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lundi, octobre 7, 2024

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Saly: Ousmane Diop de Pastef arrêté pour… »relation avec une entreprise terroriste »

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Sale temps pour Ousmane Diop !
Ce responsable de Pastef à Mbour  a été arrêté dimanche dernier vers 20h par les policiers du commissariat urbain de Saly.
 
Il a été présenté hier lundi au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Mbour.
 
Il est poursuivi pour appel à l’insurrection  et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et troubles à l’ordre public, selon des sources de Seneweb.
 
Il est suspecté d’avoir recruté des caillasseurs pour semer le désordre sur la Petite-côte. Des manifestants recrutés par ce membre du bureau  de la Jps national, ont été arrêtés en possession de cocktails Molotov par les gendarmes de la Brigade de recherches de Saly.

[ EXCLUSIF] Affaire Juan Branco: Aminata Macky Tall arrêtée par la Su

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Du nouveau dans l’affaire Juan Branco ! La Sûreté urbaine du commissariat central de Dakar vient de placer en garde à vue un suspect selon les informations exclusives de Seneweb.
 
Il s’agit d’une dame qui travaille à la Sonatel. Aminata Macky Tall est suspectée d’avoir participé à l’extirpation de l’avocat français.
 
 » C’est avec son véhicule qu’on aurait expulsé Juan Branco après sa déclaration.Les policiers  auraient relevé le numéro de la plaque d’immatriculation de sa voiture. Ainsi elle est accusée d’être la transportrice du fugitif », confie une source de Seneweb.
 
Aminata Tall issue de la famille de Macky Tall de Louga a nié, devant les enquêteurs de la Sûreté Urbaine, en bloc son implication dans cette affaire. Cet agent de la Sonatel est apolitique, renseigne notre interlocuteur.

Gambie : l’hommage de Adama Barrow à Macky Sall

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Le Président Macky Sall a été élevé par son homologue gambien, Adama Barrow, à la dignité de Grand commandeur de l’Ordre national de la Gambie. La cérémonie s’est déroulée ce mardi à Banjul en marge de la troisième session du Conseil présidentiel sénégalo-gambien coprésidée par les deux chefs d’État.  

D’après une note parvenue à Seneweb, avec cet hommage, les «Gambiens (montrent qu’ils) n’ont pas oublié son rôle (Macky Sall) décisif dans le retour de la démocratie dans ce pays». Ils saluent ainsi en plus, d’après la même source, «son bilan à la tête de l’UA, avec l’intégration de l’Afrique au G20».

En effet, entre fin décembre 2016 et janvier 2017, Macky Sall était en première ligne dans le déploiement des efforts de la CEDEAO pour pousser l’ancien Président Yaya Jammeh à accepter sa défaite à l’élection présidentielle. Les troupes sénégalaises, sous mandat de l’organisation sous-régionale, furent les premières à poser les pieds sur le sol gambien, en vue d’une intervention militaire. En plus, le Président élu, Adama Barrow, prêtera serment à Dakar, à l’ambassade gambienne établie dans la capitale sénégalaise.

Avant d’être honoré par la Gambie, Macky Sall avait reçu l’hommage du corps diplomatique accrédité à Kigali, au Rwanda.

Patte d’Oie : La maire Maïmouna Dièye convoquée à la Dic

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Maïmouna Dièye, maire de Patte d’oie vient d’être convoquée à la Division des investigations criminelles (Dic) a appris Seneweb. Sa convocation fait suite à l’emprisonnement de Ousmane Sonko et la dissolution de son parti, Pastef.

Depuis l’arrestation de l’opposant, la traque des « patriotes » est lancée par les autorités étatiques qui veulent visiblement en finir avec ces adversaires trop coriaces. Ainsi la Division des investigations criminelles (Dic) a été lâchée aux trousses des responsables de ce parti dissous hier par décret.

Nigéria : le chef des Armées dit n’attendre que les ordres pour déloger les putschistes du Niger

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C’est un secret de polichinelle. La Cedeao a donné une semaine aux putschistes nigériens pour rétablir l’ordre constitutionnel, et n’exclut pas d’utiliser la force si cet ultimatum n’est pas respecté. Au Nigéria, l’armée se tient déjà prête pour intervenir. En effet, selon le chef d’état-major général des armées du pays, ses hommes  n’attendent que les ordres de la Cedeao pour débarquer à Niamey.

 
« C’est inacceptable »
 
« Vous avez entendu ce que le président (Bola Tinubu) a dit, si les problèmes se poursuivent, des mesures seront prises. Il a dit que personne ne soutiendrait une prise de contrôle du pouvoir par les militaires. C’est inacceptable. Nous défendons la démocratie et cela doit continuer. Et nous allons faire exactement ce que dit le président. Nous sommes prêts et dès que nous recevrons l’ordre d’intervenir, nous le ferons » a assuré Christopher Musa, selon les propos rapportés par RFI. 
 
