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mardi, octobre 8, 2024

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«Opération gnibissi» : Karim mise sur un trio d’anciens collaborateurs de son père

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Comme Idrissa Seck, Karim Wade a tendu la main à ses «ex» en vue de la prochaine présidentielle. L’ancien ministre d’État, exilé au Qatar, a lancé l’opération «retour au bercail» pour les anciens membres du PDS, qui ont quitté le pavillon bleu pour intégrer la mouvance présidentielle, créer leur propre parti ou les deux en même temps.

Pour réussir son coup, Karim Wade miserait essentiellement sur un trio composé d’ancien collaborateurs de son père, l’ancien président Abdoulaye Wade. D’après les Échos, qui donne l’information, il s’agit de Alioune Diop, Aïdara Sylla et Saliou Dieng.

Le journal rapporte que chacun joue un rôle précis. Alioune Diop serait le chef de toutes les délégations dépêchées auprès des personnalités ciblées. Aïdara Sylla s’occuperait des finances et aurait en plus la mission d’établir, au besoin, un contact téléphonique direct entre Karim Wade et les anciens libéraux invités à revenir à la maison.

Les Échos informe que Saliou Dieng complète le trio. Sans préciser son rôle.

Opération pré-Magal : Les occupants des emprises déguerpis

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Le préfet de Mbacké Khadim Hann a supervisé ce matin le deguerpissement des occupants des rails. Devant des mécaniciens, électriciens et autres artisans qui avaient occupé le long de la voie ferroviaire, les bulldozers n’ont épargné aucun atelier.

Ceci pour dégager les rails pour permettre aux trains de rallier Touba lors du Magal. Cette opération est aussi prévue pour faciliter le transport de passagers via le train jusqu’à ville sainte.

 

 

A noter que les occupants avaient reçu des sommations de la part des autorités administratives depuis longtemps mais selon un de leurs responsables, ils avaient souhaité une prolongation jusqu’après le Magal pour quitter les lieux. Une requête rejetée par le préfet qui a supervisé lui-même l’opération de déguerpissement.

Voici les images :

Samuel Sarr : « Benno file tout droit vers l’opposition en 2024 »

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Si c’était un film, on l’aurait appelé : « Chronique d’une défaite annoncée » ! semble dire l’ancien Ministre d’Etat Samuel SARR, président du parti Libéralisme Social Sénégal, allié de Benno Bokk Yakar. Fidèle partenaire politique du président Macky SALL, celui qui se définit comme un « Wadiste fidèle et un Mackyste éclairé », lance un appel à l’égard de l’ensemble de la coalition présidentielle. Samuel SARR semble ne pas être en phase avec son frère Macky SALL dans la démarche pour le choix du candidat de Benno Bokk Yakar. Il n’a pas caché ses préoccupations et ses inquiétudes.

Nul ne peut douter de l’intelligence politique de ce libéral qui a été l’un des plus proches collaborateurs du Pape du Sopi, Me Abdoulaye WADE. Samuel Sarr, dès sa prime jeunesse, a côtoyé l’un des plus célèbres opposants d’Afrique qui avait tenu tête au système socialiste depuis plusieurs décennies. Cette figure de la politique sénégalaise donne son avis sur la présidentielle de 2024 et le choix retardé du candidat de la coalition Benno.

Le 03 Juillet 2023, après la déclaration du président de la République annonçant son retrait de la course, Samuel Sarr et son parti avaient publié un communiqué pour saluer cette décision historique du président Macky SALL qui selon eux, a marqué l’histoire politique sénégalaise et africaine. L’ancien Ministre d’Etat était revenu largement sur les réalisations du président SALL et l’importance de sa décision malgré le droit légal qu’il avait de briguer un second mandat de 5 ans.

Ce renoncement du président SALL a imposé à la coalition un nouveau candidat. Samuel SARR faisait partie des premiers leaders à prendre l’engagement de soutenir toute personne qui sera choisie par le président de l’Apr Macky SALL. Mais plusieurs semaines après, le retard dans le choix du candidat consensuel de Benno est en train d’avoir des conséquences néfastes sur la cohésion et la dynamique d’unité. Car, plus de 11 personnes, sans carrure ont déclaré leur candidature. Un comportement qui sape les fondamentaux de la coalition.

