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Sortie du Pape sur le mariage homosexuel : Les précisions du patron de l’Église sénégalaise !

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En marche de son traditionnel message de noël, Monseigneur Benjamin Ndiaye, archevêque de Dakar, s’est exprimé sur les propos du Pape sur les mariages homosexuels. Propos qui avaient fait croire en une bénédiction de ces unions contre-natures.

«Il a été bien mentionné que nous ne validons pas les orientations sexuelles qui ne correspondent pas à ce que croyons être la volonté et le destin de Dieu et le projet de Dieu sur l’homme», a indiqué ce dimanche, l’archevêque de Dakar, en marge de son traditionnel message de noel.

Monseigneur Benjamin Ndiaye, pour qui nul n’a le droit, au nom de sa foi, d’aller tuer l’autre parce qu’il ne partage pas votre orientation, précise qu’il faut respecter les gens dans leur point de vue.

«Pour qu’il n’y ait pas de confusions, nous ne validons pas cela et le document est très clair là-dessus. J’invite les gens à lire d’abord le document, à ne  pas se contenter de lire des dépêches ou de petites analyses qu’on trouve sur le net à travers les réseaux sociaux», a-t-il insisté.

Dépôt des candidatures au Sénégal : Le Conseil Constitutionnel opérationnel, même le jour de Noël

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Au Sénégal, l’administration est restée active malgré le jour férié de dimanche, motivée par l’approche cruciale de l’élection présidentielle de 2024. Le Conseil Constitutionnel a maintenu son ouverture pour recevoir les représentants des candidats. En dépit de ces circonstances inhabituelles, aucun problème n’a entravé le dépôt des dossiers. Même ce jour de Noël (25 décembre), le Conseil Constitutionnel est resté opérationnel, les mandataires se relayant pour déposer les candidatures, dans un marathon administratif prolongé jusqu’au 26 décembre à minuit.

Présidentielle 2024 : Mauvaise nouvelle pour Khalifa Sall, sa candidature invalidée si…

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Ce 22 décembre, la Cour suprême du Sénégal a confirmé la sentence prononcée par la Cour d’appel de Dakar à l’encontre de Barthélémy Dias, maire de Dakar, le condamnant à deux ans de prison, dont six mois ferme, pour le meurtre de Ndiaga Diouf en 2011. Cette décision intervient dans un contexte préélectoral tendu, où chaque détail et alliance peuvent influencer l’issue de l’élection présidentielle prévue en février.

L’affaire Barthélémy Dias, vieille de douze ans, a pris fin avec la confirmation de sa peine par la Cour suprême pour le meurtre de Ndiaga Diouf. Cette décision pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais, notamment en ce qui concerne la candidature de Khalifa Ababacar Sall, leader de la coalition Taxawu Senegaal, pour la présidentielle de 2024.

Malgré la récente loi d’amnistie permettant à Khalifa Sall de se positionner à nouveau dans la course présidentielle, la situation juridique de Barthélémy Dias, potentiel parrain de Sall, soulève des questions stratégiques cruciales dans la course aux parrainages nécessaires pour valider sa candidature. Les députés, clés dans ce processus, offrent une alternative sûre aux parrainages populaires souvent sujets à des doublons ou des erreurs. Avec 14 députés dans sa coalition, Khalifa Sall pourrait théoriquement s’affranchir du soutien de Dias pour éviter tout risque d’invalidation de sa candidature par le Conseil constitutionnel.

Cependant, la décision de maintenir ou non le parrainage de Dias par Khalifa Sall comporte des risques potentiels, notamment celui d’une éventuelle invalidation de sa candidature par le Conseil constitutionnel en cas de non-conformité. Cette décision complexe implique des calculs politiques et juridiques délicats.

Scandale «Keur Yeurmandé» : ce que risque le personnel

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L’enquête s’emballe. Sept (7) nounous et deux (2) assistants ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête ouverte pour élucider le scandale de la pouponnière «Keur Yeurmandé».

