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lundi, octobre 7, 2024

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Sonko exclu de 2024…Voici l’homme qui va le remplacer

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Ousmane Sonko est un politicien naïf qui s’est laissé emporter par ses paroles guerrières. Aujourd’hui, il est victime de ses phrases assassines qui l’ont rendu coupable de diffamation. Et ce n’est pas tout. Ses vices l’ont conduit dans un salon de « massage » sensuel. Ce qui lui a valu une condamnation à deux ans de prison ferme et une exclusion d’office à la présidentielle de 2024. Et depuis ce revirement de situation, Pastef se cherche un candidat de substitution ou un leader de l’opposition qui pourrait porter le projet de Président Sonko…Un consensus semble être trouvé.

Ousmane Sonko est un politicien naïf qui s’est laissé emporter par ses paroles guerrières. Aujourd’hui, il est victime de ses phrases assassines qui l’ont rendu coupable de diffamation. Et ce n’est pas tout. Ses vices l’ont conduit dans un salon de « massage » sensuel. Ce qui lui a valu une condamnation à deux ans de prison ferme et une exclusion d’office à la présidentielle de 2024. Et depuis ce revirement de situation, Pastef se cherche un candidat de substitution ou un leader de l’opposition qui pourrait porter le projet de Président Sonko…Un consensus semble être trouvé.

sonkoPastef aura beau crier qu’il n’existe de plan B jusqu’à Z que son seul plan est A et il ne s’agit que de Ousmane Sonko, la réalité est là. Ousmane Sonko est frappé de décisions de justice. Ousmane Sonko est condamné par la justice, parce que rattrapé par ses vices sexuels. Une terrible désillusion pour lui qui se voyait comme futur Président de la République. Il est sûr que Sonko ne sera pas le candidat de Pastef à la présidentielle de 2024.

Et depuis lors Pastef affiche le profil bas. Ce parti a beau crier que son leader participera à l’élection présidentielle de 2024, mais sait qu’avec la décision de la justice, celle-ci sera appliquée avec toute sa rigueur. Le Président de la République a affirmé fermement que l’Etat fera face à tout fauteur de trouble. Ousmane Sonko et ses sbires cherchent un candidat au sein de leur Parti. Certains parlent de Birame Soulèye Diop, d’autres de Bassirou Diomaye Faye. Mais Ousmane Sonko n’est pas trop convaincu par ses seconds couteaux.

Ousmane Sonko ne se fait guère d’illusion par rapport à ses lieutenants au sein de son parti qu’il sait non charismatiques. D’ailleurs les Sénégalais ne leur accordent aucune crédibilité. Ousmane Sonko est contraint de scruter vers d’autres horizons autres que son parti pour porter quelqu’un d’autre. Sonko veut quelqu’un qui porte le projet. Selon son entourage, Président Ousmane Sonko (PROS) n’a pas d’égal dans son parti et il préfère lancer un appel à voter à un candidat de l’opposition qui pourrait porter son projet.

sonkoPROS se méfie de Khalifa Sall qu’il considère être le traître qui l’a lâché pour le dialogue national lancé par Macky Sall. Malgré les apparences, PROS est encore prudent avec Mimi Touré car le passé de cette dernière avec Macky ne le rassure guère.

PROS ne voit pas Déthié Fall le remplacer parce que cet ex-allié d’Idrissa Seck n’a pas un parti structuré et fort. Il n’est pas charismatique et son parti est famélique. Le patron des Patriotes aurait pu compter sur Malick Gakou, secrétaire général du Grand parti. Ousmane Sonko ne lui a jamais accordé de confiance. Leurs relations en privé sont mêmes exécrables. Pour PROS, Malick Gakou n’a pas la même vision que lui et il n’a jamais participé à une élection. Ensuite Malick Gakou est plus proche de Khalifa Salle que Sonko considère comme étant un de ses plus grands ennemis actuellement.

