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vendredi, octobre 11, 2024

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Boun Abdallah Dionne annonce un nouveau ralliement en provenance de l’APR (photo)

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Maxime Monteiro, expert-économiste et figure politique influente, a annoncé sa démission de l’Alliance pour la République (APR) et de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) pour soutenir Mahammed Boun Abdallah Dionne, le candidat de la coalition Dionne 2024. Cette décision, fondée sur plusieurs critères socio-économiques et politiques, marque un tournant significatif dans le paysage politique sénégalais à l’approche des élections de 2024.

Monteiro est l’ancien Président à l’OMVS (Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal) et élu conseil départemental.

Maxime Monteiro, connu pour son expertise économique et son rôle de membre fondateur de la Convergence des cadres républicains (CCR) au sein de l’APR, a pris cette décision et l’a expliqué via uje publication sur les réseaux sociaux, après une consultation approfondie, dit-il avec sa base politique. Ses motivations pour soutenir Mahammed Boun Abdallah Dionne sont multiples, incluant des préoccupations sur la situation économique et sociale du pays, l’état de la gouvernance et de la démocratie, ainsi que le contexte sécuritaire tant au niveau national que sous-régional.

Monteiro met en avant plusieurs qualités de M. Dionne, telles que ses compétences psychologiques, morales, professionnelles et intellectuelles. Il est convaincu que le candidat de la coalition Dionne 2024 est le mieux placé pour répondre aux défis du Sénégal, en termes de progrès économique, bien-être social, paix et sécurité intérieure, bonne gouvernance, renforcement des institutions démocratiques, équité sociale et territoriale, et souveraineté.

Monteiro encourage ses alliés, amis, militants et sympathisants à rejoindre la coalition Dionne 2024, soulignant l’importance de travailler ensemble pour un Sénégal meilleur. Ses mots « Le Sénégal et les Sénégalais d’abord » résonnent comme un appel à l’unité et à la concentration sur les enjeux nationaux.

Le chef de la junte au Niger en visite au Togo

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Le général Abdourahamane Tiani, à la tête de la junte au pouvoir au Niger depuis le coup d’Etat militaire du 26 juillet, a rencontré vendredi le président togolais Faure Gnassingbé à Lomé pour renforcer les relations bilatérales, alors que le Niger est asphyxié par les sanctions économiques.

Les deux dirigeants « ont réaffirmé (…) la volonté d’approfondir la coopération bilatérale », et annoncé l’ouverture d’une ambassade du Togo à Niamey, selon un communiqué de la présidence togolaise vendredi soir.

Outre la coopération sur les questions sécuritaires liée à la montée de l’insécurité dans la région, M. Tiani et M. Gnassingbé ont évoqué une collaboration « en matière de transit et de transport sur le corridor Lomé-Ouagadougou-Niamey », « après normalisation de la situation ».

Bien que membre de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), le Togo a pris plusieurs initiatives pour faire office de médiateur avec le régime militaire nigérien, à la demande de ce dernier.

Depuis le renversement du président Mohamed Bazoum en juillet et la prise de pouvoir par la junte, le Niger est sous le coup des sanctions économiques et financières de la Cedeao, rendant de plus en plus difficile le quotidien de la population.

La question des sanctions contre Niamey devrait être débattue dimanche à Abuja, la capitale nigériane, à l’occasion du sommet annuel de la Cedeao.

Le 3 décembre, le Nigeria, qui préside la Cedeao, avait demandé aux militaires au pouvoir à Niamey de libérer le président déchu et lui permettre de se rendre « dans un pays tiers » avant de « parler de la levée des sanctions ». Mais Niamey avait affirmé que « rien de mal n’arrivera » à Mohamed Bazoum, écartant un « transfert vers un pays étranger ».

La junte au pouvoir à Niamey a rejeté les demandes de la Cedeao de rétablir l’ordre constitutionnel, et insiste sur la nécessité d’une période transitoire de maximum trois ans pour pouvoir le faire, alors que le pays fait face à deux insurrections jihadistes au sud-est et à l’ouest.