Benno Bokk Yakar file tout droit vers une scission politique qui va le précipiter dans l’opposition en 2024. Cette remarque est confirmée par Samuel SARR qui dit : « avec cette division, Benno va perdre le pouvoir au profit de quelqu’un qui va le ramasser au 2ème tour. Il sera peut-être Karim WADE, Khalifa SALL ou un 3ème inconnu pour le moment ».

L’ancien Ministre d’Etat semble très outré par les agissements de certains responsables qui posent des actes qui vont affaiblir la coalition. Une situation pareille s’était produite en 1999, lorsque les socialistes avaient refusé de s’unir derrière un candidat unique. Moustapha NIASS, Djibo Ka avaient quitté le navire socialiste laissant Ousmane Tanor Dieng seul à bord. Pour des raisons politiques, le leader de l’Afp, l’ancien patron de l’URD et Abdou DIOUF n’ont pas pu se retrouver pour faire face à Me Abdoulaye WADE candidat de l’opposition d’alors. La division était très profonde entre ces différents responsables socialistes. La suite est connue. Abdou Diouf sera battu au second tour malgré le retour de Djibo KA. Moustapha NIASS emporté par la crise au sein du Ps, apportera son soutien à Me Abdoulaye WADE. Depuis 2000, la famille socialiste ne s’est pas retrouvée. La division avait provoqué la perte du pouvoir et la dislocation de la famille PS. Préoccupé par la division au sein de l’Apr, Samuel SARR semble avoir la même remarque lorsqu’il dit : « Il risque d’avoir un remake de 1999 avec Abdou Diouf qui avait perdu le pouvoir à cause des divisions internes au Parti socialiste avec le départ de Moustapha Niasse et Djibo Ka ».

La coalition Benno Book Yakar ne s’éloigne pas de la crise politique qui avait fait perdre le pouvoir au Pds en 2012. Cette défaite de Me Abdoulaye WADE avait déclenché depuis l’emprisonnement d’Idrissa SECK en 2005. Alors, premier Ministre, Idrissa SECK quittera le Pds avec 12 députés en poche. Il engage un bras de fer contre le Pds jusqu’en 2012 année à laquelle, il s’était opposé à un 3e mandant de Me Abdoulaye. S’en suivra la démission de Macky SALL du Pds. Lui également partira avec un contingent de responsables politiques avec lesquels, il créera l’Apr. Ainsi entre 2000 et 2012, des flancs du PDS naitront deux grandes formations politiques : l’APR et Rewmi. D’autres hauts responsables libéraux notamment : Mme Aminata TALL, Lamine BA etc… quitteront le PDS. Malgré les grandes réalisations de Me Abdoulaye WADE et son bilan jugé positif, il sera battu au second tour par son ancien premier Ministre Macky SALL. La division au sein du Pds et de la coalition Sopi en général ont fortement compromis les chances du Pape du Sopi. Au-delà des départs de Macky SALL, d’Idrissa SECK, de Me Aminata TALL et des autres, Me Abdoulaye WADE avait perdu des alliés de taille notamment : Abdoulaye BATHILY, Amath DANSOKHO, Landing SAVANE entre autres. Samuel Sarr qui s’est rappelé de cette époque nous a confié : « Cette situation rappelle celle de Me Abdoulaye Wade en 2011 qui avait perdu le pouvoir à cause des divisions internes dans sa coalition. Amath Dansokho et d’autres hauts responsables avaient quitté, et à ces départs on pouvait y greffer ceux d’Idrissa Seck, de Macky SALL et autres du PDS ».

Jusqu’au 3 Juillet 2023, la coalition était bien tenue par le président Macky SALL. Mais la division est constatée suite au retard constaté dans le choix du futur candidat de Benno. L’attente est longue et la conséquence, c’est le risque d’éclatement de la coalition. En plus, il faut constater ce manque de discipline des responsables de l’Apr qui semblent oublier que ce parti n’est pas l’unique formation de Benno. La coalition est composée de plusieurs dizaines de formations politiques. Alors, l’on ne comprend pas ces agissements des Ministres de l’Apr qui croient que le successeur de Macky SALL doit sortir forcément des rangs de l’Apr. C’est quand même irrespectueux à l’égard des alliés. Mais également, c’est sous-estimer les autres leaders qui ont les compétences et l’expérience pour être candidat en 2024, même s’ils ont préféré laisser le président Macky SALL choisir.

