutes les mesures pour que tout se passe normalement, « la première mesure qu’il aurait dû prendre, c’est de limoger son directeur général des élections. »

Assurances de Sidiki Kaba

Dans une récente sortie, le ministre qui loue le niveau de la démocratie du Sénégal a assuré qu’il écoutera tous les artisans de la paix dans le cadre de l’organisation de la présidentielle.

Birama Thior – Senegal7

LE MINISTRE MODOU DIAGNE FADA PRÉSIDE LE CONSEIL SUPÉRIEUR DE LA FONCTION PUBLIQUE LOCALE

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Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, Monsieur Modou Diagne Fada, a présidé, jeudi 28 décembre2023, la session du Conseil supérieur de la Fonction publique locale (CSFPL).

Le CSFPL constitue un organe de premier plan dans le processus de mise en place d’une fonction publique locale, conformément à la volonté affirmée par le Gouvernement du Sénégal.

Il a un caractère consultatif et donne son avis sur toutes les questions intéressant les fonctionnaires des collectivités territoriales ou la Fonction publique locale.

Selon le Ministre, la tenue régulière des sessions du CSFPL constitue un indicateur pertinent dans le processus de mise en place de la Fonction publique locale dont les étapes phares ont été consignées dans une feuille de route qui a été adoptée.

Pour rappel, cette feuille de route avait pour actions phares l’élaboration et l’adoption de l’ensemble des textes devant constituer le dispositif légal et règlementaire, l’identification des agents éligibles, à travers la tenue des commissions ad hoc d’intégration (CAHI), la mise en place du Centre national de la Fonction publique locale et de la Formation.

L’objectif de cette session est de procéder à l’étude de trois (03) projets de décrets. Il s’agit :

  • du projet de décret abrogeant et remplaçant les articles 5 et 12 du décret n° 2011-659 du 1er juin 2011 fixant les attributions, la composition, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la Fonction publique locale, modifié par le décret n° 2017-1184 du 06 juin 2017. Il s’agit de suppléer la DCT par le CNFPLF qui a la mission de coordonner la mise en place de la FPL ;
  • du projet de décret fixant la liste des postes, emplois ou fonctions dont les occupants peuvent faire l’objet de réquisition dans les collectivités territoriales.
  • du projet de décret modifiant et complétant le décret n° 2012-973 du 18 septembre 2012 portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la Santé publique et de l’Action sociale des Collectivités territoriales.

Il vise à mettre en cohérence le décret n° 2012-973 du 18 septembre 2012 portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la Santé publique et de l’Action sociale des Collectivités territoriales et le décret n° 2009-752 du 03 août 2009 modifiant le décret n° 96-634 du 18 juillet 1996 portant organisation de l’Ecole nationale de Développement sanitaire et social (ENDSS).

FONDS DE TRANSFERT: PLUS DE 74 MILLIARDS DE FCFA DESTINÉS AUX COLLECTIVITÉS TERRITORIALES EN 2024

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Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du développement des Territoires, Monsieur Modou Diagne Fada, a présidé, au nom de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, la réunion de la Commission restreinte du Conseil national de Développement des Collectivités territoriales (CNDCT), conformément aux dispositions du décret n° 2011-340 du 16 mars 2011 et de l’arrêté n°010443 du 30 septembre 2011 portant création, organisation et fonctionnement de la Commission restreinte au sein du CNDCT

Selon le Ministre, la réunion de ce matin est importante à plus d‘un titre.
En effet, la répartition, en grandes masses, du Fonds de Dotation de la Décentralisation (FDD) et du Fonds d’Equipement des Collectivités territoriales (FECT), intervient dans un contexte où les collectivités territoriales, acteurs incontournables du développement territorial, sont confrontées à de nombreuses problématiques liées à la prise en compte des besoins de leurs populations avec une hausse de la cherté de la vie au Sénégal.

Les ressources affectées à ces fonds ont enregistré une augmentation de 5 milliards de francs CFA ; cela en parfaite cohérence avec les orientations d’accélération de la croissance, chères à Son Excellence Monsieur le Président Macky SALL, selon le Ministre Modou Diagne Fada.

Pour rappel, en 2023 les transferts financiers de l’Etat aux Collectivités territoriales étaient de 69 608 826 520 francs CFA répartis comme suit :

  • Fonds de Dotation de la Décentralisation 30 381 893 371 francs CFA ;
  • Fonds d’Equipement des Collectivités territoriales 39 226 933 149 francs CFA.

Pour une mise à disposition des fonds à temps, le Ministre Modou Diagne Fada a instruit ses services, aussitôt après la réunion, de prendre toutes les diligences pour permettre la signature des arrêtés et la notification aux collectivités territoriales de leurs allocations dans les meilleurs délais.