Aux yeux du leader de Pastef, Khalifa Sall a commis le crime de participer au Dialogue national lancé par le Président de la République Macky Sall. Désormais Khalifa Sall est considéré par les patriotes comme étant un grand traître. le maire de Zig qui se sait exclu de la prochaine élection présidentielle, voit ainsi ses marges de manœuvres réduites. Il n’a plus un autre choix. Certains de ses alliés exclus, il lui faut porter son choix sur quelqu’un d’autre. Qui ? L’homme qui pourrait bénéficier des voix ou de l’appel de Sonko pourrait être Bougane Gueye Dany. Ce dernier à un mouvement structuré et une très bonne audience auprès des jeunes.

Papa Ndiaga Dramé pour xibaaru.sn

Sonko sur l’ambition de Macky Sall : « il peut décider de renoncer à sa candidature, mais pour m’écarter »

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Si la majorité de l’opinion reste convaincue que Macky Sall va annoncer, ce lundi, sa candidature, son principal opposant, lui, n’exclut pas le contraire. Ousmane Sonko qui a fait une déclaration hier soir, s’est évertué à lire dans la tête du Président.

« Pour que vous ne tombiez pas dans le piège, retenez qu’il y aura deux choses. Soit il viendra vous dire qu’il est candidat. Ce qui relèverait de leur deal au sein du dialogue. Cependant, il y a de fortes probabilités qu’il renonce à sa candidature. Parce que tout simplement, il est suivi et acculé par la pression de la Communauté internationale », a déduit le leader du Pastef.

Qui s’en est pris à Khalifa Sall et Cie sans les nommer, qui sont de la « classe politique traditionnelle » qu’il qualifie de « dealer » approuvant le 3e mandat au sein du dialogue. « Leur objectif était juste de m’écarter. Parce qu’en plus de Macky Sall, eux-mêmes savent qu’ils n’ont aucune chance face à moi une à la Présidentielle », a avancé Sonko.

Après la décision de justice le condamnant, Sonko a 10 jours. Soit il se constitue prisonnier, soit il sera cueilli et mis en prison, selon le ministre de la Justice. Mais le leader de Pastef se veut clair : « Personne ne peut m’arrêter. S’ils le font, ce serait sur une base illégale. Je ne ferais pas une journée entre leurs mains. Et s’ils m’arrêtent cette fois-ci, ce sera la fin. »

emedia.sn

DIOURBEL – Pape Modou Fall, Directeur de l’Emploi, offre un lot de matelas aux pensionnaires de la MAC de Diourbel et améliore leurs conditions de séjour

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Le Directeur de l’Emploi a procédé, ce mardi 27 juin 2023, par le biais de ses collaborateurs, à un don de 200 matelas à la Maison d’arrêt et de Correction de Diourbel. Un acte de haute portée humanitaire consenti dans le cadre de la politique sociale 2023 initiée par le Leader de Dëgg Moo Woor et Coordonnateur national de la Coalition Républicaine Samm Sunu Rew, conformément aux instructions du Président Macky Sall.
Ce don permettra d’améliorer, très significativement, les conditions de vie de la communauté carcérale.

Très sensibles à ce geste, les adjudants chargés de la détention et du social ont magnifié, au nom de l’administration pénitentiaire, cette œuvre sociale qui vient, diront-ils, à point nommé. Ils remercieront vivement le Directeur de l’emploi Pape Modou Fall non sans lui souhaiter une réussite totale dans la mission qui lui est confiée.

Cet acte s’inscrit dans la continuité d’une série d’actions de bonne volonté perpétrées par celui que certains surnomment « l’espoir du Baol ». Il faut dire que Pape Modou Fall s’est beaucoup investi ces dernières années, pour accompagner les populations surtout les plus vulnérables. Déclarant son ferme engagement de toujours demeurer dans cette lancée qui lui permet de juguler les préoccupations des populations vulnérables, Pape Modou Fall promettra de mettre les bouchées doubles pour multiplier les initiatives nobles en vue d’accompagner toutes les franges de la population.

