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Les leaders de Benno sont convoqués par Macky Sall, ce vendredi.

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Cela pourrait être la dernière avant le scrutin du 25 février. Selon une source généralement bien informée, la Conférence des leaders de Benno Bokk Yaakaar s’est tenue ce vendredi au Palais. On ne sait pas encore ce qui est prévu pour le moment.

Toutefois, le Président Macky Sall aspire à dynamiser davantage la coalition et à préparer les moyens et la stratégie de la campagne qui démarre le 3 février prochain. Une meilleure implication des alliés, car il est question d’un «manque d’implication» en coulisses pour cette précampagne du candidat Amadou Bâ. Certains estiment que les responsables n’ont pas encore fourni assez d’efforts.

La posture du Chef de l’Etat est soutenue par le SEN de l’APR suite à la réception du Collectif des recalés du Palais.

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Par une décision en date du 20 janvier 2024, le Conseil Constitutionnel a validé et publié la liste définitive des 20 candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Appréciant cette décision, une partie des candidats non retenus après examen de leurs dossiers ont saisi le Président de la République par courrier, pour porter à l’attention de sa haute autorité, l’ensemble des griefs qu’ils formulent contre le processus électoral à ce stade de sa mise en œuvre.

Le SEN soutient et salue avec respect, la posture du Chef de l’Etat qui, conformément à sa doctrine et sa mission, a bien voulu donner une suite favorable à leur demande, en rappelant, au cours de cet important entretien, l’impératif du respect du calendrier républicain, les principes fondamentaux de l’État de Droit, et de la séparation des pouvoirs et les prérogatives des différentes institutions de la République.

Dans le même élan, le Secrétariat Exécutif National de l’Alliance Pour la République (SEN) se félicite de cette initiative républicaine, en cohérence avec l’esprit du dialogue entre acteurs, cher au Président Macky Sall mais aussi, une pratique traditionnelle majeure de notre système démocratique.

Par ailleurs, le SEN demande aux députés, membres du Groupe parlementaire BBY de rester attentifs à l’initiative du PDS pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire aux fins d’être édifié sur la non validation de de la candidature de leur Leader. « De notre point de vue, ces deux initiatives, assises l’une et l’autre sur les principes fondamentaux du droit et de notre tradition de recherche de consensus, adressées aux institutions de la République, honorent leurs auteurs et attestent, si besoin en était, de la maturité de notre système démocratique », explique-t-on.

Dès lors, le SEN souhaite que cette ferveur républicaine se prolonge jusque et y compris dans les urnes au soir du 25 février 2024 et appelle à la mise en place d’un front uni pour la République, comme cadre de préservation et de défense de notre bien commun.

Dans cette optique, le SEN invite les responsables, militants et sympathisants du parti, à côté de ceux de Benno et de la Grande Coalition de la Majorité Présidentielle à poursuivre la mise en place des comités électoraux et encourage le candidat Amadou Ba à poursuivre sa démarche de proximité et contact avec les populations.

Aussi, le SEN exhorte les militants et responsables du parti et de la Coalition à engager avec détermination et dans l’unité, la consolidation des bases ainsi que le déploiement de la stratégie de reconquête de toutes les zones perdues, notamment lors des dernières élections législatives.

Et, le Secrétariat Exécutif National adresse ses vives félicitations au Khalif Général des mourides à l’occasion de la célébration, dans la ferveur et le recueillement, du Magal de Porokhane, et lui renouvelle ses profonds remerciements pour les prières formulées et les appels à la paix au Sénégal et dans le monde.

AFFAIRE KARIM WADE : LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL AU BANC DES ACCUSÉS ?

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Après avoir déposé sa demande de création d’une commission d’enquête parlementaire sur le bureau du président de l’Assemblée nationale, le Pds s’est vu réserver une suite favorable et les commission techniques compétentes vont être composées.

Cette commission d’enquête parlementaire, inédite dans l’histoire politique de notre pays, vise à entendre de hauts magistrats du Conseil constitutionnel sur les accusations de corruption supposée portées contre eux par un candidat à la présidentielle.