Le 7 décembre, la Cour de justice de la Cedeao a rejeté la demande de la junte militaire au Niger de suspendre ces sanctions.

Claude Pivi toujours introuvables : Le Gouvernement guinéen demande de l’aide !

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Après l’évasion spectaculaire du 4 novembre dernier à la maison centrale de Guinée, tous les fugitifs ont été appréhendés sont l’un d’entre eux. Il s’agit de Claude Pivi. Toujours en cavale, la Guinée sollicite l’aide de la communauté internationale.

« Cet incident malheureux doit interpeler la communauté internationale à soutenir davantage la Guinée en terme d’accompagnement pour bien conduire ce procès et surtout rechercher Claude Pivi toujours en cavale en terme de partage d’informations et de renseignement à l’effet de l’appréhender et de traduire à nouveau devant le tribunal », a déclaré le Garde des sceaux guinéen, depuis New-York.

Dans les colonnes de Africaguinée, le ministre guinéen de la Justice invoque des risques que le fugitif représente dans la conduite sereine du procès en cours. Au regard des risques encourus, selon Charles Alphonse Wright, « l’accompagnement des partenaires techniques et financiers est incontournable à cette phase pour garantir la poursuite du procès dans le strict respect de la Loi ».

Abuja : Ismaila Madior Fall rencontre des représentants de la communauté sénégalaise de la sous-région

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En marge des réunions de la CEDEAO à Abuja, le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a reçu les représentants de la communauté sénégalaise, établis au Nigéria et dans les pays voisins (Ghana, Benin, Togo), le vendredi 8 décembre 2023. 

Après des échanges fructueux portant sur l’obtention des passeports et cartes d’identité, l’acquisition des logements sociaux au Sénégal, le financement des femmes émigrées ainsi que sur les projets en cours (constructions de mosqués), les représentants des Sénégalais ont magnifié les efforts de l’Etat et la volonté constante du Président Macky Sall à prendre en charge leurs préoccupations dans les projets et programmes.

Ils n’ont pas manqué de remercier le Président Macky Sall pour tout le soutien qu’il apporte aux Sénégalais de la diaspora de façon constante et dans des circonstances particulières comme pendant de la COVID 19 avec les aides à la diaspora. Confiants quant à l’avenir du pays, ils s’engagent à soutenir, lors de la présidentielle de 2024, le candidat choisi par le Président Macky Sall, à savoir le Premier ministre Amadou Ba, et à le faire élire au premier tour de la prochaine présidentielle. Le MAESE a salué leur gratitude à l’endroit du Président, a apporté les dispositions prises par le Gouvernement pour la satisfaction de leurs préoccupations et salué leur mobilisation pour l’élection du candidat de Benno.

NOTE SUR LA RÉUNION DE SUIVI DE LA 5E ÉDITION DU SÉMINAIRE INTERGOUVERNEMENTAL FRANCO-SENEGALAIS (PHOTOS)

