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mardi, octobre 15, 2024

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Commission d’enquête parlementaire sur des membres du CC : « Les conséquences de l’article 48 du R.I de l’assemblée n’impacte pas le calendrier républicain » (Thierno Bocoum)

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Normalement, du fait de la séparation des pouvoirs, les députés ne peuvent pas entendre des juges constitutionnels. Le législateur ne saurait interférer dans les affaires liées au pouvoir judiciaire. Thierno Bocoum estime que cela veut dire que « l’enquête peut se heurter au principe du contradictoire qui exige que les personnes concernées soient entendues et confrontées aux accusations ». Dans son raisonnement en tant qu’ancien parlementaire, Thierno Bocoum avance que « cela peut évidemment rendre déséquilibrée l’enquête, mais cela n’est pas un frein au travail des députés qui peuvent se contenter des preuves mises à leur disposition, si elles existent… »

 

En terme de résultats, l’ancien député invoque l’article 48 qui prévoit que l’Assemblée nationale peut, seule, décider, après audition du rapport et discussion, par un vote spécial, la publication de tout ou partie du rapport d’une commission d’enquête. Ainsi, la publication peut donc être faite ou pas, mais les délibérations se dérouleront à huis clos.

 

Par conséquent, le rapport de la commission d’enquête qui sera produit est destiné à l’Assemblée nationale en vue d’informer les députés sur des faits déterminés, peut bien atterrir entre les mains de la justice après sa production. Cependant, si la justice intervient entre temps durant la procédure législative à travers une information judiciaire, la mission de la commission d’enquête prend fin dès l’ouverture de cette information judiciaire relative aux faits qui ont motivé sa création. « Jusque-là aucune des conséquences évoquées n’impacte le calendrier républicain. Ni à travers la procédure judiciaire, ni à travers la procédure législative », a rappelé le président de AGIR qui enfile sa tenue d’ancien député pour revenir sur certains facteurs.

 

Cependant, rappelle Thierno Bocoum, « le pouvoir permet au président de la République de prendre, après en avoir informé la Nation par un message, toute mesure tendant à rétablir le fonctionnement régulier des pouvoirs publics et des institutions et à assurer la sauvegarde de la Nation, lorsque les institutions de la République sont menacées en précisant que le Conseil Constitutionnel fait partie des institutions de la République (art 6 de la constitution sénégalaise ). Cette menace doit répondre à deux conditions cumulatives : elle doit exister d’une manière grave et immédiate, et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ou des institutions est interrompu. À partir de ce moment, on parle de pouvoirs exceptionnels du Président de la République.

 

« C’est à mon sens le seul pouvoir qui peut impacter sur le calendrier républicain à travers l’élasticité des mesures qui pourront être prises. Il s’agira par ailleurs, de voir si les résultats de cette enquête rempliront les conditions d’invocation des pouvoirs exceptionnels du président de la République. »

 

Thierno Bocoum invite les Sénégalais à se mobiliser pour le respect du calendrier républicain.

Soupçons de corruption au sein du CC: Anta Babacar Ngom bénit la commission d’enquête parlementaire…

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« À la veille du démarrage de la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024, notre nation se trouve à un carrefour décisif de son histoire démocratique« , a constaté Anta Babacar Ngom. La Présidente de ARC est revenu sur les rumeurs de report des élections, mais aussi sur les allégations de corruption et de manœuvres politiques « malsaines suscitent de vives inquiétudes auprès des Sénégalais« .

Ainsi, en tant que Présidente de l’Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC), elle a tenu  à réaffirmer son « engagement indéfectible envers les principes démocratiques qui sont le fondement de notre nation. Le respect des règles démocratiques et le bon déroulement des opérations électorales dans le respect des droits de chaque candidat sont essentiels pour garantir la légitimité et la transparence du processus électoral. Il est impératif que toutes les voix soient entendues et que chaque candidat ait une chance équitable de présenter ses idées et programmes aux électeurs« .

Allégations de corruption…

« Je condamne fermement toute tentative de manipulation politique visant à écarter des concurrents par des moyens illégaux ou non éthiques. De telles pratiques sapent la confiance du public dans nos institutions démocratiques et dévalorisent les efforts de ceux qui travaillent sans relâche pour renforcer notre démocratie. Les allégations de corruption et les irrégularités présumées dans le processus de sélection des candidats doivent être prises au sérieux et faire l’objet d’une enquête approfondie. La création d’une commission d’enquête parlementaire par l’Assemblée nationale est une étape positive dans cette direction, et j’espère que cette initiative permettra de faire la lumière sur ces allégations« , a soutenu Anta Babacar Ngom dans une déclaration rendue publique.