Sur les colonnes du journal le Témoin, l’analyste politique Moussa Diaw est d’avis qu’il est crucial que le Président de la République protège la légitimité des hauts magistrats et préserve la crédibilité de la haute magistrature du pays.

Cette affaire, qui n’a pas été prise au sérieux au départ, commence à présenter des signes inquiétantes pour la démocratie Sénégalaise à quelques jours du scrutin. « Cette affaire de corruption des hauts magistrats du Conseil constitutionnel met en péril la démocratie Sénégalaise à quelques jours seulement de l’élection présidentielle.

Alors que les regards sont tournés vers les 20 candidats officiels, cette situation inédite révèle les failles du processus électoral et met en lumière la nécessité de préserver l’intégrité et la légitimité des Institutions judiciaires du pays.(…).Le Sénégal ne mérite pas d’être plongé dans une crise politique et institutionnelle.(…).

Revue de presse vendredi 26 janvier 2024 : « Le PDS déploie l’artillerie lourde… »

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La démarche entreprise par le Parti démocratique sénégalais (PDS) en vue de la constitution d’une commission parlementaire chargée d’enquêter sur le rejet du dossier de candidature à l’élection présidentielle de Karim Wade par le Conseil constitutionnel, c’est l’actualité principale évoqué par la presse ce vendredi 26 janvier 2024.

D’après l’Aps, les membres du Conseil constitutionnel ont déclaré irrecevable la candidature de l’opposant et ancien ministre en raison, disent-ils, de sa double nationalité. Les députés du groupe parlementaire dirigé par le PDS, protestant contre l’élimination de leur candidat, ont demandé à l’Assemblée nationale d’enquêter là-dessus.

Le PDS a invoqué des « conflits d’intérêts, des avantages indus et des soupçons de corruption » au sein du Conseil constitutionnel, selon le journal Le Quotidien.

À la suite du bureau de l’Assemblée nationale, les présidents des groupes parlementaires vont se réunir cet après-midi pour discuter de l’enquête demandée par le PDS, ajoute le même journal.

La commission parlementaire chargée d’enquêter sur les faits de corruption présumés au Conseil constitutionnel sera installée samedi, annoncent Tribune et d’autres journaux.

« Une diligence suspecte, car, sur ce genre de demande, l’Assemblée nationale freine d’habitude des quatre fers », commente Kritik’ en parlant d’une procédure en « mode TGV », train à grande vitesse, pour relever la rapidité avec laquelle l’institution s’y prend.

C’est peut-être parce que « l’APR et le PDS font cause commune », comme l’affirme L’As, que les choses sont allées si vite.

« Tout cela nous paraît bien suspect »

On va rapidement vers la composition de la commission réclamée par le PDS parce que, ajoute le même journal, « le président Macky Sall a demandé à la majorité parlementaire de soutenir l’action du PDS, pour que la lumière soit faite sur cette affaire de corruption de juges constitutionnels ».

« Le PDS déploie l’artillerie lourde pour avoir la peau des juges du Conseil constitutionnel », écrit EnQuête.

Il affirme que « peu d’observateurs […] avaient accordé un intérêt à l’initiative des députés du Parti démocratique sénégalais de demander l’ouverture d’une enquête parlementaire ».

« Depuis qu’il a douché les espoirs de plus de 200 prétendants à la magistrature suprême […] en publiant une première liste de 21 candidats, le Conseil constitutionnel est critiqué à tort ou raison », observe WalfQuotidien.

« De quel droit doit-on jeter à la vindicte populaire les membres de cette haute juridiction parce que simplement monsieur Wade n’est pas candidat ? » s’interroge-t-il.

WalfQuotidien trouve curieux le soutien du parti au pouvoir à l’initiative du PDS. « Le plus intrigant dans cette affaire, c’est le fast track (procédure express) avec lequel l’Assemblée nationale a accepté de traiter la demande de la commission d’enquête parlementaire que le PDS a demandée sur des faits de corruption au Conseil constitutionnel », signale-t-il.