«Il est navrant de constater avec regret la durée d’attente très longue, pour le choix d’un candidat du pouvoir » a déclaré Samuel SARR. Pour lui, «la méthode choisie par Macky Sall n’était peut-être pas la bonne. Son choix aurait dû être basé sur son propre choix avec les standards de la République et la capacité de poursuivre le PSE et le Programme Financier avec le FMI, et pas d’autres considérations qui découleront de l’émotion » poursuit-il.

Le leader du Parti Libéralisme Social Sénégal (LSS) semble remarquer avec amertume que Benno n’a toujours pas de candidat alors qu’on est à quelques semaines du démarrage de la campagne. Il y a tout un travail à faire pour asseoir un leadership politique au sein de la mouvance.

« Par ailleurs, le candidat qui sera choisi par le président Macky Sall, part avec un lourd handicap, né de cette division notoire au sein de Benno et plus grave au sein de l’Apr » fait remarquer Samuel SARR.

Il a rappelé que « l’absence de consensus autour du candidat de Benno risque de profiter à Karim WADE ou à Khalifa SALL qui pourrait gagner au 2e tour ». De l’avis de Samuel SARR, « Benno file tout droit vers l’opposition en 2024 ».

Source : Dakartimes

Présidentielle 2024 : Les albinos craignent pour leur sécurité

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Souvent victimes de « sacrifices » humains à l’approche des élections, les albinos de Tambacounda sonnent l’alerte. Ils invitent les autorités à assurer leur sécurité à la veille de l’élection présidentielle du février de 2024. En attendant cette date, les albinos discutent de leur sécurité, car selon eux, pendant la campagne électorale, ils sont la cible de certaines personnes.

Sur les ondes d’Iradio, Fatoumata Soumaré, présidente de l’Union régionale des albinos de Tambacounda, déclare son angoisse. « Les personnes albinos sont victimes de violence à l’approche des élections. Nous n’osons plus sortir, car, parmi nous, certains ont été victimes d’agression lors de l’élection présidentielle de 2019. Ce sont des actes que nous déplorons. L’albinos n’est pas une source de malheur ni de bonheur ».

La présidente régionale de cette couche vulnérable, invite par ailleurs, les autorités à garantir leur sécurité, surtout durant la campagne électorale. « Nous voulons être sécurisés. Même si la police ne peut pas être au chevet de tous les albinos. Mais si nous déplorons quelque chose, si nous décrions certaines choses, le mieux que les autorités peuvent faire, est de se rapprocher de nous afin de savoir quelles sont nos inquiétudes », lance Fatoumata Soumaré.

Ils sont l’objet de toutes sortes de superstitions. Coucher avec un albinos rendrait riche ou guérirait un malade du sida. Sacrifier un albinos permettrait de remporter une élection. Autant de croyances qui rendent le quotidien des albinos difficile en Afrique. Au Sénégal, la situation est particulièrement critique en cette période où nous sommes à moins d’une année des élections présidentielles, où selon Mouhamadou Bamba Diop, président de l’Association nationale des albinos du Sénégal (Anas), l’assassinat d’albinos, prôné par des marabouts, serait en augmentation. « Ces dernières semaines, sept de nos frères et sœurs albinos, auraient été victimes d’une chasse au sacrifice », s’inquiète-t-il dans des propos repris par Leral.

Maurice Soudieck Dione, un agrégé au service de Sonko…Et il n’est pas seul

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Maurice Soudieck Dione, le désagrégé politique, René LAKE, le ténébreux politicien.

(Par Abdoulaye Mamadou Guissé).

L’agrégé en sciences politiques, le Pr Maurice Soudieck DIONE dans une interview accordée à Radio France International RFI, le 7 juin 2022, affirmait « Naturellement, ce sont des élections qui vont être tronquées’’ en parlant de l’élection présidentielle de 2024.

Le professeur DIONE enseignant à l’université Gaston Berger de Saint-Louis, a déclaré, le dimanche 2 juillet 2023, la « fragilisation de nos institutions » par une 3e candidature du président de la République, Macky Sall à l’émission Objection de la radio Sud Fm.

Soudieck DIONE de poursuivre : « L’actuel chef de l’Etat du fait de son obsession d’une 3ème candidature illégale au regard de la Constitution est depuis 2019 dans une logique de management des risques’’.

Alors, le lendemain, lundi 4 juillet 2023, le Président Macky Sall a déclaré sa non-candidature et n‘ayant jamais dit qu’il sera candidat.

Le président Sall a rendu ridicule et a fait honte au Pr Maurice Soudieck DIONE qui ne mérite pas son grade d’agrégé en sciences politiques.

