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lundi, octobre 7, 2024

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Khalifa Sall critique la proposition de Bassirou Diomaye Faye concernant une « nouvelle monnaie » pour le Sénégal, la qualifiant d’erreur.

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Il semble que Khalifa Sall considère la suggestion de Bassirou Diomaye Faye concernant une nouvelle monnaie pour le Sénégal comme une promesse électorale irréaliste. Selon lui, c’est une « erreur » car, pour l’instant, le pays ne dispose ni des moyens ni des ressources nécessaires pour la mettre en œuvre. Il a exprimé cette opinion lors de son intervention dans l’émission Quartier Général ce vendredi.

Pierre Goudiaby Atepa : « L’État devrait dédommager les candidats et relancer le processus électoral »

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Alors que la Cour suprême est sur le point de rendre sa décision concernant les recours du PDS et des candidats écartés lors du parrainage, Pierre Goudiaby Atepa exprime son souhait de voir le processus électoral recommencer. Selon lui, malgré le début de la campagne électorale, l’État devrait trouver un moyen de compenser tous les candidats et de tout recommencer à zéro dans les trois mois à venir.

« Je me réjouis de la perspective, aujourd’hui, d’une élection présidentielle inclusive et pacifique. Je sais que certains ont probablement investi beaucoup d’argent dans leur campagne. Cependant, l’État devrait pouvoir compenser chacun, et nous pourrions ainsi relancer le processus. Je comprends que tout le monde ne partage pas mon avis, mais je préfère un report de trois mois (de la date de l’élection présidentielle) pour garantir une élection inclusive et restaurer la sérénité dans les esprits et les cœurs », a déclaré l’architecte sur Emedia.

« Je ne suis ni membre du gouvernement ni de la Cour suprême. Je m’exprime simplement en fonction de mes convictions. Personnellement, je souhaite que des solutions soient trouvées pour permettre à tous de participer à l’élection. Je suis convaincu que c’est réalisable. Si la Cour suprême constate un vice de forme, je pense qu’il faudra relancer le processus et trouver un moyen de dédommager tous les acteurs concernés », a-t-il ajouté.

Sonko révèle : « Des discussions ont eu lieu… »

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Après leur libération, Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko ont pris la décision de s’adresser à la presse pour discuter de plusieurs sujets, notamment des pourparlers en cours.

Lors de cette conférence de presse conjointe, le président de l’ancien parti Pastef, Ousmane Sonko, a déclaré avoir engagé des pourparlers avec des émissaires du pouvoir en place. « Leurs émissaires sont d’abord venus me parler du report de l’élection. J’ai fermement rejeté cette proposition. Ils ont avancé l’argument selon lequel l’élection devrait être reportée car elle ne pourrait se dérouler sans ma participation et celle d’un autre candidat. J’ai rétorqué que cela ne justifiait en aucun cas un report », a-t-il expliqué. « Il est vrai qu’il y a des négociations en cours », a ajouté Sonko. « De plus, l’amnistie qui a été rejetée par les députés de Yewwi. J’ai demandé à ces derniers d’inviter le ministre de la justice à clarifier le champ d’application de ce projet de loi », a souligné le leader des Patriotes.

La libération de Sonko et Diomaye : Le rôle clé d’Ousmane Yara…

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Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 mars 2024, Ousmane Sonko et son bras droit, Bassirou Diomaye Faye, ont recouvré leur liberté.

La nouvelle de leur libération, tant attendue, s’est rapidement propagée dans tout le pays grâce aux avancées technologiques.

Selon les informations de « Leral.net », il est essentiel de souligner l’implication d’autres figures influentes dans ce processus. Ousmane Yara, un entrepreneur malien très connecté, a joué un rôle central dans les démarches visant à libérer les détenus et à apaiser le climat politique sénégalais.

D’après la même source, Yara a séjourné au Sénégal pendant un certain temps pour désamorcer les tensions politiques croissantes. À travers des rencontres avec le Président Macky Sall, il a réussi à faire avancer les choses, ce qui mérite d’être salué. Son rôle crucial dans la résolution de la crise politique au Sénégal restera gravé dans les mémoires. Tel une colombe, il a dissipé les discordes entre les deux camps.

Thiedo Mouride : « Diomaye, un homme conciliant et de paix parce que… »

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Thiedo Mouiride a magnifié l’attitude de Diomaye Faye qu’il assimile à un homme « de dialogue et de conciliation ». Selon le chroniqueur de la 2STV, il lui semble que le candidat de Pastef a bien œuvré pour que la paix règne dans ce pays et pour calmer les tensions.

