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« Jeunes du Rewmi : Engagés et Mobilisés pour Idrissa Seck à la Présidentielle 2024 »

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La présidentielle 2024 au Sénégal voit une mobilisation significative des jeunes du parti Rewmi en faveur d’Idrissa Seck. Le coordonnateur de la SRDI, Mbindeef Ndiaye, insiste de manière récurrente sur la nécessité de rester mobilisés avec l’expression constante : «Restons mobilisés derrière le président Idrissa SECK (Officiel)». Cette phrase incarne l’engagement fort des jeunes envers la candidature d’Idrissa Seck, soulignant ainsi leur détermination à soutenir activement la campagne présidentielle.

Autoroute à péage : « plus de 12000 pannes de véhicules et 1000 accidents par an’’ (responsable)

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L’autoroute à péage Dakar-Diamniadio dit Autoroute de l’avenir enregistre ‘’plus de 12 mille pannes’’ de véhicules et ‘’plus de 1000 accidents’’ par an, a révélé Pathé Ndoye, le secrétaire général d’Eiffage Concessions, concessionnaire de ladite autoroute, préconisant des solutions pour remédier à cette situation.

« Je peux vous dire que sur l’Autoroute de l’avenir, nous enregistrons plus de 12 mille pannes par an et plus de mille accidents par année’’, a-t-il déclaré, notant que ce sont des ratios ‘’extrêmement élevés par rapport à ce qui est relevé dans les pays développés’’.

M. Mbodj s’exprimait lors d’un panel sur la circulation, organisé à Dakar à l’occasion de l’atelier bilan des dix ans du Bureau opérationnel de suivi du Plan Sénégal émergent (BOS).

La mise en service du Train express régional (TER), l’extension de la voie de dégagement nord (VDN), la réalisation de nouveaux échangeurs et autoponts n’ont pas permis de résoudre le problème des embouteillages, fait-il observer.

« Cette situation s’explique, selon lui, par une explosion démographique à l’intérieur de la capitale Dakar mais aussi une forte croissance des véhicules particuliers ou individuels avec un taux variant entre 8 et 10% par année ».

Présidentielle 2024: Les membres du M2E comptent contribuer fortement à l’élection de Mahammed Boun Abdallah Dionne

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Depuis la déclaration de candidature de Mahammed Boun Abdallah DIONNE, le 21 septembre 2023, les enseignantes et enseignants se mobilisent autour de la coalition DIONNE 2024 pour porter l’ancien Premier Ministre à la magistrature suprême au soir du 25 février 2024

Le cadre, dénommé Mouvement des Enseignantes et Enseignants (M2E) de la coalition DIONNE 2024 est constitué d’enseignants, tous corps confondus et qui se retrouvent dans les idéaux portés par le candidat Mahammed Boun Abdallah DIONNE. Ledit mouvement est déjà présent dans les 46 départements et la massification se poursuit dans toutes les localités du pays. Les membres du M2E comptent contribuer fortement à l’élection de Mahammed Boun Abdallah DIONNE au soir du 25 février 2024, par des actions novatrices de portage du programme et de mobilisation des électeurs durant toutes les étapes du processus électoral.

Le Mouvement félicite le candidat Mahammed Boun Abdallah DIONNE et toute l’équipe de la coordination du parrainage avec à sa tête, le coordonnateur national et mandataire de la coalition, le professeur Mouhamadou Mounirou SY pour la qualité du travail et les résultats obtenus et qui ont permis à notre candidat de franchir cette étape malgré les insuffisances du système de vérification et de contrôle des parrainages.

Les enseignants réitèrent leur engagement à porter haut les idéaux de la coalition DIONNE 2024 et à élire le candidat Mahammed Boun Abdallah DIONNE au soir du 25 février 2024. Avec Mahammed Boun Abdallah DIONNE pour une souveraineté et une refondation de la vie économique, la cohésion sociale et politique, la réconciliation de la République avec sa jeunesse, ainsi que la réconciliation nationale.

 

« Keur Yeurmandé » : le vigile et sa complice condamnés pour vol de bébé

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Jean Noél Ndour, vigile de la pouponnière « Keur Yeurmandé » et sa complice Aminata Woury Diallo ont été devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar hier. Ils sont condamnés à 2ans de prison dont 6mois ferme.
Selon « Les Echos »le vigile et sa complice ont été reconnus coupables pour enlèvement, complicité dudit chef et recel de bébé.
Les prévenus sont également contraints à payer, chacun, une amende de 200 000 F CFA.
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Dans ce dossier, la constitution de partie civile de Ndella Madior Diouf a été déclarée recevable. Mais, la fondatrice de la pouponnière « Keur Yeurmandé » n’avait pas constitué d’avocat pour défendre ses intérêts.
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Pour rappel, Aminata Woury Diallo avait fait croire à son mari qui se trouve à l’étranger qu’elle était toujours enceinte alors qu’elle a été victime d’une fausse couche. C’est dans ces circonstances que la mise en cause s’est rapprochée du gardien de la pouponnière qui a volé le bébé pour le lui remettre. Un bébé vendu à 65 000 FCFA.