Il dit être absolument sûr de mener à bien l’opération si elle déclenchée. « Tout le monde prend des mesures de rétorsion et notre président est en discussion avec ses homologues des pays voisins. Nous sommes convaincus que les putschistes savaient que ce qu’ils faisaient ne passerait pas. Nous sommes sûrs de remporter la victoire sur eux » a-t-il poursuivi.
 
Les menaces du Mali et du Burkina Faso
 
Inutile de rappeler que le Mali et le Burkina Faso  ont déjà mis en garde la Cedeao contre une intervention militaire au Niger. Cela entraînerait un retrait de Bamako et de Ouagadougou de l’organisation sous-régionale ainsi que « l’adoption de mesures de légitime défense en soutien aux forces armées et au peuple du Niger ».   

Ousmane Sonko…la chute d’un «perturbateur» !

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Ousmane Sonko est entrée dans l’histoire politique du Sénégal. Le leader du Parti des Patriotes du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) a réussi à s’imposer et à tenir tête au régime du président Macky Sall. Pour se hisser au panthéon, le maire de Ziguinchor a adopté une autre forme d’opposition. D’ailleurs, c’est ce qui a fait de lui le leader d’une nouvelle opposition dite «radicale». Mais son règne à atteint son déclin. Sonko est devenu le perturbateur à abattre avant la présidentielle de 2024.

Ousmane Sonko a passé sa première nuit en prison, ce lundi. Le doyen des juges a décidé de le placer sous mandat de dépôt après une audition qui a duré quatre (4) tours d’horloge. Il a, ainsi, été conduit sous bonne escorte à la prison de Sebikotane. Le malheur ne venant jamais seul, le maire de Ziguinchor a entraîné son parti dans sa chute. Ce qui met définitivement fin au projet malgré les manifestations notées dans quelques localités.

Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Xibaaru, le ministre de l’Intérieur a décidé tout bonnement de dissoudre Pastef. Une dissolution qui enlève une grosse épine au pied de Macky. Sonko et son parti représentaient tout ce que le régime en place détestait. Les patriotes ont tellement mené la vie dure à Macky et ses ministres qu’il est classé comme organisation terroriste. Leur nouvelle forme d’opposition coûté la vie à de nombreux jeunes.

Pour Ousmane Sonko, la prise du pouvoir ne se ferait que par le «combat». Ainsi, il a entraîné tous ses souteneurs sur le chemin de la violence. Toutes les manifestations appelées par Pastef ont fini en affrontement. En mars 2021, c’était quatorze (14) morts. Et en juin 2023, on a comptabilisé seize (16) morts. Tous avaient répondu à l’appel du PROS (Président Ousmane Sonko) avant de tomber sous les balles des forces de défense et de sécurité. Mais aussi de balles non encore identifiées.

Face à la presse samedi dernier, le Procureur avait retenu sept (7) charges contre Ousmane Sonko, notamment l’appel à l’insurrection. Pour étoffer ses accusations, Abdou Karim Diop a regroupé toutes les déclarations de guerre de Sonko depuis mars 2021. C’est sur cette base d’informations solides que le Procureur compte s’appuyer pour garder le maire de Ziguinchor le plus longtemps en prison. Et s’il s’est retrouvé dans cette situation il ne doit s’en prendre qu’à lui-même en premier chef.

Ousmane Sonko a longtemps défié l’autorité. Il ne laissait personne indifférent dans ses attaques. Le Président est sa première cible. Pour lui, le mal du Sénégal a un nom et c’est Macky Sall. Raison pour laquelle, le patriote en chef n’hésite pas à lui «cracher» dessus. Mais le chef de l’Etat n’a pas était la seule personne visait par Sonko. Il a toujours crié à une iniquité de la Justice. Le leader de l’opposition radicale estime que certains magistrats sont des «corrompus». Des attaques qui ont fait beaucoup réagir au sein de la magistrature.

Même les forces de défense et de sécurité ne sont pas épargnées. Pour le patriote en chef, certains parmi les policiers et gendarmes sont armées pour faire le sale boulot du régime. Ce sont toutes ses déclarations et attaques qui ont valu à Sonko cette situation. Si le maire de la capitale du Sud avait une bonne lecture politique, il aurait su quand se taire. Et ne pas tomber dans le piège de ses adversaires. En voyant la manière dont le PROS a été arrêté, on se rend compte que le pouvoir avait tout mis en place pour réussir.

Ainsi, 2024 va se jouer sans l’un des ténors de l’opposition. Mais l’absence de Sonko ne va pas déranger certains de ses camarades de l’opposition. Mais attention, il ne faudrait pas vendre la peau de l’ourse sans l’avoir tué. Sonko est en prison. Mais il lui reste des fidèles qui sont prêts à remuer ciel et terre pour le sauver. Alors, la gouvernance de Macky ne sera plus calme comme auparavant…

Aliou Niakaar Ngom pour Xibaaru

Djiamil Sané, maire des Parcelles Assainies, arrêté par la Dic

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Djiamil Sané, membre de Pastef et maire des Parcelles Assainies, vient d’être arrêté par des éléments de la Division des investigations criminelles.