« Diomaye est un homme conciliant, je ne sais pas s’il écoute Ousmane, mais je sais que Sonko l’écoute », a magnifié Thiédo Mouride Sadikh, dans l’émission « Encore Plus ».

Le chroniqueur déclare que: « c’est un homme de paix, de dialogue. Parce que dans cette situation, il semble qu’il fait partie des proches de Sonko qui ont pris ces initiatives.

Avant de faire comprendre que « les gens ne peuvent pas continuer à se battre, et que beaucoup de personnes ont travaillé pour que le Sénégal en arrive là où il en est.

À partir d’aujourd’hui, je peux affirmer que tout ce qui empêchera la tenue des élections présidentielles ne viendra pas du parti Pastef ni du président Macky Sall. »

Désormais, souligne-t-il, « Pastef a changé de cible. Ce n’est plus Macky Sall, mais Amadou Ba. »

Amadou s’adresse à Abdoulaye Daouda Diallo: «Mon frère, on gagnera ensemble et on gouvernera ensemble »

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Au Fouta, l’on se croirait dans une une compétition. Une farouche rivalité pour compter le plus d’individus aux rassemblements de Benno Bokk Yakaar. Chaque commune, chaque village, chaque hameau veut montré sa force de frappes. De bonne augure pour les joutes du 24 mars 2024

.Toutefois, Bokke Dialloube, fief de Abdoulaye Daouda Diallo, semble ravir la palme ce 15 mars 2024, en attendant d’entrer de plain pied dans la région de Matam.

Le dernier village du département de Podor, en dépit du temps chaud et sec qui souffle sur le Fouta mais aussi du ramadan qui épuise les organismes, ne souhaite guère être en reste. Les populations sont sortis massivement, réservant un accueil digne de ce nom à l’ancien Premier ministre Amadou Ba. Elles lui promettent une écrasante victoire au soir du 24 mars 2024.

Ici, on a certes du mal à faire face aux puissant rayons du soleil, mais on n’abdique pas pour autant. La parade est vite trouvée pour resister. On se verse de l’eau glacée pour tenir. Mais pas question de fuir le terrain encore moins céder la plus petite parcelle. Les gens sont décidés. Ils sont déterminés à en découdre pour ouvrir le magistère d’Amadou Ba. C’est l’impression qui se dégage dans tous les coins et recoins visités par le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar.

Le « Kartal ko gootal » (le bulletin est unique), le «hore Pouthiou » (la tête du cheval) pour désigner les couleurs et l’effigie de Benno, à Aéré Lao et Madina Ndiathbe, place est faite à « 100% dans le département de Podor » l’autre leitmotiv ou mot d’ordre donné à Bokke Dialoube.

Le Fouta compte, pour ces joutes électorales, démontrer qu’il reste le premier grenier électoral de la majorité au pouvoir. Une règle à laquelle il faudra rester fidèle, selon Abdoulaye Daouda Diallo. «Le département de Podor se distinguera par un résultat exceptionnel comme à son habitude. On s’y engage et on vous portera à la tête debl’Etat. Ici il ne peut y avoir un choix autre que celui d’Amadou Ba », jure le Président du Conseil Economique, social et environnemental.

Amadou Ba lui emboîte le pas, rappelant l’importance pour lui et ADD de rendre Grâce à Dieu pour avoir l’opportunité d’être dans des positions où l’on parle d’eux. «Il peut y avoir une impression de difficultés entre nous. Mais ce qui nous lie est plus fort que tout ça ». De ce fait, annonce le porte drapeau d’AB2024, «mon frère, on (Amadou et ADD) gagnera ensemble et on gouvernera ensemble ».

Presidentielle 2024 : L’appel du pied d’Amadou Ba au PDS Se dirige-t-on vers une réunification de la famille libérale ?

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Dans tous les cas, tel est le souhait du candidat de Benno Bokk Yaakaar. À l’étape du Fouta, Amadou Ba a profité de l’occasion pour inviter le Parti démocratique sénégalais (PDS) à marcher « ensemble » vers la victoire.