Dialogue national : Voici le chef de l’opposition

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C’est l’un des points discutés durant le dialogue national. Finalement les parties prenantes ont tranché cette question, dans la onzième conclusion, en estimant que ce statut revient “au deuxième de l’élection présidentielle”.  Il y avait un débat sur le plus légitime à incarner la fonction : le chef de l’opposition parlementaire ou celui qui est arrivé second lors de la présidentielle. Le Sénégal étant un régime présidentiel, cette dernière option a été retenue. Ce qui fait donc de Idrissa Seck le chef de l’opposition jusqu’à 2024.
 
 
Un statut officiel pour le chef de l’opposition, cela veut dire une reconnaissance, un accès privilégié au chef de l’État, ou encore des moyens (dotation financière, véhicule, par exemple).  Ce statut donne droit à un budget de 4  milliards de FCFA.
 
 
Idrissa Seck, président du parti Rewmi, a revendiqué, en avril  son statut de chef de l’opposition, après avoir décidé de quitter la mouvance présidentielle, la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY).
 
‘’Tant que les Sénégalais n’ont pas voté le 25 février 2024, je suis le chef de l’opposition’’, avait notamment dit le président Idrissa Seck, lors d’une déclaration qu’il faisait au cybercampus de Thiès.
 
“Pourquoi reconnaît-on à Macky Sall, en raison des 65% de suffrages obtenus, qu’il est le président de la République du Sénégal jusqu’au 25 février 2024 ?’”, a-t-il questionné, laissant entendre que ce sont les mêmes suffrages à la présidentielle de 2019 où il est arrivé deuxième, qui lui confèrent le statut de leader de l’opposition.   

Mamadou Mamour Diallo, Directeur Général de l’ONAS : « L’Onas a pris toutes les dispositions pour minimiser les impacts des inondations sur les populations »

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Dans l’attente des premières pluies, le Directeur général de l’ONAS assure sur les bonnes dispositions prises pour permettre aux populations de passer un hivernage paisible. Il dresse également un pré-bilan des mesures prises en interne pour booster la motivation de ses agents et satisfaire la clientèle, en moins d’une année passée à la tête de l’institution, et fait le point de la mise en-œuvres des projets et programmes d’assainissement qui commencent à essaimer le pays.

Monsieur le Directeur Général, vous êtes à la tête de l’ONAS depuis le mois d’octobre dernier. Pouvez-vous revenir sur les grands actes que vous avez eu à poser depuis lors ?
 
Je tiens d’abord à remercier le Président de la République son Excellence, Macky Sall pour la confiance portée sur ma personne pour présider aux destinées de cette prestigieuse institution qui est l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS).

Depuis mon arrivée, dans une démarche holistique, des mesures sont prises afin d’améliorer l’efficacité à tous les niveaux. Bien avant que je ne prenne service, j’ai reçu des réclamations qui tournaient autour de la lenteur notée dans la gestion des requêtes de débouchage et le traitement des reflux d’eaux usées.

Aujourd’hui, le service a été réorganisé avec célérité dans le traitement des réclamations. Une refonte de nos procédures de demandes de branchements et de paiement des factures des fournisseurs a été opérée pour réduire les délais de traitement. C’est ainsi que pour les branchements des demandes y afférant sont réduites de 16 à 6, alors que pour les paiements des fournisseurs et des prestataires les procédures sont désormais optimisées à 6 étapes.
Toutefois, il y a lieu de faire plus pour satisfaire davantage nos usagers.
 
La satisfaction des usagers rime avec les meilleures conditions de travail. Et pour les agents de l’Onas ?
 
Mais cette recherche de performance ne peut pas être dissociée de l’amélioration des conditions de vie des agents. En d’autres termes, un travailleur ne peut pas être performant s’il n’est pas dans de meilleures conditions de productivité. D’où la décision d’éponger toutes les dettes du personnel.

 Aussi dans la Nouvelle Politique Sociale, l’enveloppe globale des prêts annuels a été revue à la hausse.
L’autre aspect non moins important, c’est la prise en charge médicale. La bonne santé des travailleurs et de leur famille est essentielle à la performance de l’entreprise. L’amélioration de la qualité des soins, de la prise en charge ne peuvent être assurées que  par l’Assurance Maladie Privée qui remplace l’Institution Prévoyance Maladie (IPM). Les démarches sont entamées dans ce sens.
J’avais aussi jugé primordial de faire de la mobilisation des ressources financières un axe prioritaire.
 
