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dimanche, octobre 13, 2024

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Macky Sall gâte les maires et adjoints au maire

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Les maires et leurs adjoints n’ont cessé de crier sur tous les toits, qu’ils percevaient des émoluments dérisoires. Leurs complaintes ont été entendues par le chef de l’Etat, qui leur octroie neuf bonnes mesures. Au terme des négociations avec le Président Macky Sall, ils peuvent esquisser des pas de danse. En tout cas comme cadeau d’adieu et de fin d’année, il leur a offert une augmentation de leurs indemnités de 300.000 à 800.000 FCfa. Les indemnités des adjoints au maire passent de 50.000 à 100.000 FCfa.

 

Les maires de chef-lieu de département, auront une hausse d’un million de FCfa, alors que les maires de villes et de région vont toucher 1.500.000 FCfa. En outre, les maires sont autorisés à acheter des voitures sur les budgets des communes, sur la base d’un paiement à tempérament. Par conséquent, les fonds d’équipement seront augmentés. Le statut du maire dans le protocole d’Etat, sera revu et rehaussé.

 

La prise en charge sociale, sanitaire et sécuritaire pour les maires, est validée par le président de la République. La retraite des maires est aussi acceptée par le président de la République. Les modalités seront fixées et validées en commission paritaire. Enfin, les indemnités de session des conseillers municipaux, sont aussi acceptées et en cours de validation, rapporte « Le Témoin ».

Présidentielle 2024: L’aventure de Khadim Diop s’arrête à la vérification des parrainages

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Un fait inédit fait parler autour du Conseil Constitutionnel. Le candidat de la coalition Khidma, Khadim Diop a été recalé à cause de doublons externes estimés à 41.617. Ce dernier n’a pu valider que 1631 parrains. Pour rappel, le parrainage par une liste d’électeurs doit être constitué par un minimum de 0,6 % et par un maximum de 0,8 % des électeurs du fichier électoral. Le nombre d’électeur représentatif du minimum est de 44.231 électeurs et de 58.975 électeurs pour le maximum.

Au Conseil Constitutionnel, la vérification des parrainages se poursuit cet après-midi. Et jusqu’à présent, seul le professeur Daouda Ndiaye a pu passer le cap. Le candidat Émile Charles Ciss qui est passé avant Khadim Diop a eu le même problème que Malick Gueye. Sa clé USB n’a pas pu être exploitée. Ce qui met un terme à sa participation à la présidentielle.

Présidentielle de 2024 : La candidature de Cheikh Bamba Dièye invalidée !

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Le dossier de candidature de Cheikh Bamba Dièye n’a pas été validé par le Conseil constitutionnel ce mardi. Le leader du Fsd-Bj en a fait l’annonce-lui-même.

«Je viens par la présente, annoncer que nous avons été recalé», a annoncé Cheikh Bamba Dièye. Il a tenu à remercier les responsables de son parti, ses militants et sympathisants et ses compatriotes qui se sont mobilisés  à ses côtés. «Nous aimons et n’avons que le Sénégal et nous continuerons avec les qualités qui sont les nôtres à le servir pour le seul bénéfice des sénégalais», a-t-il indiqué.

 

Pikine : Une fille retrouvée morte, son amant arrêté

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Découverte macabre. Nd. M. a été retrouvée morte dans la chambre de son copain dans la nuit du vendredi au Samedi. Ce dernier est placé en garde à vue à la police de Pikine pour les besoins de l’enquête.

D’après l’AS quotidien que les faits se sont produits à Pikine où Nd. M. a été retrouvée morte toute nue dans la chambre de son petit ami. Ce dernier, un ressortissant étranger, est soupçonné « d’avoir étranglé à mort » la victime. Le journal d’ajouter après avoir inspecté la chambre, les limiers ont trouvé plusieurs préservatifs déjà utilisés. Selon les riverains, la dame en question vivait avec le présumé meurtrier depuis un certain temps alors qu’elle était mariée.

L’amour profond de Sonko pour le Sénégal se manifeste dans son humilité. Alors que certains leaders sont enclins à l’égocentrisme, Sonko préfère que sa personne passe en second plan, laissant la priorité à l’intérêt de la nation. Cette humilité, teintée de patriotisme, crée un lien puissant entre le leader et le peuple sénégalais, renforçant la confiance dans ses actions et ses décisions.

Sonko n’est pas simplement un leader politique, mais aussi un éducateur dans l’arène démocratique. Sa méthode novatrice de forcer la dictature à respecter le jeu démocratique, en mettant la justice face au jugement du peuple, ouvre de nouvelles perspectives. Cette approche, qui place le pouvoir entre les mains des citoyens, transcende les limites du Sénégal et devient une leçon précieuse pour toute l’Afrique.

