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lundi, octobre 7, 2024

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Niger: « pas de risque » pour l’approvisionnement en uranium de l’UE, selon la Commission

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La Commission européenne a estimé mardi qu’il n’y avait « pas de risque » pour l’approvisionnement en uranium de l’UE suite au coup d’Etat militaire au Niger, un pays représentant un quart des approvisionnements des Européens, et ce en raison des stocks déjà constitués.
 
« Il n’y a pas de risque d’approvisionnement en ce qui concerne l’UE. Les opérateurs de l’UE disposent de stocks suffisants d’uranium naturel pour atténuer tout risque d’approvisionnement à court terme », a indiqué un porte-parole de l’exécutif européen lors d’une conférence de presse.
 
En raison du processus d’enrichissement, qui a lieu sur le sol européen afin d’en faire un combustible utilisé en centrale, il ne s’agit en effet pas d’échanges en flux tendus.
 
« A moyen et long terme, il existe suffisamment de gisements sur le marché mondial pour couvrir les besoins de l’UE », a ajouté le porte-parole.
 
Le Niger est un fournisseur majeur contribuant à la fabrication du combustible des quelque 103 réacteurs en activité dans 13 pays européens, dont la moitié sont en France.
 
En 2022, le Niger était le deuxième fournisseur d’uranium naturel de l’UE (avec une part de 25,38%) derrière le Kazakhstan, a indiqué lundi à l’AFP Euratom.
 
Le Kazakhstan est de loin le premier producteur mondial d’uranium naturel, avec 40,6% du total extrait en 2020, suivi de l’Australie (12,8%) et de la Namibie (11,3%) et du Canada (8,1%) puis du Niger (7,6%). Cette part du Niger dans l’offre mondiale est même tombée à 4,7% en 2021, selon Euratom.
 
« La situation au Niger ne présente aucun risque sur la sécurité d’approvisionnement de la France en uranium naturel », a affirmé le ministère français de la Transition énergétique, insistant sur les efforts de diversification des approvisionnements d’uranium.
 
Le ministère fait par ailleurs valoir qu’EDF avait mis en œuvre une « gestion des stocks couvrant plusieurs années et développe le recyclage du combustible usé ».

Sénégal-Gambie : Macky Sall liste trois merveilles et trois défis de la Sénégambie

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Le chef de l’État a coprésidé, ce mardi à Banjul, au côté de son homologue gambien, Adama Barrow, la troisième session du Conseil présidentiel sénégalo-gambien. Dans son discours lancé en anglais, que nous vous proposons en intégralité ci-dessous, il a souligné les réalisations accomplies dans le cadre de cette entité fondée en 2018 et signalé les chantiers qui restent à boucler.

Dans la première catégorie, on retrouve les avancées dans les domaines de l’énergie et du transport : érection de la sous-station et du réseau de lignes électriques de l’OMVG à Jarra Soma, en Gambie, et la fourniture de l’électricité à la NAWEC (la compagnie nationale gambienne) par la SENELEC, ainsi que la mise en service du pont de la Sénégambie à Fafatenni.

Dans la seconde catégorie (chantiers), le président de la République range «le parachèvement de la délimination et de la démarcation de la frontière», la préservation des ressources naturelles, avec la lutte contre la coupe et le trafic illicite de bois, et la concertation permanente entre les deux gouvernements, «sans s’encombrer de formalisme protocolaire». 

LE DISCOURS DE MACKY SALL

Comme toujours, c’est avec joie que nous séjournons en terre gambienne, terre qui nous est si chère et familière, parce que nous y retrouvons des parents, des amis et de bons voisins.

Thank you very much, dear brother, President Adama Barrow, for your warm and fraternal welcome, and for all the arrangements made to make us feel like home.

Indeed, we really feel like home.

Dieureudieuf to you, your government and to our gambian brothers and sisters.

Nous sommes une seule et même famille. Le partage colonial nous a divisés en deux pays, mais, ni ce partage, ni rien d’autre ne peut nous séparer.