 
 
Au juste, pouvez-vous revenir sur la mise en œuvre des Opérations Pré-hivernage ?
 
 
Depuis le 13 mars 2023, nos équipes sont sur le terrain à Dakar pour procéder au curage des canalisations, à l’entretien des équipements électromécaniques des stations de pompage et de traitement des boues de vidange.

Nous avons engagé et bouclé des travaux dans des quartiers comme les Maristes, nous avons entrepris le reprofilage du bassin de la Zone de Captage. Des Opérations pré-hivernage ont été aussi menées à la Cité Belle Vue, ainsi que dans la zone de l’Hôpital Philippe Maguilène Senghor.

A la date d’aujourd’hui, nous sommes à un taux qui tourne autour de 75 % du linéaire prévu. Après les premières pluies, un autre curage sera effectué.
 
Dans les régions, les opérations ont démarré depuis le mois d’avril. Dans des villes telles que Kaolack, Kaffrine et Fatick, le taux de curage de 100 % a été atteint. Nous avons remis à niveau les équipements de pompage. Ce travail se poursuit dans des villes comme Louga, Saint-Louis, Richard Toll, Matam, Thiès et Tivaouane.
A Touba, il a été procédé au curage du bassin de Keur Niang qui polarise l’essentiel des eaux de la ville sainte. Du reste, l’Onas a pris les devants afin de réduire au maximum les impacts des inondations.
 
 
Qu’est-ce qui est prévu pour la zone de captage qui avait connu des débordements l’année dernière ?
 
 
Le bassin de la Zone de Captage est un ouvrage névralgique dans la gestion des inondations à Dakar. Il est le réceptacle d’une bonne partie des eaux des quartiers de Liberté 6, de Grand Yoff, de Castors et de Bourguiba. L’ouvrage avait connu l’année dernière deux débordements entraînant des inondations, occasionnant parfois la fermeture de l’autoroute. Ce sont autant de raisons qui ont justifié la décision prise par le Gouvernement d’entreprendre le reprofilage de cet ouvrage qui a été déjà curé, les travaux de relèvement de son mur de clôture ont démarré.

Les travaux d’un coût de 24 milliards de Francs CFA feront passer la capacité de stockage du bassin de 170.000 m3 à 250.000 m3 tandis que le débit cumulé sera porté à 11.000 m3/h contre 6.000 m3/h précédemment. Je dois rappeler que ces travaux ont été engagés pour réduire les risques d’inondations avec l’implication des populations et de la mairie. Le bassin sera davantage sécurisé. Tout cela traduit une fois de plus cette volonté des plus autorités, de prendre à bras-le-corps cette problématique. Une chose est de construire des ouvrages, l’autre chose, c’est de les préserver. C’est sur ce point que nous invitons les populations, les riverains à veiller à ce que le bassin ne soit pas un réceptacle de déchets. D’où la nécessité de leur implication pour lutter contre les mauvais comportements.

Si le bassin est rempli de déchets, non seulement sa capacité de stockage sera réduite, ce qui peut accélérer son remplissage, mais aussi ces objets peuvent provoquer des dysfonctionnements des pompes. L’un des défis pour cet ouvrage comme du reste d’autres infrastructures, c’est leur préservation. Il y a un travail de sensibilisation et de conscientisation à mener pour arriver à un réel changement de comportements. 

Réponse à Tariq Ramadan : LES KHALIFES N’ONT DE LEÇONS À RECEVOIR DE PERSONNE (Par Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Amin)

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Je ne réponds pas souvent aux attaques que reçoivent les guides religieux sénégalais car l’histoire a l’habitude d’apporter les réponses adéquates et efficaces à leur posture basée sur le respect des principes islamiques soufis tout en étant conformes aux traditions sociales légendaires de paix et de respect de la différence qui font de notre pays une exception de vivre ensemble dans une Afrique souvent dévastée par des conflits intercommunautaires. 