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Le Premier Ministre du Sénégal, Monsieur Amadou BA et Madame Élisabeth BORNE,
Première Ministre de la France se sont entretenus ce jeudi 7 décembre 2023 à Paris,
dans le cadre de la réunion de suivi de la 5e édition du Séminaire intergouvernemental
franco-sénégalais. Cet entretien bilatéral a été un fort moment d’échange sur la feuille
de route du dernier séminaire tenu le 8 décembre dernier en vue de consolider le
dynamisme de la coopération entre le Sénégal et la France. Les deux parties ont salué
le niveau stratégique de cette coopération et scruter de belles perspectives sur le plan
économique, sécuritaire, non sans relever l’intensification de la coopération sportive,
dans la perspective des jeux olympiques (JO) de 2024 à Paris et des jeux olympiques
de la jeunesse (JOJ) de 2026 à Dakar.
Sur le plan bilatéral, le Premier Ministre du Sénégal, Monsieur Amadou BA et Madame Élisabeth BORNE, Première Ministre de la France ont vivement salué la qualité et le dynamisme de la coopération entre les deux pays et la volonté forte, constamment réaffirmée, des deux Chefs d’Etat de consolider les relations multiséculaires d’amitié et de fraternité entre les Gouvernements et les Peuples sénégalais et français. Plusieurs mécanismes soutiennent la coopération entre les
deux pays par le biais l’Agence Française de Développement (AFD) dont les financements portent sur divers projets dans des secteurs prioritaires comme l’agriculture, l’hydraulique, la santé, l’énergie, l’éducation, le sport, l’habitat, les infrastructures routières et ferroviaires et le développement rural, etc.
Au titre des investissements stratégiques de l’Etat du Sénégal, dans le secteur des infrastructures structurantes, le Premier Ministre du Sénégal, Monsieur Amadou BA est revenu sur la mise en œuvre de la deuxième phase du Train Express Régional (TER). Pour rappel, à la date du 30 novembre 2023, le Sénégal a signé avec la
France 56 conventions de financement pour un montant total de 2,35 milliards d’euros soit, 1 541,4 milliards de FCFA.
Le Chef du Gouvernement sénégalais s’est également réjoui de la rétrocession du terrain de l’IRD au Campus franco-sénégalais (CFS). A ce propos, les objectifs de développement et de diversification des formations sont maintenus dans le but de former plus de 1 000 étudiants dans 25 formations (près de la moitié au niveau master, avec pour dominantes le numérique, l’ingénierie, l’agriculture et la santé), tout en répondant aux besoins économiques, et en favorisant la professionnalisation et l’employabilité des jeunes.
Évoquant la stratégie de souveraineté alimentaire du Sénégal, Monsieur le Premier Ministre Amadou BA est revenu sur la pertinence de la démarche sénégalaise soutenue par un financement de l’AFD visant accompagner sa mise en œuvre à travers trois interventions d’un montant global de 100 millions d’euros sur les trois
ans (2023-2025).
Concernant la préparation des Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ) de 2026 à Dakar, il a salué l’état de la coopération sportive marquée notamment par un financement de l’Agence française de développement (AFD) pour un montant de 15 millions d’euros.
Les deux Chefs de Gouvernement ont souligné l’importance de s’accorder autour de stratégies prospectives notamment, pour la migration légale, la migration de la main d’œuvre et les programmes d’échanges.

COOPÉRATION FRANCE-SÉNÉGAL : REVUE DU PORTEFUILLE D E PROJETS

Monsieur le Premier Ministre Amadou BA a eu une importante séance de travail avec Monsieur Bruno Le Maire, Ministre français de l’Économie des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique, en présence du Ministre sénégalais des Finances et du Budget, Monsieur Mamadou Moustapha BA, de celui des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Monsieur Mansour FAYE et de celui de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Monsieur Doudou KA.
Le Premier Ministre Amadou BA a profité de sa rencontre avec le Ministre français de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique,
Monsieur Bruno Le Maire pour évoquer les termes de coopération financière entre la France et le Sénégal. Plusieurs projets phares du portefeuille de la France inscrits au PSE ont fait l’objet d’une mise en œuvre satisfaisante : le projet KMS3, le programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (PACASEN), le
PROMOGED, le Projet d’Appui à la Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales des Femmes et des Jeunes (PAVIE/FJ), le Programme de Développement Économique local et de Transition Agro- Écologique (DELTA), la dépollution de la Baie de Hann, le projet de renouvellement du collecteur de HANN, Programme d’urgence, d’assainissement urbain et d’aménagement intégrée de la voirie primaire et des réseaux divers du pôle de Diamniadio, le projet de construction de 18 ponts et autoponts. Le projet de construction de l’Hôpital Le Dantec, le TER, entre autres.
A l’occasion de cette rencontre, les perspectives à court terme de la coopération avec la France ont été abordées avec un focus sur le projet de résilience des écosystèmes du Ferlo (PREFERLO) et le projet de construction de l’autoroute Dakar
– Tivaouane – Saint Louis. Mais aussi le suivi du Programme d’appui Budgétaire de l’AFD « pour la stabilisation Macroéconomique » du Sénégal de 150 Millions d’euros, soit 98,4 milliards FCFA approuvé en juillet 2023 et destiné à soutenir le Programme économique et financier appuyé par le FMI.
Relativement au Train express Régional, le bouclage financier de la 2ème phase du TER est effectif avec les derniers financements accordés par la BID, la BADEA et la BOAD. A ce titre, les discussions ont porté sur les contraintes soulevées lors de
l’exécution de la première phase du projet. Et le Gouvernement s’est engagé à apporter des éléments de réponses pour consolider ce fleuron du partenariat franco-sénégalais.
Pour rappel, lors de la réunion du groupe consultatif pour le Sénégal de Paris en décembre 2018, une enveloppe de 1,5 milliards d’euros, soit 984 milliards de FCFA avait été annoncée par la France en termes de nouveaux engagements pour l’appui au financement du deuxième Plan d’Actions Prioritaires (PAP2) du PSE (2019-2023).
Malgré la conjoncture mondiale, le Sénégal engage l’année 2024 sous de bonnes auspices, avec un budget de 7003,6 milliards de FCFA, soit presque le triple du budget de 2012, date d’accession du Président Macky SALL à la magistrature suprême. L’année 2024 verra également le démarrage de l’exploitation du pétrole et du gaz, avec un fort impact attendu sur des secteurs tels que l’énergie et sur la croissance économique.