A Dakar comme à Banjul, à Serrekunda comme à Tambacounda, notre vécu quotidien, nos traditions ancestrales, nos contes et légendes, nos rites et mythes sont les mêmes.

Voilà pourquoi nous avons l’obligation familiale de conforter et perpétuer cet héritage ancestral, génération après génération.

C’est le sens du Secrétariat permanent sénégalo-gambien et de ce Conseil présidentiel bilatéral.

Ensemble, nous voulons que l’espace sénégambien soit une réalité à la hauteur des aspirations de nos peuples à vivre en paix et en sécurité, dans la stabilité, le progrès économique et l’harmonie sociale.

C’est ce que nous avons défini comme priorités dans la Feuille de route de la première session de notre Conseil, ici même à Banjul, le 13 mars 2018 : à savoir la défense, la sécurité, la justice, les affaires consulaires, la libre circulation des personnes et des biens, le tourisme, l’énergie et l’environnement.

Cette Feuille de route réitérée au 2e Conseil présidentiel à Dakar en mars 2020 garde toute sa pertinence. C’est en avançant sur ces priorités que nous pourrons réaliser nos objectifs communs d’améliorer les conditions de vie de nos populations.   

 

A ce sujet, je me réjouis des progrès que nous avons enregistrés dans le domaine de la coopération en matière d’énergie.

C’est le cas au sein de l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Gambie, avec l’inauguration en octobre 2021 de la sous-station et du réseau de lignes électriques de l’OMVG à Jarra Soma, en Gambie.

En outre, au plan bilatéral, la SENELEC fournit de l’électricité à la NAWEC, à travers les points de connexion de Keur Ayib et de Karang. Nos deux compagnies coopèrent également en matière de renforcement de capacité des ressources humaines.

S’agissant du transport, la mise en service du pont de la Sénégambie à Farafenni en janvier 2019 a considérablement amélioré la libre circulation des personnes et des biens.

Cette dynamique est d’ailleurs renforcée par le pont de Foundiougne que j’ai inauguré en mars 2022. 

Je rappelle que conformément aux conclusions des deux précédents Conseils présidentiels, nous voulons que la circulation des personnes et des biens soit assurée sur le pont de la Sénégambie 24h/24, sans tracasseries.

J’engage nos services compétents à travailler de façon effective dans ce sens, conformément d’ailleurs aux différents Traités de la CEDEAO sur la libre circulation des personnes et des biens.

Parmi nos autres défis à relever, il y a le parachèvement de la délimitation et de la démarcation de la frontière.

Avec le soutien du Secrétariat permanent, la Commission mixte sénégalo-gambienne de gestion des frontières devrait intensifier ses efforts sur ce dossier dont l’enjeu est aussi sécuritaire.

Une frontière clairement délimitée et démarquée faciliterait en effet la collaboration entre nos forces de défense et de sécurité en matière de patrouilles mixtes dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière.

Je n’oublie pas la question vitale de la préservation de nos ressources naturelles.

La coupe et le trafic illicites de bois continuent de décimer nos forêts et de mettre en péril les conditions de vie de nos populations.

Il nous faut poursuivre sans cesse la lutte contre ce fléau. Si nous baissons les bras, les dommages seront irréparables. C’est toute notre biodiversité qui va disparaitre. A la pace de la forêt nous aurons le désert.

Je redis fermement aux trafiquants et à leurs complices que nous ne leur laisserons aucun répit. Nous continuerons de mobiliser tous les moyens nécessaires pour mettre fin à leur pratique criminelle.

Monsieur le Président,

Mesdames, Messieurs,

Si la tenue des Conseils présidentiels nous offre des occasions ponctuelles de faire le point sur notre coopération et tracer la voie du futur, la particularité de nos relations exige une concertation permanente entre nos gouvernements à tous les niveaux.

