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VERS LA REPRISE DE LA DESSERTE MARITIME DAKAR – ZIGUINCHOR

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La desserte maritime Dakar – Ziguinchor pourrait bientôt reprendre. Le Premier ministre dit avoir instruit le gouverneur de Ziguinchor de réunir au plus vite la commission de sécurité en cordination avec le ministère de la pêche pour proposer au gouvernement un plan de reprise sécurisé des rotations maritimes entre Dakar et Ziguinchor, rapporte Rfm.

Le transport de passagers et de fret, assuré par trois navires, est suspendu depuis juin par les autorités sénégalaises sans explication officielle.

La liaison avait été arrêtée après des troubles meurtriers à Ziguinchor et dans d’autres villes du pays, consécutifs à une condamnation de l’opposant politique Sonko dans l’affaire Adji Sarr.

La Casamance est productrice de produits halieutiques, de fruits et légumes, qui sont acheminés plusieurs fois par semaine vers Dakar par la route ou par avion.

Birama Thior – Senegal7

CONTENTIEUX PRÉÉLECTORAL : MAME MBAYE NIANG APPELLE À DES CONCERTATIONS AVEC L’OPPOSITION

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Mame Mbaye Niang propose des concertations avec l’opposition mais rejette les accusations selon lesquelles le fichier électoral est piégé.

« Pour une première fois, l’opposition a décidé de saisir le président de la République par courrier. Ils n’ont pas appelé à manifester ni à casser ni à créer l’instabilité. Je pense que c’est la bonne méthode« , a-t-il déclaré sur Rfm.

L’opposition a eu à aborder plusieurs sujets par rapport au processus. « Je pense qu’il faut rétablir la vérité. Il n’y a pas eu de manipulation du fichier ou viser telle personne pour l’éliminer ou pas« , a fait savoir le ministre du Tourisme.

Ce que dit le Code électoral

Ce qui est vrai; reconnaît-il, c’est que le Code électoral impose à l’organisateur des élections de donner le fichier dix jours avant les élections. Ce qui a été le cas en 2019. « Donc, en mettant à la disposition des candidats aux élections présidentielles, aux élections locales et aux dernières élections législatives, les mandataires recevaient les fichiers pour pouvoir contrôler les parrainages« , a-t-il notamment expliqué.

Parrainage

Et dire que vouloir demander à des candidats de refaire un parrainage sur le même fichier pourrait comportement des risques pourvu que « techniquement, certains peuvent aller copier ce fichier, d’autres peuvent y avoir accès« .

Discours

Dans la foulée, il indique que des discussions sont inévitables pour trouver des solutions à ces problèmes. « Je demeure convaincu que le président de la République tel qu’ils (Ndlr : opposants) l’ont dit dans leur courriers est la clé de voûte des institutions . Il ne peut pas ne pas être sensible à ce problème« , a-t-il conclu.

Birama Thior – Senegal7

Urgent : Karim Wade n’a perdu sa nationalité française qu’hier, 16 janvier 2024, selon un décret

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Le Sénégal se prépare pour ses élections présidentielles prévues pour le 25 février 2024. Selon les directives du Conseil constitutionnel sénégalais, les candidats devaient soumettre leurs dossiers complets avant le 26 décembre 2023. Ces dossiers devaient inclure, entre autres, une preuve de nationalité exclusivement sénégalaise. Cependant, un décret signé hier 16 et publié le 17 janvier 2024 sur le journal officiel français, et relayé par presseAfri.com, confirme la perte de la nationalité française de Karim Wade, un candidat à ces élections.

Le Conseil constitutionnel sénégalais a provisoirement validé la candidature de Karim Wade. Cette décision intervient malgré le fait que la perte officielle de sa nationalité française n’a été confirmée qu’après la date limite de dépôt des candidatures. Selon le Conseil, les dossiers de candidature ont été vérifiés en profondeur, y compris la question des doubles nationalités.

