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Points de désaccord du dialogue : Un Comité de suivi mis en place

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Le ministre de l’Intérieur a mis en place un Comité de suivi du dialogue politique présidé par le directeur général des élections. Cette structure va s’occuper des points de désaccord ou qui n’ont pu être abordés par la Commission politique du dialogue national.

eudi dernier, la Société civile qui avait participé au dialogue avait exigé le suivi des points abordés par la Commission politique et qui n’avaient pas fait l’objet de consensus. Pr Babacar Diop, Moundiaye Cissé et Cie, regroupés au sein de Sos/Paix, ont un début de réponse.

En effet, les points de désaccord lors du dialogue feront l’objet d’un suivi. Ainsi, en a décidé le ministre de l’Intérieur. Antoine Félix Abdoulaye Diome qui, par arrêté n°024275 en date du 5 juillet 2023, a mis en place un Comité de suivi chargé de l’examen des points en annexe du rapport final du dialogue politique.

La structure est chargée d’assurer des concertations sur les questions qui concernent «le bulletin unique, l’audit du fichier électoral, la révision de l’article 87 de la Constitution, le cumul des postes et l’accès aux médias d’Etat».

Dans ce comité, vont siéger les représentants de toutes les parties prenantes au dialogue politique. Ils sont désignés par leur responsable. Chaque pôle politique a un coordonnateur qui est l’interlocuteur du président du Comité de suivi.

Les membres sont astreints à l’obligation de réserve pendant toute la durée des travaux. Le code de conduite adopté par la Commission politique du dialogue national est de rigueur. Les conclusions issues de ce travail sont remises au ministre de l’Intérieur.

Bes Bi

 

« Arrêtez de dire Macky Sall », Souleymane Ndéné Ndiaye

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L’avocat Souleymane Ndéné Ndiaye a vécu les manifs de juin dernier avec regret, surtout des saccage et morts. Le Président du parti l’Unp, sur rfm, invite la classe politique à changer de discours, à respecter le président de la République. 

Présidentielle 2024 : Anta Babacar Ngom candidate…

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Une autre prétendante qui vient allonger la liste des candidats pour 2024. Apres Aida Mbodji et Wardini, Anta Babacar Ngom est candidate à l’élection présidentielle de 2024.

Présidentielle : Déthié Fall plaide pour la participation de tous les candidats auprès de Serigne Mountakha

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En prélude à sa tournée nationale pour le parrainage dans le cadre de l’élection présidentielle du 25 février 2024, Déthié Fall, président du PRP, a effectué un ziar auprès du Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké.

Imbroglio entre la mairie de Thiès, la Russie et l’Ukraine

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Le torchon brule entre le maire de Thiès et l’Ambassadeur d’Ukraine à Dakar. En effet, la Direction de l’information et de la communication de la municipalité s’est fendue d’un communiqué pour dénoncer «les accusations erronées et infondées formulées pour les autorités diplomatiques ukrainienne à l’égard du maire, Babacar Diop et sa municipalité »

«Nous avons appris par voie de presse un communiqué de l’Ambassade de l’Ukraine en date du 06 juillet 2023, véhiculant des accusations erronées avec une discourtoisie regrettable à l’égard de la Ville de Thiès. Les insinuations faites sont infondées et aux antipodes de la bienséance en matière de la diplomatie internationale», regrette l’équipe de communication de la mairie de Thiès.

Pour rappel, l’’Ambassade d’Ukraine à Dakar accuse Babacar Diop d’avoir accepté un  jumelage avec la ville ukrainienne de Sébastopol, proposé par l’ambassadeur de la Russie au DSenegal et en Gambie.  «Ce qui est choquant et déplaisant, c’est la position du Maire de Thiès, Monsieur Babacar Diop, qui est tout simplement fasciné par les récits russes et ne comprend apparemment pas les conséquences futures de ce soi-disant jumelage avec la ville ukrainienne de Sébastopol, proposé par le diplomate russe. Oui, aujourd’hui, Sébastopol est occupée par les troupes russes, mais cela ne durera pas longtemps. Le Maire Babaсar Diop ne le comprend-il pas ? Ou profite-t-il simplement d’une occasion opportuniste temporaire pour se « jumeler » avec un « grand » État terroriste et criminel de guerre ?» déplore l’ Ambassade.