Nos Ministres doivent continuer à se concerter et agir au quotidien sans trop s’encombrer de formalisme protocolaire.

C’est l’esprit même de la Sénégambie qui le commande ; et c’est la meilleure façon de construire l’avenir commun que nous voulons pour les générations actuelles et futures de la grande famille sénégambienne.

Vive la Gambie !

Vive le Sénégal !

Vive la Sénégambie !

Je vous remercie de votre attention.

Affaire du téléphone portable : révélations sur la gendarme qui «filmait» Sonko

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Ousmane Sonko a été arrêté vendredi dernier près de son domicile, à la Cité Keur Gurgui, à la suite d’une altercation avec une gendarme en civil. Le président de Pastef reprochait à cette dernière de l’avoir filmé sans son consentement. D’après le procureur de la République, cet incident constitue l’élément déclencheur de l’arrestation du leader des Patriotes, même si son dossier est lourd de chefs d’inculpation beaucoup plus graves (appel à l’insurrection, atteinte à la sûreté de l’État, notamment).

Selon L’Observateur, la gendarme en question se nomme Kh. D. Issue de la 51e promotion de l’École des sous-officiers de la gendarmerie (ESOG), elle est en poste à l’État-major de la gendarmerie.

Le journal renseigne qu’elle a déposé plainte contre Ousmane Sonko à la Sûreté urbaine. C’était, selon la même source, le jour des faits et sur instruction de sa hiérarchie.

L’Observateur rapporte que Kh. D a confié aux enquêteurs que ce vendredi-là, elle se rendait à la Cité Keur Gorgui pour rendre visite à une amie qui habite derrière le domicile du leader des Patriotes. Elle arrive sur place, se gare dans une rue, sort son téléphone portable et tente d’appeler sa copine, «pour avoir l’adresse exacte», précise le quotidien d’information.

C’est à ce moment-là, poursuit-elle, qu’elle aperçoit Ousmane Sonko et ses gardes du corps, revenant de la mosquée, se diriger vers elle. L’un des éléments de la sécurité du président de Pastef, toujours d’après la victime présumée, ouvre la portière de sa voiture et lui reproche de les filmer.

Le téléphone finit entre les mains de Sonko, qui le confisque lorsque la gendarme a refusé de le déverrouiller. Kh. D se rabat sur son deuxième téléphone et informe le commandant de la Brigade de la Foire avant de recevoir la consigne de la hiérarchie de la gendarmerie l’envoyant à la Sûreté urbaine pour le dépôt de sa plainte.

Arrestation de Sonko : Ce qui s’est passé

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Ousmane Sonko a été interpellé hier vendredi à son domicile. Libération est revenu, ce samedi, sur les minutes de l’arrestation du leader de Pastef.

Les choses sont allées très vite hier vers 16 heures 30. Une colonne de gendarmes, avec en première ligne les éléments du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (Gign), a débarqué devant le domicile du leader de Pastef, à la Cité Keur Gorgui.

À plusieurs reprises, le chef d’unité a appuyé sur la sonnerie de la maison sans réponse. Dans un premier temps, un élément du Gign est monté sur le mur pour rendre aveugle la caméra de surveillance. Ensuite, les autres éléments ont escaladé le mur avant de défoncer la porte qui donne accès aux bâtiments. C’est en ce moment qu’Ousmane Sonko est descendu pour demander ce qui se passait.

Le chef d’unité lui a répondu qu’il était en état d’arrestation avant de demander au leader de Pastef de les suivre. Ce que Ousmane Sonko fait, sans être menotté ou brutalisé. Direction ? Le tribunal où les gendarmes ont mis Ousmane Sonko à la disposition de la police.

Même s’il a conduit dans les locaux de la Brigade des affaires générales (Bag), un démembrement de la police judiciaire, Ousmane Sonko a été interrogé sous le régime de la garde à vue, par la Sûreté urbaine (Su) dont le siège se trouve au commissariat central de Dakar.

