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Dakar : Macky Sall inaugure un nouvel hôtel 4 étoiles et salue la montée en puissance du secteur touristique

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Ce samedi 25 novembre, le président Macky Sall a officiellement inauguré l’Azalaï Hôtel Dakar, marquant ainsi une étape significative pour la chaîne hôtelière panafricaine Azalaï, fondée par Mossadegh Bally en 1994. Situé sur la Corniche Ouest, cet édifice est déjà classé 4 étoiles par la Commission nationale de classement.

Dans son discours, le chef de l’État a remercié le PDG du groupe Azalaï, Mossadeck Bally, “pour cet important investissement de 22 milliards de FCFA, d’un total de 200 chambres, et ayant généré deux cent (200) emplois directs crées, compte non tenu des réseaux voirie, eau, assainissement et électricité installés”.

“Cet hôtel de dernière génération, situé sur ce magnifique site face aux îles de la Madeleine et de l’océan Atlantique, répond aux standards internationaux en termes de commodités pour rendre un séjour agréable”, a-t-il ajouté.

L’inauguration de cet hôtel confirme, selon M. Sall, “la montée en puissance du secteur touristique et la relance effective de la Destination Sénégal”. “Ce bel édifice moderne, traduit ainsi la confiance que la Destination Sénégal inspire aux investisseurs et les bonnes perspectives de développement de l’industrie touristique de notre pays”, a-t-il dit.

Mossadegh Bally, président fondateur du groupe Azalaï, a partagé l’histoire captivante derrière le nom Azalaï, qui signifie « la caravane » en langue tamachek, la langue des Touaregs. Ce nom symbolise le voyage et l’endurance, tirant ses racines de l’échange historique de barres de sel entre Taoudeni et Tombouctou, illustrant la richesse de l’hospitalité des caravaniers berbères.

Azalaï, qui a débuté avec le rachat du Grand Hôtel de Bamako, compte aujourd’hui 11 unités hôtelières dans 7 pays ouest-africains. La chaîne, dont la première unité a été inaugurée en 1994, a élargi sa présence avec des établissements au Burkina Faso, en Guinée-Bissau, au Bénin, en Mauritanie, en Côte d’Ivoire, et désormais au Sénégal avec l’ouverture officielle de l’Azalaï Hôtel Dakar.

Le conseil départemental de Mbacké réclame un traitement particulier

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Classé premier des départements les plus peuplés du pays, le département de Mbacké demande un traitement particulier de la part de l’état. Au cours de la réunion du débat d’orientation budgétaire, le président du conseil départemental de Mbacké est largement revenu sur les axes stratégiques pour le développement économique et social du département.  L’éducation, la formation, la santé, l’action sociale et la coopération décentralisée sont des piliers importants retenus pendant les débats pour orienter le budget 2024.

Le président Serigne Fallou Mbacké est revenu sur les réalisations déjà achevées et celles qui sont en cours malgré les faibles moyens attribués au Conseil départemental de Mbacké. Dans ce lots de réalisation, on peut noter les adductions d’eau, le démarrage de la construction de centre de sante de Taif, les machines à moulins pour les femmes, les accompagnements des femmes du département via leur Réseau, les bourses d’études, l’appui et l’accompagnement des jeunes pour leurs insertions professionnelles et sociales, les mouvements sportifs réalisés pour le compte du budget 2023.

Les conseillers à leur tour ont demandé à l’Etat de revoir l’enveloppe à la hause alloué au département de Mbacké qui depuis le dernier recensement général de la population, est le premier département du Sénégal de par son poids démographique.

Le représentant du préfet et les chefs de services ont, tout de même, encouragé le conseil départemental pour les efforts dans beaucoup de domaines stratégiques pour le développement de la localité.

Abdou Marie Dia pour xibaaru.sn

Campagne arachidière : Le prix du kilogramme fixé à 280 F CFA

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Le Premier ministre, Amadou Bâ a formulé les recommandations à l’issue du conseil interministériel tenu vendredi sur la campagne de commercialisation de l’arachide. Il a retenu 9 points parmi lesquels la fixation du prix plancher à 280 FCFA par kilogramme.

Le prix plancher proposé est de 280 FCFA par kilogramme. Ce prix consensuel devrait assurer une commercialisation satisfaisante pour tous les acteurs impliqués, selon le Premier ministre. Qui a ajouté que la date du 30 novembre 2023 est proposée pour le début de la campagne de commercialisation.

Les ministres des Forces armées, de l’Intérieur, des Finances, de l’Agriculture et du Commerce prendront les mesures nécessaires pour le démarrage des opérations de collecte à partir du 30 novembre 2023 et à l’application du prix plancher de 280 francs par kilogramme.