Révélations sur la gendarme qui «filmait» Sonko

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Ousmane Sonko a été arrêté vendredi dernier près de son domicile, à la Cité Keur Gurgui, à la suite d’une altercation avec une gendarme en civil.

 Le président de Pastef reprochait à cette dernière de l’avoir filmé sans son consentement. D’après le procureur de la République, cet incident constitue l’élément déclencheur de l’arrestation du leader des Patriotes, même si son dossier est lourd de chefs d’inculpation beaucoup plus graves (appel à l’insurrection, atteinte à la sûreté de l’État, notamment).

Selon L’Observateur, la gendarme en question se nomme Kh. D. Issue de la 51e promotion de l’École des sous-officiers de la gendarmerie (ESOG), elle est en poste à l’État-major de la gendarmerie.

Le journal renseigne qu’elle a déposé plainte contre Ousmane Sonko à la Sûreté urbaine. C’était, selon la même source, le jour des faits et sur instruction de sa hiérarchie.

L’Observateur rapporte que Kh. D a confié aux enquêteurs que ce vendredi-là, elle se rendait à la Cité Keur Gorgui pour rendre visite à une amie qui habite derrière le domicile du leader des Patriotes. Elle arrive sur place, se gare dans une rue, sort son téléphone portable et tente d’appeler sa copine, «pour avoir l’adresse exacte», précise le quotidien d’information.

C’est à ce moment-là, poursuit-elle, qu’elle aperçoit Ousmane Sonko et ses gardes du corps, revenant de la mosquée, se diriger vers elle. L’un des éléments de la sécurité du président de Pastef, toujours d’après la victime présumée, ouvre la portière de sa voiture et lui reproche de les filmer.

Le téléphone finit entre les mains de Sonko, qui le confisque lorsque la gendarme a refusé de le déverrouiller. Kh. D se rabat sur son deuxième téléphone et informe le commandant de la Brigade de la Foire avant de recevoir la consigne de la hiérarchie de la gendarmerie l’envoyant à la Sûreté urbaine pour le dépôt de sa plainte.

Dissolution et saisie de ses biens : Ce que compte faire Pastef

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Pastef dit n’avoir pas reçu de notification quant à la décision de l’Etat du Sénégal de le dissoudre. Hier, des forces de défense et de sécurité se sont rendus au siège de la formation politique pour exécuter la mesure étatique. Député et membre de la formation politique, Ayib Daffé a indiqué que son parti va déposer une plainte. 

«Nous allons faire constater tout cela par un huissier et déposer des plaintes. Parce que ce sont des abus, des voies de fait, du banditisme. Parce que sans acte juridique on ne peut pas procéder à des saisies de biens, à des destructions», indique le député.

Ayib Daffé soutient qu’il n’ont pas encore reçu notification de la mesure de dissolution. «Nous avons constaté des abus et des voies de fait de la part des forces de défense et de sécurité qui ont été envoyées à notre siège pour exécuter une décision  qui est encore inexistante. Nous n’avons vu ni décret ni rapport de présentation. Un simple communiqué ne peut se substituer à un décret», dénonce l’homme politique.

Dissolution de Pastef : Un abus d’autorité, selon le Fsd/Bj

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Le Front pour le Socialisme et la Démocratie / Benno Joubel (FSD/BJ/), a réagi au décret qui a dissous le parti Pastef/Les Patriotes. Dans un communiqué, le parti dirigé par Cheikh Bamba Dièye, a déclaré que dans un État de droit, la présomption d’innocence est une garantie constitutionnelle de protection des droits du citoyen. Elle protège les droits des citoyens et des groupes constitués jusqu’à ce qu’une décision de justice tranche la question.

‘’A l’Assemblée nationale, une enquête parlementaire est interrompue dès l’instant qu’une instruction judiciaire ouverte, porte sur le même sujet. C’est pourquoi, nous affirmons au FSD-BJ que la mesure de dissolution du Pastef est un abus d’autorité. Elle est injuste parce que précipitée et excessive. Cette décision anticipe sur la décision de justice qui va sanctionner l’instruction judiciaire contre le président de Pastef’’, lit-on dans le document.

Selon « Le Témoin », la formation politique estime que si demain Ousmane Sonko est innocenté, un préjudice irréparable sera commis à l’endroit dudit parti et de tous les militants qui ont foi dans leur projet. ‘’Cette précipitation va encore conforter la réalité de l’acharnement dont Pastef est la victime depuis de nombreuses années. C’est aussi une entorse majeure aux efforts de paix fournis par les forces vives de la nation et surtout, elle annihile l’espoir d’une désescalade née du dialogue national’’, a écrit le secrétaire général du parti FSD/BJ.