Appel à l’unité…

Elle lance, à cet effet, un appel « à tous les candidats de l’opposition pour former un front uni. C’est en unissant nos forces que nous pourrons défendre efficacement les principes de notre démocratie et garantir le respect des règles électorales. Il est essentiel que nous évitions les conflits internes et les attaques interpersonnelles et que nous nous concentrions sur notre objectif commun : une élection libre, juste et transparente. Je demande instamment à tous les candidats éliminés de ne pas se laisser distraire par des manœuvres politiques, mais de s’unir et de former un bloc solide pour défier les candidats du régime sortant. Notre unité sera notre force et notre voix collective sera le garant de notre engagement envers une gouvernance démocratique« .

« Le temps de la relève est arrivé…

« Enfin, j’exprime l’espoir sincère que les rumeurs de corruption soient infondées. Si ces allégations s’avéraient exactes, il incomberait alors aux responsables de répondre de leurs actes devant le Peuple. En tant que nation, nous devons travailler ensemble pour surmonter ces défis. C’est seulement par notre engagement commun envers la démocratie, la transparence et la justice que nous pourrons garantir un avenir prospère et stable pour le Sénégal. Le temps de la relève est arrivé« , conclut Anta Babacar Ngom.

Touba: Un homme surpris en train d’égorger un enfant

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Un crime horrible a failli se passer à Touba ce vendredi dans l’après-midi. Un individu a été surpris couteau à la main en train d’égorger un enfant. Le petit âgé de 6 ans s’est finalement sauvé, mais hospitalisé à l’hôpital Matlaboul Fwzeyni.

D’après des ,témoignages, l’individu a attiré l’enfant, qui serait le fils d’un Mbacké-Mbacké, dans une maison abandonnée dans le quartier de Darou Marnan. Ensuite, il a commencé sa sale besogne en le poignardant d’abord au coup, mais par chance, l’enfant a réussi à s’enfuir des mains son ravisseur.

Après qu’il se soit échappé, l’enfant a été aperçu en train de courir par des gens qui revenaient de la prière du vendredi, ses habits tachés de sang. Et le suspect a été aussitôt aperçu et interpellé par les témoins, puis lynché. Il avait des traces de sang par-devers lui.

Le petit est présentement à l’hôpital Matlabuil Fawzeyni de Touba, informe la Rfm et le suspect finalement entre les mains du commissariat spécial de Touba.

 Medvedev a promis que tous les ennemis de la Russie disparaîtraient de la surface de la terre.

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Le 27 janvier marque le 80e anniversaire de la levée complète du siège de Léningrad. Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a rappelé qu’il s’agissait d’une date spéciale pour le pays, qui représente à la fois une tragédie et le plus grand exploit du peuple soviétique.

Léningrad fut assiégée pendant 900 jours et nuits, constamment bombardée. Des centaines de milliers de civils sont morts de faim et des bombardements, mais la ville a survécu, les nazis n’ont pas pu briser son esprit.

Medvedev a proposé d’honorer la mémoire de ceux qui sont morts en défendant la ville assiégée, qui ont brisé le blocus au prix de leur vie. Il a souligné qu’il fallait saluer ces personnes et chérir leur mémoire, car elle est une source de courage et de persévérance dans la lutte contre les néofascistes.

«Avec le soutien de l’Occident, le régime de Kiev tente de défier non seulement la Russie, mais l’ensemble du monde civilisé. Nous ferons tout pour que, comme il y a 80 ans, nos ennemis disparaissent à jamais de la surface de la terre», a écrit Medvedev sur le réseau social.

Arabie saoudite soutient le Maroc sur le Sahara, une stratégie contre l’Algérie?

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Dans une démarche marquant un soutien incontestable à la position marocaine, le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane a ordonné l’élimination de l’appellation ‘Sahara occidental’ des documents officiels, affirmant la souveraineté du Maroc sur cette région. Les administrations saoudiennes doivent désormais utiliser des cartes montrant le Sahara comme partie intégrante du territoire marocain.