Une « stratégie de division, de diversion et d’endormissement » de l’opposition

« En mode fast track ! Avec, bien entendu, la bénédiction de qui vous savez. Car, on le sait bien, le président de l’Assemblée nationale et les députés de sa coalition ne peuvent pas prendre une décision majeure sans la permission de leur chef […] Tout cela nous paraît bien suspect », commente Le Témoin Quotidien.

Le Soleil et Sud Quotidien se sont intéressés à l’engagement pris part des candidats à l’élection présidentielle d’appliquer les réformes institutionnelles proposées par les organisateurs des assises nationales de 2008-2009 et, quelques années plus tard, par la Commission nationale de réforme des institutions.

Cheikh Tidiane Dièye, Mahammed Dionne, Serigne Mboup, Khalifa Sall et Rose Wardini font partie des huit candidats ayant promis d’appliquer ces réformes en cas de victoire, selon les deux journaux.

« Pour la première fois, depuis que le Sénégal est indépendant, 20 candidats vont concourir à la magistrature suprême. Signe de vitalité démocratique ou démystification de la fonction présidentielle ? » se demande L’Observateur.

« En démocratie, on ne peut pas empêcher les gens d’être candidats », a dit au même journal un analyste politique.

Bés Bi Le Jour dévoile la « stratégie de division, de diversion et même d’endormissement » que met en œuvre Macky Sall en faveur du candidat de la majorité présidentielle, Amadou Ba, aux dépens d’ »une opposition minée par de petites querelles ».

Des cafards ont été signalés à la Mairie de Guédiawaye, mais la Cour des comptes mène une enquête sur Ahmed Aïdara.

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Tous les esprits sont allés à cette affaire de soupçons de scandale financier ébruité il y a quelques jours et impliquant l’édile de la ville, Ahmed Aïdara.

Le journal Libération avait révélé un virement de 79 millions 986 mille francs CFA du Trésor public dans le compte d’un entrepreneur. Une «erreur», avait déclaré le maire devant les enquêteurs.

Et selon nos confrères, d’après les mêmes sources, cette mission de la Cour des comptes était dans son agenda 2022-2023, donc «normal». Même si, précise-t-on, ce scandale présumé sera aussi dans le menu.

Mauvaise qualité de l’air : La nouvelle alerte de l’Anacim

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L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) met en garde les personnes vulnérables contre cette mauvaise qualité de l’air, notée ces derniers jours.

Une couche de poussière couvre l’ensemble du territoire national ces derniers jours. Dans un communiqué, l’Anacim annonce que la très mauvaise qualité de l’air en cours persistera le reste de la semaine.

Elle souligne cependant, qu’il existe un risque sanitaire « élevé » pour les personnes particulièrement sensibles (les Personnes souffrant de maladies respiratoires, jeunes enfants et personnes âgées).

Anacim exhorte la population au vu du degré d’exposition aux concentrations élevées de particules, de ne pas trop s’exposer à l’air ambiant et de porter un masque pour se protéger des particules en suspension dans l’air.

Affaire Pape Sané : La Chambre d’accusation vient de débouter le Procureur

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Pape Sané n’ira pas en prison. La Chambre d’accusation vient de débouter le procureur qui avait déposé un recours contre la mise sous contrôle judiciaire du chroniqueur de Walf.

La chambre d’accusation n’a finalement pas suivi le procureur de la République, dans l’affaire Pape Sané. En effet, en novembre dernier, le Juge avait décidé de ne pas décerner un mandat de dépôt au chroniqueur de Walf. Il l’avait inculpé puis placé sous contrôle judiciaire.

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Mais, le parquet, qui n’était pas d’accord, avait saisi la chambre d’accusation. Celle-ci vient de débouter le procureur. «La Chambre d’Accusation, saisie de l’appel du Procureur, confirme le refus du juge de décerner un mandat de dépôt à Pape Sané de Walf», annonce Me Khoureychi Bâ, avocat de M. Sané.

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En novembre dernier, Pape Sané avait été inculpé par le juge d’instruction du 1er cabinet, Omar Maham Diallo, pour diffusion de fausses nouvelles et actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique. Il a été mis en liberté provisoire assortie du contrôle judiciaire.