L’Observateur, qui donne l’information, précise que leur patronne, Ndella Madior Diouf, cueillie jeudi dernier, et poursuivie pour « homicides involontaires, maltraitance sur des enfants, et exploitation d’une pouponnière sans autorisation » pourrait entraîner « une bonne partie » de ses employés retenus pour nécessité d’enquête.
En effet, poursuit le journal, les enquêteurs cherchent à se faire une religion sur leur responsabilité dans la maltraitance des nourrissons.
« S’il est avéré que ces nounous, assistants et autres employés ont posé, en toute connaissance de cause, des actes favorisant la mise en danger de la vie de bébés, ils seront retenus dans les liens de la détention. Par contre, si l’enquête ne parvient pas réunir des charges suffisantes de nature à motiver leur défèrement, ils seront remis en liberté à charge pour eux de répondre à toute réquisition ultérieure de la Justice », susurrent des sources de L’Obs.
Les employés ont livré des réponses à charge contre leur patronne, lors de leur audition, notamment sur les questions relatives à la prise en charge des nourrissons.

Mauvaise nouvelle pour l’ancien ministre de l’Intérieur, Antoine Felix Diome

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Pape Abdoulaye Touré en veut à Antoine Felix Diome. Actuellement incarcéré suite aux manifestations en soutien à Ousmane Sonko, il a déposé deux plaintes devant le procureur de la République le jeudi 30 novembre dernier, selon les informations de L’As quotidien.

Dans sa première plainte, l’étudiant vise Antoine Felix Diome, alors ministre de l’Intérieur, pour diffamation et dénonciation calomnieuse. Pape Abdoulaye Touré reproche au ministre de l’Intérieur de l’avoir diffamé en public, affirmant faussement qu’il avait été arrêté par des gendarmes alors qu’il s’apprêtait à incendier la maison d’un responsable du gouvernement.

La deuxième plainte de Pape Abdoulaye Touré concerne le chef de sécurité du centre des œuvres universitaires de l’UCAD, surnommé « Kaba Kuru ». Les chefs d’accusation comprennent mise en danger de la vie d’autrui, complicité de torture, diffamation et complicité d’une tentative de meurtre. Touré explique que lors de l’attaque dont il a été victime, l’un de ses agresseurs a contacté le chef de sécurité du COUD en mettant l’appel en haut-parleur. Ce dernier l’aurait accusé de participer à l’incendie et au saccage de l’Université, ainsi que d’insulter régulièrement les autorités via les réseaux sociaux.

Pour rappel, Pape Abdoulaye Touré est actuellement en détention provisoire, accusé d’actes susceptibles de compromettre la sécurité publique, de participation à un mouvement insurrectionnel, et d’autres actions.

Un enseignant membre de Pastef arrêté après un message sur Facebook

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Un autre membre de Pastef (parti dissous) a été appréhendé par la Section de Recherches de Colobane. Abdou Talha Camara, enseignant et membre de ce parti, a été interpellé hier par la Section de Recherches de Dakar.

Selon Libération, l’arrestation a été déclenchée par un message publié sur Facebook dans lequel il s’adressait au Président de la République après le refus de la Direction générale des élections (DGE) de recevoir le mandataire d’Ousmane Sonko.

Conseil constitutionnel: Karim Wade a déposé son dossier de candidature pour la présidentielle

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L’opposant sénégalais Karim Wade, 55 ans, fils et ancien ministre de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000-2012), a déposé dans la nuit de vendredi à samedi sa candidature à l’élection présidentielle de février 2024, a indiqué son mandataire, informe leSoleil.sn.

« Nous venons de déposer la déclaration de candidature de notre frère Karim Meïssa Wade », a déclaré Maguette Sy, à la sortie du Conseil constitutionnel.