Voici le décret :

Le contexte est complexe car Karim Wade avait déjà déposé sa candidature pour les élections de 2019, mais elle avait été invalidée non pour des raisons de double nationalité, mais en raison de problèmes juridiques liés à son éligibilité suite à une condamnation. Le 16 janvier 2024, Karim Wade a déclaré avoir soumis un document au Conseil constitutionnel sénégalais attestant de sa renonciation à la nationalité française.

Le décret attestant la perte de la nationalité française de Karim Wade a été signé par Gabriel Attal, Premier ministre français nommé la semaine précédente par Emmanuel Macron. La publication rapide de ce décret soulève des questions, étant donné que la renonciation à la nationalité française est généralement un processus long et complexe.

Plusieurs interrogations demeurent quant à la base sur laquelle le Conseil constitutionnel a validé la candidature de Karim Wade et si son dossier était complet au moment du dépôt. Ces questions, qui dépassent le cadre d’une simple candidature, nécessitent des réponses claires de la part des autorités concernées.

Révolution des transports sous Macky Sall : Le grand bon en avant ! (Par Meissa Mahécor Diouf)

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Depuis 2012, le Sénégal a entamé une grande révolution des transports avec des perspectives porteuses d’espoir. Secteur stratégique dans le développement économique et social et facteur de compétitivité, le transport connait ainsi, une profonde mutation tant au niveau des infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires qui le supportent, qu’au niveau des moyens et de l’environnement global. C’est en cela que le programme de développement des infrastructures et de modernisation des transports mis en place dans le cadre du PSE, est pertinent. Car il allie confort, sécurité, ponctualité et accessibilité.

Le 31 décembre 2023, à l’occasion de son ultime discours à la Nation, le Président Macky Sall rappelait: «Nous sommes sur le chemin de l’émergence avec la densification de nos infrastructures routières et autoroutières, et la modernisation de notre système de transport urbain et interurbain. En 2012, notre linéaire routier était de 1500 km contre 2900 en 2023. De 32 km d’autoroutes, nous en sommes à 189, et bientôt 500 Km, à la fin des chantiers Mbour-Fatick-Kaolack, et Dakar-Tivaouane-Saint-Louis». Voilà qui campe le décor du grand bon en avant réalisé par nos gouvernants dans la dernière décennie et fortement ressenti par la plupart de nos concitoyens qui empruntent régulièrement les routes. Dans son listing des nombreuses réalisations intervenues dans le sous-secteur des transports, le Président Sall déclare : «La 2e phase du TER, Diamniadio-Aéroport international Blaise Diagne s’achève dans quelques mois, et une commande de 7 nouveaux trains s’ajoutera aux 15 actuels. Le BRT sera inauguré ce 14 janvier, avec une flotte de 121 bus électriques, alimentés par voie solaire, et climatisés, avec Wifi à bord. A terme, le personnel du BRT sera composé d’au moins 35% de femmes, dont des conductrices. Dakar Dem Dikk a fait peau neuve, avec 370 bus de dernière génération». Il ajoute également que «Le Sénégal émergent, ce sont nos aéroports régionaux réhabilités, au Cap Skirring, à Kaolack, Kédougou, Sédhiou, Tambacounda, Saint-Louis, en attendant la livraison en 2024 des chantiers de Kolda, Linguère, Ourossogui-Matam et Ziguinchor».
Il faut admettre, à la suite du chef de l’Etat que les transports rapides, quel que soit le type considéré (autoroute, TER, BRT, Ponts, aéroports…), révolutionnent les économies et les territoires, en améliorant significativement leur productivité et leur attractivité. De ce fait, leur développement a naturellement un impact certain sur les comportements résidentiels et de mobilité qui se traduit par un desserrement rapide et diffus de l’habitat d’une part, et par une généralisation des navettes quotidiennes domicile-travail.