Ses propositions « ignorées »: Guy Marius Sagna dénonce la démarche du bureau de l’Assemblée nationale…

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« Le bureau de l’Assemblée nationale a préféré ignorer de manière antidémocratique les huit (08) propositions de résolutions de mise sur pied de commissions d’enquête parlementaire lors de sa réunion tenue aujourd’hui (Ndlr: hier, jeudi 25 janvier 2024)« , a regretté Guy Marius Sagna.

Dans un communiqué parvenu à Senego, le parlementaire a dénoncé la démarche du bureau de l’Assemblée nationale.

Texte in extenso :

La conférence des présidents de l’Assemblée nationale va-t-elle en faire de même ? Une certaine classe politique sénégalaise ne parle, ne bouge, que quand il s’agit de ses intérêts mais jamais quand il s’agit des intérêts du peuple sénégalais. Ainsi, ils utilisent les institutions du peuple sénégalais selon leurs intérêts à eux et non selon les intérêts du peuple sénégalais.

Le bureau de l’Assemblée nationale du Sénégal en procédant ainsi montre que sa démarche est partiale, partielle, parcellaire et donc politicienne et non pour l’intérêt du peuple sénégalais.

Voilà les huit (08) propositions de résolutions de mise sur pied de commissions d’enquête parlementaire que j’ai déposée et qui n’ont pas encore été traitées par l’Assemblée du Sénégal :

1- Proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur les nombreux chantiers inachevés et très en retard du ministère de l’enseignement supérieur (amphithéâtres, pavillons des Universités, ISEP, ENO…)

2- Proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur les arriérés fréquents et nombreux de salaires des travailleurs du fonds d’entretien routier autonome (FERA)

3- proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur les nombreux et importants retards et arriérés de salaires, de primes, d’heures supplémentaires des Agents à la sécurité de proximité (ASP), des policiers, de chefs de division de l’agence de la sécurité de proximité…

4- proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur le contrat d’entente directe pour les travaux de relèvement des plateaux techniques des services d’imagerie médicale des hôpitaux, de construction et équipement de l’hôpital de Bakel et du centre de diagnostic et d’imagerie médicale (Cdim) au centre hospitalier régional de Fatick et de fourniture de matériel roulant (ambulances médicalisées) entre le ministère de la santé et de l’action sociale (MSAS) et la société Afrique conception distribution (ACD) de 71.315.140.944 FCFA

5- Proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur une affaire relative à des permis d’autorisation ou permis d’exploitation de mines de diamants impliquant le Président de la République Monsieur Macky Sall

6- Proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur le matériel agricole, les semences certifiées et l’engrais subventionnés

7- Proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur l’argent des 93 Jambars morts en 1991 et ayant participé à la guerre du Golfe

8- Proposition de résolution de mise sur pied d’une commission d’enquête parlementaire sur le « cadeau fiscal » de 136 milliards que le gouvernement du Sénégal a offert en 2022 à la Sabadola Gold Operation (SGO) filiale du groupe Endeavour Mining Corporation

Une autre Assemblée nationale est possible et nécessaire.

Les causes du décès de la femme de Hakim dévoilées par ses proches

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La triste nouvelle du décès d’Oumou Diallo, également connue sous le nom d’Oumou l’ambassadrice 224, a été diffusée sur les réseaux sociaux, plongeant la communauté TikTok dans le deuil.

Basé à Dakar, Hakima perdu son binôme ce jeudi 25 janvier 2024. D’après les informations données par ses proches, la jeune fille s’est plainte de maux de ventre depuis deux jours. Les internautes et les followers expriment leur tristesse, ressentant déjà le vide laissé par la disparition d’Oumou Diallo, une actrice appréciée au sein de la communauté TikTok.