CEDEAO : Ismaila Madior Fall rassure sur le bon déroulement du processus électoral…

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La situation politique et sécuritaire de la région a été passée au crible lors de cette 51ème session du Conseil de Médiation et de Sécurité de la CEDEAO qui s’est tenue à Abuja. Le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur était à ce Conseil qui s’est tenu le mercredi 6 décembre.

La situation politique régionale, notamment les élections qui se sont déroulées dans les différents pays de la région (en Côte d’Ivoire, au Nigéria, en Sierra Léone et au Libéria), comme de celles à venir (Ghana, Sénégal) a été le premier point débattu.

La tenue de la Présidentielle à la date fixée…

A cet effet, d’après le communiqué parvenu à Senego, le Pr Ismaila Madior Fall a apporté quelques réponses sur remplacement des membres de la Cena qu’une partie de l’opposition sénégalaise avait dénoncé. Le Ministre de Affaires étrangères a rappelé qu’il s’agissait « d’un acte légal et ne violait aucune disposition communautaire« , pris par l’Autorité compétente, le mandat desdits membres ayant expiré. Par ailleurs, il a rassuré le Comité sur le bon déroulement du processus électoral et de la tenue de l’élection à la date fixée. « D’ailleurs, une mission d’information préélectorale s’est déroulée fin novembre 2023 au Sénégal et a pu faire le constat du déroulement normal du processus dans sa phase actuelle de collecte des parrainages par les différentes parties concernées« , a assuré Ismaila Madior Fall.

Touba: Les Baye Faal ne vont plus raser des têtes, saisir des bracelets et des casquettes

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Le khalife général des mourides a fait une mise au point sur les interdictions à Touba. Serigne Mountakha Mbacké recommande désormais aux Baye Faal d’interdire seulement les activités politiques et le football ainsi que les injonctions mentionnées dans un document en 1980 par  Serigne Abdou Lahad Mbacké à savoir la drogue, l’alcool, les activités folkloriques, le port d’habillement indécent […].

Ainsi les Baye Faal ne vont plus raser des têtes, saisir des bracelets et des casquettes.
Plus de détails dans cette vidéo ci-dessous:

Le khalife général des mourides a fait une mise au point sur les interdictions à Touba. Serigne Mountakha Mbacké recommande désormais aux Baye Faal d’interdire seulement les activités politiques et le football ainsi que les injonctions mentionnées dans un document en 1980 par  Serigne Abdou Lahad Mbacké à savoir la drogue, l’alcool, les activités folkloriques, le port d’habillement indécent […].

Ainsi les Baye Faal ne vont plus raser des têtes, saisir des bracelets et des casquettes.Plus de détails dans cette vidéo ci-dessous:

Financement Politique au Sénégal : Pape Alé Niang adresse une lettre explosive à l’Émir du Qatar

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Le journaliste Pape Alé Niang a adressé une lettre ouverte à l’émir du Qatar. Il fait cas de ses préoccupations et celles du peuple sénégalais quant à des allégations récentes de financement politique présumé par le Qatar au Sénégal.