Bus Rapid Transit
Le BRT, inauguré le 14 janvier 2024, s’inscrit dans une vision de projet urbain global à utilité public. Il constitue une réelle opportunité de transformation qualitative de la physionomie de Dakar de remodeler les espaces publics aux standards internationaux, d’encourager les modes actifs et de restructurer le réseau des transports en commun dans son ensemble. Le BRT contribuera à mettre fin à l’extrême pauvreté et à promouvoir une prospérité partagée en améliorant l’accès à l’emploi et aux marchés par la mise en place d’un réseau de transport collectif efficace avec un rapport qualité prix satisfaisant. De manière sommaire, le projet BRT, c’est 121 bus articulés pouvant contenir 150 passagers chacun ; un tracé de 18,3km, un temps de parcours réduit de 95 min à 45 min en moyenne et 14 communes traversées, 7 jours sur 7 de 6 heures à 22 heures. A terme, le personnel sera composé d’au moins 35% de femmes, dont des conductrices. Le BRT, avec zéro pollution évite l’émission de 59000 tonnes de CO2 par an, si l’on en croit le Président Sall qui en a fait l’annonce à l’occasion du lancement. Donc un impact réel sur la santé des usagers et des populations riveraines. En plus de prendre en compte l’inclusion sociale des personnes vivant avec un handicap, le projet offre plus de sécurité routière en réduisant drastiquement les risques d’accidents de circulation. Les bus qui traversent 14 communes, entre Guédiawaye et Petersen permettent de développer une nouvelle économie tout au long du tracé emprunté.

Train Express Régional
Pour aider le Sénégal à réaliser son ambition, le Groupe de la Banque africaine de développement a mobilisé plus de 200 millions de dollars américains en faveur du projet de Train Express Régional (TER). L’objectif était de mettre en place une ligne de train ultra-moderne longue de 36 kilomètres reliant la gare de Dakar à la nouvelle ville de Diamniadio. Treize gares ont ainsi été construites permettant de couvrir les banlieues de Dakar et d’offrir un nouveau moyen de transport rapide, sécurisé, fiable et à un coût accessible pour tous. Avec le TER, une nette réduction des gaz à effet de serre est constatée depuis sa mise en service. 19000 tonnes de CO2 plus exactement, selon les spécialistes qui saluent l’engagement du Sénégal, à participer à la préservation de l’environnement à travers ses différents investissements.

Autoroute de l’Avenir
L’autoroute de l’avenir s’étend sur environ 32 kilomètres, reliant Dakars à Diamniadio et à l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD). Cette autoroute vise à réduire considérablement le temps de trajet entre ces destinations, améliorant ainsi la mobilité des voyageurs et le transport de marchandises. L’autoroute de l’avenir est considérée comme un projet clé pour stimuler le développement économique de la région de Dakar. En favorisant la connectivité entre Diamniadio et l’aéroport, cette autoroute facilite le transport de personnes et de marchandises, encourageant ainsi l’investissement, le commerce et le développement des entreprises.
La construction de cette autoroute s’accompagne d’un plan de développement urbain pour la ville de Diamniadio qui est en train de devenir un pôle de croissance économique et de développement industriel. Le projet de l’autoroute de l’avenir intègre des considérations de durabilité environnementale, notamment des mesures pour minimiser les impacts sur l’environnement local et favoriser une gestion efficace des ressources naturelles. L’autoroute Dakar-Diamnadio-AIBD facilite la mobilité au sein de la région de Dakar et contribue à la croissance économique globale du pays en renforçant les liens entre les principaux centres économiques et l’aéroport international Blaise Diagne.

Ila Touba
Les travaux ont démarré officiellement le 28 décembre 2015 et son inauguration par le Président de la République est intervenue le 20 décembre 2018 à Touba. L’autoroute Thiès-Touba, d’un coût de près de 487 milliards FCFA, est une réponse de l’Etat du Sénégal à la nécessité de relever le niveau de service des infrastructures qui convergent vers la ville de Touba qui connait un développement important aussi bien sur le plan économique que démographique. Longue de 115 Km et comportant six (6) échangeurs, l’autoroute permet de relier les grandes villes du centre et de l’Est du Sénégal dont Touba, Matam, Linguère. La réalisation de l’Autoroute Ila Touba intègre la stratégie mise en œuvre par l’Etat pour fluidifier la circulation entre Dakar et Touba, les deux métropoles les plus importantes du pays du point de vue démographique. En atteste les résultats du dernier recensement de la population qui révèle que le département de Mbacké devient le plus peuplé du Sénégal avec 1 359 757 habitants grâce à la cité religieuse Touba. Dakar qui compte 1 182 416 résidents pointe en seconde position. L’autoroute, de ce fait, contribue à impulser un dynamisme de type nouveau au corridor Dakar-Touba et à en faire un poumon émergent du développement national.