Bénéfices du pétrole sénégalais : Les engagements de la PDG de Woodside

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À quelques mois de la production des premiers barils de pétrole sénégalais, Meg O’Neill, la patronne de Woodside a donné des engagements quant aux bénéfices futures du pétrole sénégalais
L’année 2024 devra marquer le début de la production de pétrole et de gaz au Sénégal. Déjà, les compagnies sont sur la dernière ligne Droite. Présidente et Directrice générale de Woodside, la compagnie opératrice de Sangomar, Meg O’Neill s’est engagée à faire en sorte que les bénéfices de ce tout premier projet pétrolier sénégalais, impactent véritablement les populations locales.
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«Sangomar est le premier développement pétrolier offshore du Sénégal et nous restons déterminés à travailler avec le gouvernement du Sénégal et les communautés locales pour garantir que les bénéfices de nos investissements se font largement sentir dans tout le pays», a-t-elle indiqué dans une communiqué de presse de sa compagnie.
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Meg O’Neill maintient les prévisions pour la production du premier baril de pétrole de Sangomar à la mi-2024. Elle déclare que le départ du Fpso (Le bateau flottant de production, de stockage et de déchargement du pétrole) montre «l’engagement de Woodside envers le Sénégal, son développement et sa prospérité futurs». Et ledit Fpso est doté d’une infrastructure sous-marine et d’une capacité de production d’environ 100 000 barils par jour.

Niger : Liberté provisoire pour Salem, fils de Mohamed Bazoum

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Le 26 juillet, Salem Bazoum, fils du président nigérien Mohamed Bazoum, renversé par un coup d’État, a été libéré provisoirement le lundi, suite à une décision du tribunal militaire de Niamey.

« Le concerné a obtenu une liberté provisoire du juge d’instruction du tribunal militaire en date du 8 janvier 2024 », précise le tribunal dans un document consulté par l’AFP. Salem Bazoum, âgé de 22 ans, avait été détenu avec ses parents depuis le coup d’État, accusé de « complot visant à porter atteinte à l’autorité ou à la sûreté de l’État ».

Salem Bazoum, âgé de 22 ans, avait été maintenu en captivité aux côtés de ses parents depuis le coup d’État, accusé de « complot visant à porter atteinte à l’autorité ou à la sûreté de l’État ».

Lundi soir, l’entourage de Mohamed Bazoum a informé l’AFP qu’il n’avait pas encore reçu de confirmation directe de la libération effective de Salem Bazoum.

Malgré cela, Mohamed Bazoum et son épouse Haziza demeurent retenus dans la résidence présidentielle depuis le coup d’État ayant conduit le général Abdourahamane Tiani au pouvoir.

Fiabilité du fichier électoral : Sujet à polémique au Sénégal à chaque veille d’élection

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La question de la fiabilité du fichier électoral constitue véritablement une nébuleuse et une pomme de discorde à chaque veille d’élection au Sénégal.
Le sujet continue de faire polémique au sein de la classe politique. Des candidats à la candidature pour la présidentielle de févier 2024, notamment les recallés et autres admis au second tour, qui crient à la spoliation de leurs parrainages ont déposé un recours auprès du Conseil constitutionnel pour une clarification du processus de contrôle.

Hier dans une intervention à la radio, l’ancien député Théodore Chérif Monteuil, déclarait que le fichier électoral sénégalais est bel et bien fiable en ne manquant pas de dénoncer la mauvaise foi notée de part et d’autre. Selon l’ancien parlementaire, en 2021, il y a eu un dernier audit du fichier électoral du Sénégal et le rapport est disponible et les conclusions sont très claires. « Notre fichier est fiable et complet le traitement des données biométriques est bien fait », disait-il sur Rfm avant d’indiquer que dans le code électoral, il est clairement dit dans les attributions de la CENA qu’elle doit veiller à ce que le fichier soit remis 15 jours avant le vote à l’ensemble des candidats et aux listes de candidats. Pour M. Monteuil, aujourd’hui, tous les compétiteurs, sans exception devraient avoir à leur disposition le fichier qui a servi aux élections législatives de 2022. « Moi personnellement, je suis allé dans le cadre de « Aar Sénégal », le récupérer pour notre coalition et je l’ai ce fichier dans mon ordinateur. Ils l’ont tous. Donc les entendre dire que l’Etat devrait le mettre à leur disposition, c’est vraiment un manque d’honnêteté », a-t-il souligné avant d’ajouter qu’effectivement, « quand la CENA dit que le fichier n’est pas à jour, c’est exact ».