L’éducation autour des pratiques démocratiques de Sonko promet de laisser une empreinte significative dans l’histoire. Ses actions et ses enseignements peuvent servir de modèle pour les générations futures, façonnant ainsi un avenir où la résilience, la compréhension de l’intérêt commun et le dévouement envers la nation sont les piliers d’une démocratie florissante en Afrique.

Pape Alé Niang: « L’amour profond de Sonko pour le Sénégal se manifeste dans son humilité »

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Dans le kaléidoscope des leaders africains, Ousmane Sonko émerge comme un exemple remarquable de résilience, de compréhension de l’intérêt commun et de dévouement envers son pays, le Sénégal. Son leadership exceptionnel offre une lueur d’espoir, non seulement pour les Sénégalais, mais pour toute l’Afrique.

La force de résilience de Sonko est palpable, façonnée par les défis et les épreuves qu’il a affrontés tout au long de son parcours politique. Son engagement envers la cause commune et sa haute compréhension de l’intérêt public transforment ses choix politiques en instruments puissants pour le bien de la nation. Dans un pays où la politique peut parfois être éclipsée par des intérêts personnels, Sonko se distingue en plaçant constamment le bien-être de la nation au-dessus de sa propre personne.

Conseil constitutionnel : Le PUR valide ses parrainages…

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Le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) valide avec succès l’étape cruciale du parrainage pour la Présidentielle de 2024.

Dans le cadre des préparatifs pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel.

Aliou Mamadou Dia et son équipe ont reussi à valider 47383 parrainages.

Cette étape déterminante, visant à vérifier la validité des signatures et à assurer la conformité aux exigences légales, constitue un passage obligé pour tous les partis politiques aspirant à présenter un candidat à la plus haute fonction du pays.

Conseil constitutionnel : Le résultat du contrôle du dossier de candidature de Idy !

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Idrissa Seck n’a pas pu faire valider son dossier de candidature ce mardi. Il va devoir revenir dans 48 heures avec un stock supplémentaire de parrains, puisque le nombre de doublons décelés dans son fichier de parrainages l’a empêché d’atteindre le minimum requis.

«Nous venons de sortir  de la commission de contrôle. Mais nous sommes en séance de rattrapage, comme en 2029.  Alhamdoulilah  on a validé le nombre de régions à  plus de 2000. Mais par rapport à nos doublons externes, on va faire un effort supplémentaire d’ici la fermeture pour atteindre le minimum requis», a déclaré Ass Babacar Gueye, le mandataire de Idrissa Seck. Il s’est exprimé ce mardi au sortir du Conseil constitutionnel

 

Présidentielle 2024 : Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly recalé par le Conseil constitutionnel !

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Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a été recalé par le Conseil constitutionnel, après examen de son dossier de candidature à la présidentielle de 2024, par la Commission de contrôle.

L’annonce a été faite par Demba Diokh Fall, son mandataire. Ci-dessous ses explications relayées par iGFM :

Nous venons de sortir du Conseil constitutionnel. Lors des vérifications, nous avons été recalés parce que sur l’ensemble des parrains que nous avons déposés, le logiciel a révélé qu’il y a plus de 15 000 parrains ne figurant pas sur le fichier ou qui ne sont pas conformes. Certainement qu’il y a peut-être des erreurs. Et donc ,quand on enlève les 15 000 parrains, on n’a plus le minimum requis.« 

Ndiaga Sylla sur les deux « K » : «L’amende ne peut empêcher Khalifa et Karim Wade, d’être candidats, si Karim devrait être bloqué…»

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Ndiaga Sylla était l’invité du dernier « Jury du dimanche » de l’année. L’expert électoral a décortiqué le parrainage et le tirage au sort, dont il dit que l’idée vient lui. Il s’attendait aussi à ce que le Conseil constitutionnel se penche dès samedi, sur la complétude du dossier d’Ousmane Sonko. S’il estime que Karim Wade et Khalifa Sall peuvent être tranquilles pour leur éligibilité sur les amendes qui leur sont infligées, il plaint cependant le fils d’Abdoulaye Wade quant à sa nationalité qui pourrait le bloquer. Extraits du Quotidien « Bes Bi ».

Il ferme le Jdd de l’année 2023. Ndiaga Sylla était l’invité de Aïssata Ndiathie ce dimanche sur iRadio et iTv, pour décortiquer la matière électorale qu’il connaît du bout des doigts. Et cela, dans un contexte où le contrôle des parrainages a démarré au Conseil constitutionnel.

