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dimanche, octobre 6, 2024

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Le Grand Diao : La disparition d’un géant (Portrait par El Malick Seck)

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La disparition subite du grand magnat Abdoulaye Diao laisse orphelin le monde des affaires en général et celui du pétrole en particulier. C’est un immense fils du pays que le Sénégal vient de perdre. Brillant élève, lauréat du concours général, c’est le Président Senghor en personne qui l’adopta avant de l’envoyer au Lycée Louis le Grand. Journaliste pour l’avoir fréquenté depuis plus d’un quart de siècle, il m’avait raconté par force détail son départ de la cité du rail, ce royaume d’enfance qu’il n’a jamais oublié, ses premières journées dans la grisaille parisienne. Je publie à nouveau cet unique portrait fait de lui par un journaliste.C’etait quand j’editais le quotidien numérique Le Soir en 2016.

 

Né à Thiès, au lendemain de la 2eme guerre en 1946, il a vécu une enfance dans une famille démunie et rien n’a été facile dans sa jeunesse. Sauf qu’il a été très brillant à l’école, devenant toujours le premier de sa classe. Remarqué par Senghor aux Concours général, il entre au prestigieux lycée Louis Le Grand de Paris pour une prépa en maths-sup. «C’était un génie de l’époque. Les mathématiques c’étaient sa tasse de thé, il était très fort ». Plus tard, il devient ingénieur de l’Ecole centrale de Lille, puis ingénieur de l’Institut français du pétrole (Ifp) de Paris, licencié ès sciences physiques et sciences économiques. A son retour au Sénégal, c’est le Président Senghor qui s’occupe de sa carrière, toujours subjugué par le talent de cet enfant du rail. «On lui donne un logement en plein centre ville et Senghor le reçoit tout jeune ». Il est chargé d’écrire les premiers statuts de ce qui deviendra, quelques années plus tard, Petrosen.

Nous sommes aux environs de 1972.

«Diao est devenu jeune conseiller au ministère de l’énergie. Il est tout jeune et a moins de trente ans quand il doit intervenir dans une réunion avec toutes les sommités du secteur. Son ministre de tutelle lui demande de prendre la parole devant Senghor en public ».

C’était la belle époque. Il écrit les textes régissant Petrosen, pratiquement les mêmes jusqu’à présent, qui du reste orientent l’exploitation pétrolière au Sénégal. «Notre pays lui doit une bonne partie des textes qui régissent et encadrent la recherche et l’exploration pétrolières, il a beaucoup participé à la rédaction de ces textes et a donné son avis d’ingénieur, il est pratiquement l’un des tout premiers ingénieurs dans le domaine du pétrole ».

De conseiller au ministère, il quitte finalement pour le privé et travaille avec Cheikh Fall, l’ancien président de Air Afrique dans sa société de négoce et de transit. Il y reste quelques années, avant de lancer en 1985, la société International Trade Oil and shipping (Itoc). «Il a lancé la boîte avec la somme de 500 000 francs CFA.

Le mobilier, il l’a payé à Sandaga, il a pris des locaux à l’immeuble Sdih, qu’il n’a jamais quitté d’ailleurs. On se demandait à l’époque s’il pouvait payer le loyer du mois suivant». Mais c’était sans compter sur la ténacité de l’homme.

Alors que les appels d’offres de la Société africaine de raffinage (Sar) n’étaient ouverts qu’aux grandes sociétés occidentales comme Total ou Mobil à l’époque, il participe à cela et rafle son premier bateau de brut. Aidé par des amis qu’il a croisés sur les bancs. Grâce à son réseau, il peut amener un premier bateau de brut. «C’était beaucoup d’argent, pas moins de 50 millions de dollars déjà à l’époque.

C’était un coup test de la part de ses partenaires, il a montré beaucoup de sérieux et a respecté tousses engagements vis à vis d’eux ». C’était le début d’une grande aventure. ITOC devient dès lors le premier trader sénégalais. Une société que certains ont longtemps du reste attribuée à Moustapha Niasse. «Totalement faux, Niasse a croisé Diao dans l’ascenseur de l’immeuble Sdih car il y présidait une compagnie d’assurances dénomme Sosar Al Maname. Il a reconnu ce jeune ingénieur qu’il a croisé dans des réunions quand il était conseiller technique au ministère de l’énergie. Il s’intéresse aux activités de Diao et prend juste 5% du capital. Avec son statut d’ancien premier ministre, l’honneur lui a été fait d’être le Président du conseil d’administration ».