« Je suis heureux de vous annoncer que mon dossier de candidature à l’élection présidentielle du 25 février prochain a été déposé aujourd’hui au Conseil constitutionnel. Un pas de plus, ensemble, vers un avenir meilleur pour le Sénégal », a écrit de son côté l’opposant sur X (ex-Twitter), qui vit en exil.

Le Parti démocratique sénégalais (PDS), a désigné Karim Wade comme son candidat à la présidentielle du 25 février, désignation qu’il a acceptée de longue date.

Mais les interrogations subsistent sur les implications légales d’une condamnation ancienne de M. Wade et sur sa capacité à rentrer au pays.

Karim Wade a été condamné en 2015 à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Détenu pendant plus de trois ans, il été gracié en 2016 par le président Macky Sall, et vit depuis en exil, le Qatar étant communément cité comme un de ses lieux de résidence.

Sa condamnation l’a empêché d’être candidat à la présidentielle de 2019, remportée par Macky Sall.
L’Assemblée nationale a voté en août une loi rendant son éligibilité à Karim Wade ainsi qu’à une autre figure de l’opposition et ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, à la suite d’un dialogue politique initié par le président Sall et boycotté par une partie de l’opposition.

Dépôt des dossiers de candidature pour la présidentielle : les candidats se bousculent au Conseil constitutionnel

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Les candidats déclarés à la présidentielle sénégalaise ont jusqu’au 26 décembre à minuit pour déposer leurs dossiers de candidature au niveau du Conseil constitutionnel. Déjà, les candidats ont commencé à déposer leurs dossiers de candidature au dit conseil.

Hier, vendredi 22 décembre 2023, le candidat déclaré, Malick Gackou, membre de la coalition Yewwi Askan Wi a déposé, par le biais de son mandataire et son directeur de campagne, ledit document qui doit être accompagné par les parrains collectés.

Autre dépôt, c’est celui de Mamadou Lamine Diallo dit MLD de Tekki. Lui aussi a procédé hier, vendredi, au dépôt de son dossier de candidature au Conseil constitutionnel en perspective de l’élection présidentielle de février 2024.

Il faut noter que cet exercice du processus électoral n’est point un secret pour Mamadou Lamine Diallo, qui s’est présenté, la première fois, comme candidat indépendant à l’élection Présidentielle de février 2007. Depuis lors, MLD est toujours présent sur la scène politique, faisant face à toutes les échéances présidentielles.

De même, le candidat déclaré du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) est aussi dans la mêlée. Après son dépôt de caution de 30 millions à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), du lundi 27 novembre 2023, Karim Wade a posé un deuxième jalon hier, vendredi en vue de la prochaine présidentielle du 25 février 2024.

Actuellement en exil à Doha(Qatar), le candidat déclaré du PDS a déposé au Conseil constitutionnel, via ses proches, sa candidature, selon une note du secrétariat à la communication du Parti Démocratique Sénégalaise(PDS). A noter, que Karim Wade reste toujours au Qatar, où il gère les affaires politiques de son parti. Ainsi, son engagement pour la présidentielle de février 2024 semble donc se concrétiser, malgré son exil loin de son pays natal, rapporte SudQuotidien.

Présidentielle 2024 : Amadou Ba investi par les Libéraux démocrates réformateurs/LDR Yeesal pour la continuité

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Le parti politique « les Libéraux Démocrates Réformateurs/LDR Yeesal », a tenu, ce vendredi 22 décembre 2023, son 1er congrès ordinaire, sous la présidence du Président Modou Diagne Fada. Au cours de cet événement politique, qui s’est déroulé au stadium Marius Ndiaye de Dakar et qui a noté une mobilisation exceptionnelle des militants venus des 46 départements du pays, le parti a investi, à son tour, Amadou Ba, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

« Le 1er congrès ordinaire des Libéraux démocrates réformateurs/Yeesal tenu ce vendredi 22 décembre 2023, a décidé d’investir Monsieur Amadou Ba à la présidentielle de février 2024 », a annoncé Babacar Ndiaye, lisant la résolution du parti pour l’investiture du candidat unique de BBY.