Une bonne nouvelle pour le Woyofal/ Félix Antoine Diome: « La troisième tranche supprimée avec effet immédiat ! »

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Cette année, le système de facturation Woyofal de la Senelec a suscité beaucoup de récriminations. Le ministre du Pétrole et des Énergie a annoncé la suppression de la tranche la plus chère.

Dans le système de tarification de Woyofal, la troisième tranche sera supprimée. C’est ce qu’a annoncé le ministre du Pétrole et des Énergies ce samedi à l’Assemblée nationale. «J’ai le plaisir de vous annoncer, car le président de la République en a décidé ainsi, qu’on va retourner au système antérieur de Woyofal avec la suppression totale et complète de la troisième tranche. Donc à partir de maintenant, avec effet immédiat, il n’y a plus de troisième tranche de woyofal», a déclaré Antoine Félixe Diome.

En effet, sur Woyofal, l’électricité est vendue en tranches. La première tranche va de O à 150 kWh et coûte 91,17 FCFA/kWh. La 2ème tranche va de 151 à 250 kWh et coûte 136,49 FCFA/kWh. La troisième tranche va de 251 kWh et au-delà. Elle coûte 149,06 FCFA/kWh avec une Tva qui est appliquée dessus.

« Par conséquent, quand vous faites votre achat et que la quantité est inférieure à 150 kWh, vous avez beaucoup de kWh. Si vous vous achetez à nouveau, ayant dépassé les 150 kWh, vous passez en 2ème tranche avec un prix au kWh plus élevé. Donc pour cet achat, vous aurez moins de kWh,

Si vous passez en 3ème tranche, en achetant plus de 250 kWh, elle est frappée de la TVA, donc plus chère et vous aurez moins de kWh. Ensuite, chaque achat est majoré de la taxe communale et la redevance est payée périodiquement Enfin, il y a un timbre sur tous les achats supérieurs à 100 000 FCfa », expliquait Momar Ndao.

Infrastructures : Amadou Bâ lance les travaux de deux projets routiers d’un coût de près de 110 milliards F CFA

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APS- Le Premier ministre Amadou Bâ, a lancé, samedi, à Dakar, les travaux d’aménagement et d’élargissement de la route des Niayes, ainsi que le programme d’amélioration des accès routiers à Dakar, dont le coût global est estimé à près 110 milliards francs CFA .

‘’La cérémonie qui nous réunit aujourd’hui concerne le lancement des travaux d’aménagement et d’élargissement de la Route des Niayes et le programme d’amélioration des accès routiers routiers à Dakar », a-t-il déclaré.

Il a précisé que »ces deux projets sont financés par le Gouvernement du Sénégal avec le concours de la République populaire de Chine, à travers la Banque de développement de Chine, pour un coût total de près de 110 milliards de francs’’.

Il présidait samedi, aux Parcelles Assainies, la cérémonie de lancement des travaux, en présence du ministre des Transports terrestres, des Infrastructures et du Désenclavement, Mansour Faye, et de l’ambassadeur de la République populaire de Chine à Dakar.

‘’Les travaux d’aménagement de la route des Niayes consistent en l’élargissement et l’aménagement de la route des Niayes du Rond-Point Liberté VI à la station Shell de Keur Massar en 2 x 2 voies sur un linéaire de 23 km, y compris la construction de 47 km de voiries urbaines en pavés, la construction d’ouvrages d’art, la mise en place de caniveaux pour l’assainissement routier, l’éclairage public et l’aménagement paysager’’, a expliqué le Premier ministre.

Pour la zone des Parcelles Assainies, le PM indique que le projet a prévu la réalisation de 18 km de voiries éclairées et assainies avec des aménagements paysagers pour améliorer le cadre de vie des populations.

‘’Le projet d’élargissement de la Route des Niayes comporte aussi un important programme de routes de connexion à Pikine dont la traversée de Pikine, la réhabilitation des routes Tally Bou Mak et Tally Bou Bess, et surtout, l’élargissement en 2 x 2 voies de la Route ICOTAF, pour offrir un meilleur cadre de vie aux populations’’, a-t-il souligné.

Concernant le programme d’amélioration de la fluidité des axes routiers à Dakar, le chef du gouvernement explique que les travaux concernent la construction d’ouvrages pour améliorer la sortie de l’autoroute vers la Patte d’Oie, l’élargissement de la route Patte d’Oie-CICES en 2×3 voies, y compris l’aménagement paysager et la mise à niveau de la route jusqu’à l’aéroport Léopold Sédar Senghor.
Selon Amadou Bâ, l’objectif de ce programme est de trouver une solution durable pour décongestionner le trafic à Dakar, améliorer la mobilité urbaine au niveau des villes de Dakar et Diamniadio, faciliter la liaison entre les deux villes et leur raccordement à l’aéroport international de Diass.