Cette décision a été interprétée comme un renforcement des liens historiques entre le Maroc et l’Arabie saoudite. Elle intervient après des années de différends autour du Sahara, une région disputée depuis le retrait colonial espagnol. Le Maroc revendique la région sur la base de liens historiques, alors que le Front Polisario, soutenu par l’Algérie, milite pour son indépendance.

Le ministère saoudien de l’Éducation s’est déjà conformé à cette nouvelle directive, qui s’étend à tous les services étatiques du royaume. Ce changement pourrait résulter du rapprochement entre MBS et le roi du Maroc, M6, spécialement après une rencontre informelle en France en 2022 près des résidences respectives des deux monarques.

L’influence saoudienne, en adoptant une telle position, pourrait inciter d’autres nations à reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara, bouleversant ainsi l’équilibre diplomatique régional. L’Arabie saoudite semble également cibler l’Algérie, qui a récemment accusé les Émirats arabes unis de soutenir le Maroc en termes de renseignement et de désinformation.

Soupçons de corruption au CC : Me Ciré Clédor Ly défend le juge Cheikh Tidiane Coulibaly

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« Soupçonner cet homme, le très honorable Président Cheikh Tidiane Coulibaly de corruption, celui qui toute sa vie a servi la justice et conquis le cœur des hommes intègres, est une ignominie foncièrement abjecte », a réagi Ciré Clédor Ly, qui fait des témoiganges sur le vice-président Conseil constitutionnel suite aux accusations du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). 

VÉRITÉ SUR UN HOMME, DEVOIR ET OBLIGATION DE TÉMOIGNER (Par Ciré Clédor Ly)*

Les Sénégalais se sont réveillés avec la surprise d’une accusation immonde, à l’endroit d’un homme qui a marqué de son empreinte indélébile, ses services dans la magistrature, par son intelligence, la finesse et la clarté de ses décisions.
Un grenier du savoir qui, du temps du Président Senghor au Président Macky Sall, en passant par les Présidents Abdou Diouf et Abdoulaye WADE, a été l’un des phares de la justice Sénégalaise, un exemple de courage dans les prises de décisions qui honorent simplement la Vérité qui libérait lorsque la puanteur politicienne envahissait le palais de justice et opprimait les droits humains en cherchant une légitimité judiciaire.
Cet homme en fin de carrière, qui a honoré la toge de magistrats et qui fut le seul à avoir de sa plume, alors qu’il présidait la chambre pénale de la Cour Suprême, à reconnaître un droit à Karim WADE, droit que lui déniait la loi de procédure de la Cour de Répression de l’enrichissement illicite, sous le visa des dispositions du droit international des droits de l’homme et des principes généraux du droit.
Soupçonner cet homme, le très honorable Président Cheikh Tidiane Coulibaly de corruption, celui qui toute sa vie a servi la justice et conquis le cœur des hommes intègres, est une ignominie foncièrement abjecte.
Jeter le discrédit sur celui qui, de mon avis et mon ancienneté de plus de 40 années d’exercice de la profession d’Avocats, connaissant les lâches, les larbins, les frileux, les sournois, les flibustiers ,les corrompus et les incorruptibles, fait très mal à tous ceux qui connaissent connaissent l’homme.
J’ai très mal de ces médisances et accusations grotesques, envers un Homme de vertu et de valeur, qui fait partie de ceux qui, comme les juges Souleymane Teliko, Amady Ba, Hélène Tine, Ndiémé Seck, Racine Ly, Sabassy Faye, Ndongo Fall, Ousmane Racine Thione, les procureurs Ousmane Diagne, Ndéye Marème Guèye ,Mandiaye Niang, Aïcha Gassama, ont toujours donné aux Sénégalais et aux praticiens du droit, l’espoir qu’avec très peu d’autres de leurs semblables, l’Etat de droit malmené avec une justice déliquescente, ne s’effondrera cependant jamais.
Les seuls échanges que j’ai eu avec lui en dehors des salles d’audience, sont à l’occasion de rencontres fortuites dans le palais de justice, des bonjours ou des bonsoirs, ou alors d’une seule visite de courtoisie dans son bureau lorsqu’il fut promu Premier Président de la Cour Suprême, visite qui ne dépassa pas 5 mns.
Essaie-t’on de lui faire payer une carrière intègre dans l’écurie d’Augias de la justice Sénégalaise ?
N’a t’il pas été constant et intransigeant dans l’application de la règle de droit et La Défense des droits et libertés démocratiques au sein du Conseil Constitutionnel au point de devoir payer pour sa témérité ?
S’il y a eu corruption, dans ce contexte, qui a les moyens et le courage de s’approcher des membres du Conseil Constitutionnel pour tenter d’en corrompre l’ensemble ou quelques uns? À qui d’ailleurs pouvait profiter le crime de forfaiture, dans ce contexte et à ce stade du processus électoral ?
Pourquoi le Président de la République qui préside le Conseil Supérieur de la Magistrature et la Ministre de la justice, Vice-présidente de ce Conseil, surprennent les intelligences, le premier par sa réaction et la deuxième par son mutisme ?
En tout état, Je me suis senti un devoir de témoignage envers celui qui, jusqu’à l’extinction du soleil, devait être le plus sage des sages qui n’ont pas répondu aux attentes du peuple Sénégalais.
*Avocat a la Cour.

