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À partir du 1er février, il y aura une partie de l’autoroute Mbour-Fatick-Kaolack qui sera ouverte et gratuite.

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Une partie de l’autoroute Mbour – Fatick – Kaolack sera ouverte à partir du 1er février. Elle sera gratuite pour une durée de deux mois.

Le tronçon autoroutier Mbour-Thiadiaye, (prolongement de l’autoroute Aibd – Mbour), sera ouvert de façon provisoire et gratuite, pour une période de deux (02) mois, à partir du jeudi 1er février 2024. L’annonce a été faite par le préfet de Mbour, Amadou Kâ.

Ainsi, les usagers en provenance de l’autoroute Aibd – Mbour ou de la route nationale n°1 pourront rallier Thiadiaye par l’autoroute à partir du giratoire de l’échangeur de Keur Balla LO à Malicounda et en passant à l’intérieur de la gare de péage de Mbour.

Aussi, les usagers en provenance de Thiadiaye pourront rallier l’autoroute Mbour-Thiadiaye en empruntant la route Thiadiaye – Nguéniéne sur environ deux (02) kilomètres.

Cependant, un ticket d’identification sera remis à l’usager en provenance de Thiadiaye qu’il présentera à la sortie de la gare de péage de Mbour, informe le préfet qui recommande le respect strict des limitations de vitesses et des consignes de sécurité

Audience Macky – candidats recalés : Mimi s’en démarque complètement

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Le présidence Macky Sall est-il sur le point de recevoir des candidats recalés à la présidentielle de 2024 ? En tout cas, Mimi Touré a très tôt clarifié sa position. L’ex-première ministre a précisé, ce mardi, qu’elle n’y participerait pas.

« Je ne suis en aucune manière intéressée par une rencontre avec Macky Sall qui m’a illegalement renvoyée de l’Assemblée et fait  annuler mes dizaines de milliers de parrains pour m’éliminer de l’élection présidentielle. Tout ce qu’il reste à faire à Macky Sall c’est de respecter la date officielle de l’élection présidentielle du 25 février, d’organiser des élections libres et transparentes et de libérer  les milliers de prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons. L’opposition devra s’unir pour battre son candidat Amadou Ba dès le 1er tour et engager notre pays sur le chemin du changement véritable », a publié Aminata Touré sur sa page facebook ce mardi.

Dans son discours, Macky Sall a déclaré : « La paix ne sera pas possible pour ceux qui cherchent à semer le chaos… »

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Le Président de la République du Sénégal semble être totalement en colère contre ses détracteurs surtout ceux et celles qui évoquent en face du monde son « bilan immatériel ». Macky Sall assure qu’aucune tentative de déstabilisation du pays ne va prospérer sous son magistère. Le chef de l’Etat s’exprimait, ce mardi, lors d’un symposium dénommé « les années de Macky Sall ».

Pas de prisonnier politique

« Sur la gouvernance, quand j’entends parfois dire le bilan immatériel, quel bilan immatériel, il n’y a pas de bilan immatériel. Ça veut dire quoi un bilan immatériel. Si vous voulez un débat, proposez le débat et on va répondre. Si ce sont les droits de l’homme, nous sommes notés par les agents indépendants. Il n’y a pas de prisonnier politique dans ce pays. Il ne faut pas créer de la confusion et que d’autres amplifient des choses« , a déclaré Macky Sall.

La colère rouge

Le chef de l’Etat souligne que les pouvoirs dans ce pays sont indépendants. « C’est parce que le Sénégal est une démocratie véritable que ce qui se passe peut se passer chez nous. Les gens pensent souvent que le président a le contrôle sur les juges, sur le Conseil constitutionnel, sur la Cour suprême. Vous avez vu ce qui s’est passé récemment, tout ce qui s’est passé qui consacre plus que l’indépendance du juge« , a-t-il dit.

Les menaces

Le président de la République fait dans la menace. « Par contre, Il n’y aura pas de paix pour ceux qui veulent instaurer le chaos. C’est le devoir régalien d’un Etat. Je n’accepterai pas le désordre dans le pays. C’est la responsabilité de l’Etat. S’il ne le fait pas, il aura failli à sa mission première d’assurer la sécurité et la paix des citoyens. Si on est fâché contre moi à cause de ça, je suis désolé mais ça c’est mon travail« , a fait savoir Macky Sall.