Dakar Saint Louis
Infrastructure structurante, la future autoroute Dakar – Tivaouane – Saint-Louis, aussi appelée La Côtière ou l’A2, s’étendra sur près de 200 km. Il s’agit d’une autoroute à péage 2×2 voies avec huit échangeurs qui entre dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE). Concernant le chiffrage des différents travaux, dans une étude préparatoire de la BAD datant de 2019 pour un coût global sur l’ensemble du tracé estimé à 572 milliards de FCFA (870 millions de dollars), la part du tronçon Dakar – Tivaouane est chiffrée à 175 milliards de FCFA et celle de la partie Tivaouane – Saint Louis à 347,03 milliards de Fcfa. Ce à quoi s’ajoutent 50,12 milliards de FCFA pour les équipements de péage.

Outre les fonds saoudien et OPEP, plusieurs autres banques de développement soutiennent le financement de l’autoroute. La Banque islamique de développement (BID), à ce jour le plus gros bailleur déclaré, a annoncé un prêt de 270 millions de dollars pour le tronçon Meckhe – Saint-Louis. La BOAD, de son côté, a accordé trois prêts pour un total de 27,5 milliards de FCFA (41 millions de dollars) pour financer en partie le tronçon Dakar – Tivaouane, soit près de 65 km. La Banque africaine de développement (BAD) participe pour un montant non précisé au financement. De même que la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) ou le Kuwait fund for Arab economic development (KFAED), à quoi s’ajouteront des financements propres de l’Etat du Sénégal. A noter qu’à l’occasion d’une visite à Dakar du secrétaire d’Etat des Etats-Unis Antony Blinken en novembre 2021, un agrément d’investissement a été signé avec les autorités sénégalaises sur la participation du groupe d’ingénierie et de construction américain Bechtel au projet.

Mbour-Fatick-Kaolack
Selon les spécifications techniques, cette autoroute de 100 km est en train d’être construite en 2×2 voies extensibles à 2×3 voies. Le tracé traverse 17 communes des régions de Thiès, Fatick et Kaolack. Il est prévu la construction de 4 échangeurs à Thiadiaye, Fatick, Gandiaye et Kaolack ; de 3 grands ponts d’une longueur totale de 290 mètres pour traverser la zone des marécages de Fatick et de 210 ouvrages hydrauliques. Le projet comprend aussi la construction de 20 km de routes de connexion aux villes de Thiadiaye et de Gandiaye, ainsi que le contournement de Kaolack sur 7 km. Le coût total du projet est estimé à 460 milliards FCFA ($ 826 millions), dont 85 % financés par Exim Bank of China et 15% par l’État du Sénégal. Une fois achevée, cette autoroute participera au soutien à la politique de développement et de renforcement du réseau autoroutier national tout en assurant la desserte de l’aéroport international de Dakar Blaise-Diagne (AIBD) à partir du centre du Sénégal. De même, le projet permettra à terme de développer les corridors Dakar – Bamako et Dakar – Lagos dans l’espace CEDEAO.

Zéro bac, 18 ponts et autoponts
Le Président Macky SALL avait annoncé le programme «Zéro bac» à travers le pays. Cette initiative fait écho à la réalisation d’une série de 18 ponts et d’autoponts à Dakar et dans d’autres régions du pays. Des ouvrages salutaires, d’une portée sociale, économique, politique et culturelle.