Depuis l’entrée de l’Islam au Sénégal, les guides religieux ont su impulser au sein des populations, des valeurs qui ont préservé notre pays des dérives d’un Islam radical avec son lot d’intolérance et de violence. 

Cher Tariq Ramadan, nos Khalifes ont su très tôt leurs leçons inculquées dans nos universités populaires depuis l’université de Pire, en passant par Ndiarné, Touba et tant d’autres hauts lieux d’instruction qui allient la transmission de connaissances mais surtout l’inculcation de valeurs morales basées sur le Djihadou Nafs et les valeurs traditionnelles africaines souvent méconnues des cultures occidentales et orientales. 

L’ouverture du Sénégal l’a rendu perméable à toutes les autres cultures qui l’ont approché. Comme disait Hassan II, nous avons appris à connaître l’Occident plus q’il n’a appris à nous connaître. Quant à l’orient, notre culture lui est totalement inconnue en voulant nous imposer plus la culture arabe que les valeurs islamiques. 

Vouloir donner des leçons d’équilibre et de paix aux guides religieux sénégalais reviendrait à appendre la natation à un poisson. 

En effet, les religieux sénégalais constituent les derniers remparts à la stabilité de notre pays et réussissent souvent là où la société civile classique a échoué. 

Nous prions qu’Allah préserve cet équilibre tant envié par nos voisins afin que ce modèle puisse survivre voire reproductible dans d’autres pays face à la déstabilisation et l’intolérance venue souvent d’ailleurs. 

Que Dieu protège nos guides religieux. Que Dieu bénisse le Sénégal

Cheikh Ahmed Tidiane Sy 
Pdt du Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal.

Après Kiev et Saint-Pétersbourg : Le président Macky Sall entame un séjour à Lisbonne

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près Kiev et Saint-Pétersbourg, le Président Macky Sall s’est rendu cet après-midi à Lisbonne.
D’après une note de la présidence de la République, « au cours de son séjour, le Chef de l’État aura un tête-à-tête avec son homologue portugais Marcelo Rebelo De Sousa ».
Dans son agenda, il sera également l’hôte de l’Assemblée nationale portugaise…

Richard Ferrand appelle à modifier la Constitution pour autoriser un 3e mandat présidentiel

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L’ancien président de l’Assemblée nationale, très proche d’Emmanuel Macron, prend la parole pour distiller ses conseils dans une période mouvementée pour l’exécutif.

Un appel et des propositions. L’ancien président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, silencieux depuis sa défaite aux élections législatives, reprend la parole un an après dans un entretien au Figaro ce dimanche 18 juin. L’occasion pour ce très proche d’Emmanuel Macron d’évoquer le contexte politique actuel et de passer quelques idées.

Richard Ferrand, qui appelle le camp présidentiel et « toutes les forces politiques qui se définissent comme républicaines » à des « concessions réciproques » pour sortir de l’impasse, estime par exemple qu’il serait de bon ton de revoir certaines règles de la Constitution.

Interrogé sur le fait que le chef de l’État ne peut pas se présenter pour un troisième mandat, le macroniste de la première heure dit « regretter tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire. » « La limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non-cumul des mandats, etc… Tout cela corsète notre vie publique dans des règles qui limitent le libre choix des citoyens. Ça affaiblit notre vie politique en qualité et en densité, et la rend moins attractive », assure-t-il, à l’image de tout un pan de la classe politique, favorable à l’idée d’assouplir certaines contraintes.

Et d’ajouter : « Changeons tout cela en préservant le bicamérisme et le Conseil constitutionnel, gardien vigilant des principes républicains et des libertés publiques ». Autant de propositions que l’ancien socialiste a dû soumettre à Emmanuel Macron, lui qui promet à intervalle régulier de mener une révision constitutionnelle.

Les conseils de Richard Ferrand
Ce n’est pas tout. Pour son retour médiatique, l’ancien titulaire du Perchoir adresse ses conseils sur le contexte, les rumeurs de remaniement et les espoirs, pour une partie du camp présidentiel, de recomposition politique.