Soudieck DIONE est désagrégé car ses analyses sont subjectives, unilatérales, frisant même la partisannerie sonkoïste. Un Professeur qui ne sait pas prendre du recul, suivant l’effet de mode populiste, s’acharnant sur celui qui incarne l’institution républicaine dans toutes ses analyses qui chargent : Ce Professeur est disqualifié.

Suivons l’autre renégat politique, René Lake, résidant aux Etats Unis et s’acharnant régulièrement sur le Sénégal.

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Réné Lake
Dans un entretien avec la Voix de l’Amérique TV et relayé le 5 juillet 2023 par SenePlus, site de propagande pour Sonko, le violeur des droits féminins, le pseudo-analyste politique, René Lake, propriétaire de SenePlus, a été secoué par la décision du Président sénégalais Macky Sall de ne pas briguer un troisième mandat à l’élection présidentielle de février 2024.

Le président Macky Sall a dérouté René Lake avec sa campagne de propagande anti-Macky Sall et orchestrée par un groupe d’intellectuels et de journalistes à la solde de Sonko. Quelle bassesse !

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Le journaliste Demba Ndiaye
Ces intellectuels de bas étage se sont faits petits à cause de leur zèle et de leur position opportuniste. Tels que Alymany Bathily, ancien du Panos, universitaire aigri, Charles Fournier qui porte l’animosité gratuite contre Macky Sall, le prétentieux Pierre Sané qui rêvait de poste de Ministre des Affaires Etrangères, Yacine Fall Pastef et Jacques Habib Sy, ce couple revanchard à l’ambition démesurée, le journaliste-troskiste renégat Demba Ndiaye, ancien de Sud Quotidien, le trio-promoteur Lgbtiste, Boubacar Boris Diop, Felwine Sarr, Mbougar Sarr avec leur texte collectif pro Sonko et anti-universitaire.

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de g à dr : Boubacar Boris Diop, Felwine Sarr, Mbougar Sarr
Et les 104 intellectuels signataires d’un torchon de communiqué piégeant Wolé Soyinka du Nigeria et Ngugi Wa Thiongo du Kenya qui regrettent actuellement leur prise de position contre le président Macky Sall.

Le discours historique du Président Macky Sall sur sa non candidature a bouleversé tous les thurifères de Sonko qui ont mis à terre leur plume. Tous ces soi-disant intellectuels ont cautionné les destructions des archives et facultés universitaires de Dakar. Ils ont souillé la mémoire de Cheikh Anta Diop.

Dans son entretien avec la Voix de l’Amérique Tv, René Lake, le propagandiste de Sonko prédit l’implosion de l’alliance Benno Bokk Yakaar (BBY), soulignant que «la décision tardive du président Sall n’est pas à l’avantage de son camp et du coup, l’opposition est en bonne position pour capitaliser sur la situation ». René Lake est un piètre analyste politique parce que trop penchant pour un camp, donc partisan. René s’est éloigné de l’objectivité depuis son allégeance Ousmane Sonko.

La démocratie sénégalaise reste debout, le Sénégal en modèle. N’en déplaise à Maurice Soudieck DIONE, René Lake et compagnie qui travaillent à l’implosion du pays de Ndiadiane Ndiaye. Peine perdue.

Abdoulaye Mamadou GUISSE

Conseiller Spécial du Président

Du Conseil Economique Social et Environnemental.

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Le coup d’état au Niger continue de fair couler beaucoup d’eau sous les ponts. Et l’option de la Cedeao apparait de plus en plus à privilégiant toujours le dialogue tout en optant le recours à la force si la Junte persiste à s’agripper au pouvoir.

Le Président Ivoirien Alassane Ouattara aurait affirmé être prête à envoyer un bataillon de plus de 1000 hommes au Niger. Quant au Président Sénégalais, Macky Sall,il bénit l’intervention militaire pour rétablir l’ordre constitutionnel dans un pays en proie en plusieurs tentatives de coups d’état.

« Interviewé par « premiumesng »,le Président Macky Sall a qualifié ce sommet de la Cedeao à Abuja de bonne rencontre. Selon le Premier Sénégalais, ce coup d’état ne saurait être acceptable et qu’ils mettront tout en œuvre pour le contrecarrer.