Le pont de Foundiougne, baptisé Nelson-Mandela, entre dans ce cadre. Il a été financé à hauteur de 67 millions de dollars, soit environ 40 milliards de francs CFA. Long de 1,6 km, il permet de désenclaver la zone centre et facilite les échanges entre Dakar et Banjul.

D’ailleurs, via la terre gambienne, depuis 2021, le Pont Sénégambie assure une continuité territoriale du Sénégal. L’infrastructure fait gagner du temps et évite de nombreuses tracasseries aux voyageurs en partance pour la Casamance. Il s’agit du premier ouvrage sous-régional dont l’exécution est partagée par les deux pays (bien que le pont soit entièrement sur le territoire gambien). La construction de cet ouvrage a nécessité un financement conjoint de près de 50 milliards de francs CFA (75 millions d’euros) provenant principalement de la Banque africaine de développement.

Défense : La Gambie et le Sénégal signent une convention de lutte contre la criminalité transfrontalière

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Les Sous-chefs d’état major des armées sénégalaise et gambienne ont paraphé un accord de lutte contre la criminalité frontalière. La convention a été signée lors à l’issue du séminaire bipartite réunissant des démembrements des armées de terre du Sénégal et de la Gambie.

La cérémonie de signature de cet accord a été conduite conjointement par le Général de Brigade Fulgence Ndour, Sous Chef d’état major général des armées du Sénégal, et le Brigadier Général Ousman Gomez Deputy Chief of Defense State. Cette convention fait suite à la rencontre des deux Chefs d’états major général des armées gambienne et sénégalaise, et marque le début du belle collaboration avec la mise sur pied d’un comité bipartite de défense. “Ce comité sera le cadre officiel de discussion et de prise en compte de toutes les menaces au niveau des deux frontières”, a signifié le général de brigade Fulgence Ndour.

“Cette rencontre a permis d’analyser la problématique sécuritaire aux frontières des deux pays. Chose qui a permis de convenir de la nécessité de sécuriser les espaces de ces pays voisins et frères, et de les contrôler de manière commune”, a rappelé le Sous Chef d’état major général des armées sénégalaises.

Ainsi un plan opérationnel de prise en charge de la sécurité au niveau des frontières de deux pays a été élaboré et mis en place.

Le général de brigade Fulgence Ndour a ainsi annoncé la décision de mise en place d’une patrouille mixte combinée et parallèle et des opérations conjointes en zone militaire n° 3, 6 et particulièrement en zone militaire n°5.

Concernant d’éventuels problèmes frontaliers, le général Ndour apprend que la commission nationale de gestion des frontières est à pied d’œuvre pour trouver des solutions négociées et concertées à ces différents problèmes.

Non participation d’Abdoulaye Sylla à la présidentielle : Interrogations à Touba

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Depuis le rejet de sa candidature, Touba s’interroge sur cet état de fait. Natif de Touba, l’engagement politique avait suscité beaucoup d’espoir au niveau de la cité religieuse. C’est la raison pour laquelle Touba se pose des questions sur les raisons pour lesquelles la candidature de Abdoulaye Sylla a été rejeté à l’épreuve du contrôle des parrainages.

« La surprise est d’autant plus grande qu’actuellement, d’après des sources autorisées, de larges concertations sont menées à ce sujet au niveau de la cité religieuse ». Selon des sources de Lii quotidien, « des Jeuwrin avaient déjà reçu des instructions claires quant à la conduite à tenir pendant ces élections car c’était une première dans l’histoire, qu’une personnalité née à Touba exprime ses ambitions présidentielles, notamment à travers un engagement politique ».
Le Dg d’Ecotra Abdoulaye Sylla serait perçue à Touba comme un bienfaiteur pour sa contribution dans les affaires de ladite cité religieuse ; notamment la réfection des mausolées de Serigne Fallou et Serigne Sidy Makhtar Mbacké. « Il a apporté aux populations de Touba son soutien à la moindre occasion notamment en période de Magal », témoigne notre source qui rappelle sa participation à hauteur de deux milliards de F CFA pour la construction de la grande Mosquée Massalikoul Djinan.
Cependant, pour Abdoulaye Sylla, cet engagement n’en est qu’au début. Cela, indique un de ses proches, cela ouvre d’autres perspectives car le Dg d’Ecotra ne compte pas s’en arrêter là. Même si ses sympathisants ont eu beaucoup de déception et de suspicion par rapport à ce rejet de sa candidature, ils gardent encore un grand espoir quant aux futurs combats politiques.