Cinq délégués régionaux lâchent Mahammed Boun Dionne au profit de Amadou Ba

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Coup dur pour Mahammed Boun Abdallah Dionne. Cinq de ses partisans, délégués régionaux de sa coalition présidentielle, ont quitté le navire pour jeter l’ancre chez Amadou Ba. Sanslimites vous propose l’intégralité de la déclaration de  ces cinq personnalités qui ont fait défection. 

“Nous délégués régionaux de Kolda, Matam, Saint-Louis, Tamba et Louga actons notre démission de la coalition Dionne 2024 pour rejoindre, avec nos bases respectives, le candidat Amadou BA et la coalition Benno Bokk Yaakar.

Notre démarche est purement guidée par l’amour du Sénégal et notre ferme volonté de participer à la marche de notre nation vers des lendemains meilleurs. C’est d’ailleurs ce que nous promettait le chef de file de la coalition Dionne 2024 mais à notre grande surprise, nous avons constaté que toute sa communication et toutes ses actions étaient basées sur un ressentiment tenace que nous ne comprenons pas. Mahammed Boun Abdallah Dionne ne nous a pas proposé un programme sur lequel nous pouvons nous appuyer pour convaincre les sénégalais du bien-fondé de sa candidature et de l’intérêt de voter pour lui. Au contraire, il passe son temps à dénigrer le President Macky Sall et un bilan dont il est pourtant l’un des principaux artisans. Un bilan qu’il a défendu urbi et orbi.

Nous avons également noté que notre ex-candidat se donnait beaucoup de peine pour peindre un tableau sombre de ses adversaires politiques notamment le Premier Ministre Amadou BA alors que les valeurs et les convictions qui sont à la base de la coalition nous dictent une démarche basée sur une politique saine.

Forts de ces constats et rassurés par la posture d’homme d’État du Premier Ministre Amadou BA, nous avons décidé de le soutenir sans condition en rejoignant la coalition Benno Bokk Yaakar. Un choix réfléchi et validé par notre base. Une base qui nous a d’ailleurs demandé de veiller à la sauvegarde de ses données personnelles. Ainsi nous mettons en garde Monsieur Mahammed Boun Abdallah Dionne contre toute utilisation d’une partie des parrainages qu’il a en sa possession. Même si nous détenons la grande majorité des fiches, nous tenons à préserver les données de nos électeurs qui ont choisi Amadou BA pour être leur Président au soir du 25 février 2024.  Ainsi, l’objectif de 2000 à 3000 parrains que nous avions dans notre ex-coalition, nous le portons à 5.000 parrainages minimum par région, au profit de Amadou BA.

Nous appelons les Sénégalaises et Sénégalais, soucieux du devenir de la nation, à rejoindre Amadou BA pour un Sénégal de paix, de tolérance, de stabilité et de prospérité.”

Ont signé :

Aliou Kandé,Délégué régional Kolda

Ciré Talla, Délégué régional Matam

Mohamet El Bachir Ndiaye, Délégué régional Saint-Louis

Abdoul Aziz Diougue, Délégué régional de Tamba

El Hadj Abdoulaye NDOUR, Délégué régional de louga

Modou Bara Kassé, Délégué de Louga Commune

Avec Seneweb

Collectivités territoriales: Le Sénégal invité d’honneur du Congrès de l’AMF

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Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, Monsieur Modou Diagne Fada, participe au 105ème Congrès de l’Association des Maires de France (AMF) à Paris.

L’événement qui se déroule du 20 au 23 novembre 2023 à Paris est placé sous le thème « Communes de France attaquées, République menacée ».

Cet événement essentiel réunit les maires de France pour aborder les enjeux majeurs auxquels ils font face au quotidien. Pour cette édition, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont les invités d’honneur à cet session.

Revue de presse : Macky Sall et Ousmane Sonko en vedette dans les quotidiens

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Le « bilan matériel » de Macky Sall, ses annonces en Conseil des ministres et les dernières nouvelles de Ousmane Sonko détenu à la prison du Cap Manuel où il commence à recevoir ses proches après une série de grève de la faim sont au menu des quotidiens reçus jeudi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

Sud Quotidien met en exergue le ‘’bilan matériel’’ des 12 ans de présidence Macky Sall.

« Si le bilan immatériel du Président de la République, laisse à désirer (voir Sud Quotidien, du mercredi 22 novembre 2023), celui dit matériel est plus qu’élogieux. Entre le Train express régional, les routes et autres autoroutes qui ont permis de rapprocher les centres urbains, des villages et hameaux, sans occulter les stades et autres centres inter nationaux de conférences, il ne serait pas exagéré de coller à Macky Sall l’étiquette de bâtisseur. Ces détracteurs y ajouteront toujours, à quel prix ? Toutefois, force est de reconnaître qu’il a fait plus que ses prédécesseurs’’, écrit Sud qui affiche à la Une : ‘’Macky Sall, le bâtisseur’’.