Dans tous les cas, les contestations sont nombreuses avec ce processus électoral, avec notamment des noms qui ne figurent pas sur le fichier et des clés Usb non exploitables.
Beaucoup d’acteurs de la scène politique parlent de failles et se demandent même si le paramétrage du logiciel utilisé par le Conseil constitutionnel a réellement intégré les avancées obtenues lors du contrôle des parrainages aux législatives de 2022. Mais tous ces problèmes soulevés ne plaident aucunement en faveur d’un report du scrutin présidentiel du 25 février prochain comme le pensent certains. Parce qu’il ne s’agit pas d’une décision que l’on peut prendre à la légère mais, plutôt d’une décision que l’on doit prendre après concertation entre l’opposition et la majorité. Et n’oublions surtout pas que la constitution du Sénégal a déjà fixé la date pour l’organisation de l’élection présidentielle. Et puis qui va profiter d’un report de l’election présidentielle?

Cependant, certains acteurs proposent comme solution alternative, un consensus dans la détermination du processus électoral mais aussi l’instauration d’un service administratif indépendant pour le contrôle des parrainages.
Et ce contrôle justement des parrainages demarre ce jour avec les 22 candidats déclarés admis au second tour au Conseil constitutionnel.

Aly Saleh

Tensions à la frontière Maroc-Mauritanie: Risques d’escalade au Sahara Occidental

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Une tension croissante se manifeste à la frontière entre le Maroc et la Mauritanie, zone de friction historique en raison du conflit du Sahara occidental. Cette région désertique soupçonnée de richesses est l’objet de revendications à la fois par le Maroc et le Front Polisario, mouvement indépendantiste sahraoui appuyé par l’Algérie. Le litige remonte à l’époque post-coloniale lorsque le Maroc et la Mauritanie se sont disputés l’accès au territoire, une querelle issue en partie du retrait de la Mauritanie en 1979. Malgré une apparente stabilisation, la tension subsiste en sourdine.

Récemment, le 3 janvier, des incidents meurtriers impliquant des orpailleurs Mauritaniens à la frontière ont aggravé cette longue dispute. La Mauritanie semble osciller dans son positionnement, traditionnellement proche du Maroc mais évoluant peut-être vis-à-vis du dossier saharien. Ces événements soulèvent la possibilité d’une escalade, notamment avec la recrudescence d’affrontements entre le Maroc et le Front Polisario depuis 2020, accentuant le risque d’instabilité régionale et de crise humanitaire, en particulier pour les réfugiés sahraouis.

La rupture potentielle des relations maroco-mauritaniennes serait lourde de conséquences économiques et sécuritaires. De plus, l’augmentation des tensions risque d’attirer l’intervention d’autres acteurs du Maghreb, laissant craindre une déstabilisation élargie. L’Algérie, par son appui au Front Polisario et sa rivalité avec le Maroc, joue un rôle complexe et déterminant dans ces dynamiques.

Pour parer à une escalade, des négociations encadrées par la communauté internationale, incluant l’ONU et l’Union africaine, sont jugées cruciales pour parvenir à une entente entre les différents acteurs, y compris l’Algérie et la Mauritanie. L’implication internationale s’est révélée par les récentes tentatives de lobbying du Maroc, que ce soit dans les médias occidentaux ou au Parlement européen, illustrées par des affaires comme le prétendu Marocgate.

La Première Dame Marième Faye Sall, Marraine du Centre Hospitalier Régional de Fatick

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Le Centre Hospitalier Régional de Fatick porte désormais le nom de Mme Adja Marième Faye Sall, Première Dame du Sénégal. Une marque de reconnaissance des populations et du Conseil d’administration de l’hôpital, pour ses nombreuses actions sociales.

La cérémonie de dénomination a été présidée ce lundi 08 janvier par le Président de la République, Macky Sall, en présence du Premier ministre, des élus locaux, des autorités administratives, du personnel hospitalier et des autorités religieuses et coutumières.
 
Dans son intervention, Dr Marie Khémesse Ngom Ndiaye, Ministre de la Santé et de l’Action sociale a magnifié les actions de la marraine. Une dame de cœur et de conviction, dont les actions quotidiennes sont orientées vers le mécénat et l’accompagnement social des groupes vulnérables mais surtout la prise en charge des frais médicaux de malades démunis ou qui ont besoin parfois d’une évacuation sanitaire.
 