DRAME : Le TER a encore tué un homme

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Le Train express régional (Ter) vient de heurter une personne. Le drame a eu lieu à hauteur de Yeumbeul. L’homme est décédé sur le coup.

Le Train Express régional (Ter) a encore mortellement heurté un individu, ce mardi dans la matinée. L’homme essayait de traverser la voie, indique Abdoul Ndéné Sall, Directeur général de la Sen Ter.

«C’est la troisième fois que le Ter heurte une personne qui essaie de traverser. On l’a dit, c’est l’emprise du Ter. Nous avons clôturé les lieux, on y a mis des barbelés et on a même érigé des passerelles pour que les gens passent en sécurité. Mais, même avec cela, les gens essaient de traverser», regrette M. Sall sur la Rfm.

Décès de Serigne Galass Sindidi, fils de Serigne Abdou Karim Mbacké

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Touba et la la communauté mouride en deuil! Le fils aîné de Serigne Abdou Karim Mbacké «Makarimal Akhlakh», Serigne Galass Sindidi, est décédé, dans la nuit du lundi au mardi 16 janvier.

AGM présente ses condoléances à toute la communauté mouride et prie pour le repos de son âme.

Recours déposé par Thierno Alassane : Karim Wade Contre attaque

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La « République des Valeurs » de Thierno Alassane Sall a déposé un recours au conseil constitutionnel ce mardi, contre la candidature de Karim Wade. Car, estimant toujours que le fils de l’ex-président conserve toujours sa nationalité française. Karim vient de réagir via un Post sur Tweeter. Nous vous la proposons ci-dessous.

«Le mandataire de la Coalition K24, Maguette Sy vient de déposer à l’instant auprès du Conseil Constitutionnel la copie de la preuve attestant de ma perte de nationalité française par renonciation. La fausse polémique sur ma nationalité française est une question définitivement réglée. Concentrons-nous sur les vraies priorités et les nombreuses attentes des sénégalais et de notre jeunesse ! Je remercie Thierno Alassane Sall de m’avoir informé que j’étais encore inscrit sur les listes électorales en France, pays où je n’ai jamais voté !»

Le mandataire de la Coalition K24, Maguette Sy vient de déposer à l’instant auprès du Conseil Constitutionnel la copie de la preuve attestant de ma perte de nationalité française par renonciation. La fausse polémique sur ma nationalité française est une question définitivement… pic.twitter.com/mR1enzU0sK

Présidentielle 2024 : Karim Wade dépose au Conseil Constitutionnel une copie de sa perte de nationalité française et clôt le débat….

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Candidat validé à la Présidentielle 2024, Karim Wade a annoncé hier avoir déposé au Conseil Constitutionnel une copie de sa perte de nationalité française. Il clôt le débat. Voici son post….

@KarimWade_PR Le mandataire de la Coalition K24, Maguette Sy vient de déposer à l’instant auprès du Conseil Constitutionnel la copie de la preuve attestant de ma perte de nationalité française par renonciation.

La fausse polémique sur ma nationalité française est une question définitivement réglée. Concentrons-nous sur les vraies priorités et les nombreuses attentes des sénégalais et de notre jeunesse !

Je remercie Thierno Alassane Sall de m’avoir informé que j’étais encore inscrit sur les listes électorales en France, pays où je n’ai jamais voté ! Vive le Sénégal !

Vive la République!
Vive l’Afrique!
Allez les Lions!
#Sénégal
#Karim2024
#PDS
#TousEnsemble
#ForceCollective