Aliou Guèye (Député Diaspora) : « Karim Wade est victime d’un complot de haut niveau orchestré par… »

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Karim Wade a été éliminé de la course par le Conseil constitutionnel. Le motif évoqué par les 7 sages résulte du recours déposé par Thierno Alassane Sall sur la double nationalité de Wade-fils. Un coup dur pour ses militants, dont Aliou Guèye. Lors d’un entretien avec Senego, le député de la Diaspora et Président de la fédération Pds d’Italie est revenu sur ce rejet. Il a aussi fait part de la démarche à suivre, maintenant qu’ils n’ont plus de candidat.

Karim Wade hors course…

« Si vous me le permettez, je voudrais d’abord exprimer notre solidarité et notre soutien à notre candidat Karim Meïssa Wade qui, depuis 2012 continue de subir la répression du régime en place« , a-t-il d’emblé soutenu.

Aliou Guèye pense que « ce qui s’est passé au Conseil constitutionnel n’est rien d’autre qu’un complot orchestré au plus haut niveau, pour écarter Karim Maïssa Wade. Comment peut-on comprendre que le Conseil revienne sur sa décision du 12 janvier pour éliminer un candidat sur la base d’un simple document tiré dans un site en ligne sans aucune authentification? Au moment où ce dernier, en l’occurrence Karim Maïssa Wade a produit une attestation de demande de renonciation de sa nationalité et un décret du gouvernement français lui acceptant cette requête« .

Victime d’un complot…

Il poursuit : « Le Conseil évoque un retard, mais la loi n’a pas précisé à quel moment cette preuve doit être apportée par le candidat. Il a simplement stipulé que le candidat doit être exclusivement de nationalité Sénégalaise. J’insiste sur la notion ‘Candidat’, car la loi n’a pas dit candidat à la candidature. Donc, tous les 93, puis les 21 étaient encore des candidats à la candidature jusqu’au 20 janvier 2024, date à laquelle le Conseil a examiné les réclamations et publié la liste définitive; à ce jour le candidat Karim Meissa Wade était exclusivement de nationalité Sénégalaise. D’autre part, il a été éliminé un candidat sur la base d’un arrêté de la Cour suprême transmis le 4 janvier 2024. Dans ce cas précis, le Conseil n’a pas évoqué la date de dépôt, à savoir le 21 décembre 2023 comme il l’a fait avec Karim Maïssa Wade. Vous conviendrez avec moi que sur la base de tous ces éléments, notre Candidat Karim Meissa est victime d’un complot de haut niveau orchestré par un régime agonisant qui tire sur tout ce qui bouge. Avant de conclure sur ce point, je voudrais rappeler que Karim Meissa Wade est un binational et il n’a pas choisi la nationalité française pour bénéficier de quelconque privilège« .

Karim Wade fautif ?

Il est reproché au candidat du Pds de se terrer à l’étranger, menant son combat à distance, au lieu de venir mouiller le maillot sur le terrain. Interpellé sur la question, le Président de la fédération Pds d’Italie soutient que Karim Wade « est loin d’être fautif. Il a fait tout ce qu’il devait faire avec une équipe compétente sous la direction et le contrôle de son mandataire national. Dans un pays avec une démocratie normale, personne ne doit se battre pour jouir de ses droits. Il faudrait tout simplement respecter des procédures telles que Karim Meissa Wade l’a fait. Ce qui est arrivé est loin d’être une chute, c’est plutôt une relance par rapport à notre notre endurance face à un régime qui a relégué notre pays au second plan en matière de respect des droits« .

Le Pds sans candidat ?

Maintenant que Karim Wade n’est plus en lice, notre interlocuteur estime qu’il est « prématuré » de dire qu’ils n’ont plus de candidat. Car, renchérit-il, les membres du Pds et toute la coalition useront de tous les moyens possibles pour rétablir Karim Wade. « En tant que député, notre groupe a demandé une commission d’enquête parlementaire pour élucider des soupçons de corruption quelque part, et de faire la lumière sur les circonstances et le processus qui ont mené à l’invalidation de la candidature de Karim Wade. Conscient aussi de la gravité de la situation, tous les militants de l’intérieur et de la Diaspora sont prêts pour mener le combat et accompagner notre candidat sur le terrain« , conclut-il sur Senego.