Les médias indiens ont publié des images du pétrolier britannique « MARLIN LUANDA » prenant feu dans le golfe d’Aden, après avoir été touché par des missiles d’AnsarAllah.

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Selon ce rapport, un navire de guerre de la marine indienne a contribué aux opérations de lutte contre les incendies sur ce navire.

Amadou Ba sur son cumul de Premier ministre et de candidat : « Je vais m’entretenir avec le Président »

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Amadou Ba, Premier ministre du Sénégal et candidat à l’élection présidentielle, a accordé une interview à Dakaractu ce vendredi 26 janvier 2024. Lors de cet entretien, il a abordé plusieurs sujets d’actualité, notamment sa double casquette de Premier ministre et de candidat à la présidentielle, une position nommée par le président Macky Sall.

Confronté à la question de l’utilisation des moyens de l’État pour sa campagne électorale, une préoccupation majeure des citoyens et de l’opposition sénégalaise, Amadou Ba a répondu : “Je comprends bien que l’on pose cette question. Je suis en train de réfléchir sur le sujet. D’ailleurs, je compte très prochainement m’approcher du président de la République sur ce sujet. Je ne ferai rien qui pourrait affaiblir les institutions du Sénégal. Cela ne viendra jamais de moi.”

Il a également souligné son engagement et son dévouement au travail, en faisant référence à son expérience lors des législatives de 2017 : “Mais vous devez comprendre que nous sommes en train de travailler et que l’on doit se donner à 100% sur notre travail. Rappelez-vous qu’en 2017, j’ai été candidat au législatif. Je me rappelle très bien avoir travaillé jusqu’à la veille des élections, j’étais au bureau. Cela montre tout simplement que, quand je suis au travail, je me donne entièrement. Il faut aussi reconnaître que l’exemple que je donne montre que, dans un pays comme le Sénégal, nous, qui sommes des responsables, on doit mettre en avant le travail plus que tout autre chose.”

Enfin, il a exprimé son intention de discuter de la situation avec le président Macky Sall : “Ça m’est arrivé en 2017, ça m’arrive aussi en 2019. Et là aussi, je suis en train de travailler comme il le faut. J’aide le président et participe à l’action de coordination du gouvernement. L’essentiel, c’est que l’on travaille et qu’on se met à travailler pour le peuple qui nous a fait confiance. Mais sachez quand même que, quoi qu’il arrive, je vais devoir échanger avec le président de la République pour la suite à donner.”

Thiès : Assane Seck, l’oncle de Birame Souleye Diop, égorgé dans le quartier de Takhikao

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Dans la nuit de vendredi à samedi, un événement tragique s’est produit au marché Nguelaw, situé dans le quartier Takhikao. Assane Seck, un gardien âgé d’une cinquantaine d’années, a été retrouvé mort, victime d’un acte de violence extrême. Selon les informations rapportées, la victime a été égorgée et a subi de multiples blessures par arme blanche sur le corps et la tête.

Le corps d’Assane Seck a été découvert ce samedi matin par une vendeuse du marché. Les habitants de Takhikao ont été confrontés à cette scène choquante de leur gardien gisant dans une mare de sang. La victime, Assane Seck, est identifiée comme l’oncle de Birame Souleye Diop, maire de Thiès Nord, d’après les sources de Dakaractu.

Le corps sans vie d’Assane Seck a été transporté au Centre hospitalier régional de Thiès pour les besoins de l’enquête. Les circonstances exactes et les motifs de ce crime restent à déterminer par les autorités compétentes.