Prokhane: Le Premier Ministre Amadou BA a effectué une visite de courtoisie chez le khalife général des mourides, Serigne Mouhamadou Mountakha Bachir MBACKÉ,

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ce mardi 23 janvier 2024. Accompagné d’une forte délégation, Amadou BA s’est entretenu avec le saint homme à qui il a demandé de prier pour la paix, la stabilité et la prospérité, non sans lui transmettre les salutations du Président de la République et du Gouvernement. Le Premier Ministre a ensuite insisté sur sa volonté de se recueillir dans la cité religieuse et de solliciter les prières du khalife général des mourides, en raison de l’affection que ce dernier lui porte.
A son tour, le saint homme a fortement apprécié la richesse de leurs échanges et a prié pour lui et pour le pays.
Cette visite qui intervient à la veille du Magal de Porokhane marque une étape importante d’un périple que le Premier Ministre effectue dans plusieurs foyers religieux. Le Magal de Porokhane qui sera célébré ce jeudi 25 janvier 2024 marque la commémoration de la vie de Sokhna Mame Diarra BOUSSO mère de Cheikh Ahmadou Bamba

Hadjibou Soumaré met en garde contre l’audience annoncée des candidats recalés avec Macky Sall et le rapport de la Présidentielle.

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Les candidats recalés avaient saisi le Président Macky Sall d’une correspondance. Et ce mardi, une rumeur fait état d’une audience éventuelle entre le président Macky Sall et les auteurs de cette correspondance. Hadjibou Soumaré a tenu à monter au créneau pour mettre en garde contre toute compromission.

Retrait des cartes issues de la dernière révision : Une faible affluence des électeurs

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Ce n’est toujours pas le grand rush au niveau des Commissions de distribution des cartes d’électeurs. En effet, un petit tour effectué dans quatre d’entre elles, a permis de constater une affluence timide des électeurs. De Grand-Dakar au Point E, en passant par Gueule Tapée-Fass- Colobane et la Médina, les présidents de commission nous ont fait constater que les propriétaires des cartes ne viennent pas. « Sud Quotidien »

Lancée depuis le 11 janvier dernier, l’opération de distribution des cartes d’électeurs de la dernière révision pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, poursuit son cours, malgré une réaction timide des populations, propriétaires de ces cartes. De la Commission de distribution de Grand-Dakar, à celle de la Médina, en passant par les commissions de Point E, Gueule Tapée-Fass-Colobane, où nous avons effectué un tour, le constat est partout le même : les propriétaires de ces cartes se font encore désirer, pour l’essentiel.

A Grand-Dakar, le président de la commission qui nous a répondu, sous le sceau de l’anonymat, déclare d’emblée : «on ne sent pas trop l’engouement chez les propriétaires de ces cartes. Depuis qu’on a débuté, il n’y a pas réellement une affluence. Sur la table, on constate qu’il y a, à peu près, une centaine de cartes qui souffrent toujours, à l’attente de leurs propriétaires».

Après Grand Dakar, nous nous sommes rendus à la commission qui se situe au Point E. Là, Mamadou Ndiaye, président de cette commission informe : «Nous avons démarré depuis le 11 janvier ; mais finalement ça se passe bien. Il y a une affluence. Les propriétaires des cartes sont en train de venir les récupérer».

A quelques encablures, se trouve la Commission de distribution de la commune de Gueule Tapée-Fass-Colobane. Dans cette commission, le président qui se réservait de nous informer sur la situation, a fini par nous confier : «les propriétaires sont en train de venir, mais de manière timide».

Même constat également au niveau de la Médina, où la commission est logée au sein de l’INSEPS. Trouvé couché sur la table, le président de ladite commission nous a servi, à peu près, la même réponse

Répondant sous le sceau de l’anonymat, ce dernier révèle également que «les gens viennent, mais pas de manière conséquente. Peut-être, d’ici la clôture, on verra une forte affluence». Il faut noter que la distribution des cartes devait débuter au moins quarante-cinq (45) jours avant le premier tour du scrutin du 25 février 2024.

Karim Wade pas Sénégalais…: « Ce qui est anormal et absurde », Alioune Tine

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Le Pds est dans la tourmente. Son candidat déclaré à la Présidentielle 2024 sur le carreau pour un problème de nationalité. Ce qui frustre Alioune Tine qui tombe des nues.

Le Parti Démocratique Sénégalais (Pds) et la Coalition K24 ont fini de dénoncer le coup d’État pré-électoral orchestré par le Conseil Constitutionnel.

Une élimination de Karim Wade de la course présidentielle est une manœuvre inacceptable visant à faciliter l’ascension du très impopulaire premier ministre Amadou Bâ, ont-ils ajouté.