« Aujourd’hui, à une semaine de l’élection, nous devons tous nous unir. Mon ambition, c’est de garder Benno intacte. Mon ambition, c’est d’ajouter d’autres forces comme le PDS et les autres pour qu’ensemble, on puisse préserver la République », a-t-il déclaré. Il a ajouté : « Nous gagnerons ensemble, nous gouvernerons ensemble. Nous partagerons les responsabilités, nous serons ensemble pour que le Sénégal soit dans la paix ».

« Le chef de l’État, Macky Sall, ambitionne de faire du Sénégal un pays émergent à l’horizon 2035. Amadou Ba le promet 5 ans plus tôt : « Moi, je promets l’émergence en 2030 ».

Moustapha Diakhaté : « Macky Sall a trahi les Sénégalais »

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Fondateur de Àar Doomi Senegaal/Mouvement pour la République et la démocratie, Moustapha Diakhaté n’est pas en phase avec le chef de l’État Macky Sall de reporter le scrutin présidentiel et de faire libérer le leader du parti dissous Pastef, Ousmane Sonko, à travers une loi d’amnistie.

« La tentative inconstitutionnelle d’interrompre le processus électoral et l’amnistie des crimes et délits commis par Ousmane Sonko et ses amis constituent des fautes dont le président de la République porte l’entière responsabilité », a-t-il déclaré dans un long texte pour acter son divorce d’avec le patron de l’Alliance pour la République (Apr). Il ajoute : « Le président Macky Sall a trahi le peuple sénégalais, ceux qui l’ont soutenu durant sa traversée du désert et porté au pouvoir pendant 12 ans. »

Car, selon l’ancien président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yaakaar, « le président de la République Monsieur Macky Sall, qui devait être le pompier du Sénégal, est devenu son pyromane ».

Allant plus loin, M. Diakhaté est d’avis que le bilan du président Sall, aussi reluisant soit-il, est affaibli par des actes récents qui perturbent le chemin de départ du pouvoir balisé depuis le discours historique du 3 juillet 2023.

Abdoulaye Daouda Diallo Et Amadou Ba À Aere Lao : Une Étape Cruciale Dans Les Campagnes Présidentielles De 2024

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La présence conjointe d’Abdoulaye Daouda Diallo et d’Amadou Ba à Aere Lao témoigne de leur engagement à mobiliser les électeurs dans toutes les régions du pays. En se rendant dans cette localité, les candidats manifestent leur volonté de comprendre les préoccupations spécifiques de ses habitants et de leur présenter leurs programmes respectifs.

Aere Lao, comme de nombreuses autres régions du Sénégal, joue un rôle clé dans le paysage politique du pays. Son soutien peut faire pencher la balance en faveur d’un candidat ou d’un autre, d’où l’importance stratégique de cette visite.

La présence de ces deux personnalités politiques éminentes souligne également l’importance de l’unité au sein de leurs partis respectifs. En unissant leurs forces et en travaillant ensemble, ils envoient un message fort à leurs partisans et à l’ensemble de la population, affirmant que leur objectif commun est de servir le peuple et de promouvoir le progrès du pays.

Les électeurs d’Aere Lao auront ainsi l’opportunité d’entendre directement les propositions et les promesses des candidats, leur permettant de prendre des décisions éclairées lors des élections à venir. Cette interaction directe entre les candidats et les électeurs est essentielle pour renforcer la démocratie et promouvoir un processus électoral transparent et inclusif.

En conclusion, la visite d’Abdoulaye Daouda Diallo et d’Amadou Ba à Aere Lao marque une étape significative dans les campagnes présidentielles de 2024 au Sénégal. Leur présence témoigne de leur engagement envers tous les citoyens du pays et de leur détermination à obtenir le soutien de chaque communauté. Les électeurs sont désormais appelés à écouter attentivement les propositions des candidats et à exercer leur droit de vote en toute connaissance de cause pour façonner l’avenir de leur nation.

 

Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie

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Le juge des référés vient de statuer sur le recours de Karim Wade et Cie. Il a déclaré irrecevables les requêtes en suspension déposées par le PDS et les candidats dits spoliés.

A noter que le procureur avait demandé que les deux requêtes soient déclarées irrecevables parce que visant le même objectif : annuler le processus électoral.

Pour rappel, la Cour suprême examinait en audience publique, ce vendredi, les requêtes en référé pour excès de pouvoir contre les décrets fixant la date de l’élection présidentielle du 24 mars, convoquant le corps électoral et déterminant la durée de la campagne électorale pour le scrutin.