Selon lui, le Ministre chargé des Finances s’est, également, engagé à affecter les ressources aux collectivités territoriales au plus tard le 31 mars 2023 et cela en dépit du contexte électoral dans lequel le Sénégal sera engagé.

Contrôle des parrainages : Découvrez les membres de la Commission et leurs différentes missions

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Beaucoup de Sénégalais ignorent la composition de la commission qui procède ce samedi 30 décembre aux opérations de contrôle des parrainages des candidats pour l’élection présidentielle de 2024.

En réalité, la commission de contrôle de parrainages est composée des 7 sages du conseil constitutionnel, de leurs assistants, à savoir le greffe et personnel administratif et technique du conseil constitutionnel, et des représentants de la CENA, du ministère de l’intérieur (DGE) et des personnalités indépendantes.

L’Organe délibérant

Les 7 sages du Conseil constitutionnel constituent l’organe délibérant de la commission. Ils procèdent en tant que de besoin, à l’interprétation de la loi et prennent les décisions après consultations des autres membres de la Commission. Et c’est le Président du Conseil constitutionnel qui préside les travaux. Il signe les procès-verbaux du contrôle des listes de parrainage et organise les débuts les séances de travail de la Commission.

Les Assistants

Les membres désignés au titre da personnel administratif et technique, à l’exception de Chef du service informatique, assistent les membres du Conseil constitutionnel dans l’exercice de leurs Attributions.

Les Consultants

Enfin, les représentants de la CENA, des personnalités indépendantes, et les représentants de l’administration ont la qualité d’observateurs. Ils ont voix consultatives.

A noter que la durée de vie de cette commission est éphémère. En effet, à la fin des opérations de contrôle des parrainages des candidats, la commission de contrôle est dissoute de plein droit.

Présidentielle 2024 : Amadou Bâ installe son directoire de campagne ce samedi

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Le candidat de BBY Amadou Bâ va installer ce samedi 30 décembre 2023 son directoire de campagne. Amadou Ba a déjà mis au point sa stratégie de campagne en direction de la Présidentielle. Certainement assuré que l’étape de la collecte des signatures du parrainage ne sera pour lui qu’une formalité, le candidat de BBY va mettre en place, ce samedi 30 décembre 2023, l’équipe qui va lui faire gagner, du moins espère-t-il, l’élection sans aucune difficulté.

Cette équipe va se charger d’organiser et de conduire la campagne électorale et de mobiliser les moyens nécessaires en faveur du candidat ou de la position défendue afin d’obtenir le résultat attendu par toute la coalition au soir du 25 février 2024.

Le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Ba, qui figure à la 68e place à l’issue du tirage au sort, a opté pour le parrainage des élus locaux (maires et présidents de conseils départementaux). Alors qu’il clamait urbi et orbi qu’il détenait plus de 3 millions de parrains.
Senenews

Parrainage : Boubacar Camara valide son dossier

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Le conseil Constitutionnel a contrôlé le fichier de parrainages du candidat Boubacar Camara. D’aprés nos confrères, le dossier du leader de « Jengu Tabax », a été validé.

 » Aujourd’hui, le candidat Boubacar Camara, sorti premier lors du tirage au sort hier, sa candidature a été validée à la suite de l’évaluation du nombre de parrains qui a été déposé, le maximum de 58 975.

Et parmi ceux-ci, il y a 6 069 qui ont été invalidés et introuvables dans le fichier électoral. Ce qui est bizarre, parce qu’on ne peut pas comprendre qu’une carte d’identité nationale dûment délivrée à son propriétaire, qui a pris le soin de nous parrainer, qu’on ne retrouve pas dans le fichier.

(…) Nous avons noté une transparence et une rigueur au niveau du contrôle. On ne demande que cela. On a déposé le nombre de parrains sous clé, sous scellés. Ça a été ouvert devant nous et ça a été contrôlé dans le logiciel devant nous. Ça dure à peu près entre 30 à 45 minutes« , a déclaré Mor Ndiaye, son mandataire. Des propos rapportés par Igfm.

Attaque du Maire Kalidou Wagué à Bokidiawé : Le Président Macky invité à remettre Farba Ngom à sa place

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Matam avait connu des affrontements dans la semaine. En effet c’est le meeting du candidat de la coalition Benno bokk yaakaar (Bby) à Orkadiéré qui a enregistré un incident, incident imputé à Farba Ngom. Il s’agit, selon Samba Ndiaye Sow, la convergence des jeunesses républicaines (COJER) du département de Matam, du cortège du député Kalidou Wagué à Bokidiawé dont il est maire par les « nervis » de Farba Ngom. C’est selon « Tribune » ce qui pousse ce jeune responsable de l’APR à inviter le Président Macky à remettre Farba Ngom à sa place…

« En prélude de l’élection présidentielle du 25 février 2024, l’heure devrait être à l’unité pour plébisciter la candidature de Amadou Ba, mais Farba Ngom et sa bande, comme à l’accoutumée, au lieu de mobiliser les militants et responsables du parti de l’Alliance pour la République (Apr), débloquent des millions pour payer des nervis à seul fin d’ attaquer des responsables des premières heures de l’ APR , et proches collaborateurs du président Macky Sall , en l’occurrence le Maire de Bokidiawé, qui a , pour seul tort, refusé cette gestion clanique de Farba Ngom dans le département », a laissé entendre Samba Ndiaye Sow.