Arrestation de Sonko : Ses avocats démontent les accusations du procureur

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Après l’arrestation de Ousmane Sonko, le procureur de la République a publié un communiqué de presse pour dire ce qui est reproché au leader de Pastef. Les avocats de ce dernier viennent de réagir. Ci-dessous leur réplique.

«La Défense de Monsieur Ousmane SONKO confirme avoir pris bonne note du Communiqué du Parquet de Dakar rendu public il y a quelques minutes.

Selon les motivations de ce communiqué, notre client a été arrêté pour avoir « volé avec violence le téléphone portable d’une gendarme ». Sortant, rappelons-le, d’un placement sous « résidence surveillée », en dehors de tout cadre judiciaire, le Président Ousmane SONKO ne se sent nullement concerné par ce prétexte procédural grotesque.

Ces nouvelles accusations, dépourvues de fondement, seraient risibles si elles n’avaient pas de si lourdes implications. Le devenir de M. Ousmane SONKO, personnalité politique de premier plan, engage celui du pays. La multiplication de procédures fantasques à son encontre constitue une instrumentalisation inacceptable de l’appareil judiciaire.

Les dispositions pertinentes de l’article 341 du Code de Procédure Pénale prévoient que la peine et le jugement de contumace sont anéantis dès l’arrestation du contumax. Nous nous tenons auprès de notre client pour nous assurer de l’absence d’instrumentalisation de la présente procédure, et de son immédiate libération. »

Interrogatoire : Sonko a gardé le silence face aux enquêteurs

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Arrêté hier vendredi, Ousmane Sonko a été acheminé dans les locaux de la Brigade des affaires générales, sise au Tribunal de Dakar. Mais face aux enquêteurs, le leader de Pastef a gardé le silence.  Interpellé ce vendredi puis placé en garde à vue, Ousmane Sonko est poursuivi pour «vol de téléphone» et «appel à l’insurrection». Hier, après son arrestation, le leader de Pastef a gardé le silence face aux enquêteurs, durant l’interrogatoire.

Ousmane Sonko n’a pas répondu aux questions relatives à l’altercation l’ayant opposé à la femme gendarme. De même il a adopté le silence devant les interpellations par rapport au présumé appel à l’insurrection, renseigne Libération.

Le journal informe que plusieurs déclarations du leader de Pastef, en dehors de son post d’hier, ont été mises sur la table par les policiers.

Louga/ Visite d’Abdoulaye Daouda Diallo au Khalife omarienne: Thierno Bachir Tall prie pour la paix au Sénégal

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La deuxième étape de la visite du Président du conseil économique Sociale et environnementale est chez le khalif de la famille omarienne Thierno Bachir Tall pour recueillir des prières à l’endroit de ce dernier pour un Sénégal de paix et de cohésion sociale vu que le pays traverse une phase tournante. Le président du conseil économique social et environnementale a salué l’engagement du khalif à prier toujours, pour la paix au Sénégal. En tant que membre de la famille omarienne, Abdoulaye Daouda Diallo demande à cet homme de Dieu de prier pour le gouvernement et particulièrement, pour le président Macky Sall afin d’accomplir ses missions à la tête du Pays.

 

cérémonie solennelle des invitations aux JO de Paris 2024 avec Diagna Ndiaye

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Aujourd’hui marque un moment historique alors que le Comité International Olympique (CIO), en collaboration avec la Ministre des Sports, Amélie Oudéa, et la Maire de Paris, Anne Hidalgo, a donné le coup d’envoi de la cérémonie solennelle des invitations aux Jeux Olympiques de Paris 2024. L’événement s’est déroulé au cœur de la magnifique ville de Paris et a vu la participation de personnalités olympiques renommées, dont Diagna Ndiaye, représentant le Sénégal

 

 

La cérémonie a été marquée par une atmosphère empreinte d’excitation et de fierté alors que les drapeaux du Sénégal, des États-Unis et de l’Australie ont été hissés haut dans le ciel, symbolisant l’esprit de l’unité et de la diversité des Jeux Olympiques. Ces trois pays représentent un échantillon de la richesse culturelle et sportive qui sera célébrée lors des Jeux de 2024.