« Ce qui est anormal et absurde aujourd’hui est de dire que le fils du Président Abdoulaye Wade n’est pas Sénégalais. Le reste est sans importance. Karim Wade est sénégalais . Un point c’est tout », lâche dépité Alioune Tine, Président Afrikajom Center.

Tsahal ne parviendrait jamais à détruire la totalité des tunnels du Hamas

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Ce constat semble désormais partagé par l’ensemble des forces israéliennes sur le terrain, écrit Haaretz.

Comme le révèle le quotidien,

🔻 « Les tunnels sous la bande de Gaza existaient avant la création du Hamas en 1987, et continueront d’exister après cette guerre »;

🔻 « Le Hamas dispose de suffisamment d’espace pour déployer ses forces sous terre »;

🔻 « Il n’y a pas probablement pas assez de bombes dans l’ensemble des forces aériennes du monde pour détruire tous ces tunnels ».

L’état-major israélien pencherait désormais pour interdire l’accès aux tunnels plutôt que d’essayer de les détruire tous.

Les noms de 17 soldats génocidaires liquidés cette nuit à Gaza par la résistance héroïque palestinienne et qui ont été autorisés à être publiés.

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01 – Le sergent-major (de réserve) Matan Lazar, 32 ans, de Haïfa, combattant du bataillon 6261, brigade 261.

02 – Le major (à la retraite) Hadar Kapeluk, 23 ans, de Mvo Beitar, commandant de classe du 8208e bataillon, brigade 261.

03 – Le sergent-major (de réserve) Sergey Gontmaher, 37 ans, de Ramat Gan, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

04 – Major (de réserve) Elkana Yehuda Sfez, 25 ans, de Kiryat Arba, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

05 – Le major (de réserve) Yoval Lopez, 27 ans, d’Alon Shavut, combattant du bataillon 9206, brigade 205.

06 – Le major (de réserve) Yoav Levi, 29 ans, de Yehud-Monoson, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

07 – Le major (de réserve) Nicholas Berger, 22 ans, de Jérusalem, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

08 – Le major (à la retraite) Cydrick Garin, 23 ans, de Tel Aviv-Yafo, combattant du 8208e bataillon, brigade 261.

09 – Le général de division (de réserve) Rafael Elias Mosheyoff, 33 ans, de Pardes Hana-Karkur, combattant du bataillon 6261, brigade 261.

10 – Major (de réserve) Barak Haim Ben Valid, 33 ans, de Rishon Lezion, commandant de classe du bataillon 6261, brigade 261.

11 – Général de division (de réserve) Ahmad Abu Latif, 26 ans, Merhat, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

12 – Le capitaine (de réserve) Nir Binyamin, 29 ans, de Givatayim, officier de combat du bataillon 8208, brigade 261.

13 – Major (de réserve) Elkana Vizel, 35 ans, de Bnei Dekalim, commandant de classe du bataillon 8208, brigade 261.

14 – Le major (de réserve) Israel Socol, 24 ans, de Samarie, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

15 – Capitaine (de réserve) Ariel Mordechay Wollfstal, 28 ans, d’Elazar, officier de combat du bataillon 9206, brigade 205.

16 – Le major (de réserve) Sagi Idan, 24 ans, de Rosh Ha’Ain, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

17 – Le major Mark Kononovich, 35 ans, de Herzliya, combattant du bataillon 8208, brigade 261.

 Détails de l’opération héroïque de la résistance palestinienne hier soir à Gaza

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📣Un certain nombre de forces du bataillon de réserve 8208, notamment de l’infanterie, du génie et des blindés, sont entrées dans la zone pour détruire un certain nombre de bâtiments appartenant à la population de Khan Yunis.
Les forces genocidaires israéliennes commencent à utiliser de grandes quantités d’explosifs dans 2 bâtiments, ignorant que toutes ces actions sont surveillées par les forces des Brigades Al-Qassam.

Après avoir déclenché les explosifs, vers 16 heures, un des membres des forces de la résistance palestinienne a tiré avec un lance-roquettes sur un char, tuant deux officiers présents dans le char et en blessant deux autres.

Dans une deuxième étape, un autre combattant palestinien a tiré avec un RPG sur l’un des bâtiments où se trouvaient des dizaines de militaires ennemis, ce qui a provoqué de lourdes explosions dans les 2 bâtiments.

Le décompte des victimes israéliennes n’est pas terminé. Le bilan est très lourd.