«L’amende ne peut empêcher Khalifa et Karim d’être candidats»

Le débat sur la participation ou non de Karim Wade et Khalifa Sall se prolonge, en dépit de la modification du Code électoral issu du dernier dialogue. S’il salue cette réintégration, Ndiaga Sylla se livre à une démonstration. L’amende non payée de Karim Wade fait débat et fait douter.

«D’abord, interrogeons le décret qui a gracié Khalifa Sall. Il est clairement dit qu’il est gracié à la fois de ses peines d’emprisonnement et de ses peines d’amende. Et le code électoral modifié en son article 28, dit que quelqu’un qui bénéficie d’une grâce présidentielle, doit rester la période prévue pour la condamnation initiale. Par exemple, pour Khalifa Sall, c’était 5 ans. Pour la peine d’amende, c’est le même code électoral modifié qui dit que si quelqu’un a été condamné à une peine d’amende, pour retrouver son droit de vote, il doit rester une période de 3 ans pour être éligible. Donc, si on considère ces dispositions, Khalifa Sall devient éligible», a-t-il conclu.

Sur le cas du fils de l’ancien président condamné à 6 ans de prison et à une amende de 138 milliards FCfa par la Crei, il explique : «Le décret de grâce de Karim Wade dit que M. Karim Wade est exempté de la peine d’emprisonnement, mais pas du paiement de l’amende. Sauf que maintenant, on ne peut pas appliquer l’article L28 qui prévoit une période de 3 ans, mais plutôt l’article L30 qui règle le cas Karim. Cet article dit que ne peuvent être inscrites sur les listes électorales, à partir de la condamnation définitive, les personnes condamnées pour un certain nombre de délits pour une durée moindre. Cette disposition finit par dire « toute personne condamnée à une peine d’amende supérieure à 200 000 francs ». Or, Karim Wade est dans cette situation, puisque c’est à coup de milliards. La condamnation définitive de Karim Wade, est intervenue en 2015, alors qu’on est en 2023.»

Ndiaga Sylla relève une différence entre l’amende en tant que peine prononcée par le juge et l’amende retenue par le code des mpôts. Il en déduit qu’«aujourd’hui, juridiquement, l’amende infligée à Khalifa Sall et Karim Wade, ne peut pas les empêcher d’être candidats».

«Si Karim devrait être bloqué, ce serait sur sa nationalité»

Par contre, entrevoit Ndiaga Sylla, si Karim Wade devrait être bloqué, ce serait sur la question de la nationalité.

«Je pense qu’il en est assez conscient parce que c’est une disposition constitutionnelle qui date du Code électoral de 1992, qui dit que pour être candidat à l’élection présidentielle, il faut être exclusivement de nationalité sénégalaise. Et d’ailleurs, c’est tout à fait raisonnable parce qu’il faut quand même protéger la souveraineté de notre pays. Maintenant, lui (Karim) étant de nationalité française, il doit y renoncer. Le président Wade (son père) avait dit d’ailleurs, pertinemment, qu’il fallait faire la différence entre bi-nationalité et double nationalité», a dit l’expert électoral.

Séparation de siamois : Lapsus ou méconnaissance du président Macky Sall

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Parlant des performances du système de santé sénégalais sous son magistère, lors de son discours à la nation du 31 décembre 2023, le président Macky Sall a affirmé que « notre corps médical, (…) a réalisé, pour la première fois cette année, une séparation de bébés siamois, des transplantations rénales et un traitement endovasculaire ».

Pour les deux derniers cas, c’est-à-dire la transplantation rénale et le traitement endovasculaire, le président a vu juste. Par contre, pour les bébés siamois, il est complètement passé à côté. Pour un président de la République, il y a lieu de se demander s’il s’agit d’une méprise ou d’une méconnaissance réelle. Il faut croire que le conseiller en santé n’a pas pris connaissance du discours avant sa lecture.

En effet, en 2023, le Sénégal a réalisé sa troisième séparation de bébé siamois. En décembre 2018, l’hôpital pour enfants Albert Royer de Fann a réussi la prouesse sous la houlette du Pr Gabriel Ngom, chef du service chirurgie de ladite structure. Il a été félicité d’ailleurs par le ministre de la santé de l’époque, Abdoulaye Diouf Sarr qui avait effectué un déplacement à l’hôpital. Mais visiblement, l’affaire n’était pas montée jusqu’au palais.

Le premier exploit dans ce domaine remonte justement à 20 ans. En 2003, l’équipe du Pr Mamadou Ndoye réussit une première au Sénégal à l’hôpital Aristide Le Dantec. A l’époque, le Pr Gabriel Ngom qui a dirigé les deux dernières opérations (2018 et 2023) était dans l’équipe, en tant que débutant.