Tiani affiche son entente avec Goita et Traoré

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Le chef du régime militaire au Niger, le général Abdourahamane Tiani, a rencontré jeudi ses homologues à la tête des régimes militaires malien et burkinabè, pour ses premières visites à l’international depuis le coup d’Etat à Niamey en juillet.
Le général de brigade Abdourahamane Tiani est arrivé ce jeudi, en début de soirée pour une visite d’amitié et de travail dans notre pays », a annoncé le service de communication de la présidence du Burkina Faso dans un communiqué. »Les deux chefs d’État », le général Tiani et le capitaine Ibrahim Traoré, ont « échangé sur les problématiques communes aux deux pays notamment la lutte contre le terrorisme et les questions de développement socio-économiques », a-t-il indiqué.

M. Tiani a exprimé sa « gratitude » envers M. Traoré, « son gouvernement » et « l’ensemble du peuple burkinabè pour les soutiens multiples », selon un deuxième communiqué de la présidence burkinabè.

Plus tôt, à Bamako, M. Tiani a rencontré le colonel Assimi Goïta et remercié le Mali pour « le soutien et la détermination des autorités et du peuple malien à cheminer auprès des autorités et du peuple nigérien, et ça quels que soient les obstacles », lors d’une déclaration à la presse.

Le Mali et le Burkina, dirigés par des militaires arrivés au pouvoir par des coups d’Etat en 2020 et 2022, avaient rapidement affiché leur solidarité avec les généraux de Niamey après leur prise de pouvoir fin juillet.

Ils ont créé ensemble une « Alliance des Etats du Sahel » (AES) qui prévoit une assistance mutuelle en cas d’atteinte à la souveraineté et à l’intégrité territoriale des trois Etats et des liens économiques renforcés.

L’objectif est de transformer la région sahélienne de « zone d’insécurité » à une « zone de prospérité », a dit M. Tiani au Mali.

Soudés contre les pressions internationales qui poussent pour un retour à des régimes démocratiques, les trois régimes militaires le sont également contre les jihadistes dont les attaques ravagent leurs pays.

Rappelant la situation d’embargo du Niger, objet de sanctions politiques et économiques de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), comme l’a été un temps le Mali, le général Tiani a remercié ses voisins malien et burkinabè qui continuent de commercer avec son pays.

« Il paraîtrait que l’objectif de l’embargo était d’exercer une pression sur les autorités, mais c’est sans tenir compte du fait c’est plutôt que le peuple qui souffre et nous en sommes conscients et c’est pourquoi nous sommes disposés à échanger, à négocier mais avec des gens qui sont animés de bonne volonté, avec des gens sincères, avec des gens qui ont le soucis du peuple africain », a ajouté M. Tiani.

La durée de la transition au Niger n’est pas encore connue, mais le général Tiani avait annoncé peu après sa prise de pouvoir qu’elle n’excéderait pas trois ans. Au Mali, l’élection présidentielle qui devait se tenir début 2024 a été repoussée à une date indéfinie.

Un communiqué publié jeudi matin indique que Bamako accueillera du 23 novembre au 1er décembre deux réunions ministérielles « en vue de dégager les perspectives d’opérationnalisation de l’AES », notamment l’élaboration des textes, la mise en place des organes et les modalités de son fonctionnement.

La première réunira les ministres de l’Économie et du Commerce le 25 novembre pour les questions de développement économique. Les ministres des Affaires étrangères des trois pays se réuniront le 30 novembre pour les questions politiques et diplomatiques.

Ces réunions précèderont une rencontre à une date ultérieure des ministres de la Défense, poursuit le communiqué.

On en sait davantage sur le retard de l’arrêt de la Cour suprême dans l’affaire Sonko

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Dans une décision attendue, la Cour suprême du Sénégal a annulé la réinscription du candidat sur les listes électorales, renvoyant l’affaire au tribunal d’instance de Dakar. Cependant, une semaine après le jugement, l’arrêt n’est pas encore disponible, retardant potentiellement la procédure de réintégration du leader du parti dissous, Pastef Les Patriotes.

La Cour suprême du Sénégal a rendu un verdict crucial le 17 novembre, mais l’arrêt complet n’a toujours pas été publié. Cette situation crée un flou juridique autour de la réintégration ou non du leader de Pastef Les Patriotes. Le journal « Les Echos » attribue ce retard à l’absence du premier président de la Cour suprême. Toutefois, il est rapporté que l’arrêt est signé et en attente chez l’administrateur des greffes de la haute juridiction.

Cette étape est essentielle pour que la décision soit officiellement communiquée aux parties concernées et ensuite transmise au tribunal de grande instance de Dakar. « Les Echos » suggère que le débat juridique pourrait reprendre dans quelques jours, une fois l’affaire transférée à la juridiction compétente.