Peu connu du public sénégalais, Diao sera mis sous la lumière à l’arrivée de Wade au pouvoir. «Karim Wade a voulu rentrer dans le secteur et des manœuvres ont été faites à son encontre et une des sociétés où il est actionnaire. Oryx, en l’occurrence, a été lourdement taxée avec un redressement fiscal de plusieurs centaines de millions. Nous sommes en 2002, son nom apparaît pour la première fois dans les colonnes de la presse. Mais l’homme s’était déjà fait.Avec un de ses amis, dénommé Jean Claude Gandour, décédé aujourd’hui, il avait monté Oryx.

Cette société deviendra l’un des leaders mondiaux du secteur avant d’être revendue à plus de 7000 milliards de francs CFA aux chinois de Sinopec. L’homme est à la tête de la société sénégalaise la plus régulière des trente dernières années. «Abdoulaye Diao a été le premier Sénégalais à franchir le cap des 100 milliards de chiffre d’affaires. ITOC réalise de telles performances depuis des années.

Elle a été même pendant des années, seconde entreprise du Sénégal, derrière la Sar, atteignant des pics de 800 millions de dollars de chiffre d’affaires, faire de tels résultats pendant plus de trente ans, est une prouesse dans le milieu des affaires ».

Cette grande personnalité du monde des affaires qui compte beaucoup de relations chez les hommes politiques, religieux, journalistes, banquiers est l’un des Sénégalais les plus respectés. Conseiller spécial de Macky Sall, il connaît l’actuel président depuis plus de vingt ans. Il est également très proche d’Ousmane Tanor Dieng. «Abdou Diouf est également un de ses amis et ce dernier s’est même déplacé jusqu’à sa ferme de Pout ».

Diao est très respecté par les hommes politiques, ceux du pouvoir, comme ceux de l’opposition. «C’est l’un des rares à faire l’unanimité ». Abdoulaye Diao est également connu pour sa générosité légendaire. «C’est un homme qui aide beaucoup de personnes et dans la discrétion la plus absolue.

Il est très généreux, il n’a jamais oublié d’où il vient». Chaque week-end, il passe du temps avec sa famille dans sa ferme de Pout, un espace moderne où il fait de l’élevage, une activité qu’il adore, comme tout bon peul. Il est aussi très aimé dans sa ville natale de Thiès où il a construit et logé tous ses parents.

Décès : Rappelle à Dieu de El Hadji Mansour Dieng Patron de Icône Magazine

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Il était autrefois, l’homme public, Mansour Dieng, une figure de proue de la presse People au Sénégal, Directeur de Icône Magazine, vient de quitter ce bas monde sur la pointe des pieds. Il est décédé ce mardi 11 juin à l’hôpital FANN de Dakar des suites d’une longue maladie

L’ambassadeur de la presse people, s’est éteint brutalement à l’hôpital FANN de Dakar, mardi 11 juin.

L’enterrement a eu lieu aujourd’hui, mercredi 12, au Cimetière musulman de YOFF, aux environs de 11 heures. La cérémonie de réception des hommages sera tenue, à son domicile familial à Yoff.

Parmi les nombreux hommages déjà rendus, le Directeur Général Allô-Dakar Bounama Faty en voyage actuellement à Lisbonne, a été informé, hier, au pieds de son vol, à l’arrivée,
par le fils du défunt Petit Dieng. Faty se réjouit et s’est dit  » très affecté au rappel à Dieu de l’ancien journaliste sénégalais El Mansour Dieng « . BOUNAMA Faty s’est lui-même rendu à l’hôpital FANN pour s’associer à la famille, au sauvet d’un amie de longue durée, malade Mansour Dieng. « La mort d’un grand homme de la presse, l’image d’une élégance et de la compétence d’un homme de classe exceptionnelle, à la personne Mansour Dieng», ajoute-il.

Petit Dieng, fils du défunt, un vrai soldat au sauvet de son défunt père Mansour, n’a jamais baissé les ou lâché prise. Petit s’est battu corps et âme au sauvet proue du peuple sénégalais.