Un an après sa réélection, Emmanuel Macron, qui ne dispose que d’une majorité relative à l’Assemblée et doit trouver pour chaque texte des alliés de circonstance, pourrait-il nouer un accord avec Les Républicains, comme certains dans son camp lui suggèrent ? « Toutes les forces politiques qui se définissent comme républicaines sont des partenaires du président de la République. Nous avons besoin de ressaisissement collectif et de débats apaisés », répond Richard Ferrand.

« Ceux qui parient sur leur seule capacité à nuire à l’action du président et du gouvernement se sabordent. Cela vaut pour Les Républicains comme pour les réformistes de tous horizons », prévient-il également, égratignant « ceux qui imaginent préparer la suite sans agir, au présent, au service du pays ».

Battu dans sa circonscription du Finistère aux législatives de 2022, Richard Ferrand ne s’était plus exprimé publiquement depuis, mais reste actif en coulisses, dans un rôle de conseil officieux du président et du gouvernement.

Le nom de ce marcheur de la première heure est cependant revenu dans la presse récemment alors que bruissent les rumeurs de remaniement, en remplacement d’Élisabeth Borne à Matignon. « Je suis plutôt un vétéran qu’un aspirant », observe-t-il dans une pirouette. Ajoutant : « s’agissant des rumeurs, tout ce qui flatte l’ego doit être considéré avec circonspection et reconnaissance ».

Photos/ Redynamisation politique: Louga reste mobilisé derrière le Président Macky Sall

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Le mouvement ‘’Dolly Macky’’ bat le rappel des troupes. Il a organisé, le samedi 17 juin, un grand rassemblement à Louga. Au cours de ce meeting, les responsables ont réaffirmé leur attachement à leur ligne de conduite, à savoir soutenir le Président Macky Sall.

« Hier, nous avons soutenu le Président. En 2019, nous avons contribué à sa réélection. Aujourd’hui, nous restons sur cette dynamique. Le mouvement Dolly Macky va continuer à travailler pour le compte du Président Macky Sall », a réitéré le Président du Mouvement Dolly Macky.

Le mot d’ordre reste la massification du mouvement pour le compte de la mouvance présidentielle. Pour ce faire, il a été retenu d’intensifier le travail de terrain, d’œuvrer à convaincre davantage de personnes, de renforcer les rangs en enrôlant de nouveaux militants. Le MDM a compris que tout se gagnera en investissant le terrain, en multipliant les rencontres à la base.

« Le Mouvement Dolly Macky dépasse les frontières de la région de Louga. C’est un mouvement national. Nous travaillerons à étendre ses bases partout et rendre visibles les réalisations du Président de la République, son Excellence, Macky Sall », a déclaré le Président du Mouvement, Mamadou Mamour Diallo.

Il a saisi cette tribune pour inviter les uns et les autres à faire la différence entre un bâtisseur, en l’occurrence Macky Sall et ceux veulent à tout prix accéder au pouvoir. « Toux ceux qui font du bruit n’osent pas attaquer le bilan du Président de la République. Depuis 2012, le Sénégal s’est inscrit dans une dynamique de performance. Ceux qui font du bruit veulent tout simplement accéder au pouvoir rien d’autre », a soutenu le Président du Mouvement Dolly Macky Sall.

Le Mouvement œuvre dans le social en soutenant les femmes par l’octroi des moulins et la mise à disposition des fournitures aux écoles.


Photos/ Redynamisation politique: Louga reste mobilisé derrière le Président Macky Sall


Photos/ Redynamisation politique: Louga reste mobilisé derrière le Président Macky Sall


Photos/ Redynamisation politique: Louga reste mobilisé derrière le Président Macky Sall


Photos/ Redynamisation politique: Louga reste mobilisé derrière le Président Macky Sall

 

Hivernage : Orages et pluies sur Ziguinchor et Kédougou, annonce l’Anacim

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L’instabilité persistera sur les régions de Ziguinchor et Kédougou, où les prochaines 24 heures seront rythmées par des orages et des pluies au cours des prochaines 24 heures, annonce l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).