Rappelant la vision du Président Macky Sall consistant à assurer « Un Sénégal où tous les individus, tous les ménages et toutes les collectivités bénéficient d’un accès universel à des services de santé et d’action sociale de qualité sans aucune forme d’exclusion », Dr Marie Khémesse Ngom Ndiaye a ainsi évoqué le relèvement du plateau techniquede l’hôpital. 
 
En vue de relever les capacités de prise en charge des services d’accueil des urgences, du bloc opératoire, de la réanimation, de la maternité et de la néonatologie, des équipements d’une valeur de 400 millions de FCFA ont été mis à la disposition du Centre Hospitalier Régional Adja Marième Faye Sall. Et d’ici quelques semaines, il est prévu le démarrage des travaux de construction d’un centre de diagnostic et d’imagerie médicale.
 
Grâce à ce centre, l’hôpital disposera d’un appareil d’angiographie qui va assurer la prise en charge complètedes pathologies cardiaques, d’une IRM et d’un Service d’Accueil des Urgences aux normes.
 
Et pour renforcer l’accessibilité financière, la subvention de l’hôpital sera portée à 450 Millions de F CFA, soit une augmentation de 150 millions de F CFA à compter de cette année 2024. 
 
Dans ce cadre, le plateau technique de la région de Fatick a aussi été renforcé. 
 
En effet, pour une meilleure prise en charge des urgences, 10 ambulances et 2 vedettes médicalisées ont été mises à la disposition de la région, en plus de la construction et de l’équipement du centre de santé de Passy, la réhabilitation, l’extension et le relèvement du plateau technique du centre de santé de Diofior.
 
Aussi, les centres et postes de santé ont été renforcés en équipements complémentaires (appareil d’échographie, table opératoire, etc.).
 
Pour rappel, la marraine Marième Faye Sall, à travers sa Fondation « Servir le Sénégal », a toujours fait preuve d’empathie et de sociabilité sans commune mesure envers les personnes vulnérables.
 
Entre autres missions, « Servir le Sénégal », depuis plus d’une décennie s’est attelée à  
 
favoriser toutes les actions sociales en faveur des populations fragilisées et démunies et encourager les associations, les Organisations Non Gouvernementales ainsi que les initiatives privées au profit de ces communautés. 
 
A travers un soutien médical aux plus défavorisés, notamment en matière d’hygiène et de prévention, un renforcement des équipements des établissements hospitaliers ou sanitaires pour un meilleur accès aux soins,la Fondation visait également la promotion économique et sociale des Sénégalais et l’avènement d’un Sénégal de prospérité et de bien-être. 

Visite du Premier ministre à Kaolack : Les populations listent les priorités

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Le Premier ministre Amadou Ba a rencontré les différentes composantes de la population kaolackoise ce lundi 8 janvier pour discuter des perspectives politico-économiques. Sur place, les ministres, députés, maires, présidents de conseils départementaux et dignitaires religieux issus des 14 communes du département de Kaolack lui ont exposé leurs attentes.

« Nous croyons que le Premier ministre a prêté une oreille attentive aux interpellations des responsables présents lors de la rencontre. Car pour nous, l’État doit rester debout et vigilant, ce sont les seules recommandations que nous avons pour eux », ont déclaré d’un ton empreint de magnanimité les partisans du président Macky Sall.

Malgré la réalisation d’infrastructures routières, d’équipements énergétiques et de projets éducatifs, notamment l’Université du Sine Saloum El Hadji Ibrahima Niass (USSEIN) pour 132 milliards de FCFA par décret du 25 janvier 2013 (2013-173), les hommes du président conseillent la prudence.

« L’extension de la centrale électrique de Kahone de 104 MW pour un montant total de 19 milliards de FCFA, à travers le Fonds de soutien au secteur de l’énergie, a doté la Senelec de nouvelles capacités. Elle a fait de Kahone l’une des centrales les plus importantes du parc de la Senelec, avec des coûts de production très compétitifs », ont-ils ajouté.

« Les travaux d’assainissement de la ville de Kaolack, d’un coût global de près de 15 milliards de FCFA, dont 1,2 milliard pour la cité religieuse de Médina Baye avec l’appui de la Banque Ouest-africaine de développement (BOAD) dans le cadre du Programme d’assainissement des eaux pluviales de la capitale régionale et les branchements sociaux pour un coût de 733 601 042 FCFA, sont des réalisations visibles », ont-ils continué.

Avec tout ce capital positif, Kaolack aspire à être gagnante avec ses cadres tels que le directeur général de la société nationale d’électricité, Pape Mademba Biteye, a assuré M. Diallo. « Si le jeu des lobbies cesse, s’ils arrêtent d’alimenter les divisions, la moisson sera belle car le leadership est disponible, ouvert à toutes les alliances sincères qui convergent vers la dynamique gagnante », ont-ils conclu.