Paix à son âme Notre cher Frère

Gala de l’intégration : le FOGECA organise le 13 juin prochain le Forum Afrique/ Portugal à Porto.

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Le Forum des Opérateurs pour la Garantie de l’Émergence Économique en Afrique (FOGECA) dirigé par le Président Amadou Diagne organise le 13 juin prochain à Porto le Forum Afrique/ Portugal.

Cette organisation qui compte aujourd’hui 427 membres répartis dans 21 pays d’Afrique se veut le précurseur de la promotion de l’économie en Afrique.
Le FOGECA est issu du FOGEC dirigé par le Président Amadou Diagne. C’est en 2007 suite à une suggestion du président Abdoulaye Wade du Sénégal que naîtra le FOGECA. Ce depuis l’organisation dirigée par Amadou Diagne ne cesse son cer le et beaucoup de pays africains qui ont compris les enjeux ont adhéré. Le partenariat public- privé africain fonctionne à merveilles avec des résultats probants.
Cette année le Forum des Opérateurs pour la Garantie de l’émergence Économique en Afrique compte sortir des sentiers battus pour orienter ses actions hors du continent.
Le 13 juin 2024, le Portugal sera à l’honneur pour recevoir l’organisation du Gala de Forum Afrique- Portugal pour élargir l’éventail d’actions et permettre les africains de se frotter au portugais.
Ce forum après les échanges économiques sera ponctué par un gala où des Awards seront décernés à certains membres qui se sont distingués.

JO Paris 2024 : les galères d’une athlète sénégalaise

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Ndèye Binta Diongue figure parmi les athlètes qui vont défendre les couleurs du Sénéal au JO Paris 2024 (26 juillet-11 août). L’escrimeuse prendra ainsi part à ses deuxièmes Jeux, après Tokyo (2020). L’objectif de l’épéiste de 35 ans est de faire mieux qu’il y a quatre ans dans la capitale japonaise, lorsqu’elle a été balayée de la compétition d’entrée par la vice-championne du monde. Mais, ce n’est pas gagné.

Et pour cause : à deux mois de l’ouverture des JO, elle est confrontée à l’équation des moyens pour s’offrir une bonne préparation et un matériel adapté. Elle guette avec impatience le soutien de l’État à du CNOSS. «J’attends toujours et j’espère que ça va bientôt arriver, clame-t-elle dans un entretien avec L’Observateur. Il me faut urgemment cette bourse pour mon matériel. Je suis partie aux qualifications avec un matériel- je ne vais pas dire qui n’est pas du tout adapté- que je devais changer. Là, il me faut vraiment un matériel digne du nom et bonne préparation pour aborder cette dernière ligne droite.»

La galère, Ndèye Binta Diongue connaît. Avant d’empocher sur billet pour Paris 2024, elle a sué le sang, ballottée entre les durs entraînements et la quête des moyens financiers qu’exige sa discipline. «L’escrime coûte très cher, ça demande énormément de moyens logistiques que je ne pouvais pas me permettre», révèle l’épéiste dans le journal du Groupe futurs médias.

«On ne m’a pas du tout aidée, pointe-t-elle. Sauf qu’il y a un an, il y a eu la bourse du CNOSS (1000 euros par mois, soit 650 000 F CFA), mais les versements arrivaient un peu tard et je ne pouvais pas attendre. Du coup, j’ai dû m’autofinancer avec l’aide de mon entraîneur [Daniel Levavasseur] et de ma famille. […] J’ai dû monter des cagnottes, demander de l’aide à ma famille et à des amis pour payer mes dernières compétitions.»

Ndèye Binta Diongue pratique l’escrime depuis 20 ans dont 10 dans le haut niveau. Elle compte franchir les obstacles qui se dressent sur son chemin vers les prochains JO. «Si on a un objectif, il faut se donner les moyens, car même s’il y a un problème, il y aura toujours une solution», philosophe-t-elle.

Nouveau Agence Sangalkam: La Senelec modernise le secteur de l’électricité

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En effet, a direction commerciale principale de Senelec a ouvert sa nouvelle agence à Sangalkam, sise au croisement Ndiakhirat.

 

Cela s’inscrit dans le cadre d’un engagement de sa politique de proximité et pour offrir une meilleure qualité de service.