Des déclarations attribuées à un député sénégalais et à deux journalistes évoquent un versement financier important destiné au leader de l’opposition, Ousmane Sonko, pour perturber le régime en place. Ces allégations, à en croire le Patron de « Dakar Matin », soulèvent des inquiétudes sur l’intégrité du processus démocratique au Sénégal, et sa lettre sollicite des explications claires et transparentes de la part du Qatar pour préserver la souveraineté et l’indépendance de la démocratie sénégalaise.

In extenso sa lettre

Appel au Qatar pour des Éclaircissements sur des Allégations de Financement Politique au Sénégal
Son Altesse l’Émir du Qatar,
Doha, Qatar

Excellence,
Nous, le peuple sénégalais, vous adressons cette lettre ouverte avec le plus grand respect et la plus grande préoccupation concernant des allégations récentes relatives à un présumé financement politique au Sénégal par le Qatar.

Récemment, des déclarations attribuées à un député sénégalais à l’Assemblée nationale et à deux journalistes ont fait état d’un versement financier important de 20 millions de dollars du Qatar au leader de l’opposition sénégalaise, Ousmane Sonko. Ces fonds auraient été destinés à perturber le régime en place et à corrompre des marabouts, comme indiqué dans un article du journal satirique français, Le Canard Enchaîné.

Ces allégations sont profondément troublantes et soulèvent des questions fondamentales sur l’intégrité du processus démocratique au Sénégal. En tant que peuple souverain, nous croyons en la transparence et l’impartialité dans notre vie politique, et nous sommes convaincus que de tels agissements ne sauraient être tolérés.

Ainsi, nous sollicitons votre attention bienveillante pour fournir des explications claires et transparentes sur ces allégations. Le peuple sénégalais mérite de comprendre pleinement la nature de toute interaction financière entre le Qatar et des acteurs politiques sénégalais, afin de préserver notre souveraineté et de garantir que notre démocratie reste libre de toute influence étrangère indue.

Nous sommes conscients de l’importance des relations internationales et du respect mutuel entre nations. Cependant, en tant que citoyens engagés de notre nation, nous insistons sur la nécessité de clarifier cette situation, afin de dissiper tout malentendu et de maintenir des relations internationales fondées sur la confiance et la coopération sincère.

Nous vous remercions de prendre en considération notre appel et de répondre à ces préoccupations avec la transparence et l’honnêteté que requiert cette situation délicate. Nous croyons fermement en la justice, en la démocratie et en la responsabilité, et nous espérons que cette affaire sera traitée avec la diligence qu’elle mérite.
Dans l’attente de vos réponses, veuillez agréer, Excellence, l’expression de notre respectueuse considération.

Pour le peuple sénégalais,
Pape Alé Niang Journaliste
Citoyen sénégalais

Offenses aux tidianes: Le verdict vient de tomber pour Oustaz Oumar Sall

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Le prêcheur Oumar Sall est finalement libre. Il est jugé ce vendredi au Tribunal des flagrants délits de Dakar pour diffamation et injures à travers un moyen informatique. Ainsi, il est condamné à 6 mois de prison avec sursis. Oustaz rentre donc chez lui.

Oustaz Oumar Sall a reconnu son tort sur les accusations à l’endroit de Cheikh Ahmed Tidiane Cherif. Sur ce, il a demandé pardon devant l’assemblée. Mais, c’était sans compter sur la détermination du procureur. Heureusement pour le prêcheur. Après 18 jours de détention provisoire, il vient d’être déclaré coupable pour injures et condamné à 6 mois de prison assortis de sursis. Ce qui veut dire que Oumar Sall est désormais libre. Il va rentrer chez lui.

Pour rappel, le procureur avait demandé une peine d’emprisonnement de 3 mois dont 1 mois ferme pour Oustaz Oumar Sall. Mais, le juge n’a pas suivi le réquisitoire du Procureur.

Le tribunal a rejeté la constitution des parties civiles en tant que partie civile.