 

Pour se défendre, la mairie de Thiès a rappelé que la visite de l’ Ambassadeur de la Russie au Sénégal et en Gambie, Dmitry Kourakov fait suite à la lettre N00005507MAFSE/SG/DEAO/EUR datée du 31 mai 2023, émanant du Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur faisant l’objet, d’une audience que l’Ambassadeur de la Russie à Dakar sollicite auprès du Maire de la Ville de Thies.

 

Babacar Diop et son équipe ajoutent: «le jumelage entre dans le cadre de la coopération décentralisée qui est prévue par les dispositions de l’article 16 de la loi 2013-10 du 28 décembre 2013 portant Code général des Collectivités Territoriales»

 

Dans un souci de transparence, le maire de Thies invite le Ministère des Affaires étrangères à prendre ses responsabilités pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur les attaques diffamatoires, grossières, discourtoises et injurieuses à l’encontre de l’Institution municipale.

Les journaux évoquent les tractations pour trouver le candidat de BBY

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Les quotidiens continuent de se préoccuper des tractations menées au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) et de l’Alliance pour la République (APR), le parti politique de Macky Sall, en vue de la désignation d’un candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

‘’Les tractations, les combines et autres combinaisons se font et se défont […] Si les noms d’Amadou Ba, d’Abdoulaye Daouda Diallo, d’Aly Ngouille Ndiaye et d’Amadou Mame Diop sont cités ça et là, d’autres cadres de l’APR peaufinent leur stratégie sans tambour ni trompette’’, note Sud Quotidien.

‘’D’un large consensus à une implosion, tout reste possible dans cette armée mexicaine’’, ajoute Sud Quotidien.

Les journaux évoquent les tractations pour trouver le candidat de BBY
mardi 11 juillet 2023 • 89 lectures • 0 commentaires

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Les journaux évoquent les tractations pour trouver le candidat de BBY

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iGFM (Dakar) Les quotidiens continuent de se préoccuper des tractations menées au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) et de l’Alliance pour la République (APR), le parti politique de Macky Sall, en vue de la désignation d’un candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

‘’Les tractations, les combines et autres combinaisons se font et se défont […] Si les noms d’Amadou Ba, d’Abdoulaye Daouda Diallo, d’Aly Ngouille Ndiaye et d’Amadou Mame Diop sont cités ça et là, d’autres cadres de l’APR peaufinent leur stratégie sans tambour ni trompette’’, note Sud Quotidien.

‘’D’un large consensus à une implosion, tout reste possible dans cette armée mexicaine’’, ajoute Sud Quotidien.

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L’Observateur signale que ‘’le président Macky Sall veut prévenir toute éventualité de frustration ou de bouderie dans ses rangs, après le choix du candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar’’.

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Le même journal s’est entretenu avec des analystes politiques sur les ‘’critères’’ que devrait retenir Macky Sall pour le choix du candidat de son parti et/ou de BBY.

EnQuête affirme que ‘’la perspective d’une implosion de Benno Bokk Yaakaar suscite la crainte chez ses dirigeants’’. Macky Sall et ses alliés tiennent ‘’une série de réunions’’ en vue de la désignation d’un candidat, fait remarquer le même journal.

‘’Macky Sall, depuis sa déclaration de non-candidature, ne cesse de multiplier les rencontres au palais [de la République]. Prépare-t-il simplement sa succession ?’’ commente Source A.

Le journal Kritik’ croit avoir grillé ses confrères en déclarant que le Premier ministre a été désigné candidat de Benno Bokk Yaakaar. ‘’Les jeux sont faits. Le suspense n’aura duré que le temps d’une rose’’, affirme-t-il, annonçant qu’Amadou Ba a été choisi ‘’pour son parcours exceptionnel’’ et sa ‘’crédibilité’’ pour ‘’conduire les destinées de la majorité présidentielle’’.