« C’était une erreur de ne pas avoir agi aupravant,mais maintenant que nous sommes ensemble sur cette question, nous devons agir pour nous assurer que cela ne continue pas », a indiqué le Président Sall, rapporte Vox Populi.

Hôpital pour enfants Albert Royer: Des sœurs siamoises séparées avec succès

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C’est un fait assez rare, mais qui commence à être récurrent à l’hôpital pour enfants Albert Royer de Dakar. En effet, après Adji et Sophie, en 2018, deux autres sœurs siamoises ont été séparées avec succès dans ledit service. Les faits se sont déroulés, ce mercredi 9 août 2023, informe « leSoleil.sn ».

Au début, leurs parents étaient pessimistes, préférant une évacuation à l’étranger. Mais, ils seront finalement dissuadés grâce à l’expérience et au professionnalisme des experts de l’hôpital Albert Royer. Et, après une opération qui a duré 3h de temps, ces sœurs jumelles, âgées de 11 mois, ont été finalement sauvées.

L’opération a été réalisée par une équipe locale chirurgicale et anesthésiste dirigée par le professeur Gabriel Ngom, par ailleurs chef du service chirurgie et le professeur Mamadou Mour Traoré, anesthésiste-réanimateur.

Les nourrissons étaient liés par le sternum et le foie, selon des informations. Présentement, elles se portent bien.

Barth gifle Pastef : «Vous avez fait vos bêtises et vous voulez nous le faire porter»

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Le maire de la ville de Dakar et membre de Taxawu Sénégal solde ses comptes avec une partie de l’opposition, notamment Pastef.

« Vous avez fait vos bêtises et vous voulez nous les faire porter! », lâché l’édile de la ville de Dakar qui a tenue une brève conférence de presse ce jeudi dans les locaux de la mairie.

Sans langue de bois, Barthélémy Dias considère l’option de ses camarades de Pastef comme inélégante. C’est à travers cette leçon qu’il a tenu à leur donner, que le maire de Dakar dira : « certains ont fait l’option du Gatsa Gatsa ». À l’inverse, Taxawu a choisi la voie du dialogue et de la concertation parce que, considérant que ce pays demeure un havre de paix et que « la seule voie qui s’offre à ceux qui veulent diriger le pays, c’est celle des élections… »

New York : Un petit-fils de Serigne Touba trouvé mort dans son Taxi (photo)

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New York, un taximan sénégalais retrouvé mort dans son véhicule. Serigne Mamoune Mbacké, âgé de soixante ans (Buffalo), est un petit-fils de Serigne Touba, informe le correspondant de Senego au pays de l’Oncle Sam.

En moins de 15 jours, trois Sénégalais sont morts au pays de l’Oncle Sam. Il y quelques jours, deux Sénégalais  (Alioune Diop (39 ans) et Serigne Ndiaye (26 ans) sont décédés dans un accident de la route.

Senego présente ses sincères condoléances aux familles des victimes.

Affaire à suivre pour plus d’informations avec notre correspondant sur place

 

Biden : « La Chine est une bombe à retardement »

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Le président américain Joe Biden a déclaré jeudi que la Chine, grande rivale des Etats-Unis, était « une bombe à retardement », citant ses problèmes économiques et le vieillissement de sa main-d’oeuvre.

« La Chine est une bombe à retardement par de nombreux aspects », a-t-il déclaré lors d’un déplacement dans l’Utah, dans l’ouest du pays.La démocrate a souligné que le pays connaissait un fort taux de chômage, et que sa main-d’oeuvre vieillissait. A cause de cela, « la Chine est en difficulté », a-t-il avancé.

Pour Joe Biden, cela donne des raisons de s’inquiéter car, « quand les personnes mauvaises ont des problèmes, ils font des mauvaises choses ».

Fin juin, le président avait froissé Pékin en estimant que son homologue Xi Jinping appartenait à la catégorie des « dictateurs », un commentaire vu comme une « provocation » par la diplomatie chinoise.

Jeudi, Joe Biden a toutefois assuré qu’il cherchait à entretenir « une relation rationnelle avec la Chine ». « Je ne veux aucun mal à la Chine, mais j’observe. »

Les Etats-Unis ont récemment relancé leur dialogue avec la Chine, avec une succession de visites de hauts responsables américains à Pékin dont le chef de la diplomatie Antony Blinken.

Ce voyage avait pour objectif de tourner la page d’un récent épisode de tensions, autour d’un ballon chinois qualifié « d’espion » abattu par les Etats-Unis en février.