La Senelec ainsi réagit dans le but de permettre à ses clients, partenaires, d’effectuer toutes les opérations commerciales ci-dessous :
Le paiement de factures par espèces et chèque, l’achat de crédit Woyofal, la reconversion au Woyofal, l’accueil et informations, Les abonnements réclamations, résiliations, assistance, conseils, etc…

Exclusive en images: La Première Dame Marième Faye Sall change de style

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Voilà un autre style de la Première Dame Marieme Faye Sall.

Madame Faye Sall était habitué, à la voir, elle était vêtue de boubous et autres tuniques à la sénégalaise authentique, voilà qu’elle nous montre qu’elle a plusieurs cordes à son arc. Sur cette photo, on peut dire qu’elle a tapé fort!

C’était lors de la réception de diplôme de la fille de Macky Sall, Khartoum, dans une universitaire aux Etats-Unis.

Bon vent la Première Dame!

Religion : Serigne Modou Dolly Mbacké au service des Khalifs

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Serigne Modou Dolly Mbacké et Cie, viennent d’installer le bureau pour la protection des guides religieux et valeurs de l’islam.

Dans un point de presse,  sa volonté, de veiller à la défense des familles religieuses. Il a ainsi fait savoir qu’à cette effet, un mouvement à été créé depuis 2019.

« Aujourd’hui nous avons installé le bureau élargi au niveau des 46 département du territoire national », confirme M. Mbacké.

De poursuivre, « nous allons œuvrer pour la protection des valeurs coutumières et jouer le rôle de sentinelle de protection de nos guides conformément au valeurs de l’islam », a t-il dit.

A cette effet, « nous nous sommes rendus chez tous nos khalif pour solliciter des prières, pour la réussite de notre mission pour l’intérêt de la Nation Sénégalaise », a dit Serigne Modou Dolly Mbacké.

136 éme Édition du Pèlerinage Marial de Popenguine 2024 : la Senelec investit 500 millions pour une bonne couverture en électricité

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A l’occasion de la préparation de la 136éme Édition du Pèlerinage Marial de Popenguine 2024, le directeur général de la Société nationale d’électricité (Senelec) a effectué une visite de courtoisie chez l’Archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye. Papa Mademba Biteye s’est déplacé avec ses équipes, pour constater l’état d’avancement des travaux. Avec un investissement de plus 500 millions de F Cfa, Senelec compte déployer toutes les ressources nécessaires pour un pèlerinage marial réussi. Pour cette année, beaucoup de réalisations ont été faites par la Senelec. Il s’agit de 2500m de réseaux HTA souterrain ; 2 postes HTA/BT ; 200 Poteaux bois ; 901 Poteaux béton ; 30,918 KM de câble BT ; 650 lanternes de 150 Watts ; 2 Groupes électrogènes de 1000 kVA ; 1 Groupe électrogène de 650 Kva.

La Société nationale d’électricité (Senelec) a procédé également à une visite de maintenance préventive des lignes HTA. Après Popenguine, le directeur général, Pape Mademba Bitèye a changé de destination. Direction à Nguékhokh chez le khalif Serigne Habib Sakho pour la traditionnelle visite de courtoisie et un état des lieux sur le dispositif mis en place par Senelec en vue de la prière de Salatoul Tasbiya célébrée chaque année. A cette occasion, précise la note rendue publique, le khalif et le comité d’organisation ont exprimé leur satisfaction sur les prestations de Senelec qui vont au-delà de leurs attentes.

Présidence: Fatou Kiné-Diakhaté, nommée DC-adjoint du Président.

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Elle vient d’inscrire son nom dans l’histoire en devenant la première femme à occuper le poste de Directeur de Cabinet adjoint du Président de la République du Sénégal. Elle, c’est Fatou-Kiné Diakhaté, Fifi pour les intimes. Elle va désormais seconder le Professeur Mary Teuw NIANE dans ses fonctions de Directeur de Cabinet du Président de la République.

Son remarquable parcours, à la croisée des chemins entre finance et politique, témoigne de sa grande détermination, de son expertise technique et de son dévouement aux idéaux et valeurs de PASTEF. Fatou-Kiné Diakhaté a choisi de répondre à l’appel aux patriotes, depuis 2018, par la politique par l’exemple, l’engagement par l’action.