Concernant les autres sujets, Le Soleil réserve sa une à Yacine Fall, la meilleure élève du Sénégal en 2020, qui vient d’obtenir le baccalauréat avec une moyenne de 17,96/20, avec la mention ‘’Très bien’’.

AVEC APS

Espagne : plus de détails sur les 300 migrants partis du Sénégal

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Trois bateaux de migrants ont quitté le sud du Sénégal il y a environ deux semaines avec, en tout, 300 personnes à leur bord. Ils voulaient rejoindre l’archipel espagnol de Canaries, à quelque 1 700 kilomètres de là. Depuis, les familles des exilés sont sans nouvelle de leurs proches.

C’est un nouveau drame sur la route des Canaries. Selon l’association Caminando fronteras, au moins 300 personnes sont portées disparues après avoir quitté le Sénégal à bord de trois bateaux dans l’espoir de rejoindre l’archipel espagnol des Canaries.

La fondatrice de l’association Helena Maleno a indiqué, dimanche 9 juillet, à l’agence de presse Reuters que deux bateaux avaient quitté le Sénégal avec respectivement 50 et 60 personnes à leur bord il y a 15 jours. Le troisième bateau avait, lui, environ 200 personnes à son bord lorsqu’il a quitté les côtes sénégalaises le 27 juin.

Les trois embarcations étaient parties de la petite ville de Kafountine, dans le sud du Sénégal, à environ 1 700 kilomètres de Tenerife, l’une des îles Canaries.

« Les familles sont très inquiètes. Il y a environ 300 personnes originaires de la même région du Sénégal. Ils sont partis en raison de l’instabilité qui règne au Sénégal », a dit Helena Maleno.

Plus de 700 morts durant le premier semestre 2023

Les îles Canaries, au large des côtes d’Afrique de l’Ouest, sont devenues la principale destination des migrants qui tentent d’atteindre l’Espagne.

Certains tentent aussi de traverser la Méditerranée de l’ouest pour rejoindre l’Espagne continentale mais ils sont beaucoup moins nombreux. Jeudi 6 juillet, Caminando fronteras a publié ses derniers chiffres des migrants morts sur les différentes routes migratoires vers l’Espagne.

Au cours du premier semestre de 2023, 951 personnes ont perdu la vie en tentant de rejoindre l’Espagne. Parmi elles, 778 sont mortes sur la route des Canaries.

En 2022, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) des Nations unies estimait qu’au moins 559 personnes étaient mortes en tentant de rejoindre les Canaries.

L’été est la période la plus active pour toutes les tentatives de traversées. Et la route des Canaries ne fait pas exception. Depuis le printemps, cet itinéraire connaît une hausse de la fréquentation. Entre le 10 et le 12 juin, plus de 330 migrants ont ainsi débarqué dans l’archipel espagnol, originaires pour la plupart du Maghreb.

En avril, plus de 400 personnes avaient débarqué en une semaine sur plusieurs îles des Canaries, juste après la fin du ramadan.

Collaboration Espagne-Maroc

Mais, d’une manière générale, le nombre d’arrivées dans l’archipel est à la baisse depuis 2022. Début avril 2023, un bilan du ministère espagnol de l’Intérieur indiquait que le nombre d’arrivées aux Canaries avait chuté de 63 % au cours du premier trimestre 2023 par rapport à la même période en 2022.

La baisse a été amorcée en mars 2022, lorsque Madrid et Rabat ont repris leurs relations après une année de brouille. Et cette nouvelle amitié passe par davantage de surveillance aux frontières : le Maroc a annoncé le renforcement des patrouilles de la marine marocaine en mer et plus de vigilance aux abords des enclaves de Ceuta et Melilla. Sur les côtes marocaines, Rabat intercepte les exilés susceptibles de prendre la mer et les renvoie dans le centre du pays, dans la région de Ouarzazate, loin des plages.