Le Président du CIO, Thomas Bach, a exprimé sa gratitude envers Paris pour son engagement indéfectible envers les Jeux et a félicité les efforts déployés pour préparer cet événement mondial. Il a souligné que les Jeux Olympiques de Paris 2024 s’annoncent comme un moment de rassemblement pour les athlètes du monde entier, unissant les nations dans un esprit de compétition loyale et de camaraderie.

La Ministre des Sports, Amélie Oudéa, a évoqué l’importance de l’héritage que laisseront les Jeux Olympiques à la France. Elle a souligné que cet événement serait l’occasion de promouvoir le sport auprès des jeunes et d’inspirer les générations futures à poursuivre leurs rêves sportifs.

Anne Hidalgo, la Maire de Paris, s’est adressée à l’assemblée avec enthousiasme, mettant en évidence la préparation minutieuse et la détermination de Paris à accueillir des Jeux inoubliables. Elle a également exprimé sa gratitude envers les citoyens de Paris pour leur soutien et leur engagement tout au long du processus de préparation.

La présence de Diagna Ndiaye, en tant que représentant du Sénégal, a revêtu une signification particulière. En effet, cela démontre l’importance que revêtent les Jeux Olympiques pour les pays du monde entier, offrant une plate-forme pour promouvoir l’inclusivité et le dialogue interculturel.

Au-delà de la compétition sportive, les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont également conçus pour promouvoir des valeurs essentielles telles que la paix, l’amitié et le respect. L’événement vise à créer des liens durables entre les nations et à inspirer le monde entier par le pouvoir du sport.

La cérémonie solennelle des invitations aux JO de Paris 2024 a marqué le début d’un compte à rebours excitant jusqu’à l’événement tant attendu. Les préparatifs se poursuivront avec diligence pour offrir au monde des Jeux mémorables, unifiant les peuples du monde entier dans l’esprit olympique.

Mali: les États-Unis sanctionnent trois hauts responsables

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Le département du Trésor des États-Unis a sanctionné ce 24 juillet 2023 trois responsables militaires et du gouvernement de transition malien, dont le ministre de la Défense Sadio Camara, « pour avoir facilité le déploiement et l’expansion des activités de la société militaire privée Wagner au Mali ».

Washington a sanctionné trois hauts responsables maliens ce 24 juillet 2023 pour avoir aidé au déploiement de Wagner au Mali : l’actuel ministre de la Défense Sadio Camara, le général Alou Boï Diarra, patron de l’armée de l’air et son adjoint, le colonel Adama Bagayoko.

Concrètement, les trois officiels de Bamako verront leurs éventuels avoirs aux États-Unis gelés et ont interdiction d’effectuer des transactions avec toutes personnes ou entreprises américaines.

 

Pour Washington, ces trois officiers ont facilité « l’enracinement » de Wagner au Mali, à la fois à l’extérieur de leur pays, via un accord de coopération conclu avec la société paramilitaire. Accord négocié au cours de voyages en Russie en 2021 puis 2022.

 

Son principal artisan serait le colonel Camara, actuel ministre de la Défense et pilier de la Transition. Autre information avancée à propos de ce dernier : il est, selon Washington, citoyen français.

 

Les États-Unis pointent également le soutien apporté aux mercenaires, cette fois directement sur le sol malien :  un appui matériel, logistique, mais aussi économique. En permettant l’exploitation de l’or notamment, les trois officiels de Bamako ont pour le Trésor américain, « ouvert la voie » à la spoliation « des ressources souveraines » et aux « violations des droits humains ».

 

Deux mois plus tôt, un autre pilier du système Wagner au Mali avait été sanctionné par le Trésor américain : le Russe Ivan Maslov, relais d’Evguéni Prigojine à Bamako.