Selon lui, face à cette violence et aux attaques, perpétrées par Farba Ngom et ses acolytes, la Cojer a dénoncé avec véhémence en apportant son soutien au député Kalidou Wagué. Dans la même veine, Samba Ndiaye Sow n’a pas manqué d’interpeller le Président de la coalition Benno, Macky Sall afin de « remettre Farba Ngom à sa place ».
Par ailleurs, la Cojer n’acceptera plus des attaques à l’encontre des responsables politiques du département de Matam.

« Nous rappelons que le seul adversaire actuel reste l’opposition et que le maire de Agnam gagnerait à mettre ses millions pour freiner la percée de l’opposition dans le département » Propos rapporté par le quotidien « Tribune »

La double nationalité dans le contexte des élections 2024 au Sénégal : Les cas de Karim Wade et de Khalifa Sall

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La question de la double nationalité a récemment pris une place centrale dans le paysage politique sénégalais, en particulier, en vue des élections de 2024. Deux figures politiques, Karim Wade et Khalifa Sall, ont été mises en avant dans ce débat, soulevant des interrogations sur leur éligibilité, en raison de leur statut de binationaux. Cette problématique soulève des préoccupations quant à la loyauté des candidats envers leur pays d’origine et alimente un débat passionné au sein de l’opposition et de la société civile.

Le Cas de Karim Wade

Karim Wade, candidat du Parti démocratique sénégalais, est au cœur de cette controverse. L’opposition dénonce une tentative de manipulation politique, visant à l’écarter du processus électoral. Certains opposants considèrent cette démarche comme une menace pour la stabilité politique, soulignant les parallèles avec des situations de crise dans d’autres pays de la sous-région.

La sociologue Fatou Sow Sarr et le politologue Babacar Justin Ndiaye, partagent un point de vue optimiste sur la double nationalité. Ils considèrent que dans un monde de plus en plus connecté, la pluralité des nationalités peut être une opportunité pour le développement du Sénégal, notamment grâce aux envois de fonds des migrants binationaux.

La position de l’opposition

L’opposition, représentée par des voix telles que Seydi Gassama d’Amnesty International, craint que cette polémique ne crée un précédent dangereux. Certains opposants soulèvent la question de la contestation par des candidats exclus, faisant référence à des situations similaires dans d’autres pays de la région.

Les implications juridiques

Selon l’article 18 du code de la nationalité sénégalaise, « tout Sénégalais majeur qui prend une autre nationalité, perd automatiquement la nationalité sénégalaise ». Cependant, les candidats ont la possibilité de renoncer à leur nationalité d’adoption, à la veille de l’élection présidentielle.

Certains acteurs politiques estiment que l’exigence de l’article 28 de la Constitution, stipulant que tout candidat à la présidence doit être exclusivement de nationalité sénégalaise, est justifiée. Ils soulignent que cette exigence n’est pas choquante, étant donné les raisons invoquées et les distinctions déjà présentes entre Sénégalais d’origine et Sénégalais naturalisés.

Comparaison avec le Droit comparé

L’article analyse également le droit comparé, notant que la Constitution sénégalaise est moins restrictive que celle de nombreux pays africains, où l’accès à la présidence est réservé exclusivement aux nationaux d’origine.

Nationalité et élections

L’article explique les dispositions relatives à la nationalité en matière électorale, couvrant à la fois les électeurs et les candidats aux élections présidentielles, législatives et locales.

Élargir la Question de la Nationalité

Le texte suggère d’étendre le critère d’exclusivité de la nationalité à d’autres postes de responsabilité publique, tels que les hauts postes dans la sécurité, la justice, le gouvernement, le parlement et les représentants diplomatiques. Il propose également des sanctions en cas de fausses déclarations sur l’honneur, concernant la nationalité.

Conclusion et perspectives

En conclusion, l’article appelle au maintien du statu quo pour une application rigoureuse de la loi actuelle sur la nationalité. Cependant, il souligne la nécessité d’une adaptation future de la loi aux réalités actuelles et propose une réflexion sur une éventuelle convention internationale sur la question complexe de la double nationalité. Enfin, il invite le gouvernement à renforcer les moyens du Conseil constitutionnel, pour un contrôle plus efficace de la question de la nationalité.

 

( Les News )