Cette collaboration Espagne-Maroc mène aussi parfois à des drames, notamment lorsque les deux États se renvoient la responsabilité d’une opération de secours. La radio espagnole Cadena Ser a récemment révélé, après avoir eu accès à des enregistrements audio, que de nombreux morts auraient pu être évités lors d’un naufrage survenu le 21 juin.

Les secours espagnols, normalement en charge de la zone de recherche et sauvetage au large du Sahara occidental, ont préféré laisser intervenir leurs homologues marocains. Ces derniers ont mis 12 heures à arriver sur la zone du naufrage. Seule une jeune fille a pu être secourue par un hélicoptère espagnol. Les Marocains, eux, ont récupéré un corps et secouru 24 personnes. Trente-sept personnes ont été portées disparues.

Arrestations dans les rangs de Pastef : Le MODDAP met en garde Macky

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Face à la presse ce lundi 10 juillet 2023, le MODDAP (mouvement des DomouDaara patriotes de Pastef), composé de maîtres coraniques issus de différentes régions du Sénégal, a dénoncé les arrestations « arbitraires » notées au sein de leur parti. Ils estiment que « ces arrestations tous azimuts, en commençant par leur leader Ousmane Sonko ainsi que les autres militants et cadres de Pastef, en l’occurrence le coordonnateur de MODDAP Cheikh Omar Bamba Diop, Cheikh Bara Ndiaye, Oustaz Assane Seck, entre autres, relèvent d’une pure campagne d’intimidation et d’une répression par « le régime dictatorial de Macky Sall ».

Cette rencontre, selon Seneweb, a également été une occasion pour le MODDAP de déplorer les « attaques répétées que subissent ses membres de la part des oulémas qui sont manipulés par le régime en place pour une campagne de diabolisation contre leur mouvement ».

Ainsi, face à cette situation, les responsables de MODDAP condamnent avec fermeté ces pratiques « antirépublicaines » et exigent de l’État du Sénégal la levée immédiatement du blocus autour de la maison du leader de Pastef Ousmane Sonko et la libération immédiatement et sans condition de tous les détenus politiques.

Dans ce sillage, ils invitent le gouvernement à mettre en œuvre toutes les dispositions des articles de la Constitution relatives à la liberté d’expression et à laisser les Sénégalais exercer leur droit de manifestation pacifique prévu par la Constitution.

Par ailleurs, le MODDAP appelle le président Macky Sall à cesser la persécution et le ciblage contre les membres de Pastef. Dans cette optique, ils rejettent toute tentative du pouvoir Judiciaire qui pourrait empêcher la participation de leur « seul et unique candidat » Ousmane Sonko aux prochaines élections de 2024.

Selon eux, « cette tentative de liquidation de leur leader serait une ligne rouge qu’ils ne permettront jamais à la répression aveugle de franchir ». Ils soulignent, à cet effet, que la paix et la stabilité du pays reposent actuellement sur la candidature du leader de Pastef et que « si toutefois Macky Sall décide de l’écarter aux prochaines élections présidentielles, le Sénégal risque de plonger une nouvelle fois dans un chaos total ».

Yewwi dénonce une « entreprise de diabolisation » de Pastef

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La Coalition Yewwi Askan Wi dénonce une « entreprise de diabolisation » du parti Pastef et de son leader, le Président Ousmane Sonko de la part de l’APR et de Benno Bokk Yaakaar dans l’affaire Birame Souley Diop et appelle au sens de responsabilité.

Le candidat de Benno sera connu d’ici vendredi

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Le candidat de Benno Bokk Yaakaar sera connu d’ici vendredi prochain. La Conférence des leaders de cette coalition, réunie ce lundi, a donné mandat en ce sens à sa tête de file, le Président Macky Sall.

La balle est donc désormais dans le camp du chef de l’État pour désigner celui qui portera les couleurs de la majorité lors de la présidentielle du 25 février 2024. La semaine dernière, son parti, l’APR, à travers son Secrétariat exécutif national (SEN), lui avait témoigné cette même confiance.

Et au cours de cette rencontre, Macky Sall avait clamé sa préférence pour un candidat de consensus, écartant toute idée de primaires.