Cadre de PASTEF, elle a toujours fait don de son temps, de son savoir et de son énergie, sans compter.
Sa nomination à ce poste d’une haute importance est donc la consécration du travail acharnée, de l’éthique incarnée, de l’engagement sincère et désintéressé au service du Sénégal. Elle est aussi le couronnement d’une carrière remarquable, construite sur une formation académique solide et des expériences professionnelles toutes aussi variées qu’enrichissantes.

Fatou-Kiné Diakhaté a commencé son parcours académique avec un baccalauréat scientifique au Groupe scolaire Marie Dior Sarr, démontrant dès le début une affinité pour les disciplines analytiques. Elle a poursuivi ses études en obtenant un Brevet de technicien supérieur en banque finance assurance au Groupe ICOGES Paris. Fortement animée par un désir de toujours approfondir ses connaissances, elle s’est dirigée vers l’Université Sorbonne Paris Nord, où elle a décroché une Licence professionnelle en banque finance assurance, avant de compléter une Licence 3 en économie et finance à l’Université Paris 8 Vincennes. Elle a poursuivi ses études universitaires avec un Master 1 en économie internationale et régulation et un Master 2 en banque finance gestion des risques, tous deux à l’Université Sorbonne Paris Nord.

Sur le plan professionnel, Fatou-Kiné Diakhaté a connu une progression linéaire constante, en occupant des postes de plus en plus responsabilisants. Elle a débuté comme conseillère clientèle à la Banque Postale et à la Société Générale à Paris. Son parcours l’a ensuite conduite chez Credit Agricole Corporate & Investment Bank en tant que gestionnaire middle office en titrisation. Elle a ensuite rejoint l’Agence Française de Développement (AFD) Paris, où elle a gravi les échelons : de chargée de gestion des concours financiers à responsable contrôle et qualité au département Gestion Financière des Concours (GFC), puis à chargée de mission innovation financière. Ces responsabilités ont façonné son expertise en matière de gestion des risques financiers et de contrôle de qualité.
Mais ce qui distingue véritablement Fatou-Kiné Diakhaté, c’est son engagement politique.

Secrétaire exécutif en 2020 puis Coordonnatrice du Mouvement National des Cadres Patriotes section diaspora depuis 2021, elle s’est toujours employée à faire assumer au mouvement des cadres son rôle de laboratoire intellectuel de PASTEF. Elle a joué un rôle clé au sein du MONCAP Diaspora qu’elle a piloté de main de maître, coordonnant avec succès des équipes et des centaines de cadres à travers le monde, pour accompagner le parti dans l’élaboration des politiques, projets et programmes de gouvernance. Fatou-Kiné Diakhaté a également co-coordonné les travaux du programme présidentiel « Le projet pour un Sénégal souverain, juste et prospère » du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, démontrant sa rigueur, sa grande capacité managériale, d’organisation, d’animation et de résilience.

Membre du Bureau Politique de PASTEF en sa qualité de secrétaire nationale adjointe en charge de la diaspora, elle a supervisé des coordinations réparties sur quatre continents, orchestrant des activités destinées à installer et à massifier le parti, à défendre les libertés, la démocratie et l’État de droit au Sénégal.

Cette nomination historique de Fatou-Kiné Diakhaté en tant que Directrice adjointe de Cabinet du Président de la République du Sénégal souligne son leadership et son engagement à promouvoir un changement positif.

Décès de l’Adjudant chef Père Elhadj Bidji Ka

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l’Adjudant chef Père Elhadj Bidji Ka a tiré son dernier révérend le lundi matin 6 mai.

A cette effet, Madame Dieynaba ka à Dakar, Mme Niang Nina ka à Paris , Mody ka et babacar ka à bango , Mme mokhsine Diop née Fatou ka à Saint louis, Mme Gaultier baby absa ka à

Monsieur Bachir SY un proche de la famille à Dakar
Rend un hommage à la famille du défunt Père Elhadj Bidji ka adjudant chef à la retraite .

Selon des sources proches, l’enterrement a eu lieu hier à Dakar les condoléances seront reçues chez lui à Saint louis le lundi 6 mai.

La rédaction de ALLÔ DAKAR présente ses condoléances à la famille éploré !